Profs de math
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Profs de math
Cette nouvelle enseignante m’inquiète avec son air revêche, son habillement hors mode et surtout son air qui nous semble hautain. Avec mes collègues nous sommes inquiets pour l’année. Dans l’enseignement nous ne choisissons pas nos collègues. Comme moi elle enseigne les maths, à des collégiens qui s’en fichent totalement.
Nous sommes un jour emmenées à bavarder ensemble. Elle me semble moins désagréable que je le pensais. Au fil de l’année scolaires nous nous rapprochons au point de devenir amies. Elle est l’inverse de ce que nous croyions en début d’année.
Elle est de mon âge : 30 ans, blonde, alors que je suis brune, plutôt maigre alors que je suis un peu forte. J’ai pu voir son logement, un petit deux pièces bien tenu. Je l’ai invité chez moi un soir pour prendre l’apéritif. C’est un samedi soir. Mon intention est de l’emmener dans une boite pour s’amuser ensemble. Je lui avais demandé de s’habiller bien comme il faut.
Quand elle arrive je la vois sous un autre jour : l’enseignante est loin, j’ai en face de moi une très jolie fille peu maquillée, vêtue plutôt court, avec un polo collant. Elle s’est transformée en pin up ou presque. Je lui vois la moitié des cuisses et par transparence sa poitrine. Mon logement n’est constitué que d’une seule pièce accolée à une cuisine, juste à coté de mon minuscule bureau où j‘ai de la peine à m‘installer. Normalement je m’en contente, mais voilà le problème, si elle est bien habillée je porte sur moi un infâme peignoir, il faut que je me fasse belle.
Je la fais s’assoir sur le seul fauteuil de mon logement. Je lui colle une revue dans les mains pour qu’elle patiente.
Je prend ce qu’il faut pour m’habiller. Je ne veux pas déparer avec ma collègue, moi aussi je vais m’habiller court vêtue. C’est à cet instant que je me rend compte que sous le peignoir je suis totalement nue. Une autre personne peut me voir à poil. Au fond je ne risque rien, c’est une autre femme. Je quitte la seule vêture que je porte. Me voilà donc nue devant une autre femme qui me regarde avec un regard bizarre.
- Tu es drôlement bien fichue.
- Pas si bien que ça, merci.
- C’est vrai et je m’y connais en corps féminin.
- Ah bon, pourquoi ?
- Tu ne comprendrais pas. Il faut être initiée pour le comprendre.
Si elle me parle par énigme, il est certain que je ne comprendrai rien. Pourtant je suis troublée, elle me détaille de haut en bas. J’allais me retourner pour m’habiller quand elle me dit :
- Si tu veux je peux t’initier.
Je suis curieuse, elle ne me dit rien sinon qu’elle pourrai me mettre au courant.
- Bien sur avec plaisir.
Elle se lève, s’approche de moi (c’est vite fait de venir du fauteuil à mon lit). Sans rien dire, elle pose sa bouche sur la mienne. Sa langue essaye d’entrer à la recherche de la mienne. Elle m’enlace en me serrant fort contre elle. J’essaie de résister quand mes lèvres m’abandonnent en s’ouvrant, sa langue en profite pour venir caresser la mienne. Je trouve son baiser agréable sans plus. L’ennui est qu’elle passe une main dans le dos pour aller caresser mes fesses.
- Déshabille moi, me demande t elle.
- Je ne vais pas faire ça.
- Si parce que j’en ai envie et que je t’initie.
- Je n’ai pas envie.
- C’est trop tard : obéis moi.
Comme une lâche je commence par enlever son polo et fini par la jupe. Elle ne porte aucun sous vêtement.
Je ne manque pas de l’examiner : les femmes regardent toujours les autres pour critiquer. J’avoue que je n’ai rien à dire sur son physique. Elle est parfaite.
Elle m’embrasse à nouveau sur la bouche et se colle encore à moi. Cette fois j’ai ses seins contre les miens. Je sens une douce chaleur venir autour de moi, surtout que sa main sur mes fesses va se loger dans la raie.
J’ai compris depuis un bout de temps qu’elle cherche à me faire l’amour. Je ne suis en rien une lesbienne, et pourtant je me laisse conquérir. Maintenant j’ai sa langue dans la bouche, ses seins contre ma poitrine, pour finir un doigt dans l’anus. Comment sait-elle que j’aime la sodomie ? Comment fait elle pour trouver facilement les endroits les plus luxurieux de mon corps. Enfin que ce qu’elle me fait est délicieusement agréable. C’est ma première fois avec une autre fille. Je ne pensais pas du tout que ce soit si bon.
Sans rien dire, elle me pousse sur le lit. Je ne résiste pas. Je préfère qu’elle me caresse couchée. Elle vient sur moi, comme un homme. J’écarte les jambes comme si une bite était prête à me pénétrer. J’aime tant les bites dans ma chatte. Elle n’en a pas. Pourtant, je ne sais exactement comment elle fait, elle arrive à me caresser le clitoris avec son bas ventre. J’ai même l’impression que c’est son propre bouton qui frotte sur le mien. Je ne résiste pas longtemps: elle veut me faire jouir, qu’elle ne se gêne surtout pas, d‘autant plus qu‘elle me fait sursauter dans un orgasme inattendu.
Je sens ses lèvres sur mon cou, juste avant qu’elles les descende sur mes seins. Elle prend mes mamelons dans la bouche, les lèche avant de les sucer. Son autre main sur mon autre sein me fait autant de bien que sa bouche.
Elle oublie ma poitrine pour descendre sa bouche sur mon ventre: elle entre sa langue dans mon nombril qui pour l’occasion de transforme en volcan. Elle continue sa désescalade pour aboutir sur mon pubis. Je ne suis pas rasée, elle ne le remarque même pas ou alors elle s’en fiche. Elle fait le petit bon qui l’emmène sur mon bouton. Je savais qu’elle allait me faire quelque chose. Son quelque chose s’est tout simplement un cunnilingus: je me fais sucer par une femme et je trouve qu’elle le fait bien en s’arrêtant souvent pour le mordiller. Je serre les dents pour ne pas jouir encore. Je voudrai qu’elle me fasse jouir longuement. Je ne peux plus tenir: je prends sa tête entre mes mains pour qu’elle ne parte pas et enfin, malgré ma volonté de faire durer cet instant que je trouve magique, j’ai toute ma chatte prises dans des spasmes involontaires: je jouis.
Elle se relève pour venir m’embrasser. Sa langue est toutes imprégnées de cyprine. J’ai dans ma bouche la même impression que quand je me masturbe et lèche mes doigts pendant que je me donne du plaisir.
- Maintenant à toi de me donner du plaisir.
- Je ne sais pas si je pourrai.
- Pourquoi tu as peur de le sucer.
Je n’ose pas lui avouer que c’est justement ce que je crains.
- Branles moi avec tes mains, et après tu sucera tes doigts; tu verra, nos gouts sont presque les même.
Après tout je peux le faire. Je commence quand même par un « repérage » manuel. Je fouille toute sa fente à la recherche de différences entre nous. Je n’en sens aucune. Je m’arrête sue son clito, plus grand que le mien. Pour moi c’est une bonne chance de la faire jouir. Je me penche un peu pour être confortable. Je caresses l’intérieur des cuisses et enfin je vais sur son bouton. Je le caresse d’abord avec une certaine maladresse pour arriver finalement à la faire jouir. J’ai mis longtemps. Elle me demande de lui donner une baiser: nos langues se battent encore une fois. Je n’ai plus besoin de conseil, je fais comme elle, sauf que je pose ma bouche sur un téton: je le suce, le sens durcir sous ma langue: je le mordille un peu avant d’aller sans fioriture sur son sexe que je regarde avant de poser ma bouche sur lui. Elle est trempée, elle ne pourrai pas dire qu’elle n’est pas excitée. Je darde ma langue, juste le bout pour la gouter: elle a raison sa mouille vaut la mienne. Je la lèche de haut en bas, je recommence plusieurs fois. Je me fixe enfin dans son vagin qui me semble des plus étroits. Mon jugement de femme doit être faussé. Le mien doit être comme le sien. Quand j’entre ma langue il s’élargit. Je fais aller et venir mon organe dans son ventre. Elle gémit de plus en plus fort. Elle pousse même un petit cri quand je sens les spasme de jouissance dans son con.
Elle me demande de venir les jambes écartées sur elle. Nous entamons une position que j’aime faire avec les hommes: un 69. Là, je n’ai pas de bite à prendre dans la bouche. Je dois me contenter d’un sexe féminin. J’écris « contenter » alors que je suis presque contente de voir la confiance qu’elle me fait de me donner ce qu’elle a de plus secret.
Nous nous léchons longuement, sans nous arrêter même en jouissant.
Nous nous endormons dans cette position. Elle se réveille en pleine nuit. Sa tête est toujours entre mes jambes. Elle n’a qu’à sortir sa langue pour me réveiller, c’est-ce qu’elle fait.
C’est un doux réveil quand une langue féminine vous sort d’un rêve érotique. Je ne réalise que quelques minutes plus tard que moi aussi je peux rendre la caresse.
- J’ai un gode, tu veux t’en servir ?
- Pourquoi pas, si tu le manies.
Je sors mon engin, je pose quand même la question de savoir où elle veux que je le lui mette: des deux cotés
Elle se met sur le dos, bien calée, ouvre ses cuisses me donne toute sa fente où je vais déposer un baiser et je pose mon gode sur sa grotte.
- Mets moi la doucement pour que je sente bien quand ça entre.
Je me reprends, j’allais lui entre tout ce sexe en plastique d’un seul coup. J’entre donc en elle doucement. Je me sens l’âme masculine en la baisant ainsi. Je regarde attentivement la pénétration: ça m’excite encore plus. Je suis obligé de me branler de la main gauche. Je vais et viens dans son ventre, elle gémit encore avant de crier quand je la fait jouir.
Je ne cesse pas, je sors le gode bien mouillé pour le mettre dans son cul dans lequel j’entre très doucement: elle n’a pas l’habitude de se faire mettre souvent sans doute. Je suis prise parce que je lui fait: elle me regarde:
- Tu es une franche salope de m’enculer après tout ce qu’on a fait cette nuit.
- Tu es une trainée de m’avoir sucée, tu m’as faite jouir longtemps.
Je peux voir son anus se refermer pour s’ouvrir à nouveau autour du godemiché quand elle jouit. Je suis fière de moi, sodomiser une femme.
Elle a fini de jouir au moins pour aujourd’hui. Quand elle se rhabille je lui mets la main au panier. Je ne veux pas la laisser partir sans garder une trace de sa cyprine. J’humecte un mouchoir que je met sous l’oreiller, j’aurai ainsi son intimité à coté de ma tête, en attendant la prochaine fois que j’espère proche. Les hommes ? Je verrai plus tard, en attendant j’ai mieux, j’ai un professeur de math. On ne peux espérer mieux si on veut réviser les tables de multiplication ou les équations à plusieurs inconnues.
Nous sommes un jour emmenées à bavarder ensemble. Elle me semble moins désagréable que je le pensais. Au fil de l’année scolaires nous nous rapprochons au point de devenir amies. Elle est l’inverse de ce que nous croyions en début d’année.
Elle est de mon âge : 30 ans, blonde, alors que je suis brune, plutôt maigre alors que je suis un peu forte. J’ai pu voir son logement, un petit deux pièces bien tenu. Je l’ai invité chez moi un soir pour prendre l’apéritif. C’est un samedi soir. Mon intention est de l’emmener dans une boite pour s’amuser ensemble. Je lui avais demandé de s’habiller bien comme il faut.
Quand elle arrive je la vois sous un autre jour : l’enseignante est loin, j’ai en face de moi une très jolie fille peu maquillée, vêtue plutôt court, avec un polo collant. Elle s’est transformée en pin up ou presque. Je lui vois la moitié des cuisses et par transparence sa poitrine. Mon logement n’est constitué que d’une seule pièce accolée à une cuisine, juste à coté de mon minuscule bureau où j‘ai de la peine à m‘installer. Normalement je m’en contente, mais voilà le problème, si elle est bien habillée je porte sur moi un infâme peignoir, il faut que je me fasse belle.
Je la fais s’assoir sur le seul fauteuil de mon logement. Je lui colle une revue dans les mains pour qu’elle patiente.
Je prend ce qu’il faut pour m’habiller. Je ne veux pas déparer avec ma collègue, moi aussi je vais m’habiller court vêtue. C’est à cet instant que je me rend compte que sous le peignoir je suis totalement nue. Une autre personne peut me voir à poil. Au fond je ne risque rien, c’est une autre femme. Je quitte la seule vêture que je porte. Me voilà donc nue devant une autre femme qui me regarde avec un regard bizarre.
- Tu es drôlement bien fichue.
- Pas si bien que ça, merci.
- C’est vrai et je m’y connais en corps féminin.
- Ah bon, pourquoi ?
- Tu ne comprendrais pas. Il faut être initiée pour le comprendre.
Si elle me parle par énigme, il est certain que je ne comprendrai rien. Pourtant je suis troublée, elle me détaille de haut en bas. J’allais me retourner pour m’habiller quand elle me dit :
- Si tu veux je peux t’initier.
Je suis curieuse, elle ne me dit rien sinon qu’elle pourrai me mettre au courant.
- Bien sur avec plaisir.
Elle se lève, s’approche de moi (c’est vite fait de venir du fauteuil à mon lit). Sans rien dire, elle pose sa bouche sur la mienne. Sa langue essaye d’entrer à la recherche de la mienne. Elle m’enlace en me serrant fort contre elle. J’essaie de résister quand mes lèvres m’abandonnent en s’ouvrant, sa langue en profite pour venir caresser la mienne. Je trouve son baiser agréable sans plus. L’ennui est qu’elle passe une main dans le dos pour aller caresser mes fesses.
- Déshabille moi, me demande t elle.
- Je ne vais pas faire ça.
- Si parce que j’en ai envie et que je t’initie.
- Je n’ai pas envie.
- C’est trop tard : obéis moi.
Comme une lâche je commence par enlever son polo et fini par la jupe. Elle ne porte aucun sous vêtement.
Je ne manque pas de l’examiner : les femmes regardent toujours les autres pour critiquer. J’avoue que je n’ai rien à dire sur son physique. Elle est parfaite.
Elle m’embrasse à nouveau sur la bouche et se colle encore à moi. Cette fois j’ai ses seins contre les miens. Je sens une douce chaleur venir autour de moi, surtout que sa main sur mes fesses va se loger dans la raie.
J’ai compris depuis un bout de temps qu’elle cherche à me faire l’amour. Je ne suis en rien une lesbienne, et pourtant je me laisse conquérir. Maintenant j’ai sa langue dans la bouche, ses seins contre ma poitrine, pour finir un doigt dans l’anus. Comment sait-elle que j’aime la sodomie ? Comment fait elle pour trouver facilement les endroits les plus luxurieux de mon corps. Enfin que ce qu’elle me fait est délicieusement agréable. C’est ma première fois avec une autre fille. Je ne pensais pas du tout que ce soit si bon.
Sans rien dire, elle me pousse sur le lit. Je ne résiste pas. Je préfère qu’elle me caresse couchée. Elle vient sur moi, comme un homme. J’écarte les jambes comme si une bite était prête à me pénétrer. J’aime tant les bites dans ma chatte. Elle n’en a pas. Pourtant, je ne sais exactement comment elle fait, elle arrive à me caresser le clitoris avec son bas ventre. J’ai même l’impression que c’est son propre bouton qui frotte sur le mien. Je ne résiste pas longtemps: elle veut me faire jouir, qu’elle ne se gêne surtout pas, d‘autant plus qu‘elle me fait sursauter dans un orgasme inattendu.
Je sens ses lèvres sur mon cou, juste avant qu’elles les descende sur mes seins. Elle prend mes mamelons dans la bouche, les lèche avant de les sucer. Son autre main sur mon autre sein me fait autant de bien que sa bouche.
Elle oublie ma poitrine pour descendre sa bouche sur mon ventre: elle entre sa langue dans mon nombril qui pour l’occasion de transforme en volcan. Elle continue sa désescalade pour aboutir sur mon pubis. Je ne suis pas rasée, elle ne le remarque même pas ou alors elle s’en fiche. Elle fait le petit bon qui l’emmène sur mon bouton. Je savais qu’elle allait me faire quelque chose. Son quelque chose s’est tout simplement un cunnilingus: je me fais sucer par une femme et je trouve qu’elle le fait bien en s’arrêtant souvent pour le mordiller. Je serre les dents pour ne pas jouir encore. Je voudrai qu’elle me fasse jouir longuement. Je ne peux plus tenir: je prends sa tête entre mes mains pour qu’elle ne parte pas et enfin, malgré ma volonté de faire durer cet instant que je trouve magique, j’ai toute ma chatte prises dans des spasmes involontaires: je jouis.
Elle se relève pour venir m’embrasser. Sa langue est toutes imprégnées de cyprine. J’ai dans ma bouche la même impression que quand je me masturbe et lèche mes doigts pendant que je me donne du plaisir.
- Maintenant à toi de me donner du plaisir.
- Je ne sais pas si je pourrai.
- Pourquoi tu as peur de le sucer.
Je n’ose pas lui avouer que c’est justement ce que je crains.
- Branles moi avec tes mains, et après tu sucera tes doigts; tu verra, nos gouts sont presque les même.
Après tout je peux le faire. Je commence quand même par un « repérage » manuel. Je fouille toute sa fente à la recherche de différences entre nous. Je n’en sens aucune. Je m’arrête sue son clito, plus grand que le mien. Pour moi c’est une bonne chance de la faire jouir. Je me penche un peu pour être confortable. Je caresses l’intérieur des cuisses et enfin je vais sur son bouton. Je le caresse d’abord avec une certaine maladresse pour arriver finalement à la faire jouir. J’ai mis longtemps. Elle me demande de lui donner une baiser: nos langues se battent encore une fois. Je n’ai plus besoin de conseil, je fais comme elle, sauf que je pose ma bouche sur un téton: je le suce, le sens durcir sous ma langue: je le mordille un peu avant d’aller sans fioriture sur son sexe que je regarde avant de poser ma bouche sur lui. Elle est trempée, elle ne pourrai pas dire qu’elle n’est pas excitée. Je darde ma langue, juste le bout pour la gouter: elle a raison sa mouille vaut la mienne. Je la lèche de haut en bas, je recommence plusieurs fois. Je me fixe enfin dans son vagin qui me semble des plus étroits. Mon jugement de femme doit être faussé. Le mien doit être comme le sien. Quand j’entre ma langue il s’élargit. Je fais aller et venir mon organe dans son ventre. Elle gémit de plus en plus fort. Elle pousse même un petit cri quand je sens les spasme de jouissance dans son con.
Elle me demande de venir les jambes écartées sur elle. Nous entamons une position que j’aime faire avec les hommes: un 69. Là, je n’ai pas de bite à prendre dans la bouche. Je dois me contenter d’un sexe féminin. J’écris « contenter » alors que je suis presque contente de voir la confiance qu’elle me fait de me donner ce qu’elle a de plus secret.
Nous nous léchons longuement, sans nous arrêter même en jouissant.
Nous nous endormons dans cette position. Elle se réveille en pleine nuit. Sa tête est toujours entre mes jambes. Elle n’a qu’à sortir sa langue pour me réveiller, c’est-ce qu’elle fait.
C’est un doux réveil quand une langue féminine vous sort d’un rêve érotique. Je ne réalise que quelques minutes plus tard que moi aussi je peux rendre la caresse.
- J’ai un gode, tu veux t’en servir ?
- Pourquoi pas, si tu le manies.
Je sors mon engin, je pose quand même la question de savoir où elle veux que je le lui mette: des deux cotés
Elle se met sur le dos, bien calée, ouvre ses cuisses me donne toute sa fente où je vais déposer un baiser et je pose mon gode sur sa grotte.
- Mets moi la doucement pour que je sente bien quand ça entre.
Je me reprends, j’allais lui entre tout ce sexe en plastique d’un seul coup. J’entre donc en elle doucement. Je me sens l’âme masculine en la baisant ainsi. Je regarde attentivement la pénétration: ça m’excite encore plus. Je suis obligé de me branler de la main gauche. Je vais et viens dans son ventre, elle gémit encore avant de crier quand je la fait jouir.
Je ne cesse pas, je sors le gode bien mouillé pour le mettre dans son cul dans lequel j’entre très doucement: elle n’a pas l’habitude de se faire mettre souvent sans doute. Je suis prise parce que je lui fait: elle me regarde:
- Tu es une franche salope de m’enculer après tout ce qu’on a fait cette nuit.
- Tu es une trainée de m’avoir sucée, tu m’as faite jouir longtemps.
Je peux voir son anus se refermer pour s’ouvrir à nouveau autour du godemiché quand elle jouit. Je suis fière de moi, sodomiser une femme.
Elle a fini de jouir au moins pour aujourd’hui. Quand elle se rhabille je lui mets la main au panier. Je ne veux pas la laisser partir sans garder une trace de sa cyprine. J’humecte un mouchoir que je met sous l’oreiller, j’aurai ainsi son intimité à coté de ma tête, en attendant la prochaine fois que j’espère proche. Les hommes ? Je verrai plus tard, en attendant j’ai mieux, j’ai un professeur de math. On ne peux espérer mieux si on veut réviser les tables de multiplication ou les équations à plusieurs inconnues.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'adore qd tu as sucé ses seins et le 69
a suivre jespere merci
Merci pour ton email très sympa.C'est formidable d'avoir une prof de math comme tu l'as
décrit. J'ai beaucoup aimé ton histoire. Je me demande si une femme bi préfère enculer
une femme ou un homme. Personnelement je ne donnerais jamais mon cul à un homme mais par
contre, je me laisserais enculer par une femme, cependant je ne l'ai jamais fait.Merci
encore pour ce beau texte
décrit. J'ai beaucoup aimé ton histoire. Je me demande si une femme bi préfère enculer
une femme ou un homme. Personnelement je ne donnerais jamais mon cul à un homme mais par
contre, je me laisserais enculer par une femme, cependant je ne l'ai jamais fait.Merci
encore pour ce beau texte