Promotion canapé. Un sacré souvenir !

- Par l'auteur HDS Justinsolo17 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Promotion canapé. Un sacré souvenir ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2013 dans la catégorie Plus on est
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(9.0 / 10)

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Promotion canapé. Un sacré souvenir !
J’ai commencé ma carrière dans une compagnie d’assurance où je travaille encore.
J’étais une secrétaire ambitieuse et irréprochable depuis une dizaine d’années et je
travaillais directement sous les ordres de la secrétaire de direction. Celle-ci
Christiane, avait été promue deux ou trois ans auparavant et déjà à l’époque, je
pensais avoir le poste qu’elle avait obtenu alors qu’elle n’était pas meilleure que
moi. C’était une femme élégante, brune, avec une belle poitrine. Elle portait toujours
des tailleurs assez stricts. Elle avait beaucoup de classe et était toujours
souriante. Mais je n’étais pas mal du tout dans un autre style.
Lorsque cette Christiane démissionna pour partir en province où son mari avait été
muté, le poste redevenait vacant et je me dis que c’était l’occasion d’obtenir ce
travail si convoité. Mais je n’étais pas la seule sur les rangs et je voyais bien
quelques jeunes collègues qui tentaient de pousser leurs avantages. Un soir, où plutôt
une fin d’après-midi, alors que le directeur était encore dans son bureau et que
j’étais seule dans le secrétariat, je pris mon courage à deux mains. Je traversais le
bureau de la secrétaire de direction, ce bureau que je rêvais d’occuper, et j’allais
toquer à la porte du directeur.
- Entrez
Je respirais à fond et j’entrais
- Bonsoir, Monsieur le directeur.
- Bonsoir Christelle. Vous vouliez me voir ?
A cette époque le directeur de la société était Mr Livert. C’était un homme de
cinquante-cinq ans, assez enrobé, avec une calvitie prononcée. Il était très soigné de
sa personne, toujours vêtu de costumes impeccables. Il émanait de lui une autorité
naturelle dont il avait conscience et dont il usait avec talent. Toujours est-il que
prenant mon courage à deux mains je me jetai à l’eau :
- Voilà, monsieur le Directeur, je sais que Christiane a démissionné pour suivre son
mari et que son poste est libre et…
Il m’interrompit
- Et ce poste vous intéresse dit-il en souriant
- Oui, monsieur le directeur. Je travaille depuis longtemps dans la société, j’ai même
remplacé Christiane lors d’un congé maladie. Je crois qu’avec votre aide je pourrais
m’acquitter des responsabilités liées à ce poste.
- Sans doute Christelle, votre travail est apprécié à sa juste valeur, vous le savez,
mais un poste de secrétaire de direction impose d’autres compétences, vous vous en
doutez. Tout d’abord, il implique une certaine discrétion et une grande disponibilité.
Et, ajouta-t-il en souriant, il faut supporter une certaine intimité avec moi puisque
vous serez plus souvent avec moi, et les autres membres de la direction qu’avec vos
collègues du secrétariat…
J’ai senti qu’il fallait défendre ma candidature :
- J’en ai conscience, Monsieur le directeur. Vous connaissez ma disponibilité, puisque
je n’ai jamais rechigné à rester le soir pour boucler des dossiers lorsque c’était
nécessaire. Quant à la discrétion, je suppose que je n’ai pas besoin d’argumenter :
vous ne m’avez jamais entendu, ni vous ni personne, raconter ma vie, ou parler des
dossiers et des clients. Pour ce qui est de la dernière qualité que ce poste réclame,
je ne demande qu’à être mise à l’essai. Donnez-moi ma chance, s’il vous plait.
Il recula sa chaise du bureau et me regarda droit dans les yeux
- Christiane avait beaucoup de talents. Je la regretterai. Si je vous donne le poste,
j’aurai tendance à vous comparer à elle. Pensez-vous que vous supporterez la
comparaison. Que vous saurez faire ce qu’elle ne rechignait pas à faire ?
- Je ferai de mon mieux, monsieur le directeur.
- Eh bien je vais vous mettre à l’épreuve dès maintenant.
Sur ces mots, tout en me dévisageant, avec un sourire ironique, il ouvrit sa braguette
et sorti un sexe, mou, mais déjà de belle taille au repos.
Le rouge me monta aux joues. Mais il fallait savoir ce que je voulais. Et ce que je
voulais c’était ce poste. ..
J’avançais lentement vers lui, les yeux fixé sur son membre puis je m’agenouillais. Il
écarta les cuisses tandis que je prenais son sexe dans mes mains et je commençais un
lent mouvement, une sorte de lente caresse. Puis alors que je commençais à sentir une
réaction, que ce sexe semblait prendre vie, je plongeais la tête en avant et je pris
son gland dans ma bouche. Il poussa un petit soupir d’aise… Et je commençais à lui
administrer une fellation qui devait me faire obtenir le poste convoité. J’ai toujours
été une bonne suceuse. Je le sais car c’est la caresse préféré de mon mari et il me
complimente à chaque fois.
Je m’appliquais donc, montant et descendant plus ou moins vite, avec des ruptures de
rythme, sortant de temps en temps son sexe de ma bouche pour jouer avec son gland du
bout de ma langue… Il était maintenant très excité et son membre, en pleine érection
avait belle allure. Je sentis qu’il appréciait mon travail et j’accélérais les
mouvements de ma bouche tout en suivant la cadence avec ma main.
Le résultat ne tarda pas et il poussa un grognement en se cambrant et se déversa dans
ma bouche. Je prenais bien soin de ne pas sortir sa queue de ma bouche. Il n’aurait
pas apprécié une tâche de salive ou de sperme sur son pantalon de costume. J’avalais
donc sa semence, consciencieusement jusqu’à la dernière goutte, puis je nettoyais son
membre avec ma langue. Enfin, une fois que sa queue ait eu perdu toute sa rigidité, je
la rangeais dans son pantalon et refermais sa braguette. Je me relevais, me reculais
de quelques pas et tête baissée, un peu essoufflée, j’attendais.
Il y eu un moment de silence, je relevais la tête et le regardais. Il était encore
avachi dans son fauteuil et arborais un sourire béat :
- Je crois que vous ferez une bonne secrétaire de direction. Je vais parler de vous à
Imbert notre DRH que vous connaissez. Revenez demain soir à la même heure, nous
statuerons sur votre cas.

Toute la journée du lendemain j’avais attendu avec impatience, regardant souvent la
pendule qui n’avançait pas. Puis enfin, vers 17h30 les collègues partirent et
j’inventais un dossier important pour justifier que je reste après l’heure.
J’attendais, ne sachant trop quelle attitude adopter. Attendre, frapper à la porte ?
J’hésitais quand Mr Imbert arriva. Son surnom, dans l’entreprise, était « le Héron »
car il était assez grand, dégarni et maigre. Un échalas…
- Bonsoir Christelle
- Bonsoir Mr Imbert
- Nous avons rendez-vous avec Mr Livert me semble-t-il.
- C’est exact, Mr Imbert, mais il ne m’a pas précisé d’heure.
Il ouvrit la porte du secrétariat de direction et alla frapper à la porte du directeur
- Oui entrez… Ah Imbert. Parfait je suis à vous. Voulez-vous faire venir Melle
Christelle ?
Je me levais et rejoignis Imbert. Ensemble nous entrâmes dans le bureau de Livert et
Imbert referma la porte.
- Imbert, cher ami, je vous ai mandé car je souhaite que vous entériniez une décision.
Vous savez que Christiane nous quitte. Elle nous manquera. Je souhaite que Melle
Christelle prenne sa place
- Bien Mr Livert, mais fera-t-elle l’affaire ? C’est un poste délicat.
- Vous avez raison, mais elle me semble avoir les qualités nécessaires.
- Lui auriez-vous fait passer un test ?
- Exactement. Et elle s’en est très bien sortie
- Vraiment ?
Je sentais dans son ton de l’incrédulité. Mr Livert eut probablement le même sentiment
car il sourit et dit à Mr Imbert
- Je suis sûr que Christelle peut réussir un nouveau test…
Et il fit comme la veille, il fit reculer son fauteuil et ouvrit sa braguette. Il
sortit son sexe et attendit.
J’avais de nouveau le rouge aux joues. Il voulait que je recommence, je pouvais m’en
douter, mais devant Mr Imbert… J’eu un moment de désespoir qui ne dura que quelques
secondes car je réagis au défi : Ils me prenaient pour une oie blanche… Ils allaient
voir.
J’avançais vers Livert et comme la veille, je m’agenouillais et sans préliminaires, je
pris sa verge dans ma bouche et commençais à le pomper. Je me sentais humiliée et
j’avais les larmes aux yeux. Je me raccrochais à l’idée de de ce poste et je pensais à
mon mari qui serait si fier de moi si je décrochais ce poste… J’essayais d’imaginer
que c’était à lui que je prodiguais cette fellation. Que c’était lui qui bandait dans
ma bouche.
Je voyais apparaître de temps en temps, dans mon champ de vision restreint, Mr Imbert
qui tournait autour de nous et qui n’étais pas avare de commentaires
- Et bien, en voilà une sacrée suceuse. Elle y met de la bonne volonté. N’est pas mon
cher Philippe ?
Mr Livert ne répondait rien, tout à son plaisir de savourer cette pipe magistrale.
Mais Mr Imbert n’attendait pas de réponse.
- Oh la petite cochonne… Ce doit être une affaire.
Il s’approcha de nous et je sentis sa main se faufiler sous ma jupe qu’il releva.
- Mais quel cul, s’écria-t-il quel cul !!! Il ne mérite pas d’être couvert par une
culotte.
Je sentis qu’il tirait ma culotte vers le bas. Comment faire pour l’en empêcher ? Je
devais continuer ma fellation puisque Mr Livert ne disait rien.
L’autre ne tarda pas à faire descendre la culotte jusqu’à mes genoux et à insinuer sa
main vers mon sexe malgré que je tentais de serrer les cuisses. Sa main entreprit un
va et vient sur mon sexe dénudé.
- Mais elle mouille la cochonne. Ça lui plait s’écria-t-il.
Il est vrai que la situation et surtout la pensée que je suçais mon mari m’avait
excité plus que je ne l’aurais cru.
Mr Imbert glissa un doigt puis deux dans mon sexe et se mit à me prodiguer une
caresse, un peu brutale mais au combien efficace.
- Tu aimes ce que je te fais, hein cochonne… Mais les doigts ce n’est pas ce que tu
préfères, j’en suis sûr.
J’entendis le bruit du zip de sa fermeture éclair de braguette puis l’instant d’après,
son sexe était à l’entrée du mien. Je n’avais plus envie de résister, je ne pensais
même plus au poste convoité, à la promotion, je n’avais plus en tête que mon plaisir.
J’écartais un peu les genoux et Mr Imbert s’engouffra d’un trait jusqu’à la garde.
J’eu un petit moment d’arrêt, pour savourer la présence de ce membre au plus profond
de mon intimité, puis je repris ma fellation de plus belle, pendant qu’Imbert faisait
monter mon plaisir à grand coup de reins.
Je sentis le sexe de Mr Livert monter dans ma gorge et le goût acre de son sperme
envahir mon palais, tandis qu’il poussait un grognement de satisfaction. Comme la
veille, j’attendais qu’il ait éjaculé la dernière goutte pour faire le ménage avec ma
langue. L’autre, accroché à mes hanches, continuait ses va et vient et se mis à
claironner
- Eh bien Philippe ! Déjà ? Regardez comme je bande mon ami. Je me retiens n’est-ce
pas ! Et je l’ai maintenant pour moi tout seul. Cela vous dérange si je l’enfile sur
votre bureau ? Il en a vu d’autre, ce cher vieux bureau.
Comme Mr Livert ne disait toujours rien, Imbert me libéra de son emprise et se releva.
Son éducation lui ordonna de m’aider à me relever
- Venez ma chère, vous méritez une position plus confortable.
Une fois debout ma culotte glissa jusqu’à mes chevilles et d’un petit mouvement de
pied je m’en débarrassais tandis qu’Imbert ôtait son pantalon qu’il avait jusqu’alors
juste ouvert. Il présentait toujours une belle érection. Son sexe était plutôt mince,
mais d’une longueur honnête.
- Allons chère Christelle, venez par ici
Il me guida entre le bureau et Mr Livert qui nous regardait, avachi dans son fauteuil
en tripotant son sexe maintenant flasque. Il me fit pencher vers le bureau. Il troussa
ma jupe et me mit une petite claque sur les fesses.
- Avouez Philippe qu’elle a un cul magnifique. Dommage que vous sembliez un peu…
désarmé. Bon, j’en profite.
Il présenta de nouveau son sexe à l’entrée du mien et m’enfila. J’étais debout,
penchée sur le bureau, la poitrine reposant sur le dessus de bureau en cuir et je
subissais les assauts de Mr Imbert qui ne semblait pas pressé de conclure. Je bougeais
à son rythme pour essayer de l’aider à monter au septième ciel mais rien n’y faisait.
Je pensais à Mr Livert qui devait avoir un drôle de spectacle avec à hauteur de sa vue
le fessier de son collaborateur qui s’agitait.
Mr Imbert se retira, et me pria de me relever
- Allons ma belle, relevez-vous, voilà. Tournez-vous et posez vos jolies fesses sur le
bureau. Bien… Laissez-vous aller en arrière. Parfait. Relevez les jambes. Je suis sûr
que Mr Livert appréciera de voir votre vulve, lui qui n’a vu que le dessus de votre
crane.
J’étais exhibée, allongé sur le dos sur le bureau, les cuisses relevées, les jambes
retenues par mes mains sous mes genoux. Mon intimité s’étalait sous le regard de ses
deux hommes, l’un dans son fauteuil essayant de redonner de la vigueur à son sexe mou,
l’autre, pérorant debout, le sexe en érection, le front en sueur avec de larges
auréoles qui décorait sa chemise sous les aisselles.
- Alors Philippe ? Non ? Tant pis, j’y retourne…
Et il enfila de nouveau son sexe, dans le mien, de toute sa longueur…
Mr Imbert était penché sur moi, ahanant à chaque coup de reins. Il finit par se
pencher tant que nous étions visage contre visage et qu’il m’embrassa en enfonçant
profondément sa langue dans ma bouche.
Je vis derrière lui Mr Livert qui s’était relevé et qui tenait dans sa main son sexe
qui avait repris une vigueur certaine
- Mon cher Patrick, dit-il je ne sais pas si c’est de voir vos fesses s’agiter sous
mon nez ou si c’est votre performance sexuelle, mais cela m’a donné des idées. Et de
l’énergie ! Une énergie que je voudrais vous faire partager
Je le vis s’enduire le sexe de salive tandis que prise d’une impulsion subite,
j’enfermais Mr Imbert dans mes bras. Celui-ci cessa son baiser sauvage et tenta de se
relever alors que Mr Livert était collé derrière lui. Trop tard… Avec une habileté qui
traduisait une longue expérience, Mr Livert introduisit son gland entre les fesses du
DRH et d’une poussée inexorable s’enfonça dans son anus.
Imbert poussa un petit cri à moitié de surprise et à moitié de douleur. Je sentis son
sexe qui était toujours en moi doubler de volume… Les deux cochons n’en étaient pas à
leur première expérience de ce type.
Ma promotion prenait un tour irréel : j’étais sur le dos, sur le bureau, jambes en
l’air avec la queue du DRH de l’entreprise plantée dans mon intimité alors que celui-
ci se faisait sodomiser par le directeur.
Après quelques mouvements désordonnés, nous nous mimes en harmonie, en rythme. Nous
étions en phase. Les coups de reins de Mr Livert donnaient la cadence.
- Mon cher Patrick, votre cul est aussi accueillant que le con de Christelle, bien que
je ne l’ai pas encore essayé. Mais saurez-vous sucer comme elle ? A voir aussi… Ah je
crois que je vais jouir dans votre cul cher ami. Je viens, je viens…
Il poussait un véritable grognement. Je sentis Mr Imbert se cambrer et se déverser à
son tour dans mon sexe alors que, balayée par l’orgasme, je laissais tomber mes
jambes.
Nous restâmes de longues minutes absolument inertes, puis Mr Livert de retira. Mr
Imbert fit de même, et tous les deux, me prenant galamment chacun par une main, me
redressèrent. Je restais assise sur le bureau, puis je me mis lentement sur mes jambes
flageolantes et je me penchais pour récupérer ma culotte qui gisait sur le sol, et
l’enfilait.
- C’est vrai qu’elle a un cul superbe dit Mr Livert
- Et beaucoup de talent répliqua Mr Imbert. Mon cher Philippe, je pense que vous avez
fait le bon choix.
- Et bien arrosons donc cette promotion. Patrick, sans vous commander, voyez dans le
frigo, il doit y avoir une bouteille de champagne.
Nous le vîmes, les fesses à l’air, partir vers le frigo et revenir avec une bouteille,
son sexe pendouillant entre ses cuisses maigres.
- Et remettez votre pantalon, mon vieux, vous êtes ridicule..
Devant l’air dépité de Mr Imbert, sa queue à l’air et sa bouteille de champagne entre
les mains, nous partîmes, Mr Livert et moi, d’un grand éclat de rire bientôt partagé
par Mr Imbert.
J’étais devenue la secrétaire de direction…

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