Promenade au parc
Récit érotique écrit par Nanou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2004 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Promenade au parc
Naturiste de longue date, je n'avais pas fait attention au regard des hommes jusqu'à ce que nous allions en vacances ailleurs que dans un camp de naturistes. Là, j'ai pu remarqué que les hommes sont des voyeurs et que moi je prend plaisir à me montrer. Ce qui m'a valu plusieurs expériences excitantes, surtout que mon mari est totalement pour.
Et maintenant, je deviens de plus en plus exhibitionniste : je m’assois sans baisser mes jupes, si ma culotte est visible, je ne cherche pas à changer de position. En été, je ne porte jamais de pantalon et certaines fois pas de dessous.
Je vous raconterais peut-être mes premières aventures mais pour le moment, je vais vous raconter ma dernière "prestation", qui date du dernier week-end,
La suite dépendra de ce que les lecteurs répondront.
Nous sommes allés à Lyon, pour voir les serres du parc de la Tête d'or. Nous trouvons facilement une place à proximité de l’entrée. J'ouvre le coffre de la voiture et prend une paire de chaussures en toile. Quand je me penche pour attacher mes lacets, sans plier les genoux, ma robe, assez courte, remonte largement sur mes cuisses, et les dévoile à ceux qui veulent regarder. De fait, j’aperçois un homme, assis sur le muret de clôture, qui ne perd pas une miette du spectacle. Quand je me relève, Bernard me prend par la taille et me glisse à l’oreille :
- Ta gymnastique a beaucoup intéressé le gars assis sur le muret
- Tant mieux pour lui, il aura un bon souvenir.
Dans la deuxième serre j'aperçois l'homme qui était assis sur le muret. Je le signale à mon époux, qui me dit :
- C'est peut-être une coïncidence, mais, s'il est encore là dans la prochaine c'est qu'il nous suit ou plutôt qu'il te suit ! "
Dans la suivante, "Il" est encore là ; Bernard me dit :
- Il a du apprécier le spectacle, il espère peut-être que tu as mal attaché tes lacets, comme cela tu seras obligé de te baisser de nouveau."
Je ralentis la marche de façon à n'avoir personne entre l'homme et nous ; heureusement, il n'y a pas beaucoup de visiteurs ; je dis à Bernard :
- Je pourrais lui faciliter la tâche !
- Que veux-tu faire ?
- Si je relève ma robe, il verra bien mieux.
- Pas chiche !
Je regarde derrière nous pour m'assurer que personne d'autre n'est présent; je soulève ma jupe en passant ma main derrière moi et découvre mon postérieur bien révélé par le string qui laisse mes fesses parfaitement libres. Bernard s'approche de moi et caresse mes hanches, et avec son bras, coince ma jupe relevée dans le dos ; Bernard se retourne, "Il" est toujours là. Nous continuons, en faisant attention aux autres visiteurs. Dans une serre chaude, comme l'homme est encore derrière nous ; je dis à Bernard :
- Il ne doit pas être satisfait de cette vision !
- Peut-être attend-il autre chose ?
- Bon, puisque c'est comme ça !
Je décide donc d'aller un peu plus loin dans l'exhibition ; je m'arrête de marcher et attends que nous soyons tous les trois seuls dans la serre. Je me tourne face à "Lui", passe les mains sous ma jupe, les remonte de chaque côté de mes cuisses, glisse mes pouces entre l'élastique et mes hanches et descend ma petite culotte jusqu'aux genoux. Ensuite, je soulève le devant de ma jupe et expose ma toison bien taillée à notre suiveur ; puis, je me penche en avant pour continuer à descendre mon string, lève une jambe après l'autre pour enlever complètement ma culotte, que je dépose sur un muret de protection. "Il" commence à se caresser à travers son pantalon. Il commence à faire très chaud dans cette serre, dans tous les sens du mot.
Je rabats ma jupe et dit à Bernard:
- "Viens ! On va s'asseoir sur un banc, dehors !"
Nous nous dirigeons vers la sortie ; Je jette un coup d'œil derrière, "Il" s'est emparé de mon string et nous suit. Nous nous dirigeons vers le coté des serres, à l'écart des grandes voies goudronnées qui traversent le parc. Dans une petite contre-allée, nous trouvons une place sur un banc, derrière une haie d'arbustes, qui nous protège des regards indiscrets des promeneurs. Je m'assieds et remonte ma jupe sur les cuisses que j'écarte largement ; Bernard passe devant moi, pour vérifier l'effet : si "Il" continue à nous suivre et passe devant moi, "Il" verra tout : mes cuisses découvertes et ma petite fente qui commence à être humide.
De fait, quelques instants après, "Il" passe devant nous ; "Il" ouvre la main et nous montre ma petite culotte. "Il" s'arrête quelques mètres plus loin et s'appuie sur un arbre en face de nous ; puis "Il" recommence à passer sa main sur mon pantalon.
Je pose les deux pieds sur le rebord du banc, dans cette position j'expose directement mon sexe au regard de notre suiveur.
"Il" descend sa braguette et sort son sexe de son pantalon, puis commence à se caresser. Pour ne pas être en reste, Je descend sa main sur mes cuisses, puis à l'intérieur de mes cuisses, puis sur mes lèvres, remonte vers mon clitoris et le titille gentiment ; je redescends vers l'entrée de ma grotte d'amour, mouille un doigt, remonte vers mon bouton d'amour, l'humidifie avec mes sécrétions intimes; ensuite, je le prend entre le pouce et l'index et le caresse de manière plus appuyée. Je dirige mon autre main vers la braguette, du pantalon de Bernard et la tire vers le bas et sort son pénis, avec quelques difficultés car Bernard bande dur. Je me penche vers lui, passe mon bras derrière lui, afin de m'équilibrer et prend son sexe dans ma bouche ; ce qui me fait prendre une position à moitié allongée sur le coté, une jambe reposée à terre, l'autre toujours appuyée sur l'assise du banc ; dans cette attitude, "Il" doit même voir mon petit trou.
"Il" a complètement ouvert mon pantalon et baisse son slip sur les jambes ; "Il" passe sa main de plus en plus vite sur son sexe.
De mon côté, je continue à sucer Bernard et à me caresser ; je m'introduis un doigt dans le sexe, puis deux et entame des va-et-vient réguliers et rapides, je jouis. Mais j'ai besoin d'autre chose, je me relève, me met debout devant Bernard ; je mets mes jambes autour des siennes et viens se positionner face à "Lui" ; je lève le devant de ma jupe et m'assois sur Bernard en dirigeant son pénis dans mon sexe. Je rentre le bas de ma jupe dans ma ceinture pour laisser le regard de "Il" découvrir le spectacle de cette pénétration, je regarde autour de nous, personne; si quelqu'un vient il me suffira d'abaisser ma robe pour çetre décente.Le spectacle doit être fantastique : un pénis bien dur qui pénètre une fente bien humide.
"Il" agite de plus en plus vite sa main sur mon sexe, puis éjacule. A la vue du sperme, qui jaillit du membre viril, Je jouis.
"Il" remet son sexe dans son pantalon, puis se dirige vers nous ; "Il" nous tend mon string, que Bernard prend et met dans sa poche, et nous dit : " Je vous remercie de ce cadeau, mais je ne suis pas fétichiste, et le spectacle de cet après-midi me contente au-delà de toute espérance, je me serais satisfait de beaucoup moins, merci, vous êtes très belle Madame, félicitations Monsieur, à bientôt, peut-être ?" Et il s'en va.
Je dis :
- J'ai joui comme rarement, mais toi tu n'as rien eu et je sens que tu as envie, tu es bien dur. Viens !
Je me lève, la jupe toujours coincée dans la ceinture, prend la main de Bernard et l'entraîne d'un pas ferme, derrière les plantations situées de l'autre coté de l'allée ; Bernard vois mon postérieur tressauter à chacun de mes pas, il ne s'en lasse pas. Nous sommes bien cachés, le long du mur d'enceinte. Je me met à genoux devant lui, défait sa ceinture, baisse son pantalon et son slip, son sexe se dresse et je le caresse, puis le prend dans sa bouche, mais j'ai envie d'être pénétrer, aussi je me relève.
- Je ne peux pas me coucher par terre, je vais être toute sale. Viens me prendre par derrière !"
Aussitôt dit, aussitôt fait, je me met à quatre pattes lui laissant la vue sur mes magnifiques fesses ; Bernard les caresse, passe ma main dans mon sillon, agace mes lèvres et titille mon petit bouton. J' oscille du derrière : Bernard se met à genoux derrière moi et approche sa tige de ma grotte d'amour encore toute mouillée, Bernard la pénètre d'abord doucement puis s'accroche à mes hanches pour bien aller au fond de mon corps ; je répond à ses mouvements et l'excitation étant tellement forte que nous arrivons rapidement au septième ciel. Nous nous relevons et nous embrassons comme de jeunes amants. Je prend un mouchoir dans ma poche et m'essuie l'entrejambe.
- Je remets ma culotte ?.
- Non, ce n'est pas la peine, peut-être allons-nous rencontrer de nouveau notre voyeur ! "
Nous finissons notre visite et retournons vers la voiture ; pendant le trajet de retour, J'incline mon siège et remonte ma robe pour que Bernard puisse profiter de la vue de mes cuisses et de mon bas-ventre. Quand la circulation le permet, ou aux feux tricolores, il en profite pour me caresser, je suis toujours très excitée.
Arrivés à la maison, Bernard rentre la voiture dans le garage et passe dans la buanderie. Il sort mon string pour le mettre dans le panier de linge, un papier tombe ; Bernard le ramasse et le déplie, un numéro de portable est inscrit dessus (06 etc. ) et une signature : le voyeur.
Bernard me le tend et me propose de l'appeler tout de suite pour voir ce qu' "Il" veut. Pendant que je compose le n°, Bernard passe mes mains sous sa robe et me caresse le pubis, je écarte les cuisses pour lui faciliter la tâche, je suis toute humide. La sonnerie retentit.
- " Allô !
- Re-bonjour, nous venons de trouver votre n° de portable sur un papier dissimulé dans une de mes pièces de lingerie
- Ah ! Oui ! Super, votre spectacle m'a beaucoup plu, je me demandais si vous seriez d'accord pour recommencer ?"
Je lance un regard interrogateur à Bernard, il acquiesce d'un signe de tête
- Oui, pourquoi pas ! Nous aussi, nous avons apprécié cet intermède pendant notre visite.
- Qu'etes vous prête à faire ?
- Je ne sais pas, proposez quelque chose.
- De but en blanc, je ne sais pas, je n'ai pas réfléchi, mais je pourrais vous écrire, avez-vous Internet ?
- Oui, bien sur !
- Alors je vous envoie un mail pour vous dire ce dont j'aimerais vous voir faire, vous me répondez si vous êtes d'accord, c'est plus facile que par téléphone.
- OK, voici notre adresse nanou-ber@caramail.com
- Merci beaucoup, à très bientôt.
Je raccroche et demande :
- "Tu serais d'accord ?"
- "On verra bien ce qu'il propose, je ne pense pas que tu veuilles le faire seule, donc je serais à tes côtés."
Mercredi soir, ouverture du courrier électronique : "Il" a écrit ; voici ses désirs :
Rendez-vous sur les bords du Rhône, rive gauche, Quai de ; date et heure à déterminer. Je vous attendrais sous le pont.
A cet endroit, il y a beaucoup de coins tranquilles où les gens viennent bronzer à l'abri des regards. J'aurais réservé un endroit que Bernard connais, pas très grand, mais caché par des arbres. Seuls les canoteurs peuvent voir, mais ils sont peu nombreux.
Vous serez habillée d'un haut et d'une jupe, c'est plus facile à enlever ; vous porterez un string ou rien comme il vous plaira (surprise)
Dès que l'on arrivera dans le chemin qui longe les berges, vous passerez devant moi, vous enlèverez votre culotte, si vous en avez une ; puis, vous dégraferez votre jupe pour la laisser tomber sur vos chevilles ; vous vous baisserez pour la ramasser, sans plier les genoux, comme vous l'avez fait pour lacer vos chaussures dans le parc. Puis vous continuerez à marcher devant moi pour que je puisse me régaler de la vision de vos magnifiques fesses.
Je vous indiquerai où tourner pour arriver dans la petite clairière ; vous irez vous allonger sur l'arbre couché sur lequel j'aurais disposé une serviette pour vous protéger. Vous mettrez une jambe de chaque côté du tronc. De cette manière votre sexe sera bien exposé. D'ailleurs, si vous voulez vous épiler totalement cela sera encore mieux, bien que j'aie beaucoup apprécié votre toison coupée court.
Votre mari, ou amant, enfin l'homme qui vous accompagnait, s'approchera de vous pour que vous lui fassiez une fellation : votre bouche est magnifique quand elle est ouverte sur un sexe turgescent.
En même temps vous vous caresserez, comme il vous plaît (les seins, le clito, avec introduction de doigts etc.)
Quand vous le désirerez vous demanderez à votre compagnon de s'asseoir sur le tronc et vous viendrez vous mettre sur lui face à moi, comme vous l'avez fait dans le parc. Ensuite vous le chevaucherez jusqu'à la jouissance, puis vous mouillerez votre rosette pour que monsieur vienne vous sodomiser, toujours face à moi. Je pense que votre sexe doit être très beau ainsi exposé, alors que votre anus est rempli par un phallus bien dur.
Si vous me faites signe, je viendrai vous caresser les seins, les nymphes, le clito à votre convenance.
Bien que je sois surtout voyeur, si vous le désirez je vous pénétrerai, pendant que votre homme sera toujours fiché dans votre petit trou.
Que pensez-vous de ma proposition ?
J'attends votre réponse avec ou sans modification.
Je demande aux lecteurs de me dire si je dois continuer cette aventure, car je ne suis pas entièrement décidée, jusqu'à présent je ne faisais rien de tel, mais l'idée m'intéresse.
Et maintenant, je deviens de plus en plus exhibitionniste : je m’assois sans baisser mes jupes, si ma culotte est visible, je ne cherche pas à changer de position. En été, je ne porte jamais de pantalon et certaines fois pas de dessous.
Je vous raconterais peut-être mes premières aventures mais pour le moment, je vais vous raconter ma dernière "prestation", qui date du dernier week-end,
La suite dépendra de ce que les lecteurs répondront.
Nous sommes allés à Lyon, pour voir les serres du parc de la Tête d'or. Nous trouvons facilement une place à proximité de l’entrée. J'ouvre le coffre de la voiture et prend une paire de chaussures en toile. Quand je me penche pour attacher mes lacets, sans plier les genoux, ma robe, assez courte, remonte largement sur mes cuisses, et les dévoile à ceux qui veulent regarder. De fait, j’aperçois un homme, assis sur le muret de clôture, qui ne perd pas une miette du spectacle. Quand je me relève, Bernard me prend par la taille et me glisse à l’oreille :
- Ta gymnastique a beaucoup intéressé le gars assis sur le muret
- Tant mieux pour lui, il aura un bon souvenir.
Dans la deuxième serre j'aperçois l'homme qui était assis sur le muret. Je le signale à mon époux, qui me dit :
- C'est peut-être une coïncidence, mais, s'il est encore là dans la prochaine c'est qu'il nous suit ou plutôt qu'il te suit ! "
Dans la suivante, "Il" est encore là ; Bernard me dit :
- Il a du apprécier le spectacle, il espère peut-être que tu as mal attaché tes lacets, comme cela tu seras obligé de te baisser de nouveau."
Je ralentis la marche de façon à n'avoir personne entre l'homme et nous ; heureusement, il n'y a pas beaucoup de visiteurs ; je dis à Bernard :
- Je pourrais lui faciliter la tâche !
- Que veux-tu faire ?
- Si je relève ma robe, il verra bien mieux.
- Pas chiche !
Je regarde derrière nous pour m'assurer que personne d'autre n'est présent; je soulève ma jupe en passant ma main derrière moi et découvre mon postérieur bien révélé par le string qui laisse mes fesses parfaitement libres. Bernard s'approche de moi et caresse mes hanches, et avec son bras, coince ma jupe relevée dans le dos ; Bernard se retourne, "Il" est toujours là. Nous continuons, en faisant attention aux autres visiteurs. Dans une serre chaude, comme l'homme est encore derrière nous ; je dis à Bernard :
- Il ne doit pas être satisfait de cette vision !
- Peut-être attend-il autre chose ?
- Bon, puisque c'est comme ça !
Je décide donc d'aller un peu plus loin dans l'exhibition ; je m'arrête de marcher et attends que nous soyons tous les trois seuls dans la serre. Je me tourne face à "Lui", passe les mains sous ma jupe, les remonte de chaque côté de mes cuisses, glisse mes pouces entre l'élastique et mes hanches et descend ma petite culotte jusqu'aux genoux. Ensuite, je soulève le devant de ma jupe et expose ma toison bien taillée à notre suiveur ; puis, je me penche en avant pour continuer à descendre mon string, lève une jambe après l'autre pour enlever complètement ma culotte, que je dépose sur un muret de protection. "Il" commence à se caresser à travers son pantalon. Il commence à faire très chaud dans cette serre, dans tous les sens du mot.
Je rabats ma jupe et dit à Bernard:
- "Viens ! On va s'asseoir sur un banc, dehors !"
Nous nous dirigeons vers la sortie ; Je jette un coup d'œil derrière, "Il" s'est emparé de mon string et nous suit. Nous nous dirigeons vers le coté des serres, à l'écart des grandes voies goudronnées qui traversent le parc. Dans une petite contre-allée, nous trouvons une place sur un banc, derrière une haie d'arbustes, qui nous protège des regards indiscrets des promeneurs. Je m'assieds et remonte ma jupe sur les cuisses que j'écarte largement ; Bernard passe devant moi, pour vérifier l'effet : si "Il" continue à nous suivre et passe devant moi, "Il" verra tout : mes cuisses découvertes et ma petite fente qui commence à être humide.
De fait, quelques instants après, "Il" passe devant nous ; "Il" ouvre la main et nous montre ma petite culotte. "Il" s'arrête quelques mètres plus loin et s'appuie sur un arbre en face de nous ; puis "Il" recommence à passer sa main sur mon pantalon.
Je pose les deux pieds sur le rebord du banc, dans cette position j'expose directement mon sexe au regard de notre suiveur.
"Il" descend sa braguette et sort son sexe de son pantalon, puis commence à se caresser. Pour ne pas être en reste, Je descend sa main sur mes cuisses, puis à l'intérieur de mes cuisses, puis sur mes lèvres, remonte vers mon clitoris et le titille gentiment ; je redescends vers l'entrée de ma grotte d'amour, mouille un doigt, remonte vers mon bouton d'amour, l'humidifie avec mes sécrétions intimes; ensuite, je le prend entre le pouce et l'index et le caresse de manière plus appuyée. Je dirige mon autre main vers la braguette, du pantalon de Bernard et la tire vers le bas et sort son pénis, avec quelques difficultés car Bernard bande dur. Je me penche vers lui, passe mon bras derrière lui, afin de m'équilibrer et prend son sexe dans ma bouche ; ce qui me fait prendre une position à moitié allongée sur le coté, une jambe reposée à terre, l'autre toujours appuyée sur l'assise du banc ; dans cette attitude, "Il" doit même voir mon petit trou.
"Il" a complètement ouvert mon pantalon et baisse son slip sur les jambes ; "Il" passe sa main de plus en plus vite sur son sexe.
De mon côté, je continue à sucer Bernard et à me caresser ; je m'introduis un doigt dans le sexe, puis deux et entame des va-et-vient réguliers et rapides, je jouis. Mais j'ai besoin d'autre chose, je me relève, me met debout devant Bernard ; je mets mes jambes autour des siennes et viens se positionner face à "Lui" ; je lève le devant de ma jupe et m'assois sur Bernard en dirigeant son pénis dans mon sexe. Je rentre le bas de ma jupe dans ma ceinture pour laisser le regard de "Il" découvrir le spectacle de cette pénétration, je regarde autour de nous, personne; si quelqu'un vient il me suffira d'abaisser ma robe pour çetre décente.Le spectacle doit être fantastique : un pénis bien dur qui pénètre une fente bien humide.
"Il" agite de plus en plus vite sa main sur mon sexe, puis éjacule. A la vue du sperme, qui jaillit du membre viril, Je jouis.
"Il" remet son sexe dans son pantalon, puis se dirige vers nous ; "Il" nous tend mon string, que Bernard prend et met dans sa poche, et nous dit : " Je vous remercie de ce cadeau, mais je ne suis pas fétichiste, et le spectacle de cet après-midi me contente au-delà de toute espérance, je me serais satisfait de beaucoup moins, merci, vous êtes très belle Madame, félicitations Monsieur, à bientôt, peut-être ?" Et il s'en va.
Je dis :
- J'ai joui comme rarement, mais toi tu n'as rien eu et je sens que tu as envie, tu es bien dur. Viens !
Je me lève, la jupe toujours coincée dans la ceinture, prend la main de Bernard et l'entraîne d'un pas ferme, derrière les plantations situées de l'autre coté de l'allée ; Bernard vois mon postérieur tressauter à chacun de mes pas, il ne s'en lasse pas. Nous sommes bien cachés, le long du mur d'enceinte. Je me met à genoux devant lui, défait sa ceinture, baisse son pantalon et son slip, son sexe se dresse et je le caresse, puis le prend dans sa bouche, mais j'ai envie d'être pénétrer, aussi je me relève.
- Je ne peux pas me coucher par terre, je vais être toute sale. Viens me prendre par derrière !"
Aussitôt dit, aussitôt fait, je me met à quatre pattes lui laissant la vue sur mes magnifiques fesses ; Bernard les caresse, passe ma main dans mon sillon, agace mes lèvres et titille mon petit bouton. J' oscille du derrière : Bernard se met à genoux derrière moi et approche sa tige de ma grotte d'amour encore toute mouillée, Bernard la pénètre d'abord doucement puis s'accroche à mes hanches pour bien aller au fond de mon corps ; je répond à ses mouvements et l'excitation étant tellement forte que nous arrivons rapidement au septième ciel. Nous nous relevons et nous embrassons comme de jeunes amants. Je prend un mouchoir dans ma poche et m'essuie l'entrejambe.
- Je remets ma culotte ?.
- Non, ce n'est pas la peine, peut-être allons-nous rencontrer de nouveau notre voyeur ! "
Nous finissons notre visite et retournons vers la voiture ; pendant le trajet de retour, J'incline mon siège et remonte ma robe pour que Bernard puisse profiter de la vue de mes cuisses et de mon bas-ventre. Quand la circulation le permet, ou aux feux tricolores, il en profite pour me caresser, je suis toujours très excitée.
Arrivés à la maison, Bernard rentre la voiture dans le garage et passe dans la buanderie. Il sort mon string pour le mettre dans le panier de linge, un papier tombe ; Bernard le ramasse et le déplie, un numéro de portable est inscrit dessus (06 etc. ) et une signature : le voyeur.
Bernard me le tend et me propose de l'appeler tout de suite pour voir ce qu' "Il" veut. Pendant que je compose le n°, Bernard passe mes mains sous sa robe et me caresse le pubis, je écarte les cuisses pour lui faciliter la tâche, je suis toute humide. La sonnerie retentit.
- " Allô !
- Re-bonjour, nous venons de trouver votre n° de portable sur un papier dissimulé dans une de mes pièces de lingerie
- Ah ! Oui ! Super, votre spectacle m'a beaucoup plu, je me demandais si vous seriez d'accord pour recommencer ?"
Je lance un regard interrogateur à Bernard, il acquiesce d'un signe de tête
- Oui, pourquoi pas ! Nous aussi, nous avons apprécié cet intermède pendant notre visite.
- Qu'etes vous prête à faire ?
- Je ne sais pas, proposez quelque chose.
- De but en blanc, je ne sais pas, je n'ai pas réfléchi, mais je pourrais vous écrire, avez-vous Internet ?
- Oui, bien sur !
- Alors je vous envoie un mail pour vous dire ce dont j'aimerais vous voir faire, vous me répondez si vous êtes d'accord, c'est plus facile que par téléphone.
- OK, voici notre adresse nanou-ber@caramail.com
- Merci beaucoup, à très bientôt.
Je raccroche et demande :
- "Tu serais d'accord ?"
- "On verra bien ce qu'il propose, je ne pense pas que tu veuilles le faire seule, donc je serais à tes côtés."
Mercredi soir, ouverture du courrier électronique : "Il" a écrit ; voici ses désirs :
Rendez-vous sur les bords du Rhône, rive gauche, Quai de ; date et heure à déterminer. Je vous attendrais sous le pont.
A cet endroit, il y a beaucoup de coins tranquilles où les gens viennent bronzer à l'abri des regards. J'aurais réservé un endroit que Bernard connais, pas très grand, mais caché par des arbres. Seuls les canoteurs peuvent voir, mais ils sont peu nombreux.
Vous serez habillée d'un haut et d'une jupe, c'est plus facile à enlever ; vous porterez un string ou rien comme il vous plaira (surprise)
Dès que l'on arrivera dans le chemin qui longe les berges, vous passerez devant moi, vous enlèverez votre culotte, si vous en avez une ; puis, vous dégraferez votre jupe pour la laisser tomber sur vos chevilles ; vous vous baisserez pour la ramasser, sans plier les genoux, comme vous l'avez fait pour lacer vos chaussures dans le parc. Puis vous continuerez à marcher devant moi pour que je puisse me régaler de la vision de vos magnifiques fesses.
Je vous indiquerai où tourner pour arriver dans la petite clairière ; vous irez vous allonger sur l'arbre couché sur lequel j'aurais disposé une serviette pour vous protéger. Vous mettrez une jambe de chaque côté du tronc. De cette manière votre sexe sera bien exposé. D'ailleurs, si vous voulez vous épiler totalement cela sera encore mieux, bien que j'aie beaucoup apprécié votre toison coupée court.
Votre mari, ou amant, enfin l'homme qui vous accompagnait, s'approchera de vous pour que vous lui fassiez une fellation : votre bouche est magnifique quand elle est ouverte sur un sexe turgescent.
En même temps vous vous caresserez, comme il vous plaît (les seins, le clito, avec introduction de doigts etc.)
Quand vous le désirerez vous demanderez à votre compagnon de s'asseoir sur le tronc et vous viendrez vous mettre sur lui face à moi, comme vous l'avez fait dans le parc. Ensuite vous le chevaucherez jusqu'à la jouissance, puis vous mouillerez votre rosette pour que monsieur vienne vous sodomiser, toujours face à moi. Je pense que votre sexe doit être très beau ainsi exposé, alors que votre anus est rempli par un phallus bien dur.
Si vous me faites signe, je viendrai vous caresser les seins, les nymphes, le clito à votre convenance.
Bien que je sois surtout voyeur, si vous le désirez je vous pénétrerai, pendant que votre homme sera toujours fiché dans votre petit trou.
Que pensez-vous de ma proposition ?
J'attends votre réponse avec ou sans modification.
Je demande aux lecteurs de me dire si je dois continuer cette aventure, car je ne suis pas entièrement décidée, jusqu'à présent je ne faisais rien de tel, mais l'idée m'intéresse.
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