Promenade en forêt - histoire érotique

Nous sommes en pleine période d’été et il fait très chaud depuis quelques jours. Mon maitre et moi nous sommes donnés RDV en fin de journée dans un bois très fréquentés. Malgré l’heure tardive la température est encore très élevée. Je ne porte qu’une simple jupe blanche courte et un débardeur légèrement transparent que je ne porte habituellement jamais pour sortir. On commence a marcher tout en parlant de choses et d’autres. On s’éloigne doucement des sentiers très fréquentés pour se retrouver dans un endroit très isolé ou nous sommes a priori seuls. Enfin à l’abri des regards on s’embrasse tendrement quelques minutes pendant lesquelles mon maitre laisse ses mains glisser sous ma jupe, il passe sous mon string en dentelle pour caresser ma chatte complètement en manque de son corps. Il fait sortir mes seins de mon débardeur sous lequel je ne porte rien, plus il me touche et plus mon désir augmente, il m’en faut peu j’ai envie depuis des jours. Voyant mon excitation il s’arrête détache son pantalon, libère sa bite gonflée de désir et m’ordonne de le sucer. Je m’installe à genoux sur le sol peu agréable et commence à le sucer doucement pour savourer cette sensation que j’aime tant. Doucement elle va et vient dans ma bouche, je sors joue avec ses boules, le branle doucement et la remet dans ma bouche, impatient il me dit d’aller plus vite et je m’exécute. Parfois il me force pour atteindre le rythme qu’il souhaite et pour prouver que c’es lui qui décide. Après un petit moment il finir par jouir et remplir ma bouche. J’avale sans y penser et nettoie les gouttes qui restent.
Il m’ordonne de me relever et je m’assoie prés de lui. Enlève ton string et caresses toi à coté de moi. Je déteste cette idée mais je m’exécute malgré tout. Au loin le tonnerre gronde et un léger vent c’est levé. Je commence donc à caresser ma chatte trempée de désir et d’impatience. Il me précise que je n’ai pas le droit de jouir. Je triche un peu dans mes caresses car je sais que je suis au bord de l’orgasme. Je constate que son plaisir revient et fini par lui demander de me prendre. Il me regarde et m’ordonne de me lever dos à lui, pensant avoir gagnée je m’exécute vite et je reçois une énorme gifle sur les fesses. Je sursaute et cri légèrement il me force à me rassoir et me rappelle que c’est lui qui décide. Je suis furieuse.
Il se relève, se rhabille et me lance : Puisque tu n’as pas l’air satisfaite tu n’auras rien ! La prochaine fois tu sauras te taire !
Fortement contrariée je me lève et lui emboite le pas.
On retourne sur un chemin plus fréquenté et reprend notre marche. Il y a encore pas mal de monde. On prend un nouveau chemin isolé et on se retrouve vite seuls. Il m’ordonne de me mettre à genoux déboutonne son pantalon et réclame une nouvelle fellation. Je m’applique espérant pouvoir être satisfaite. Après 5 bonnes minutes de son propre plaisir il m’attrape par les cheveux me force à la regarder et me dit :« Qui est le maitre ? Toi..
Qui décide de ton plaisir ? ToiDemandes moi de te prendre et peut être que j’accepterai.
S’il te plait maitre pardonne mon comportement et prends moi fort, j’ai envie de sentir ta bite me défoncer la chatte je t’en supplie prends moi ! » je hurle presque tellement j’ai envie de cette bite qu’il claque désormais sur mon visage.
Il m’ordonne de me lever, une vieille table de ping-pong se trouve la. Il me retourne, me penche en avant et me prend la chatte sans ménagement. Ses coups de reins sont tellement violents que je n’arrive pas à contenir mes cris de plaisir. Il lâche mes hanches pour saisir mes seins qu’il malaxe et pincent avec force. Il commence alors à pleuvoir. Il sort de moi me retourne, m’ordonne de monter sur la table et là pour mon plus grand plaisir m’offre un cuni parfait. Je cris un peu fort alors il me pince la jambe pour me faire taire, impossible c’est trop bon… je jouis aussi bas que possible et me relève. Mon regard est attiré par un bruit autre que la pluie et je constate que quelqu’un nous observe. Je ne vois pas grand-chose mais je suis sur que nous ne sommes pas seuls. Mon maitre se moque de ce que je lui dit il me fais descendre et me prend à nouveau sauvagement. Je continue a fixer cet endroit ou je suis sur d’avoir vu quelqu’un. La position étant peu confortable il s’allonge sur l’herbe humide je m’emboite sur lui et commence à lui faire l’amour. La pluie tombe encore plus fort nous sommes trempés mais je ne peux pas m’arrêter. Il passe sur moi relève mes jambes et redouble d’intensité. Une fois encore je tente de retenir mes cris mais je fini par jouir en même temps que lui me rempli la chatte dans un jet interminable.
Je lui dit que je suis sur qu’on nous a observer. « Tant que c’est moi qui te prend je m’en tape ».
Une fois relevé je constate avec horreur que mes vêtements sont entièrement transparents, mon débardeur est pire que tout car on voir désormais clairement que je n’ai pas de soutient gorge.
Lui me pousse a reprendre un chemin ou beaucoup de monde passe, la pluie a fait fuir le monde, rares sont ceux qui nous croise mais ceux là ne se prive pas . Me voir ainsi mal à l’aise l’amuse beaucoup. Moi nettement moins.