Privé de dessert ? - histoire érotique

Il y a huit jours une nouvelle voisine aménageait sur le même palier que le mien. Il m'a paru très belle, bien fichue et sexy. Le lendemain elle me demande de venir la dépanner: elle a besoin de changer une ampoule. Je me déplace volontiers et l'aide. Mais depuis, presque tous les jours il faut que j'aille réparer quelque chose, un porte grince, un évier bouché, etc. Je commence à me poser des questions d'autant plus qu'à chaque visite nous bavardons et la conversation dévie de plus en plus sur le sexe. Mais aujourd'hui, vendredi soir elle me demande de venir manger chez elle pour me remercier. Je présume que les remerciements seront autres que verbaux. En cas de besoin, je prends une bonne douche. Je bande toujours quand je me douche et me branle sous l'eau chaude où je me régale, mais je me retiens, on ne sait jamais.
Je sonne à la porte de ma voisine et elle ouvre presque de suite. Elle porte une robe légère, évasée, assez décolletée. Je pense qu'elle ne porte pas grand chose sur elle. Elle est plus sexy que jamais. Je ne crois pas m'être trompé sur la nature profonde de l'invitation.
Elle me demande de m'asseoir sur le divan de la salle à manger, pendant qu'elle fini de préparer le dîner. En attendant et pour me faire patienter, elle m'offre un apéritif que j'accepte plus par politesse qu'autre chose: je ne supporte pas beaucoup les alcools à jeun. L'attente est courte: elle a déjà mis la table simplement et elle pose quelques hors d'oeuvre que nous dévorons à belles dents. Elle va ensuite chercher le plat principal que nous dégustons. J'attends comme après chaque repas un dessert. Mais il n'y en a pas.
Nous bavardons de plusieurs choses, et maintenant la conversation revient sur le sexe. Elle était mariée avec un éjaculateur précoce et après avoir fait l'amour elle attendait que son mari dorme pour se donner du plaisir. Je complète en lui disant qu'elle se masturbait. En rougissant un peu elle me dit que c'était bien ce qu'elle était obligé de faire. Et depuis son divorce, elle n'a pas connu d'homme. Elle arrête la conversation et commence à débarrasser la table. Je me lève aussi pour l'aider. Nous revenons dans la salle à manger et nous nous asseyons sur le divan, l'un près de l'autre. Plus je la regarde et plus j'ai envie d'elle. Et poussé par le désir je la prend dans mes bras. Elle se laisse faire. Nous nous regardons bien et soudain nos lèvres se trouvent soudées. Notre baiser est presque comme au cinéma, sauf que pour nous c'est réel. Nos langues fouillent la bouche de l'autre. Je n'ai pas eu de dessert, mais celui-ci est encore plus agréable.
Nous arrêtons un moment notre baiser. Je lui caresse un sein et c'est vrai elle est nue dessous: je ne sens pas de soutien gorge. Elle se laisse faire et en même temps pose sa tête sur mon épaule. Elle s'abandonne. Je continu mon inventaire ne posant une main sur son genou. Elle me donne de petits baisers dans le cou. Je caresse l'intérieur de sa cuisse. Elle ouvre ses cuisses. Je remonte lentement. Elle se laisse faire. Ma main est bientôt sur sa chatte. Elle m'embrasse sur la bouche à nouveau. Je cherche et trouve rapidement dans ce sexe poilu son clitoris. Je le contourne un peu pour ne pas la faire jouir trop rapidement. A ce moment là elle pose sa main sur ma bite qui bande dans mon pantalon et chercher à la sortir. Elle y arrive difficilement et me caresse très lentement. Elle sait qu'il ne faut pas me branler maintenant. Alors je n'hésite plus. Je la branle et elle poursuit ses légères caresses sur mon sexe. Je la sens jouir rapidement. Je laisse ma main sur son con et recommence à la branler dès que son premier orgasme est terminé. Elle en jouit encore. Je la déshabille et elle m'en fait autant. Et nue, cette fois, elle se penche vers ma bite et la prend entre ses lèvres. Je sens sa langue sur mon gland. Sa bouche se transforme en véritable sexe féminin. Elle fait des allers et venues qui me donne un plaisir fou. Je vais jouir. Je le lui dis. Mais elle garde ma bite dans sa bouche: Je jouis et elle aime ça puisqu'elle déguste ma liqueur. Elle garde ma bite en bouche pour que je ne débande pas et je ne sais comment elle fait, mais c'est vrai je reste tendu.
A mon tour je me penche: ma langue caresse le clitoris. Elle jouit plusieurs fois à la suite. Je suis tombé sur une bombe sexuelle. Je bande toujours et je veux l'enfiler. Je lui dit qu'il est venu pour moi le temps de lui mettre ma bite. Elle ne répond rien mais agit; elle se couche sur le dos, écarte les jambes et me demande de venir sur elle. Comme je ne la connais par encore bien, elle me guide avec sa main jusqu'au moment où je suis au bord de son vagin mouillé. Ma bite y rentre comme dans du beurre. Je la pénètre à fond et elle commence à me donner des ordre: plus vite, moins vite pour finir par murmurer: je jouis.........!
Je reste en elle un moment. Si elle a jouis, je ne l'ai pas encore fait. Je quitte son con, me retourne et pose ma bouche pour lui bouffer la chatte. Elle prend ma bite en bouche et me retourne le plaisir. Elle suce tellement bien que je jouis encore une fois dans sa bouche.
Nous nous redressons pour prendre un moment de repose et nos bouches se rejoignent pour encore un baiser profond. Nous retrouvons le goût de nos sexes dans la bouche de l'autre: c'est très agréable. Elle détaille se qu'elle se faisait en se branlant: elle posait au début deux doigts qu'elle mouillait avec sa salive et se caressait le clitoris. Au bout d'un moment elle se rentrait un doigt dans le cul. Ensuite elle s'est achetée un godemiché qu'elle possède toujours et depuis elle s'en sert souvent. Par exemple l'après midi, excitée qu'elle était par ma venue. Je lui demande de me montrer comment elle fait. Sans hésiter elle me mène dans sa chambre et sort le gode de sa table de nuit. Il est normal, comme une bite ordinaire. Je le pensait plus gros. Elle préfère la taille normale. Elle se couche, écarte les jambes et commence à se baiser, là devant moi qui ne la connais que depuis peu. Elle agite en elle le gode et ferme les yeux. Je lui décrit se que je vois: elle se met un doigt au cul. Et moi qui je bande, je suis sur le point de me branler aussi devant elle. Heureusement elle ouvre les yeux et me voit Elle jouit encore. Elle me demande de venir sur elle l'enculer pendant qu'elle se branle. Je lui demande si elle compte se branler avec le gode. Mais bien sur elle aime les doubles pénétrations. Elle est en levrette, se baise avec le gode après s'être mouillé le cul. Elle écarte les fesses et je trouve facilement l'accès à son petit trou. J'ai peur d'être obligé de forcer un peu, mais je trouve un cul prêt à m'accueillir. Elle m'avoue qu'elle s'encule régulièrement. J'apprends d'heures en heures ses habitudes de baise. Je pénètre à fond dans son anus et je sens en même temps son gode à travers ses parois. C'est très excitant. Nous jouissons ensemble.
La nuit est presque terminée quand elle me demande de venir dormir avec moi, chez moi. Pourquoi pas. Je commence à me rhabiller. Ce n'est pas la peine me dit-elle, il ni a que le palier à traverser: on peut y aller nus. Je remarque qu'elle a prit son gode. Et si quelqu'un nous voit on l'invitera. Nous faisons comme elle veut. Je crains le pire arrivé chez moi, mais non, nous couchons dans le même lit et tranquillement nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre. Ce n'est qu'au matin que je suis réveillé. Elle se fait l'amour et s'est logé le godemiché dans la chatte. Je l'embrasse pendant qu'elle prend son plaisir. Elle me répond et continue sa branle. Ce n'est qu'après avoir jouit qu'elle me dit bonjour. Mais c'est un bonjour un peu spécial. Elle prend ma bite dans sa bouche et me fait une belle et agréable fellation. Je jouis bien évidemment. Elle lève et va farfouiller dans la cuisine. Je la suis et elle prépare le petit déjeuner. Nous buvons un grand bol de lait au café. Dès qu'il est bu elle vient devant moi, se couche sur la table, les jambes écartées, le con offert. Son ordre: suce moi. Elle pose ses cuise sur mes épaules et je ne sais que sucer, son con ou son cul. J'essaye la dernière solution. Elle ouvre ses fesses et je lui caresse le périnée avant d'aller directement longer ma langue dans son cul. Elle jouit en me disant que je suis le premier à lui faire ça. Mon action m'a fait bander: elle voit ma bite en l'air et demande à soulager sa douleur. Je ne sais trop ce qu'elle veut me faire. Je ne l'attendais pas sur mes genoux: elle est assise face à moi, elle a logé ma pine dans son con et fait elle même les mouvement voulus. Cette fois c'est moi qui lui dis que c'est la première fois qu'on me fait ça.
Nous jouissons encore. La journée ne fait que commencer. Mais elle est raisonnable et ne me demande plus rien jusqu'au moment du repas. C'est un repas micro-ondes; Mais en hors d'oeuvre elle a trouvé un légume qui lui plait: un concombre de belle taille qu'elle se met au con. Je dois en croquer au moins la partie visible. C'est ce que je fais: arrivé à sa chatte je suis bien forcé de faire quelque chose de sympa:Je lui suce le clitoris et elle enlève le légume après avoir jouit, je ne sais à cause de mes lèvres ou à cause du concombre.
Elle trouve, juste après le repas un pot de confiture. Elle s'en enduit le corps et m'en met sur le bas ventre. Nous nous léchons jusqu'à disparition complète des traces. Bien sur nous finissons par un corps à corps qui nous fait baiser plusieurs fois. Je m'étonne moi même: je ne pensais pas tenir une baise si longtemps. Et pourtant je ne lui passe toutes ses envies. A chaque fois elle jouit plus souvent que moi. Nous avons fait sans doute tout ce qu'un couple mixte peut faire. Je lui ai rempli tous ses trous. Le soir arrive et il nous faut aller chez elle et retraverser le palier
Nus. Je ne crains plus les voisins, même si nous en entendons monter. Dans le délire de baise qui me tient je lui propose de nous offrir tous les deux en machine de sexe. Mais c'est elle qui me retient.
Enfin, chez elle nous remettons les pendules à l'heure. Elle me calme par une fellation et nous nous séparons habillés, cette fois. Mais elle demande de revenir vendredi prochain. D'ici là elle aura trouvé d'autres façons de nous amuser. Peut-être à plusieurs, qui sait/