Promiscuité sexuelle
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Promiscuité sexuelle
Cela n'a aucun rapport, mais mon dernier récit m'a rappelé un fait qui s'est déroulé, il y a une trentaine d'années.
Cela s'est passé à la boutique.
Corinne avait retrouvé un ancien amant, depuis peu.
Mais baiser à l'appartement comportait des risques, à cause des voisins et des enfants.
Donc, elle m'a suggéré de voir son amant à la boutique, il y avait tout ce qu'il faut pour ça !
Ils ont du s'adapter à mes horaires et jours de fermeture, et l'ont fait plusieurs fois en mon absence.
J'ai même du les couvrir, quand j'étais là, en fermant la porte de l'autre pièce (en enfilade) qui menait à celle du fond.
Par moment, ce n'était pas suffisant, je montais le son de la radio musicale du magasin.
Je trouvais ça excitant, malgré tout, surtout lorsque je la voyais sortir dans un état différent, qu'avant de s'isoler avec lui.
Il la quittait ensuite et on rentrait tous les deux.
Je lui faisais remarquer souvent, des taches de foutre sur sa poitrine, ou ses cheveux.
"C'est pas grave, je vais me doucher en rentrant !". Me disait elle !
Ou encore:
"Ouhhh ! Je sens plus mon cul, Il m'a défoncée encore !".
Elle était dans une période hypersexuelle, bref en demande ! Et il le savait !
Mais paradoxalement, s'il ne la baisait pas comme ça, elle n'aurait pas réclamé de le revoir sans cesse !
Il n'a fait que satisfaire ses besoins !
Parallèlement à ça, j'en profitais moi aussi, en Week end avec Gilles ! Leur laissant le magasin libre !
Elle s'en donnait à cœur joie, en sachant que moi aussi, j'en prenais plein l'anus ! Mais son amant l'ignorait !
Donc, un jour, entre midi et deux heures, ma belle se pointe avec son amant.
Mon rideau n'est pas baissé, mais j'ai fermé ma porte à clefs derrière eux.
Ils s'engouffrent au fond, et rapidement, je devine d'après le silence et quelques rares gémissements, qu'il se fait longuement sucer la bite !
Alors, je vois Gilles à travers la porte vitrée !
Je lui ouvre et baisse le rideau cette fois.
Je ne lui dis pas, ce qui se passe au fond du magasin.
Mais, il me réclame de nous y rendre !
"On ne peut pas, chéri !".
"Pourquoi ? Je comprends pas !".
Il ouvre la première porte et entend Corinne:
"Arghhhhhhhhhhh ! C'est bon, encore ! Défonces-moi ! Arghhhhhhhhhhh !...".
"Putain, elle est pas discrète ! Qui c'est le type ? Il la défonce bien, on dirait !".
"C'est son amant ! Je suis pas obligé d'attendre ! Mais je sais pas, où on va baiser du coup !".
"Ben, ici ! On a qu'à faire plus vite qu'eux ! J'ai envie de te baiser en l'entendant couiner ! Ca t'excites pas toi ?".
"Gilles ! Non ! S'il te plait ! Mmm ! Mmmmmmmmm !".
"Allez suces-moi, mon chaton ! Je sais que t'en as envie !".
Il nous approche de la porte, et me baise la gorge, en me tenant par le haut du crâne.
J'essaie de ne pas faire de bruit en le suçant, alors qu'à coté, les cris de ma femme sont sans retenue.
On entend leurs dialogues pervers, les "Gueule Salope !", "Prends ça !", "Chienne !", "Pute", "Tu l'adores ma bite ?", "Putain ! j'adore te baiser avec ton mari à coté !", etc... !
Je supplie Gilles à voix basse, de me faire ce qu'il veut, mais, sans nous faire entendre !
Lorsqu'il me transperce l'anus, avec son énorme queue, c'est moi qui laisse échapper un début de râle, que je bloque aussitôt en fermant ma bouche.
Mais Gilles voit mon plaisir sur mon visage, il jubile !
Ma femme est en plein orgasme sonore, par chance !
Gilles en profite pour me défoncer, avec une énorme dose de vice.
Putain, qu'est-ce que c'est difficile de jouir sans se lâcher !
Je contiens mes râles en gémissements retenus, Gilles à l'air de se caler sur les assauts qu'on entend derrière la porte, à quelques mètres !
Puis, c'est l'accalmie enfin ! On s'arrête, ensuite, on comprend qu'ils changent de position, apparemment.
Je devine qu'elle s'allonge quelque part.
Puis vient le dialogue:
"Arghhhhhhhhhhh ! Salaud ! Pourquoi, tu m'encules à chaque fois ? Arghhhhhhhhhhh !".
"Parce que t'es une belle salope ! Que t'adore ça ! C'est pour ça aussi, que j'adore t'enculer !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Oui ! Défonces-moi ! Arghhhhhhhhhhh !".
Je me fais encore transpercer, sans relâche.
Je joui encore, en disant à voix basse à mon amant que cela ne va plus durer longtemps, il doit jouir !
L'amant de Corinne termine toujours en l'enculant !
Il se déchaine pendant plusieurs minutes, où on entend ma belle enchainer les orgasmes anaux.
Puis, viennent les râles de son amant, Gilles bouge encore en moi, en faisant moins de bruit.
Je mord mon bras, sous la force de mon plaisir.
Je devine que ma belle lui lèche longuement la verge, probablement couverte de foutre gluant, ou pour avaler son éjaculation.
On entend enfin, le couple adultère se congratuler sur leur plaisir partagé, puis s'embrasser.
C'est le moment que Gilles choisit, pour m'inséminer profondément.
J'admire son pouvoir de retenue dans sa jouissance.
Pourtant, je sens vraiment ses spasmes éjaculatoires dans mon anus, et à la base de sa queue, qui vide ses énormes testicules.
Le moment est divin !
On profite un instant de ce plaisir, puis on entend les bruits de leurs vêtements.
Gilles se retire d'une traite de mon cul, je me couvre de mon pantalon, puis on va dans la boutique principale.
Les deux amants sont surpris de voir Gilles.
Mais Corinne le rassure:
"Ne t'inquiètes pas, c'est un ami qui sait tout !".
Je remarque du sperme entre ses seins et de la brillance sur ses lèvres, mal essuyées.
Je pense que Gilles l'a remarqué, lui aussi !
Elle déglutine à de nombreuses reprises, on sait pourquoi !
L'amant part en premier, après une courte discussion.
Gilles dit qu'il va nous quitter, Corinne veut le retenir.
"Non, Gilles ! Reste ! Je vous laisse !".
"Merci, ma belle ! Mais je repasserai une autre fois !".
Sur le retour, ma femme me dit encore:
"Putain, j'adore la sodomie ! Mais après, c'est gênant ! Il va venir te baiser quand, Gilles ? Vous avez pris RDV ?".
"C'est fait ! Moi aussi, j'en ai plein le cul ! Ca colle aussi ! Mais moi, j'ai la bouche propre !".
Elle s'esclaffe de rire, heureuse de sa soirée ! Puis s'essuie les lèvres.
Un peu frustré, Gilles est revenu le lendemain, pour me baiser plus longuement.
J'en avais envie moi aussi ! Et cette fois, c'est moi qui ai eu le visage et la gorge pleine de jus.
Cela s'est passé à la boutique.
Corinne avait retrouvé un ancien amant, depuis peu.
Mais baiser à l'appartement comportait des risques, à cause des voisins et des enfants.
Donc, elle m'a suggéré de voir son amant à la boutique, il y avait tout ce qu'il faut pour ça !
Ils ont du s'adapter à mes horaires et jours de fermeture, et l'ont fait plusieurs fois en mon absence.
J'ai même du les couvrir, quand j'étais là, en fermant la porte de l'autre pièce (en enfilade) qui menait à celle du fond.
Par moment, ce n'était pas suffisant, je montais le son de la radio musicale du magasin.
Je trouvais ça excitant, malgré tout, surtout lorsque je la voyais sortir dans un état différent, qu'avant de s'isoler avec lui.
Il la quittait ensuite et on rentrait tous les deux.
Je lui faisais remarquer souvent, des taches de foutre sur sa poitrine, ou ses cheveux.
"C'est pas grave, je vais me doucher en rentrant !". Me disait elle !
Ou encore:
"Ouhhh ! Je sens plus mon cul, Il m'a défoncée encore !".
Elle était dans une période hypersexuelle, bref en demande ! Et il le savait !
Mais paradoxalement, s'il ne la baisait pas comme ça, elle n'aurait pas réclamé de le revoir sans cesse !
Il n'a fait que satisfaire ses besoins !
Parallèlement à ça, j'en profitais moi aussi, en Week end avec Gilles ! Leur laissant le magasin libre !
Elle s'en donnait à cœur joie, en sachant que moi aussi, j'en prenais plein l'anus ! Mais son amant l'ignorait !
Donc, un jour, entre midi et deux heures, ma belle se pointe avec son amant.
Mon rideau n'est pas baissé, mais j'ai fermé ma porte à clefs derrière eux.
Ils s'engouffrent au fond, et rapidement, je devine d'après le silence et quelques rares gémissements, qu'il se fait longuement sucer la bite !
Alors, je vois Gilles à travers la porte vitrée !
Je lui ouvre et baisse le rideau cette fois.
Je ne lui dis pas, ce qui se passe au fond du magasin.
Mais, il me réclame de nous y rendre !
"On ne peut pas, chéri !".
"Pourquoi ? Je comprends pas !".
Il ouvre la première porte et entend Corinne:
"Arghhhhhhhhhhh ! C'est bon, encore ! Défonces-moi ! Arghhhhhhhhhhh !...".
"Putain, elle est pas discrète ! Qui c'est le type ? Il la défonce bien, on dirait !".
"C'est son amant ! Je suis pas obligé d'attendre ! Mais je sais pas, où on va baiser du coup !".
"Ben, ici ! On a qu'à faire plus vite qu'eux ! J'ai envie de te baiser en l'entendant couiner ! Ca t'excites pas toi ?".
"Gilles ! Non ! S'il te plait ! Mmm ! Mmmmmmmmm !".
"Allez suces-moi, mon chaton ! Je sais que t'en as envie !".
Il nous approche de la porte, et me baise la gorge, en me tenant par le haut du crâne.
J'essaie de ne pas faire de bruit en le suçant, alors qu'à coté, les cris de ma femme sont sans retenue.
On entend leurs dialogues pervers, les "Gueule Salope !", "Prends ça !", "Chienne !", "Pute", "Tu l'adores ma bite ?", "Putain ! j'adore te baiser avec ton mari à coté !", etc... !
Je supplie Gilles à voix basse, de me faire ce qu'il veut, mais, sans nous faire entendre !
Lorsqu'il me transperce l'anus, avec son énorme queue, c'est moi qui laisse échapper un début de râle, que je bloque aussitôt en fermant ma bouche.
Mais Gilles voit mon plaisir sur mon visage, il jubile !
Ma femme est en plein orgasme sonore, par chance !
Gilles en profite pour me défoncer, avec une énorme dose de vice.
Putain, qu'est-ce que c'est difficile de jouir sans se lâcher !
Je contiens mes râles en gémissements retenus, Gilles à l'air de se caler sur les assauts qu'on entend derrière la porte, à quelques mètres !
Puis, c'est l'accalmie enfin ! On s'arrête, ensuite, on comprend qu'ils changent de position, apparemment.
Je devine qu'elle s'allonge quelque part.
Puis vient le dialogue:
"Arghhhhhhhhhhh ! Salaud ! Pourquoi, tu m'encules à chaque fois ? Arghhhhhhhhhhh !".
"Parce que t'es une belle salope ! Que t'adore ça ! C'est pour ça aussi, que j'adore t'enculer !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Oui ! Défonces-moi ! Arghhhhhhhhhhh !".
Je me fais encore transpercer, sans relâche.
Je joui encore, en disant à voix basse à mon amant que cela ne va plus durer longtemps, il doit jouir !
L'amant de Corinne termine toujours en l'enculant !
Il se déchaine pendant plusieurs minutes, où on entend ma belle enchainer les orgasmes anaux.
Puis, viennent les râles de son amant, Gilles bouge encore en moi, en faisant moins de bruit.
Je mord mon bras, sous la force de mon plaisir.
Je devine que ma belle lui lèche longuement la verge, probablement couverte de foutre gluant, ou pour avaler son éjaculation.
On entend enfin, le couple adultère se congratuler sur leur plaisir partagé, puis s'embrasser.
C'est le moment que Gilles choisit, pour m'inséminer profondément.
J'admire son pouvoir de retenue dans sa jouissance.
Pourtant, je sens vraiment ses spasmes éjaculatoires dans mon anus, et à la base de sa queue, qui vide ses énormes testicules.
Le moment est divin !
On profite un instant de ce plaisir, puis on entend les bruits de leurs vêtements.
Gilles se retire d'une traite de mon cul, je me couvre de mon pantalon, puis on va dans la boutique principale.
Les deux amants sont surpris de voir Gilles.
Mais Corinne le rassure:
"Ne t'inquiètes pas, c'est un ami qui sait tout !".
Je remarque du sperme entre ses seins et de la brillance sur ses lèvres, mal essuyées.
Je pense que Gilles l'a remarqué, lui aussi !
Elle déglutine à de nombreuses reprises, on sait pourquoi !
L'amant part en premier, après une courte discussion.
Gilles dit qu'il va nous quitter, Corinne veut le retenir.
"Non, Gilles ! Reste ! Je vous laisse !".
"Merci, ma belle ! Mais je repasserai une autre fois !".
Sur le retour, ma femme me dit encore:
"Putain, j'adore la sodomie ! Mais après, c'est gênant ! Il va venir te baiser quand, Gilles ? Vous avez pris RDV ?".
"C'est fait ! Moi aussi, j'en ai plein le cul ! Ca colle aussi ! Mais moi, j'ai la bouche propre !".
Elle s'esclaffe de rire, heureuse de sa soirée ! Puis s'essuie les lèvres.
Un peu frustré, Gilles est revenu le lendemain, pour me baiser plus longuement.
J'en avais envie moi aussi ! Et cette fois, c'est moi qui ai eu le visage et la gorge pleine de jus.
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