Promenade initiatique en bords de Seine. Chapitre II. Dans l'alcôve verte.

- Par l'auteur HDS Iovan -
Récit érotique écrit par Iovan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Promenade initiatique en bords de Seine. Chapitre II.  Dans l'alcôve verte. Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Promenade initiatique en bords de Seine. Chapitre II. Dans l'alcôve verte.
Passage initiatique Chapitre 2
De moi-même, je repris l'initiative.
Je sentais l'impatience de Roland qui se faisait pressant et multipliait ses gestes d'incitation. Il m'embrassait, et me caressait de ses mains dures, avec passion, son souffle s'accélérait sous le coup de l'excitation, et je sentais tressauter contre ma cuisse, son énorme pal, à nouveau turgescent. Mon trouble face à son terrible mandrin se doublait, maintenant, d'une impatience à m'accaparer sa puissance et à me soumettre avec volupté, à sa loi. Je le voulais en moi, je voulais, que mon amant me possède encore de son magnifique vit, malgré l'appréhension que j'en avais.
Il me serrait dans ses bras secs et durs, et me caressait, tout en m'embrassant avec concupiscence. Je le caressais aussi, et ayant pris en mains son monstrueux engin, je le branlais avec lenteur, en éprouvant la lourdeur et la puissance. Mon excitation montait, en témoignaient, mes soupirs et mes gémissements.
Quittant ma bouche, je sentis mon maître peser sur mes épaules et doucement m'inciter à descendre sur son mandrin turgide. Ce que je fis tout en caressant son ventre. Il tenait mon visage entre ses mains crispées, et râla : — Suce moi, ma chérie, j'ai envie que tu me suces!
Entre ses jambes maigres, se dressait son gourdin que je sentais tressauter, dans ma main, sous l'effet des spasmes de l'excitation. En même temps qu'il me masturbai doucement, je caressais les lourdes couilles taurines , j'effleurais du bout des doigts l'épaisse hampe, me repaissant du spectacle de l'impressionnante mentule, fasciné par l'étrange et terrible beauté de l'énorme gland turgescent et violacé, que je décalottais à gestes alanguis.
Je ne savais toujours pas comment m'y prendre, mais fort de ma première expérience, je m'en remis à mon intuition, ainsi qu'à ma curiosité.
J'accentuai ma pression sur la hampe. L'enserrant, maintenant, fortement des deux mains, je me mis à la branler lentement et puissamment, ensorcelé par la vision de l'impressionnant bourgeon de chair violâtre que je commençai à titiller de la pointe de la langue y cueillant une claire goutte filante de pré-sperme. L'odeur chaude et musquée du lourd mandrin attisèrent encore mon excitation. J'arrondis mes lèvres humides sur le gros gland turgide et lentement le fis pénétrer tout entier dans ma bouche, je répétai plusieurs fois le mouvement, accentuant à chaque fois, la succion que j'exerçai sur l'épais cabochon.
Je le gardais en bouche, tournant ma langue autour, alternant avec des mordillements, qui mettaient mon amant en transes, puis lentement, le ressortais, le faisant glisser entre mes lèvres. Je salivais en quantité, et même si je déglutissais, de temps à autre, je laissais couler de ma bouche tout l'excès, comme je l'avais déjà fait, et en trempais la hampe et les lourds testicules que je pelotais pour le plus grand plaisir de mon amant qui râlait sa satisfaction en souffles bruyants.
J'étais dans une frénésie de volupté lubrique et d'émotions incontrôlables. Je me laissai guider par le seul plaisir, écrasant, de m' abandonner à la dévotion que j'éprouvais pour le phénoménal mandrin de mon merveilleux amant..
Il me tenait le visage de ses deux mains, et imprimait de courts et brusques mouvements de va et vient à son bassin comme s'il me baisait la bouche. Je suçais avidement, avec des geignements et des bruits de gorge, qui le ravissaient, son gros cabochon soyeux, tout en le mordillant et je le sentais se tordre sous ma caresse.Il m'avait fait me tourner et venir au-dessus de lui jambes écartées dans une posture lascive qui lui dévoilait, dans une indécence provocante, toute mon intimité.
Je sentis sa grosse main dure sur mes fesses, qu'elle se mit à caresser avec rudesse, les pressant et les malaxant, alors que je l'entendais proférer bruits de gorges et grognements lubriques, ainsi que des mots crus qui m'excitaient au plus haut point. Il immisça son majeur entre mes lobes fessiers et en chercha ma rosette, je me cambrai pour la lui offrir, et lui murmurai dans un souffle de me mouiller, ce qu'il fit, de salive, et ce furent deux doigts que je sentis pousser sur mon orifice, qui céda, pour s'ouvrir à la troublante intrusion. Je sentais son regard sur moi, et avec un grognement obscène, il se mit à, doucement, branler mon anneau, vrillant ses doigts, tout en leur imprimant un lent mouvement de va et vient, me faisant ressentir ces ondes délicieuses de ce plaisir qui me tirait des gémissements. Ce plaisir inconnu, si nouveau, et d'une telle puissance qu'il oblitérait toute autre pensée. Couplé à la volupté que je ressentais, à éprouver par ma bouche et par mes mains, la puissance impérieuse de l'énorme mandrin, il me semblait chevaucher un coursier de plaisir lubrique, qui m'emportait dans un galop infernal, vers des contrées dont je n'avais jamais soupçonné l'existence et que mon maître m'ouvrait, me soumettant à sa loi.
Du geste et de la voix, Roland m'attira sur lui. Je me tenais jambes écartée, mon sexe douloureux, tendu sous mon ventre, au dessus de son visage. Il me prit entre ses doigts, me dirigea vers sa bouche et se mit à me sucer. Ce n’était manifestement pas ce qui l'intéressait vraiment, car au bout de quelques secondes, li s'interrompit et râla : — Donne ton cul, ma chatte! Viens... !
Je lâchai sa mentule, et me redressai, mes mains agrippant ses hanches maigres, bras tendus, cambré, reins creusés, et écartai mes fesses, lui dévoilant l'indécence de mon armille offerte. C'était ce qu'il attendait, et dans un souffle rauque il fondit de sa bouche sur mon anneau, et y darda sa langue, dans un baiser de lubricité vorace, qui me fit me tordre de volupté.
Tout en me prodiguant son obscène et délicieux baiser, Roland, d'une main appuyant fortement sur mon dos, m'ordonna de reprendre ma fellation.
Je repris sa mentule que je voyais tressauter, secouée de spasmes sur son ventre glabre, et l'attirai à ma bouche. J'en suçai doucement, le gros gland y arrondissant mes lèvres et progressivement l'enfonçai dans ma bouche, ainsi qu'une partie de la lourde hampe que je continuais à lentement fourbir.
La langue de mon amant n'en continuait pas moins moins son affolante caresse, me tirant des gémissements et des râles de plaisir étouffés, par l'énorme mentule qui encombrait ma bouche.
J'accélérai les mouvements de va et vient sur le gros vit , tout en tétant le lourd gland avec avidité, je geignais d'ivresse lascive. Je le sentais se tendre, de spasme en soubresaut , de tressaillements en frissons sous les stimuli qui l'assaillaient.
Il montait, à courts râles précipités, se crispait dans un tressautement de tout son corps, haletait. Et quand je plantai mes ongles dans les muscles de ses fesses crispées, il eut un cri rauque et pour la seconde fois déchargea son sperme en lourdes giclées dans ma bouche, alors que m'échappait un geignement de surprise , de gratitude et de jouissance. Dans un mouvement de retrait, il sortit son gros gland et m'aspergea le visage d'un jet de son épaisse semence. Puis l'enfourna de nouveau dans ma bouche où il continua à y vider, à longs traits convulsifs, son âpre liqueur, dont j'avalai une partie, alors que l'excès coulait en lourdes larmes, de mes lèvres distendues.
Le visage dégoulinant de son épais jet de sperme , je tournai mon regard vers lui. Les yeux fermé sur son vertige, respirant pesamment, il revenait lentement de son ivresse, me maintenant sur son lourd pénis que je sentais mollir et devenir flaccide. Je le quittai alors, et me redressai. Il me fit basculer, et me prit dans ses bras , son visage à toucher le mien.
— Ah! Ma salope, qu'est ce que tu suces bien! J'ai aimé quand je t'ai joui dans la bouche! Ah ! Qu'est ce que c'était bon !Toi, aussi, t'as aimé ça, hein?
Il m'essuya le visage d'un revers de sa main qu'il me tendit. Je la léchai lentement, mes yeux fixant les siens qui avaient l'éclat du regard vainqueur.
Puis, il me prit à nouveau dans ses bras et m'embrassa , longuement . Je sentais pourtant son impatience : il voulait me baiser... déjà il recommençait à bander, je sentais son formidable vit presser contre ma cuisse, et il me caressait avec une ardeur accrue qui disait son impatience. Les mots tendres et crus qu'il me jetait, me troublaient, en même temps qu 'ils m'excitaient. Je me sentais pris dans un étau de contradictions, je ne pouvais plus rien penser, si ce n'était que j'étais prisonnier de sensations et de sentiments inconnus qui m'effrayaient en même temps qu'ils m'attiraient de façon irrésistible.
— Oh ! Viens ma chérie ...Viens, que je te baise... je vais te prendre ton joli cul...je vais... je vais te faire jouir... Viens ! Mets toi à quatre pattes, je vais te prendre en levrette...Oh ! T'es belle, ma petite pute ! j'ai envie... Mouille-toi ! Mouille toi, bien chérie... !  Je fis ce qu'il ordonnait, affolé de luxure par les mots qu'il me jetait, pendant que je l'entendais cracher plusieurs fois, dans sa main, pour enduire sa belle queue de salive. J'entendais son souffle désordonné et ses râles, dans mon dos, qui m'indiquait à quel point il était pris par l'excitation. Le cœur battant , je me cambrai, pour accueillir mon terrible amant, alors que je sentais une appréhension grandissante s'emparer de moi. Il agrippa mes hanches et m'attira sur sa trique qu' il dirigea sur ma rosette à laquelle il l'aboucha. Je fis effort pour respirer calmement, essayant de maîtriser la terrible excitation que je sentais m'envahir. Un trouble obscur me submergeait, me plongeant dans une émotion que je ne parvenais pas à maîtriser. Je sentais mon cœur battre la chamade et mes tempes bourdonnaient. Je m'étais mis à haleter et à gémir, pris dans un vertige qui me jetait dans des affres inconnues. Une sourde appréhension de la puissance du terrible mandrin, et de la douleur qu'il allait me causer me tordait, en même temps que je l'appelais, que je la désirais, car elle m'était infligée par celui qui était devenu mon maître, et que désormais, je vénérais, sans même en avoir encore tout à fait conscience. Je sentais confusément, mais avec une certitude absolue, que je lui étais entièrement soumis, à lui, et à son impérieux désir.
Comme fétus de paille, mes dernières retenues furent balayées par un flot impétueux de désir lubrique. La tête rejetée en arrière, crispée entre mes épaules, dans un mouvement de tension de tout mon corps, haletant, je jetai, dents serrées sur un souffle rauque : — Baise-moi, chéri !... Ooh... ! Prends-moi !
Dans l' ivresse qui m'emportait, je balbutiai.
— Ooh... ! Prends moi...Je t'en prie !...Encule-moi... !
— Oui, ma chérie! Oui, je viens ...Viens !
Et m'empoignant par les hanches, il m'attira sur son pieu pendant qu'il poussait de toutes ses forces sur celui-ci. Je sentis sa grosse queue se caler battante, entre mes fesses, et commencer à enfoncer ma rosette, la dilatant à l'extrême. Sous la pression, le sphincter distendu, lâcha et l'énorme gland commença à me pénétrer. J'eus un sanglot de douleur...
Inquiet, après ce qui s'était passé la première fois,il me demanda :—Tu veux qu'on arrête...  Sans presque m'en rendre compte, entre deux hoquets, je m' entendis répondre : —Non… ! Encore...! Continue !.... !
Il poussa doucement et je sentis, alors une onde puissante irradier mon fondement. Cherchant à accentuer encore l’enivrante sensation, j'eus un mouvement lascif des fesses, qui m'empala un peu plus sur son pal, m'arrachant un cri de volupté.
Je glissai une main entre mes cuisses et attrapai ses couilles pour les malaxer. Cette caresse le déchaîna, il me saisit par la taille … je poussai un long cri profond quand son lourd gourdin lentement, puissamment, s'enfonça au fond de mon ventre.
Douleur et plaisir mêlés, je sentis le chibre lentement refluer, pour s'enfoncer à nouveau, plus fort encore dans mon étroit fourreau, puis, à nouveau, encore, et encore, me faisant haleter et gémir sous sa loi. J'étais submergé par des vagues d'une jouissance cataclysmique qui me faisaient crier.
A une onde de jouissance en succédait une autre, me jetant dans un vertige qui me laissait pantelant. Mon bourreau se délectait d'entendre mes râles et geignements, et pendant qu'il lançait les coups de boutoir qui m’arrachaient ces plaintes, il éructait des mots crus, dents serrées sur sa jouissance.
—Tiens, petite salope ! Prends-la, ma grosse queue. Ah ! T'aimes ça, hein ! T'aimes que je t'encule à fond, petite traînée! Tiens, petite pute...! Tiens... Prends la... !
Je geignais entre deux sanglots de volupté.
J'accompagnai maintenant les mouvements de mon amant et enfonçais mon fondement sur son épais chibre, allant au-devant des assauts qu’il m'infligeait. Les ondes de jouissance se succédaient, éclatant dans mon ventre,multipliant les orgasmes, me submergeant de volupté lascive et endiablée. J'étais affolé de plaisir lubrique. Je ne savais plus où j'étais, je perdais toute notion de ce qui n'était pas l'incroyable sensation lubrique qui me submergeait.
Je sentis, alors, dans un long mouvement, mon amant retirer son chibre de mon fourreau. J'eus une sensation d'abandon, de vide et appelai,— Ooh! Viens.. ! Viens.. ! Prends moi... !
— Mets toi sur le dos ! Dépêche toi, salope !
Éructa t-il en me forçant, de ses mains dures, à me retourner.
Je m’exécutai, gémissant, implorant qu'il me reprenne de son merveilleux mandrin.
Il s'avança alors sur les genoux jusqu'à mon visage et une main derrière ma nuque, empoignant son chibre, le dirigea vers ma bouche...
—Suce moi petite pute...Goûte le, ton cul sur ma bite, salope !
Renonçant à toute décence, abandonnant toute pudeur, je me soumis au désir de mon maître et engloutis avec volupté, le gros gland humide, avec une volupté ineffable, qui me fit gémir d'humiliation et de plaisir. Il le savait : j'obéirais à tous ses ordres.
Je le suçai avec ardeur, me jetant dans un autre plaisir; alors que j'entendais ses râles et grognements, j'avais entouré son dos de mon bras et branlai d'une main son mandrin, que je sentais tressauter. Il se raidissait, je le sentais nettement.
— Arrête, ma chatte...Arrête ! ...Je vais jouir... !
Il se retira, et s'allongeant auprès de moi, me prit entre ses bras, m'embrassant avec passion.
— Ah ! Ma salope... ! Qu'est ce que t'es bonne... !
Il me caressait , me cajolait, et toujours m'embrassant, après avoir enduit trois de ses doigts de salive, les fourra entre mes fesses , les introduisit dans mon anneau, qu'il se mit à branler lentement, puissamment, vrillant ses doigts au plus profond.Il entretenait ma jouissance, ménageant la sienne.
Il fit tant et si bien qu'il parvint à me faire jouir de ses doigts. Je sentis bientôt que ce n'étaient pas trois doigts mais quatre, que mon amant enfonçait en moi, me faisant crier de plaisir.
Puis il se redressa, et vint se placer agenouillé face à moi, me fixant d'un regard farouche...il souriait, me dominant , chibre dressé, tressautant d'excitation. Je tendais les mains vers lui, caressant son ventre et sa taille, je le suppliai  — Prends moi... ! Viens!
— Oui! Je vais t'enculer... je vais te faire jouir, petite pute... !
Il avait ce sourire et cet éclat cruel, dans le regard, que j'aimais, maintenant, sentir sur moi... Crachant , à nouveau dans ses doigts il y déposa sa salive, qu'il étala sur mon anneau, en fit pénétrer dans mon fourreau, la poussant de ses doigts, la brutale intrusion me faisant déjà soupirer.
Il me saisit sous les genoux et me soulevant, écarta mes jambes, décolla mon bassin. Je posai de moi-même, mes chevilles sur ses épaules maigres. Tournant la tête, il embrassait mes mollets et mes genoux. Il empoigna son mandrin et en cala le gros cabochon tumescent sur ma rosette.
Il poussa son gland congestionné contre mon anneau et donna plusieurs coups de reins qui le forcèrent. Je le sentis s'ouvrir, laissant passer le gros gland, distendant l'étroite ouverture. Mon amant le sentit et me fixant dans les yeux de son regard impérieux, d'un long coup de reins puissant, enfonça son pieu au tréfonds de mon ventre. Je hurlai alors qu'éclatait l' onde de choc d'une jouissance telle, que pour la seconde fois , j'éjaculai, sur mon ventre et ma poitrine.
Oui ! Ma chérie ! Ooh...!T'es rien bonne … !
De sa main, il étalait les jets de semence sur ma poitrine, comme pour s'assurer qu'il état parvenu à me déclencher un nouvel orgasme.
Je comblais, mon bourreau, qui m'embrassait avidement en même temps que je le sentais doucement se retirer, me faisant pousser un long gémissement. Je saisis ses hanches maigres dans mes mains crispées, et le tirai à moi dans un geste d'appel. Il se mit alors à donner de longs et puissants coups de reins, dans un lent mouvement de va et vient, me jetant dans une houle de sensations vertigineuses.
Je sentais sa mentule me pénétrer avec une puissance incroyable, m'écartelant, me pénétrant lisse chaude et lourde jusqu'au tréfonds. Je me sentais envahi par une fièvre lubrique je ne voulais plus qu'être possédé totalement. J'avais enserré le corps sec de mon amant, et me serrai contre lui comme pour le faire me pénétrer encore davantage. Il n'y avait plus de douleur ou tout au moins, ce que je ressentais ne s'apparentait plus seulement à la douleur. Je jouissais intensément!
A un moment, je sentis mon impérieux tortionnaire ressortir son lourd mandrin, il me commanda, alors, de me relever et de me retourner. J'obéis à son ordre, l'esprit embrumé de lascivité et de stupre et me mis à quatre pattes, ainsi qu'il le voulait. Il m'agrippa par la taille de ses mains dures et sèches, aboucha son mandrin à mon anneau et d'un coup de reins s'y engloutit. J'étouffai un cri. Lentement, pesamment, il se mit à me besogner,ressortant presque entièrement son gros chibre, pour l'enfoncer à nouveau, recommençant, encore et encore, me faisant gémir et râler sous les coups de son monstrueux mandrin.
Il me baisa pendant plusieurs minutes, variant les rythmes et l'intensité de ses coups de boutoir pendant lesquelles, je passai par tous les états, gémissant, râlant, hurlant ma jouissance. Je tremblais, agité de spasmes et de convulsions ; J'étais comme un patin désarticulé entre ses mains. Je me sentais emporté par un maelstrom de sensations lubriques auquel je ne pouvais résister Alors, je sentis chez lui, un changement, un raidissement de tout son corps, les pénétrations se faisaient plus lentes, plus crispées, seulement accompagnées par des feulements rauques, de plus en plus prolongés. A un moment, il se retira presque entièrement, puis dans une étreinte brutale, il m'attira à lui, m'enfonçant jusqu'aux couilles sur son mandrin avec un long râle.
A cet instant j’atteignis le point culminant de la jouissance et que je fus balayé par une déferlante à l'apex de mon plaisir lubrique. Au même moment, dans un gloussement de triomphe, son plaisir explosa.Il éjacula, déchargeant à longs jets spasmodiques tout son sperme dans mon ventre.
La sensation de ses jets de semence, qui jaillissaient en moi, me provoqua un tel émoi lubrique, que je restai figé, tétanisé dans un paroxysme de jouissance absolue.
Mon vainqueur gardait sa grosse queue en moi , et avec de lents mouvements de va et vient, achevait sa jouissance, me faisant encore soupirer.
Quand redevenu flaccide, je chassai son gros vit de mon anneau, la lourde charge de sperme, dont il m'avait gratifié s'écoula, engluant mes fesses et le haut de mes cuisses, sourdant en épaisses rigoles, et en larges gouttes visqueuses, qui se répandaient au sol, avec des bruits liquides.
—Ah ! Ma salope, qu'est ce que t'es bonne ! Qu'est ce que j'aime t'enculer... !Oh ! Je t'aime, ma chatte !
Il caressait mon dos, mes reins , mes cuisses, avec des gestes lents de gratitude sensuelle.
Je me relâchai, brusquement et m'affalai dans l'herbe tête en avant, croupe levée, cherchant mon souffle épuisé, exténué de jouissance, dans un état second...
Roland me retourna et prit dans ses bras, en m’embrassant et me caressant. Tout en me caressant et me cajolant, il me dit qu'il adorait me baiser et me dit qu'il n'avait jamais été excité comme je l'avais excité, c'était un vrai compliment !
Et pis, je t'ai fait jouir deux fois Oui... ! C'était bon... ! … —Ah ma chatte ! T'es rien bonne ! Qu'est ce que j'aime te baiser... T'as aimé, hein ? Hein, dis que t'as aimé... ? On va le refaire, hein.. tu veux ? J'ai vachement envie... !
Je hochai la tête, ne réalisant pas encore vraiment ce qu'il s'était passé, encore trop sonné pour répondre...Mais, moi aussi j'en avais envie...Très envie.
Il me serra dans ses bras, et recommença à me caresser et à m'embrasser, me murmurant mots doux et propos salaces.
Il me baisa encore trois fois cette après-midi là dans la petite alcôve de verdure, me faisant jouir à chaque fois comme une bête.

Puis, la journée s'avançant, il fallut abandonner, à regret, la petite clairière; nous prîmes le chemin du retour, longeant toujours la berge, mais à pied sec, cette fois, la marée étant presque basse. Nous regagnâmes, avec précautions, l'endroit où nous avions laissé nos vêtements ; nous les emportâmes et partîmes nous cacher sous le ponton.
Roland me prêta un coin de serviette et pendant que je commençai à me rhabiller.
— Dis, bézot, tu reviendras, hein?
Je fis comme si je n'avais pas entendu...
— Quelle heure il est ?
— J'ai pas de montre, mais au soleil … six heures et demie , je dirais...
— Bon, bah... ! Faut que je me magne.
Il s'approcha, tout près...
— Dis, tu reviendras, hein ?
— Oui, Roland.
— Quand ?
— Demain...
Un sourire éclaira son maigre visage...
Il jeta un coup d’œil à la cantonade, s'assurant qu'il n'y avait personne, me serra dans ses bras et m'embrassa passionnément.

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