Promenade avec Corinne
Récit érotique écrit par Hypnotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2015 dans la catégorie En solitaire
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Promenade avec Corinne
Sous la couette, ses lèvres sur mon gland, elle accélérait ses vas-et-viens. Me fixant de ses yeux verts, sa chevelure brune sur mon ventre, mon excitation augmentait encore. Malaxant mes boules d’une main, elle tenait ma queue dans l’autre et l’agitait fougueusement dans sa bouche. Ma verge était raide, Corinne ne semblait plus vouloir s’arrêter. Elle enfilait mon sexe dans sa bouche tel un fil dans un chas, à la fois précision, expérience et hardiesse se mêlaient à mon plaisir. Des contractions violentes envahirent mon entre-jambe pour arroser la bouche de cette femme de plus de 20 ans mon ainée.
Une sensation humide au niveau de mon entre-jambe me fit ouvrir les yeux, il n’y avait personne sous ma couette et mon caleçon était trempé de sperme. J’étais dans mon lit, seul, le lever de soleil commençait à traverser les volets, l’ardeur d’une éjaculation nocturne venait de me parcourir le corps.
Dans la salle de bain, je me débarrassai de mon caleçon, hourdé de fluide, et entrai sous la douche. L’eau ruisselait sur mon corps. Corinne envahit une fois de plus mes pensées. Comment pouvait-t-elle réussir à occuper mon esprit de la sorte ? Etait-ce le fait que je trouvais une femme mûre plus désirable, plus difficile à cerner, plus compliqué à séduire que les filles de mon âge ? Elle n’en demeurait pas moins bien plus intéressante, captivante et fascinante à fréquenter.
Au moment de savonner mon entre-cuisse encore souillé, la porte de la salle de bain s’entrebâilla, Corinne entra ! Ma bouche s’ouvrit mais aucun son ne put en sortir. Elle était en nuisette, sa poitrine colossale débordait et ses fesses apparaissaient. A mon plus grand désespoir, mon sexe se mit une fois de plus à gonfler, et la vitre de la douche n’était pas opaque…
Sans aucune gêne et droit dans les yeux, elle s’excusa d’être entrée sans frapper. Ses yeux descendirent néanmoins sur mon torse puis sur mon ventre et atterrirent sur mon sexe en érection. Elle lâcha un fou rire puis quitta la salle de bain. Rien de plus embarrassant pour moi que de voir une femme regarder mon sexe et s’esclaffer ensuite. Mon érection n’en fut que plus forte… Aimais-je l’humiliation ?
« Je te fais de l’effet on dirait ! »
Cette phrase, surement loin d’être anodine, fit virer ma peau d’une couleur tomate. Elle prenait souvent un malin plaisir à attiser la flamme des hommes, me disait-elle et je ne devais en aucun cas être gêné par mon agréable raideur. Cela ne fit pas disparaitre mon embarras vis-à-vis d’elle. Assise dans le canapé du salon, un léger peignoir la recouvrait désormais, ses jambes croisées laissaient paraitre tout de même ses cuisses bien fuselées attirant mes coups d’oeil.
Cette allumeuse en faisait-elle exprès ?
Après une discussion banale mais qui fut fort captivante, elle m’avisa ensuite de vouloir aller à la plage, j’en était ravi et acquiesça avec joie en lui faisant part de mon envie d’aller bronzer moi aussi. Mon visage se décomposa au moment où, d’un rire méprisant, elle me signifia qu’elle n’irait jamais à la plage avec moi et que je devais faire ça avec des filles de mon âge. Il est vrai que si je voulait aller profiter de la plage avec elle, cela n’avait rien de purement amical, c’était bien sur pour déambuler et bronzer sur le sable avec elle, en maillot de bain…
L’avait-elle ressenti, où ne voulait-elle tout simplement pas de moi dans ses pattes ?
Je ne pu que la suivre dans l’escalier pour monter à l’étage où j’allai rejoindre ma chambre et elle la sienne pour se préparer à partir dorer au soleil. L’ascension de cette escalier fut néanmoins pour moi un petit lot de consolation grâce à la vision onirique du fessier qu’elle m’offrait. Elle montait l’escalier avec grâce, ses jambes interminables étaient musclées, attisant ma convoitise et mon attrait envers elle.
Parvenu dans ma chambre, allongé sur mon lit, ma main était en train de descendre dans mon boxer juste après avoir déboutonnée mon jeans. Elle allait commencé sa besogne devenue régulière lorsque mon autre main me pinça le tétons, chose que je n’avais jamais éprouvé mais qui se révéla très émoustillant. La main au plus proche de mon intimité commençait à remuer lorsque quelque-un frappa à ma porte. Je réajustai mes vêtements le plus vite possible et ouvrit la porte. Corinne se tenait sur le seuil, bien sur, il n’y avait qu’elle dans la maison. Elle avait revêtu un short ainsi qu’un débardeur laissant apparaitre son haut de bikini noir. Elle m’avait coupé dans mon plaisir personnel et solitaire simplement pour me dire qu’elle filait à la plage. Désabusé, je la laissai partir de la maison toute seule et allai l’observer depuis ma fenêtre de chambre. Son short la moulait majestueusement.
Je n’avais quand même pas envie de la suivre, non ?
Le dilemme fut grand, mais je ne mis pas longtemps à céder à ma pulsion de filature et me mis en route vers la plage. Corinne avait pris de l’avance mais une route pour rejoindre la plage traversait les résidences de la station balnéaire où je vivait et je savais que Corinne l’emprunterait pour son charme. Je ne mis en effet pas longtemps à la trouver. Elle arpentait la route, chacune de ses fesses bougeant dans un sens puis dans l’autre, certains hommes n’hésitaient pas à la regarder, elle se fit même siffler, elle répondit alors par un beau doigt d’honneur. Quelle charme fou !
Soudain, changeant inopinément de route, elle, et moi suivant derrière, nous retrouvâmes sur le chemin des « dunes de Franceville », endroit parfait pour bronzer tranquillement mais connu pour être fréquenté par des voyeurs assez répugnant. Elle ne devait pas connaitre la réputation de ces dunes.
Néanmoins, n’étais-je pas en train de devenir un de ces pervers répugnant ?
Assis en tailleur au milieu des hautes-herbes, je distinguais Corinne qui s’installait dans une petite fosse, elle était en maillot de bain, elle ne pouvait me voir, mais j’avais une vue imprenable sur les formes rebondis de ses fesses et ses seins généreux m’en mettaient plein la vue. Son corps ne pouvait enfin plus m’échapper, la contempler ne durait plus quelques secondes, le temps d’une traversée de couloir ou d’une entrée furtive dans la salle de bain, cette fois je la possédais ! Son maillot de bain par terre, ses fesses et ses seins à l’air, son intimité dévoilée, je m’aperçu qu’elle avait tout enlevé ! Elle était complètement nu ! Mon sexe s’en aperçu aussi et gonfla à la vitesse de l’éclair, j’avais envie de me faire du bien ! Corinne était à présent allongée sur le ventre, je fixais son fessier qui dévoilait une partie de ses délicieuses lèvres. Ma queue était dans ma mains, mes yeux se fermèrent et, d’inspiration onirique, je descendis rejoindre Corinne. Parcourant son corps en l’effleurant, elle souriait, je m’arrêtai au niveau de ses cuisses en continuant à la chatouiller, elle savourait, je titillai son sexe imberbe en commençant à gigoter mon doigt, elle gémissait, je fis pénétrer un doigt en continuant de la caresser, je la désirais.
Je ne pouvais plus m’arrêter, je la voulais !
Un rire masculin assez lointain mit fin à mon fantasme érotique. En effet, un homme se tenait accroupi et avait la bite à la main. Je ne pus laisser échapper un juron, qu’il, me semblait-il, avait entendu. Brusquement et silencieusement, je m’étendis par terre pour me cacher, mon short aussi était à mes chevilles et mon sexe était à l’air libre. Quelle honte si ce type me voyait dans cet accoutrement ! Ma queue bandait toujours autant si ce n’est plus. Je tentai un regard vers la position de l’homme, il n’y avait personne, ouf, il avait du déguerpir à l’idée de partager la vue de notre bout de viande.
« Elle t’excite aussi on dirait ! »
Dans un sursaut, je me tournai vers l’homme qui avait dit ça, c’était l’homme de tout à l’heure ! Il m’avait contourné pour arriver derrière moi. Sa bite sortait de son short, elle n’était ni grosse ni petite mais d’une taille raisonnable et d’une dureté exceptionnel me semblait-il. Ce mec d’une cinquantaine d’années, plutôt beau gars, devait être sacrément excité à la vue de Corinne. Je me surpris à contempler avec envie sa verge quand…
« Tu veux y gouter ? »
L’objet de notre convoitise ne devait surement rien entendre de notre raffut, elle bronzait en effet paisiblement toujours sur le ventre. Quant à la question de ce type, une avalanche d’arguments en faveur de son interrogation inonda mon cerveau mais un fragile « non » s’extirpa de ma bouche. Déçu, il repris sa besogne tout seul en regardant Corinne, je fis de même et la présence de cet homme ne me gênait en aucun cas.
Quelques dizaines de minutes s’était écoulées et j’étais au bord de l’explosion, quand soudainement, Corinne se retourna sur le dos, mon acolyte et moi pouvions désormais voir clairement son intimité, néanmoins, étant en droite ligne de son champ de vision, elle pouvait nous apercevoir, aussi, un maximum de discrétion s’imposait pour nous. La chaleur faisant légèrement transpirer Corinne, son corps étincelait et une nouvelle illusion s’empara de mon esprit. Corinne ouvrit les yeux, je me relevait des hautes herbes, elle titillait ses tétons, je secouais violemment mon sexe, elle explorait les recoins de son corps, je me pétrissais les boules, elle gémissait, me fit un signe pour venir la rejoindre et je reçu une gerbe de sperme sur ma queue et ma main, cette dernière glissait beaucoup mieux et le plaisir n’en fut que meilleur. Je venais de recevoir du foutre sur mon sexe ! J’ouvris les yeux et l’homme se trouvait à genoux en train de nettoyer sa bite, il me demandais si j’avais aimé ! Bien sur que j’avais aimé mais seul un nouveau juron sorti de ma bouche. Craintif, l’homme se rhabilla et décampa. Mon injure lui avait fait tant peur que ça ? Mon plaisir était néanmoins à son maximum, des vagues de plaisir parcouraient mon corps, les masturbations de longue durée restaient les meilleurs. Me tournant donc pour retrouver mon amante illusoire, je faisais glisser ma mains sur mon sexe enduit de fluide d’un inconnu, le désir montait en flèche. Cherchant à satisfaire ma vision, je constatai que seule une serviette et des vêtements restaient dans la petite fosse où se trouvait 30 secondes plus tôt Corinne !!
Où était-elle ?
« Tu t’amuses bien petit malin ?! »
Une sensation humide au niveau de mon entre-jambe me fit ouvrir les yeux, il n’y avait personne sous ma couette et mon caleçon était trempé de sperme. J’étais dans mon lit, seul, le lever de soleil commençait à traverser les volets, l’ardeur d’une éjaculation nocturne venait de me parcourir le corps.
Dans la salle de bain, je me débarrassai de mon caleçon, hourdé de fluide, et entrai sous la douche. L’eau ruisselait sur mon corps. Corinne envahit une fois de plus mes pensées. Comment pouvait-t-elle réussir à occuper mon esprit de la sorte ? Etait-ce le fait que je trouvais une femme mûre plus désirable, plus difficile à cerner, plus compliqué à séduire que les filles de mon âge ? Elle n’en demeurait pas moins bien plus intéressante, captivante et fascinante à fréquenter.
Au moment de savonner mon entre-cuisse encore souillé, la porte de la salle de bain s’entrebâilla, Corinne entra ! Ma bouche s’ouvrit mais aucun son ne put en sortir. Elle était en nuisette, sa poitrine colossale débordait et ses fesses apparaissaient. A mon plus grand désespoir, mon sexe se mit une fois de plus à gonfler, et la vitre de la douche n’était pas opaque…
Sans aucune gêne et droit dans les yeux, elle s’excusa d’être entrée sans frapper. Ses yeux descendirent néanmoins sur mon torse puis sur mon ventre et atterrirent sur mon sexe en érection. Elle lâcha un fou rire puis quitta la salle de bain. Rien de plus embarrassant pour moi que de voir une femme regarder mon sexe et s’esclaffer ensuite. Mon érection n’en fut que plus forte… Aimais-je l’humiliation ?
« Je te fais de l’effet on dirait ! »
Cette phrase, surement loin d’être anodine, fit virer ma peau d’une couleur tomate. Elle prenait souvent un malin plaisir à attiser la flamme des hommes, me disait-elle et je ne devais en aucun cas être gêné par mon agréable raideur. Cela ne fit pas disparaitre mon embarras vis-à-vis d’elle. Assise dans le canapé du salon, un léger peignoir la recouvrait désormais, ses jambes croisées laissaient paraitre tout de même ses cuisses bien fuselées attirant mes coups d’oeil.
Cette allumeuse en faisait-elle exprès ?
Après une discussion banale mais qui fut fort captivante, elle m’avisa ensuite de vouloir aller à la plage, j’en était ravi et acquiesça avec joie en lui faisant part de mon envie d’aller bronzer moi aussi. Mon visage se décomposa au moment où, d’un rire méprisant, elle me signifia qu’elle n’irait jamais à la plage avec moi et que je devais faire ça avec des filles de mon âge. Il est vrai que si je voulait aller profiter de la plage avec elle, cela n’avait rien de purement amical, c’était bien sur pour déambuler et bronzer sur le sable avec elle, en maillot de bain…
L’avait-elle ressenti, où ne voulait-elle tout simplement pas de moi dans ses pattes ?
Je ne pu que la suivre dans l’escalier pour monter à l’étage où j’allai rejoindre ma chambre et elle la sienne pour se préparer à partir dorer au soleil. L’ascension de cette escalier fut néanmoins pour moi un petit lot de consolation grâce à la vision onirique du fessier qu’elle m’offrait. Elle montait l’escalier avec grâce, ses jambes interminables étaient musclées, attisant ma convoitise et mon attrait envers elle.
Parvenu dans ma chambre, allongé sur mon lit, ma main était en train de descendre dans mon boxer juste après avoir déboutonnée mon jeans. Elle allait commencé sa besogne devenue régulière lorsque mon autre main me pinça le tétons, chose que je n’avais jamais éprouvé mais qui se révéla très émoustillant. La main au plus proche de mon intimité commençait à remuer lorsque quelque-un frappa à ma porte. Je réajustai mes vêtements le plus vite possible et ouvrit la porte. Corinne se tenait sur le seuil, bien sur, il n’y avait qu’elle dans la maison. Elle avait revêtu un short ainsi qu’un débardeur laissant apparaitre son haut de bikini noir. Elle m’avait coupé dans mon plaisir personnel et solitaire simplement pour me dire qu’elle filait à la plage. Désabusé, je la laissai partir de la maison toute seule et allai l’observer depuis ma fenêtre de chambre. Son short la moulait majestueusement.
Je n’avais quand même pas envie de la suivre, non ?
Le dilemme fut grand, mais je ne mis pas longtemps à céder à ma pulsion de filature et me mis en route vers la plage. Corinne avait pris de l’avance mais une route pour rejoindre la plage traversait les résidences de la station balnéaire où je vivait et je savais que Corinne l’emprunterait pour son charme. Je ne mis en effet pas longtemps à la trouver. Elle arpentait la route, chacune de ses fesses bougeant dans un sens puis dans l’autre, certains hommes n’hésitaient pas à la regarder, elle se fit même siffler, elle répondit alors par un beau doigt d’honneur. Quelle charme fou !
Soudain, changeant inopinément de route, elle, et moi suivant derrière, nous retrouvâmes sur le chemin des « dunes de Franceville », endroit parfait pour bronzer tranquillement mais connu pour être fréquenté par des voyeurs assez répugnant. Elle ne devait pas connaitre la réputation de ces dunes.
Néanmoins, n’étais-je pas en train de devenir un de ces pervers répugnant ?
Assis en tailleur au milieu des hautes-herbes, je distinguais Corinne qui s’installait dans une petite fosse, elle était en maillot de bain, elle ne pouvait me voir, mais j’avais une vue imprenable sur les formes rebondis de ses fesses et ses seins généreux m’en mettaient plein la vue. Son corps ne pouvait enfin plus m’échapper, la contempler ne durait plus quelques secondes, le temps d’une traversée de couloir ou d’une entrée furtive dans la salle de bain, cette fois je la possédais ! Son maillot de bain par terre, ses fesses et ses seins à l’air, son intimité dévoilée, je m’aperçu qu’elle avait tout enlevé ! Elle était complètement nu ! Mon sexe s’en aperçu aussi et gonfla à la vitesse de l’éclair, j’avais envie de me faire du bien ! Corinne était à présent allongée sur le ventre, je fixais son fessier qui dévoilait une partie de ses délicieuses lèvres. Ma queue était dans ma mains, mes yeux se fermèrent et, d’inspiration onirique, je descendis rejoindre Corinne. Parcourant son corps en l’effleurant, elle souriait, je m’arrêtai au niveau de ses cuisses en continuant à la chatouiller, elle savourait, je titillai son sexe imberbe en commençant à gigoter mon doigt, elle gémissait, je fis pénétrer un doigt en continuant de la caresser, je la désirais.
Je ne pouvais plus m’arrêter, je la voulais !
Un rire masculin assez lointain mit fin à mon fantasme érotique. En effet, un homme se tenait accroupi et avait la bite à la main. Je ne pus laisser échapper un juron, qu’il, me semblait-il, avait entendu. Brusquement et silencieusement, je m’étendis par terre pour me cacher, mon short aussi était à mes chevilles et mon sexe était à l’air libre. Quelle honte si ce type me voyait dans cet accoutrement ! Ma queue bandait toujours autant si ce n’est plus. Je tentai un regard vers la position de l’homme, il n’y avait personne, ouf, il avait du déguerpir à l’idée de partager la vue de notre bout de viande.
« Elle t’excite aussi on dirait ! »
Dans un sursaut, je me tournai vers l’homme qui avait dit ça, c’était l’homme de tout à l’heure ! Il m’avait contourné pour arriver derrière moi. Sa bite sortait de son short, elle n’était ni grosse ni petite mais d’une taille raisonnable et d’une dureté exceptionnel me semblait-il. Ce mec d’une cinquantaine d’années, plutôt beau gars, devait être sacrément excité à la vue de Corinne. Je me surpris à contempler avec envie sa verge quand…
« Tu veux y gouter ? »
L’objet de notre convoitise ne devait surement rien entendre de notre raffut, elle bronzait en effet paisiblement toujours sur le ventre. Quant à la question de ce type, une avalanche d’arguments en faveur de son interrogation inonda mon cerveau mais un fragile « non » s’extirpa de ma bouche. Déçu, il repris sa besogne tout seul en regardant Corinne, je fis de même et la présence de cet homme ne me gênait en aucun cas.
Quelques dizaines de minutes s’était écoulées et j’étais au bord de l’explosion, quand soudainement, Corinne se retourna sur le dos, mon acolyte et moi pouvions désormais voir clairement son intimité, néanmoins, étant en droite ligne de son champ de vision, elle pouvait nous apercevoir, aussi, un maximum de discrétion s’imposait pour nous. La chaleur faisant légèrement transpirer Corinne, son corps étincelait et une nouvelle illusion s’empara de mon esprit. Corinne ouvrit les yeux, je me relevait des hautes herbes, elle titillait ses tétons, je secouais violemment mon sexe, elle explorait les recoins de son corps, je me pétrissais les boules, elle gémissait, me fit un signe pour venir la rejoindre et je reçu une gerbe de sperme sur ma queue et ma main, cette dernière glissait beaucoup mieux et le plaisir n’en fut que meilleur. Je venais de recevoir du foutre sur mon sexe ! J’ouvris les yeux et l’homme se trouvait à genoux en train de nettoyer sa bite, il me demandais si j’avais aimé ! Bien sur que j’avais aimé mais seul un nouveau juron sorti de ma bouche. Craintif, l’homme se rhabilla et décampa. Mon injure lui avait fait tant peur que ça ? Mon plaisir était néanmoins à son maximum, des vagues de plaisir parcouraient mon corps, les masturbations de longue durée restaient les meilleurs. Me tournant donc pour retrouver mon amante illusoire, je faisais glisser ma mains sur mon sexe enduit de fluide d’un inconnu, le désir montait en flèche. Cherchant à satisfaire ma vision, je constatai que seule une serviette et des vêtements restaient dans la petite fosse où se trouvait 30 secondes plus tôt Corinne !!
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Faut pas nous laisser sur notre faim, comme çà!
La suite, beaucoup plus sensuelle, bientôt publiée !!