Promenade en forêt - histoire érotique

Il m'a emmené en voiture dans un petit bois à quelques kilomètres de là où nous avions passé la nuit.
Alors que nous arrivions dans le bois, j'ai aperçu une petite table de bois. Dessus se trouvaient des tissus noirs que je n'identifiais pas ainsi que deux boîtes et une feuille dont je ne pus rien lire.

-Tu vas bien t'amuser et accomplir un de tes fantasmes, me sussura-t-il.
Je sentis mon ventre fourmiller d'excitation et de stress.
Il m'embrassa et me caressa longuement, retirant toute crainte. Il releva doucement ma jupe et la malaxa les fesses. C'était si bon. J'ouvris les yeux entre deux langoureux baisers et me crispa en voyant une caméra accrochée sur un arbre.
Je lui en fis part et il sourit malicieusement.
- Aies confiance et profite. Au besoin, fais-le-moi savoir avec notre formule habituelle.
Il me connaît bien. Me voilà rassurée. Je continue de l'embrasser, me détournant toutefois de la caméra.
Je sentais son souffle s'accélérer et ses caresses plus pressantes. Il se baissa, finit de remonter ma jupe et me suca intensément. Quel pied ! J'oubliais tout, me laissant aller à ses caresses buccales.
Il se stoppa alors que mon plaisir naissait à peine. Il me dit : "je crois que tu es prête." Il sortit de sa poche arrière un loup noir qu'il me mit. Puis, il me fit pivoter, me mit à quatre pattes sur le sol recouvert de mousse et de feuilles d'automne et me lia les mains. Je me sentais vulnérable. Le cul en l'air dans cette forêt.
Il me dit une série de mots doux, ceux qui me rassurent, me caresse et m'explique.
- Des hommes vont venir et te prendre. Tu ne les verras pas. Ils seront masqués et filmés. Protégés aussi. N'aie pas d'inquiétudes, ils sont là pour que tu leur donnes du plaisir et pour que nous en prenions. Amuse-toi bien ma belle. J'ai programmé une séance d'heure seulement pour voir comment tu réagis et eux aussi.

Sur ces mots, il me caresse de partout, passe ses mains sur mon cul et mon entrejambe, laisse pénétrer ses doigts sans difficulté et s'éloigne en disant : "sois une bonne boîte à bites ma chérie", reprenant les mots de mon carnet intime.

J'entends ses pas s'éloigner et déjà un craquement derrière moi. Que se passe-t-il? y a-t-il quelqu'un ? Je sens ma cyprine couler entre mes jambes et soudain une main rugueuse la toucher. Je frissonne. Je reçois une claque sur le fessier et sens une queue qui me caresse, étalant ma mouille sur ma chatte et mon cul. Après deux allers retours, la voilà déjà en train de me pénétrer la chatte. Je suis toute contractée et ça a l'air de lui plaire. Il m'attrape les hanches et me pillone aussi profondément qu'il peut. Le salaud. Il y allait rudement pour une première. Je me détends. Me rappelant que c'est ce que je voulais et ce que j'aime. Je l'accompagne de va-et-viens de bassins et il m'insulte.
Il me martele et je jouis. La contraction de ma chatte libère sa jouissance et je le sens jouir en moi.
- Merci sale petit pute, dit-il en partant.
Il n'a pas fini sa phrase que l'on me pelote les seins. Il vient d'où celui là? Jouissant et concentrée sur cette queue nouvelle dans ma chatte, je ne l'ai pas entendu venir.

Ma cyprine coule de ma chatte, je sers un peu les jambes comme pour l'essuyer et je reçois une claque sur les fesses.
- Laisse ça petite garce.
La voix est plus jeune et plus froide aussi.
Les doigts qui me parcourt la chatte sont plus doux au toucher mais plus rude en se déplaçant. Ils me bourrent la chatte avant d'étaler ma cyprine sur mon anus. Plusieurs fois. Je le vois venir et me raidis.
- Et oui petite pute, je vais te baiser le cul.
Je me crispe un peu sur mes genoux endoloris par la position.
Il présente sa bite sur mon trou. Et entre sans hésitation. Il fait son passage en prodiguant de forts va-et-vient qui me font mal autant qu'il me plaise. Sa queue est longue et fine. J'ai parfois le sentiment qu'il ne pourra aller jusqu'à la garde. Mais si. Je sens ses couilles contre mon cul et le voilà qui me ramone sans me laisser respirer. C'est si bon. Mon cul l'accompagne de va-et-vient. Il me claque les fesses et je jouis de ce nouveau sexe en moi. Oubliant que je ne suis qu'un trou à baiser dans ce petit bois. C'est tellement bon ces orgasmes rapprochés.
J'aimerais une pause mais pas mon partenaire. Il a décidé de bien profiter de mon cul. Il continue et semble sentir que je me déconcentre après avoir joui. Il me masse le clitoris en même temps qu'il me laboure.
- Je n'en ai pas fini avec ton beau petit cul.
Il sort de mon trou. Il me penche davantage en avant, me faisant bien lever le cul et il entre et sort plusieurs fois dans mon cul en me caressait le clitoris. Je n'en peux plus, c'est merveilleux. Il continue.
- Une boîte à bites ne doit pas sortir du bois sans difficulté pour marcher, ajoute-il.
Sur ces mots, il s'abat de tout son poids sur mon dos. J'ai l'impression que sa bite me transperce. Il le sait et poursuit. J'halete et il me baise encore et encore. Je jouis à nouveau. Une fois ? Deux ? Je ne sais plus.
Je l'entends respirer plus fort. Il va jouir dans mon cul. Ah ! Quelle joie !
Il jouit. Je ne sais plus qui je suis.
- Ton mari peut être fière de toi. Tu encaisses bien. Dit-il avant de me lécher le cul et de partir.

Je suis épuisée. J'ai mal aux genoux, aux épaules, au cul. Je me laisse tomber sur le sol entre conscience et inconscience, les mains toujours liées. Combien de temps avait-il pu se passer ?
Je sentis de nouvelles caresses sur mon corps et la voix apaisante de mon époux et guide.
- J'espère que ça t'a plu. J'ai beaucoup aimé et l'idée de revoir tout cela en vidéo m'excite encore. Je vois que tu es fatiguée mais j'ai aussi envie de jouir en toi et de finir de te souiller.
En disant cela, ses mains rejoignent mon entrejambe humide.
- Mmm je vois que tu as aimé... moi j'ai été très jaloux. Je veux te posséder aussi.
Je sens déjà sa queue raide contre mon dos. Ses mains sont partout sur moi, en moi. Je suis fatiguée et excitee. Je frissonne lorsqu'il pose sa main ferme sur ma nuque, relève légèrement mes fesses et fait glisser mon sexe dans ma chatte. Le contact avec sa queue que je connais bien est divin. Je pousse un cri de plaisir et il me demande de me taire. Il sait que c'est dur pour moi et que les contraintes font augmenter mon plaisir. Je mors donc une branche, posée au sol près de mon visage. Je retiens mes cris et profite à fond de chacun de ses à-coups dans mon antre. C'est si bon. Je ne sais pas si je peux encore jouir tant je suis éreintée. Mais c'est sans compter sur lui qui joue avec ma chatte, avec sa force, avec la vitesse de ses allers et venues.
- Jouis ma pute des bois et n'oublie pas que tu es à moi.
Il continue ainsi à me ramoner. Je jouis encore et il continue. Il a dû jouir plusieurs fois en me regardant cette après-midi car il est très endurant.
Il continue. J'oublie encore tout et ne suis que plaisir. Alors qu'un nouvel orgasme pointe son nez, il sort de ma chatte et me pénètre brutalement le cul. Ça me fait mal. Parce qu'il y va fort et parce qu'un autre s'est amusé à bien me défoncer. Je crie. Il me claque la fesse violemment,accentue sa pression sur ma nuque et me pillone. Je hurle de douleur mêlé de plaisir, je ne sais plus vraiment, tant cette sensation est nouvelle. Il poursuit ainsi. Je jouis et re-jouis je crois. Il s'arrête soudain.
Il me retourne, je m'assieds, il me libère les mains et se branle sur mon visage. Je vois son visage rempli de luxure et de plaisir, je souris. Je suis si heureuse. Il déverse une grande quantité de sperme sur mon visage avant de m'embrasser langoureusement.
Il m'aide à me relever. Je remets ma jupe en place et me rend compte que deux gars encagoulés nous matent. Je rougis mais lève la tête fièrement.

Nous traversons la forêt, repassons devant la table où je peux apercevoir mon contrat de "pute des bois". Mon mari attrape les deux boîtes et m'en tend une.
- Regarde ce que tu as gagné.

Je n'y crois pas! Il a vendu ma chatte et mon cul !
Mais je ne suis pas mécontente de trouver quelques billets. Je suis fière de moi et entrevois déjà la lingerie que je vais pouvoir acheter.

Je rentre dans la voiture. Mon mari s'éclipse et revient rapidement avec la caméra.
J'ai hâte que tu vois ça ! me dit-il, l'œil malin et le sourire en coin. Je garde cette boîte de préservatifs si l'expérience t'a plu et que tu en redemandes, dit-il avant de la ranger dans la boîte à gants et de démarrer un grand sourire aux lèvres.