Professeur Marilyne - 2

- Par l'auteur HDS Mekron -
Récit érotique écrit par Mekron [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Professeur Marilyne - 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Professeur Marilyne - 2
Le matin du samedi, toujours oscillante entre raison et désir, elle se glissa dans un beau string en satin, un soutien-gorge à balconnet, qui lui soutenait et dévoilait avantageusement sa ronde poitrine. La jupe plissée était assez sage d'apparence et l'ample chemisier blanc lui donnait un air tout à fait correct. Lorsqu'il entra dans la classe, Marc eut un air un peu déçu, mais il alla tout de même s’asseoir au fond de la classe. Elle se leva et s'approcha de lui. Il la déshabillait du regard et elle adora ça. Lorsqu'elle fut juste devant son bureau il lui dit : « Mademoiselle Bernard, est-ce ceci votre définition du sexy ? »Elle rougit et s'en voulu immédiatement.
« Marc, Arrêtons-nous là avant que nous commettions l'irréparable. Je ne peux pas me permettre de risquer mon travail pour cette... » Elle lutta pour trouver ses mots. Elle le regarda pour voir s'il avait compris. Il continuait à la regarder avec son sourire qui la rendait folle.
« … Je ne sais pas ce que tu avais imaginé, mais nous ne pouvons pas jouer à ça ici ! Vous savez que le proviseur est présent les jours de colle. Légalement ils ne peuvent laisser un élève seul avec un professeur. Je pourrais avoir de très graves problèmes si on nous prenait ! » « Osez me dire que ça ne vous excite pas ! »Ha mon dieu ! Qu’il est craquant à la regarder comme ça avec ses yeux de braise !
« Là n'est pas le sujet ! Tu es un élève bon sang ! Je suis ton professeur ! Ça n'est pas bien ! » « Ah le bien, le mal ! Vous-même, mademoiselle Bernard, vous nous avez appris que ce sont des préceptes très subjectifs ! »Elle aimait sa voix et comment il disait « Mademoiselle Bernard. » Ça l'excitait.
« Bien. Et si je me charge de l'absence du proviseur... ? »Son cœur manqua un battement et son excitation monta d'un cran. Elle bredouilla : « Quoi ? Mais Comment ? » « Ne vous en souciez pas mademoiselle Bernard. » Mon dieu ! Qu'elle adorait l'entendre l'appeler de la sorte !
« Alors, que dois-je faire aujourd'hui Mademoiselle Bernard ? » Demanda-t-il en ouvrant son livre. Elle prit quelques secondes pour comprendre et se ressaisit. Elle se pencha pour lui montrer les exercices qu’ils devaient faire et, ce faisant, elle lui dévoila son profond décolleté. Le chemisier était si ample qu'il pouvait voir toute sa magnifique poitrine avantageusement maintenue dans le soutien-gorge en satin.
« Hum ! » Dit-il avec appréciation.
Elle lui indiquait les exercices à faire lorsque la voix du proviseur, l'appelant à la porte, la fit sursauter. Elle se redressa vivement et porta sa main au-dessus de sa poitrine refermant habilement son décolleté. Son cœur se serra en voyant l'aire préoccupé du proviseur. Il lui fit signe d'approcher et elle commença à trembler de peur. Elle fit de son mieux pour le cacher et s'approcha avec l'air le plus serein qu'elle put.
« Mademoiselle Bernard, nous avons un problème. » Commença-t-il.
Elle était perdue !
« Il me faut aller impérativement à la mairie pour m'entretenir avec le Maire et le premier adjoint. »Ses jambes faillirent la trahir. Elle fit tout ce qu'elle put pour ne rien laisser paraître.
« Je sais que ça n’est pas légale et je ne vous le demanderais pas si ce n'était très urgent. Cela vous dérange-t-il de rester seule avec l'élève dans le lycée pendant une heure environ ? »Elle fut si soulagée qu'elle faillit exploser de joie. Elle se retint et prit quelques secondes pour paraître indécise.
« Non... Non, pas de problème monsieur le proviseur. » Répondit-elle.
Visiblement soulagé également, le proviseur se permit de lui poser la main sur son épaule en lui disant : « Simon, appelez-moi Simon. Merci beaucoup mademoiselle Bernard »Elle lui sourit et lui répondit : « Marilyne. » « Merci Marilyne, je vous le revaudrai. ». Il lui fit un clin d’œil et partit prestement.
Elle resta quelques secondes à la porte et se retourna vers Marc. Il était plongé dans les exercices.
Comment aurait-il pu savoir ? Pensa-t-elle, en retournant s'asseoir à son bureau. C'est alors qu'elle vit un mot déposé sur son sac. Elle reconnut immédiatement l'écriture.
« Ne vous assoyez pas sur votre jupe. »Elle le regarda avec surprise, mais il était toujours penché sur son travail. Elle hésita quelques secondes puis se relevant à moitié, elle dégagea l'arrière de sa jupe de sous ses fesses et posa ces dernières directement sur la chaise froide. Elle eut un petit hoquet de surprise et posa ses doigts sur sa bouche pour se taire. Elle sentait ses joues s'empourprer à nouveau. Marc releva la tête, s'adossa à sa chaise et croisa le bras en la regardant. Elle sentit son intimité s'humidifier d'excitation. C'est alors qu'elle réalisa que le bureau avait changé et qu'il n'y avait plus de panneau occultant le devant de celui-ci. Il avait donc une superbe vue sur tout ce qui était en dessous du plateau. Il lui adressa un regard lourd de signification et elle comprit ce qu'il attendait. Elle hésita quelques secondes puis céda.
Mon dieu qu’était-elle en train de faire ! Elle se pinça les lèvres et croisa les jambes en se tournant légèrement de côté pour lui dévoiler toute la partie inférieure de sa cuisse jusqu'à la naissance de ses fesses. Elle le vit se lécher les lèvres et involontairement elle en fit de même. Elle était tellement prise par ce jeu qu'elle prit des initiatives. Elle se caressa la cuisse et relevant davantage sa jupe. Elle fit glisser ses ongles sur sa cuisse en y laissant une légère marque qui s'estompa rapidement. Il la laissa continuer quelques minutes puis lui fit signe de venir. Inconsciemment elle jeta un regard vers la porte puis se leva. Elle s'approcha d'une démarche aguicheuse. Son esprit bouillait et la sommait d'arrêter ses bêtises.
« Oui Marc ? » demanda-t-elle d'un ton suave.
« Mademoiselle Bernard j'ai un soucis avec cet exercice. » Lui répondit-il.
Elle se pencha pour regarder lui laissant la pleine vue sur ses seins dont les tétons durcis pointaient fièrement au travers de son soutien-gorge. Puis elle fit le tour de la table et se plaça juste à ses côtés feignant d'avoir besoin d'être dans le même sens que lui. Elle commença à reprendre l'énoncé lorsqu'elle sentit sa large main chaude sur son mollet. Elle eut un petit hoquet, mais ne bougea pas. Elle essaya de continuer ses explications alors qu'il la caressait habilement. Lorsqu'elle eut presque fini, il commençait à atteindre sa cuisse. Elle prit peur et se redressa brusquement faisant un pas d'écart.
« Ne préfères-tu pas le faire au tableau ? » Demanda-t-elle, sa voix trahissant son état d'excitation.
« Certainement. Mademoiselle Bernard. » Dit-il en se levant.
Mon dieu qu'il était grand. Elle apprécia la largeur de ses épaules et la musculature de son dos, moulé dans son t-shirt. Son jean mettait en valeur ses fesses rondes et musclées. Il marcha souplement et elle fut charmée par la puissance latente qui se dégageait de lui. Elle eut un flash, se voyant glisser ses mains sous son t-shirt pour lui caresser son torse puissant. Ils arrivèrent au tableau et il commença à reproduire l'exercice. Lorsqu'il fit une erreur, elle s'approcha gentiment de lui, lui posant une main sur son bras et lui prenant le feutre des mains.
Elle sentait ses muscles sous ses doigts. Alors qu'il aurait dû s'écarter pour lui laisser la place, il ne bougea pas, l'obligeant à se rapprocher de lui. Elle commença par bredouiller puis se reprit et, d'une voix douce, commença à le corriger. Il lui glissa le bras, qu'elle lui touchait, dans le dos. Elle eut énormément de mal à rester concentré tant le contact chaud de sa main au creux de ses reins l'excitait. Elle se cambra légèrement redressant fièrement sa poitrine, qui tirait avantageusement sur la fabrique du chemisier. Elle passa sa main sur son omoplate et essaya de garder le fil de ses explications. Elle huma discrètement son odeur et elle adora son parfum. Il avait commencé à écrire l'exercice au haut du tableau et, alors qu'elle dut monter sur la pointe des pieds pour l'atteindre, il se glissa habilement dans son dos. Elle se figea. Il lui avait passé une main sur le ventre et, dans un mouvement instinctif, elle le rentra et recula les fesses qui se pressèrent contre lui. Elle hoqueta, le feutre appuyé sur le tableau là où elle avait arrêté ses explications. Il laissa sa main à plat sur le ventre. Elle posa sa main sur la sienne et essaya de calmer sa respiration. Il descendit sa main et elle se cambra davantage. De son autre main il lui découvrit une épaule et la baisa délicatement. Elle bascula la tête sur le côté pour lui offrir son cou. Elle plongea sa main sans les cheveux bouclés et gémit de plaisir. Elle sentit sa raideur contre ses fesses et sa propre excitation monta en flèche. Elle commença à se frotter à lui. Sa main arriva sur son sexe et elle ne put retenir ses gémissements et ses hoquets de surprise.
« Oh mon dieu Marc ! Qu'est-ce que tu me fais faire ? » Gémit-elle.
Sa seule réponse fut de la plaquer voilement contre le bureau et, alors qu'elle était encore prise de court, il lui remonta sa jupe et lui déchira le string. Elle laissa échapper un cri aigu de surprise et de peur, mais ne put lui résister lorsqu'il plongea son visage entre les fesses. Elle ne put que s'exprimer qu'en exclamations, gémissements et onomatopées. Lorsqu'elle sentit sa langue lécher ses lèvres avec ardeur et stimuler son clitoris, elle s’exclama. Il joua avec elle de longues minutes et elle sentit son orgasme monter. Elle n'en revenait pas de son habileté. Ce devait être le meilleur cunnilingus qu'elle n'avait jamais reçu. Elle s’agrippa ferment au bureau et sentit ses jambes commencer à trembler. Son sexe se contractait de plus en plus violemment. Alors qu'elle aurait voulu le sentir en elle, il continua ses caresses buccales et elle monta autant de plaisir que de frustration. Elle essaya de se retenir au maximum, mais laissa échapper quelques cris entre ses exclamations sourdes lorsqu'elle explosa. Il lui prolon­gea son orgasme par des caresses raffinées et lorsqu'il s'arrêta, Marilyne était en nage et le souffle court. Elle était là, pliée en deux sur le bureau, sa jupe remontée jusqu'à la taille, dévoilant intégralement ses fesses et son sexe encore vibrant. Elle essayait de reprendre son souffle.
« Je comprends mieux mademoiselle Bernard. Merci beaucoup. » Dit-il d'un ton enjoué en lui flattant la croupe. Elle se redressa, encore groggy de sa jouissance. Il se dirigeait vers sa table alors qu'elle aurait voulu qu'il la prenne dans ses bras. À moitié frustrée et heureuse, elle arrangea sa tenue et alors qu'elle se rasseyait, il fit : « Tss ! Tss ! »Elle comprit et le regarda. Mon dieu elle ne pouvait rien lui refuser ! Elle lui céda encore et dégagea à nouveau l'arrière de sa jupe. Lorsqu'elle s'assit, elle sentit à quel point elle était mouillée. Elle sourit et se cacha le visage dans ses mains de honte et de plaisir.
Oh mon dieu ! Quel pied ! Pensa-t-elle.
Il lui indiqua de remonter sa jupe sous le bureau et elle le fit lentement, entendant qu'il lui fasse signe de s'arrêter. Il ne fit rien et elle se retrouva avec la jupe relevée jusqu'à la taille. Alors, il lui fit signe d'écarter les cuisses.
Oh mon dieu ! Je suis folle ! Pensa-t-elle, lorsqu'elle obtempéra.
Elle écarta lentement les cuisses. Ce geste n'était pas un simple geste érotique, il avait un message fort associé. Elle prenait une nouvelle fois une position de dominée. Il ordonnait et elle obéissait. Lorsque ses cuisses furent largement ouverte, elle resta là à le regarder: ‘Oui j'accepte d'être dominée. Je m'offre à toi complètement !’Était le message qu'elle lui transmettait. Il la fit rester dans cette position de longues minutes puis lui fit signe de se toucher. Fébrilement elle glissa ses doigts sur son sexe et commença à se masturber. Il la regardait droit dans les yeux et elle adorait ça. Elle était à nouveau en feu !
« Marilyne ? Tous c'est bien passé ? »Elle sursauta à nouveau et discrètement replaça sa jupe. Elle se leva et fit tout se quelle pût pour garder une expression la plus neutre possible. De toute évidence elle avait réussi car elle ne vit aucun signe sur le visage ni dans la voix du proviseur, qui était apparu à la porte de la classe.
« Oui, monsieur... Simon ! Tout c'est très bien passé. »Il parut soulagé et lui adressa un sourire, qu'elle perçu un peu plus que professionnel.
« Merci beaucoup Marilyne ! Je vous en dois une !  Marc ? » Il se retourna vers lui.
« C'est la dernière fois que je te vois en colle ! Ton attitude envers mademoiselle Bernard est inacceptable et j'attends de toi que tu te montres son ton meilleur profile à l'avenir. » « C'est promis Monsieur le Proviseur. Je vais y mettre toute mon énergie. »Marilyne s'empourpra, mais le proviseur ne sembla pas le remarquer, ses pensées certainement déjà tournées vers d'autres sujets. Il sourit à nouveau à Marilyne, lui fit un petit clin d’œil et partit.
L'heure de colle toucha à sa fin et Marc déposa sa copie sur le bureau et sortit en disant.
« Merci mademoiselle Bernard. Bon week-end. » « Au revoir Marc. » Lui répondit-elle.
Son esprit encore dans le souvenir de son orgasme, elle descendit dans le parking souterrain et se dirigea vers sa voiture. Elle sursauta en le voyant apparaître derrière un pylône. Son cœur s'emballa et elle regarda dans le parking de peur que quelqu'un ne les surprenne. Elle s'approcha de lui, la main tendue pour le garder à distance.
« Non Marc ! Pas ici c'est trop dangereux ! » Chuchota-t-elle avec un ton ferme.
Lorsque sa main se posa sur son torse, il plaça sa main par-dessus la sienne et sa résistance vola en éclat. Il lui caressa la joue et elle ferma les yeux en inclina sa tête dans sa paume.
« Non ! Marc ! Il ne faut pas... »Il l'interrompit en lui posant un doux baiser. Tout son corps s'embrasa et elle laissa tomber son sac à main au sol, monta sur la pointe des pieds et passa ses bras autour de son cou. Elle se pressa contre son corps musclé et entrouvrit les lèvres. Il y plongea voracement sa langue en elle alors qu'il lui saisissait les fesses à pleines mains. Leurs gémissements furent étouffés par leur baiser. Son sexe pulsait et elle sentit son érection contre sa hanche. Elle était complètement perdue dans leurs ébats lorsque la porte du parking s'ouvrit. Il la plaqua immédiatement contre le pylône, hors de vue de l'entrée. Elle se figea, son regard effrayé plongé dans le sien. Ils écoutèrent les pas résonner dans le parking. Marc se mit à se frotter contre elle et elle lui envoya un regard de terreur auquel il répondit par un sourire malicieux. Son cœur s’emballait et son cerveau bouillonnait. Elle commençait à trembler de la tête aux pieds. Son sexe pulsait frénétiquement et le sentir se frotter contre elle l'excitait follement. Ce devait être Simon qui prenait sa voiture. S'il les surprenait s'en était fini d'elle et de sa carrière de professeur ! Ses oreilles bourdonnaient et les battements fous de son cœur résonnaient dans tout son corps. Elle passa les bras dans son dos et se serra contre lui. Ses seins se pressèrent contre son abdomen et elle écarta les jambes comme il se frottait de plus en plus bas. La portière s'ouvrit et claqua. Le moteur démarra et la voiture commença à rouler. Lors d'un virage ils furent éclairé une fraction de seconde et elle crut que son cœur allait s'arrêter. La voiture passa juste à côté d'eux sans s'arrêter et sortit du parking. Marc se frottait de plus en plus fort contre son pubis. Son esprit était en ébullition et elle l'embrassa fougueusement, ouvrant largement son bassin pour qu'il lui stimule le clitoris. Ses jambes commencèrent à trembler. Il la regarda et elle se noya dans le vert limpide de ses yeux. Elle plongea ses mains vers son jeans et regarda sa réaction, il lui sourit et elle le déboutonna fébrilement. Elle ouvrit largement les pans de son pantalon, tira sur l'élastique de son boxer et plongea sa main pour sortir son sexe. Lorsque ses fins doigts se refermèrent sur sa verge, elle ouvrit grand les yeux et la bouche, surprise par son calibre. Elle le sortit mais n'osa pas le regarder, elle commença à le masturber amplement et releva son t-shirt de l'autre main. En découvrant les muscles saillant de son corps, elle ne résista pas à les embrasser et les lécher avec gourmandise. Entendre ses grognements de plaisir l'excita de plus belle et lorsqu'il lui imprima une légère pression sur ses épaules, elle commença à descendre petit à petit. Elle embrassa, mordilla et lécha avec emphase ses pectoraux, ses abdominaux et se retrouva à croupi face à son gros engin.
‘Oh mon dieu ! Il était vraiment large !’Elle eut un doute sur sa capacité à le prendre complètement en bouche. Elle n'avait jamais vraiment aimé les fellations, mais il lui avait fait tellement de bien avec sa bouche qu'elle se sentit le devoir de lui rendre la pareille. Elle commença par lui baiser le gland puis le lui lécher tendrement. Il était si vibrant et si chaud ! Mon dieu, mes petits doigts font à peine le tour ! Et il est si dur ! Réalisa-t-elle. Tout en continuant à le branler amplement et lentement, elle joua avec son gland. Il réagissait à ses caresses et ça la rendait folle d'excitation. Elle tenta alors de la prendre en bouche. Elle essaya de détendre au maximum les muscles de sa mâchoire, l'ouvrit le plus grand possible et plongea son sexe dans sa bouche. Il s’exclama de plaisir et elle aimait entendre ça. La sensation de son gros sexe dans sa bouche lui fit un effet qu'elle n'avait jamais ressenti. Elle aimait ça. Elle commença à le pomper, le sucer, le lécher avec zèle et il l'encouragea. Elle accéléra la cadence et essaya de l’enfoncer de plus en plus profondément. Étonnamment, elle arrivait à le prendre complètement. Sa mâchoire commençait à la faire souffrir, mais elle était tellement excitée qu'elle ne le remarqua pas vraiment. Elle n'avait jamais fait de gorge pro­fonde mais l'idée maintenant la stimulait. Elle sentait l’excitation de Marc augmenter et son cœur s'emballa, anticipant son explosion. Elle comprit qu'il voulait exploser dans sa bouche. Si elle n'avait jamais aimé cette idée, ni la sensation, aujourd'hui était complètement différent. Elle voulait à tout prix lui faire plaisir et ce qu'elle trouvait dégouttant, auparavant, l'excitait à cet instant. Lorsqu'il lui saisit la tête à deux mains, elle s'arrêta et posa ses mains sur ses hanches. Elle se détendit au maximum et gémit lorsqu'il commença ses va-et-vient lents et amples. Il accéléra lentement la cadence et elle adora ça. Elle gémissait pour l'encourager à continuer. Son énorme sexe plongea profondément jusqu'au fond de sa gorge, la remplissant complètement. Elle adorait cette sensation. Elle sentait son propre orgasme revenir pendant que Marc accélérait encore. Elle se caressa un sein et le pétrit en stimulant son téton douloureusement durcit. De l'autre main elle se masturba. Ces pénétrations devenaient puissantes et violentes. Son pubis venait écraser son nez et ses bourses frappaient son menton. Sa bouche était remplie de ses sécrétions et elle en aimait le goût acre et sucré-salé. Il lui prenait tellement fort et profondément sa bouche qu'elle commençait à être saoulée par toutes ces sensations. Elle était proche d'un nouvel orgasme, lorsqu'il s'immobilisa au fond de sa bouche, quelle sentit sa verge brûlante se contracter violemment et sentit les puissants jets chaud frapper le fond de sa gorge. Elle accompagna chaque éjaculation d'une exclamation de plaisir. Il râla et grogna sa jouissance. Il resta profondément en elle jusqu'à la dernière goutte. Il se retira lentement, elle reprit son souffle et toussa un peu. Elle s'essuya les lèvres et le menton et se lécha les doigts en le regardant avec gourmandise. Il lui souriait et elle le lui rendit. Elle aimait tant le satisfaire, son cœur était aux anges. Il lui tapota la joue.
« Bien mademoiselle Bernard ! C'était très bien ! » Lui dit-il.
Il rangeait son phallus, encore raidi, dans son pantalon pendant qu'elle se relevait. Ils avaient le souffle court. Elle en désirait encore, mais elle fut très frustrée lorsqu'elle le vit s'en aller. Elle resta là quelques secondes sans bouger puis, dans un état second, récupéra son sac à main et entra dans sa voiture. Une fois assise, une vague de honte la submergea et les larmes lui montèrent aux yeux. Elle les combattit une première fois, mais céda lors de la seconde vague. Elle éclata en sanglot. Son esprit vacilla entre honte, colère, plaisir et jouissance. Elle passa des pleurs aux éclats de rire et vice versa. Il lui fallut de longues minutes pour reprendre le contrôle, les images et les sensations encore vivides dans son esprit. Une fois prête, elle démarra enfin et rentra.

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