Promenades en forêt
Récit érotique écrit par Diluc [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Promenades en forêt
La semaine dernière, je m’étais rendu en forêt de Fontainebleau pour une promenade de milieu d’après midi dans la nature. Une fois garé, je suis allé par les sentiers bien délimités, me fiant à mon téléphone et son gps pour ne pas me perdre.
Au bout de 30 mn de promenade, je suis enfin sorti des sentiers battus et me suis vraiment retrouvé en pleine nature avec juste une sente à peine dessinée que je suivais tranquillement.
Arrivée en haut d’une colline, je regardais vers le bas et vis un mouvement. Il s’agissait d’une vététiste qui descendait de sa monture avant d’appréhender la côte.
En descendant, je la regardais bien et remarquai son legging coloré qui lui rentrait bien dans le sexe et n’en cachait rien... sous les quelques gouttes de pluie, la jeune femme qui portait un t shirt à manches longues me croisa en me regardant effrontément dans les yeux. Elle avait bien vu que mon regard était attiré par ses attributs et elle souriait à mon passage.
C’était une très jeune rouquine aux cheveux longs et bouclés qui fouettaient son dos, ses seins paraissaient agressifs et son sexe était vraiment très bien dessiné par son joli legging...
Je n’osai pas l’accoster mais son sourire et ses lèvres rouges au milieu d’un visage plein de taches de rousseur restait gravé dans mon esprit. A vue de nez, cette jeune femme devait avoir à peine 20 ans...
La semaine suivante, j’allai de nouveau me promener au même endroit, à la même heure, me disant qu’avec un peu de chance...
Et en effet, en haut de la même sente, j’ai entraperçu ma petite rouquine qui, manifestement, m’attendait, à côté de son Vélo...
Elle a accroché mon regard et est sorti de la sente pour s’éloigner des regards des éventuels passants...
Frissonnant, non à cause du froid et de la fine pluie qui m’arrose par intermittence, mais à cause de l’anticipation, je la suis... elle se réfugie derrière un arbre, nous sommes bien éloignés de la sente et d’un coup d’œil circulaire je vérifie que nul ne peut nous surprendre: c’est bon...
Je rejoins la jeune femme mais m’arrête contre un arbre à deux mètres d’elle, un peu étonné par le joli spectacle qu’elle m’offre...
Elle est assise sur une souche d’arbre, le dos en appui contre un tronc, les jambes, très fines, bien écartées et elle une main dans son legging et se caresse en me regardant... son autre main et sous son t-shirt qu’elle a relevé et je vois qu’elle pince son téton qui parait bien dur...
Alors que je veux me rapprocher elle me fait signe que non... je reste un peu interdit puis...
Je sors ma queue et commence à me branler devant elle. Ses grands yeux verts s’écarquillent en voyant mon engin et je sens qu’elle s’affole... elle se caresse de plus en plus vite et halète fortement. Moi aussi, la buée monte sur mes lunettes tandis que je continue à me branler fort: je m’approche encore un peu d’elle pour mieux voir. Son legging est presque descendu à mi cuisse et je vois ses doigts dans son sexe humide. Elle est parfaitement épilée et je profite du spectacle de plus en plus prés.
À présent, je suis à moins de cinquante centimètres d’elle: je suis prêt d’éclater et elle aussi...
Nous jouissons ensemble et mon sperme arrive direct sur ses cuisses. Son corps est tendu et elle jouit largement les yeux fermés et la bouche ouverte. Elle halète de plus en plus vite et enfin se relâche, heureuse...
J’attrape un kleenex et m’essuie devant elle avant de ramasser mon engin, satisfait. La jeune rouquine me fait signe et je lui donne également un mouchoir.
Provocante, elle ramasse le sperme sur sa cuisse et se le met en bouche... elle s’essuie le sexe doucement, me montrant bien ses grandes lèvres et son bouton d’amour encore turgescent...
Pour le moment, nous n’avons pas échangé un mot, nous ne nous sommes pas touchés. Elle rajuste ses vêtements, reprend son vélo et me fait un joli sourire:
-Demain, c’est mon anniversaire... je serais là...
Elle a une jolie voix sucrée et ses yeux verts brillent d’anticipation...
J’acquiesce de la tête, incapable de dire un mot... elle passe devant moi, narquoise et, je pense, ravie...
Demain, dimanche, je serai là pour ce second jour de décembre...
Dimanche, enfin...
Donc, malgré une pluie omniprésente et un froid relatif, je me rend en forêt de fontainebleau... nous sommes dan# le milieu de l’après midi et j’ai tôt fait de retrouver l’endroit où ma jeune fée rouquine dévorait me rejoindre...Arrivé là , rien...
La demoiselle n’est pas là ! Pourtant je suis au bon endroit et l’heure est là même qu’hier...
Je m’aperçois alors qu’un morceau de papier est abandonné contre le tronc de l’arbre auquel s’est appuyée la jolie rouquine.
Fébrile je m’en saisis et le déplie. Dessus, juste les traces de ses lèvres marquées au rouge à lèvres et un numéro de téléphone avec les trois lettres sms.
J’envoie aussitôt un message avec mon smartphone lui demandant où la retrouver ma rousse vetetiste...
La réponse ne se fait pas attendre. C’est juste une adresse et un code à 5 chiffres...
Je me rends alors à ma voiture et tape l’adresse dans mon gps: par chance ce n’est pas trop loin...
Vingt minutes plus tard, je suis devant une grande porte de bois et je tape le code. La porte s’ouvre et je me retrouve dans un hall avec escalier en colimaçon. Il y a 7n3 dizain3 d’appartements manifestement... lequel est-ce?
J’envoie un nouvel sms à la rouquine, lui signalant que je suis en bas de chez elle... la réponse est fulgurante et m’indique l’étage et les numéros de l’appartement.
Je monte les escaliers et frappe à la porte...
Celle ci s’ouvre et j’entre, un peu intimidé , je dois l’admettre. La porte claque derrière moi et la jeune rousse apparaît, seulement vêtue d’un string et d’un soutien gorge rouge qu8 se détachent sur sa peau très blanche mais pleine de taches de rousseur.
La jeune femme met un doigt sur mes lèvres me signifiant de garder le silence et me prend par la main pour m’amener jusque son lit. Elle s’assied alors et me défait rapidement mon pantalon, me baissant mon caleçon... avec une expertise certaine, elle se met à me branler doucement d’abord avant de mettre mon sexe dans sa bouche.
Je bande comme jamais alors qu’elle me suce divinement: sa langue joue avec mon gland comme avec un bonbon. J’adore ça et lorsqu’enfin elle me relâche, je bande comme un fou...
Elle s’allonge alors et j’écarte son string. J’entre en elle. Elle est complètement trempée mais son vagin est très serré et je dois forcer pour entrer. Elle gémit de plaisir alors que je commence à la posséder ainsi. Je libère ses seins et m’abreuve à ses tétons saillants et pointus. Elle halete de plus en plus fort alors que je la travaille vigoureusement. Je me retire légèrement d’elle et d’un doigt je joue avec son clitoris turgescent en continuant à la besogner.
Ses grands yeux verts s’écarquillent et ses ongles entrent dans la peau de mon dos me labourant et y creusant des sillons de bonheur...
Lorsque je sens qu’elle est au paroxysme de son plaisir, je jouis à son unisson. Je sens mon sperme là pénétrer au plus profond et son vagin aspirer tout mon jus.
Nous nous relâchons enfin, satisfaits et heureux... nous nous reposons un peu et soudain je sens la main aux doigts fuselés de la jeune femme caresser ma queue qui, fidèle à la demande se rigidifie immédiatement.
Ses baisers embrasent mon corps et je les lui rend bien. Son corps est magnifique et elle me laisse lécher don petit derrière très alléchant.
Ensuite elle me suce de nouveau en se mettant à l’envers sur moi et je peux goûter son intimité si agréable. J’entre ma langue en elle et je sens son jus abondant couler dans ma bouche. La coquine a des spasmes de plaisir à chacun de mes coups de langue.
Enfin elle se retire et se met à quatre pattes après m’avoir lance un clin d’œil coquin.
Je la prends alors en levrette, ma queue là pénétrant bien plus facilement que la première fois. Je la ramone de plus en plus vite alors qu’elle pleure de joie.
Enfin je me retire d’elle et me me5 à l’entrée de son petit culot bien pointu. Je caresse son anus avec mon gland à présent bien lubrifié et de ses deux mains, elle écarte ses fesses couvertes de taches de rousseur.
Je l’encule alors tout doucement, l’entendant gémir à ch1que centimètre de mon penis la pénétrant. Enfin, je suis tout entier en elle et je me met à la ramoner de plus en plus vite.
Elle crie de joie à chacun de mes coups de boutoir et enfin je finis par jouir au fond de son trou...
Je quitte son domicile deux heures plus tard, nous n’avons pas échangé une parole mais je sais que je reviendrai chez elle, pour l’aimer toujours et encore...
Au bout de 30 mn de promenade, je suis enfin sorti des sentiers battus et me suis vraiment retrouvé en pleine nature avec juste une sente à peine dessinée que je suivais tranquillement.
Arrivée en haut d’une colline, je regardais vers le bas et vis un mouvement. Il s’agissait d’une vététiste qui descendait de sa monture avant d’appréhender la côte.
En descendant, je la regardais bien et remarquai son legging coloré qui lui rentrait bien dans le sexe et n’en cachait rien... sous les quelques gouttes de pluie, la jeune femme qui portait un t shirt à manches longues me croisa en me regardant effrontément dans les yeux. Elle avait bien vu que mon regard était attiré par ses attributs et elle souriait à mon passage.
C’était une très jeune rouquine aux cheveux longs et bouclés qui fouettaient son dos, ses seins paraissaient agressifs et son sexe était vraiment très bien dessiné par son joli legging...
Je n’osai pas l’accoster mais son sourire et ses lèvres rouges au milieu d’un visage plein de taches de rousseur restait gravé dans mon esprit. A vue de nez, cette jeune femme devait avoir à peine 20 ans...
La semaine suivante, j’allai de nouveau me promener au même endroit, à la même heure, me disant qu’avec un peu de chance...
Et en effet, en haut de la même sente, j’ai entraperçu ma petite rouquine qui, manifestement, m’attendait, à côté de son Vélo...
Elle a accroché mon regard et est sorti de la sente pour s’éloigner des regards des éventuels passants...
Frissonnant, non à cause du froid et de la fine pluie qui m’arrose par intermittence, mais à cause de l’anticipation, je la suis... elle se réfugie derrière un arbre, nous sommes bien éloignés de la sente et d’un coup d’œil circulaire je vérifie que nul ne peut nous surprendre: c’est bon...
Je rejoins la jeune femme mais m’arrête contre un arbre à deux mètres d’elle, un peu étonné par le joli spectacle qu’elle m’offre...
Elle est assise sur une souche d’arbre, le dos en appui contre un tronc, les jambes, très fines, bien écartées et elle une main dans son legging et se caresse en me regardant... son autre main et sous son t-shirt qu’elle a relevé et je vois qu’elle pince son téton qui parait bien dur...
Alors que je veux me rapprocher elle me fait signe que non... je reste un peu interdit puis...
Je sors ma queue et commence à me branler devant elle. Ses grands yeux verts s’écarquillent en voyant mon engin et je sens qu’elle s’affole... elle se caresse de plus en plus vite et halète fortement. Moi aussi, la buée monte sur mes lunettes tandis que je continue à me branler fort: je m’approche encore un peu d’elle pour mieux voir. Son legging est presque descendu à mi cuisse et je vois ses doigts dans son sexe humide. Elle est parfaitement épilée et je profite du spectacle de plus en plus prés.
À présent, je suis à moins de cinquante centimètres d’elle: je suis prêt d’éclater et elle aussi...
Nous jouissons ensemble et mon sperme arrive direct sur ses cuisses. Son corps est tendu et elle jouit largement les yeux fermés et la bouche ouverte. Elle halète de plus en plus vite et enfin se relâche, heureuse...
J’attrape un kleenex et m’essuie devant elle avant de ramasser mon engin, satisfait. La jeune rouquine me fait signe et je lui donne également un mouchoir.
Provocante, elle ramasse le sperme sur sa cuisse et se le met en bouche... elle s’essuie le sexe doucement, me montrant bien ses grandes lèvres et son bouton d’amour encore turgescent...
Pour le moment, nous n’avons pas échangé un mot, nous ne nous sommes pas touchés. Elle rajuste ses vêtements, reprend son vélo et me fait un joli sourire:
-Demain, c’est mon anniversaire... je serais là...
Elle a une jolie voix sucrée et ses yeux verts brillent d’anticipation...
J’acquiesce de la tête, incapable de dire un mot... elle passe devant moi, narquoise et, je pense, ravie...
Demain, dimanche, je serai là pour ce second jour de décembre...
Dimanche, enfin...
Donc, malgré une pluie omniprésente et un froid relatif, je me rend en forêt de fontainebleau... nous sommes dan# le milieu de l’après midi et j’ai tôt fait de retrouver l’endroit où ma jeune fée rouquine dévorait me rejoindre...Arrivé là , rien...
La demoiselle n’est pas là ! Pourtant je suis au bon endroit et l’heure est là même qu’hier...
Je m’aperçois alors qu’un morceau de papier est abandonné contre le tronc de l’arbre auquel s’est appuyée la jolie rouquine.
Fébrile je m’en saisis et le déplie. Dessus, juste les traces de ses lèvres marquées au rouge à lèvres et un numéro de téléphone avec les trois lettres sms.
J’envoie aussitôt un message avec mon smartphone lui demandant où la retrouver ma rousse vetetiste...
La réponse ne se fait pas attendre. C’est juste une adresse et un code à 5 chiffres...
Je me rends alors à ma voiture et tape l’adresse dans mon gps: par chance ce n’est pas trop loin...
Vingt minutes plus tard, je suis devant une grande porte de bois et je tape le code. La porte s’ouvre et je me retrouve dans un hall avec escalier en colimaçon. Il y a 7n3 dizain3 d’appartements manifestement... lequel est-ce?
J’envoie un nouvel sms à la rouquine, lui signalant que je suis en bas de chez elle... la réponse est fulgurante et m’indique l’étage et les numéros de l’appartement.
Je monte les escaliers et frappe à la porte...
Celle ci s’ouvre et j’entre, un peu intimidé , je dois l’admettre. La porte claque derrière moi et la jeune rousse apparaît, seulement vêtue d’un string et d’un soutien gorge rouge qu8 se détachent sur sa peau très blanche mais pleine de taches de rousseur.
La jeune femme met un doigt sur mes lèvres me signifiant de garder le silence et me prend par la main pour m’amener jusque son lit. Elle s’assied alors et me défait rapidement mon pantalon, me baissant mon caleçon... avec une expertise certaine, elle se met à me branler doucement d’abord avant de mettre mon sexe dans sa bouche.
Je bande comme jamais alors qu’elle me suce divinement: sa langue joue avec mon gland comme avec un bonbon. J’adore ça et lorsqu’enfin elle me relâche, je bande comme un fou...
Elle s’allonge alors et j’écarte son string. J’entre en elle. Elle est complètement trempée mais son vagin est très serré et je dois forcer pour entrer. Elle gémit de plaisir alors que je commence à la posséder ainsi. Je libère ses seins et m’abreuve à ses tétons saillants et pointus. Elle halete de plus en plus fort alors que je la travaille vigoureusement. Je me retire légèrement d’elle et d’un doigt je joue avec son clitoris turgescent en continuant à la besogner.
Ses grands yeux verts s’écarquillent et ses ongles entrent dans la peau de mon dos me labourant et y creusant des sillons de bonheur...
Lorsque je sens qu’elle est au paroxysme de son plaisir, je jouis à son unisson. Je sens mon sperme là pénétrer au plus profond et son vagin aspirer tout mon jus.
Nous nous relâchons enfin, satisfaits et heureux... nous nous reposons un peu et soudain je sens la main aux doigts fuselés de la jeune femme caresser ma queue qui, fidèle à la demande se rigidifie immédiatement.
Ses baisers embrasent mon corps et je les lui rend bien. Son corps est magnifique et elle me laisse lécher don petit derrière très alléchant.
Ensuite elle me suce de nouveau en se mettant à l’envers sur moi et je peux goûter son intimité si agréable. J’entre ma langue en elle et je sens son jus abondant couler dans ma bouche. La coquine a des spasmes de plaisir à chacun de mes coups de langue.
Enfin elle se retire et se met à quatre pattes après m’avoir lance un clin d’œil coquin.
Je la prends alors en levrette, ma queue là pénétrant bien plus facilement que la première fois. Je la ramone de plus en plus vite alors qu’elle pleure de joie.
Enfin je me retire d’elle et me me5 à l’entrée de son petit culot bien pointu. Je caresse son anus avec mon gland à présent bien lubrifié et de ses deux mains, elle écarte ses fesses couvertes de taches de rousseur.
Je l’encule alors tout doucement, l’entendant gémir à ch1que centimètre de mon penis la pénétrant. Enfin, je suis tout entier en elle et je me met à la ramoner de plus en plus vite.
Elle crie de joie à chacun de mes coups de boutoir et enfin je finis par jouir au fond de son trou...
Je quitte son domicile deux heures plus tard, nous n’avons pas échangé une parole mais je sais que je reviendrai chez elle, pour l’aimer toujours et encore...
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