Prouesse

Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 64 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Cher Tamis ont reçu un total de 217 167 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 1 187 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Prouesse
Ce soir assez tard, tandis que nous sommes tous les deux au lit, elle avec sa tablette, et moi avec un livre, ma femme s’exclame :
— Waah ! Baisée par neuf cent dix-neuf (919) bonshommes !
— Euh pardon ?
— La dénommée Lisa Sparxxx, avec trois X, elle a été baisée par 919 gugusses, c’est écrit là.
Haussant les sourcils, assez étonné par cette affirmation, je tends le cou vers la tablette que Caline tient en main et je lis :
— "L'actrice porno Lisa Sparxxx a participé en 2004 au plus grand gang-bang de l'histoire. La jeune femme a couché avec pas moins de 919 hommes différents en une journée. Elle a battu le record de 646 hommes en 2002 et 759 hommes en 2003." C’est possible, ça ?
— Ben, faut croire ! Il y a même des vidéos et c'est dans le livre "Guinness Book des records" !
Durant quelques instants, je regarde avec elle diverses vidéos, en avançant souvent plus loin. Je fais le point à ma façon :
— Bon, on voit bien qu’elle a eu plein de partenaires, mais de là à ce qu’il y en ait plus de neuf cents, ce n’est pas garanti.
— Pourquoi tu penses ça, Hamed ? Et puis c'est confirmé par le "Guinness Book"
Comme j’aime me faire une bonne idée, je saisis mon smartphone pour calculer :
— À la louche, pour une séance de huit heures, sans pause, ça fait... Un bonhomme toutes les trente secondes.
— Ah oui, quand même ! Trente secondes, c’est court pour tirer sa crampe, non ? Mais dans l'article il est dit "en une journée" et une journée c'est 24h !
– Ouais ? Bon donc... En 24h cela fait... 94 secondes par mec !
— Une minute et demie ! Dit Caline.
—Ils ont dû se masturber avant, en attendant leurs tour... Mais j’ai vu nettement mieux comme façon de faire l’amour à une femme.
— Bah, là, c’est même pas faire l’amour…
— Je suis d’accord avec toi, ma chérie.
— N’empêche…
Je n’aime pas trop quand Caline utilise ce ton. Je demande une précision :
— N’empêche que quoi ?
— Ben, ça fait rêver…
— Pardon ?
Enfoncée dans son oreiller, elle devient songeuse :
— Ben oui, tous ces hommes sur la même femme, c’est un truc à vivre au moins une fois dans sa vie, non ?
— Neuf cent dix-neuf ?
— OK, je t’accorde que c’est un peu de trop… Déjà, cent, ça doit être quelque chose !
Je fais remarquer un point de détail :
— Ton record actuel, c’est dix.
— Oui, je sais... Et... Je te rappelle que c’est souvent toi qui ne souhaité pas te joindre aux autres quand nous allons dans des clubs spécialisés.
— Oui, je sais. Mais ça ne me disait trop rien. Je préfère te voir jouir avec toutes ces bites ! Mais là, ça te dit de faire ce genre de record ?
— Ben oui !
Sauf erreur de ma part : François Premier avait une maxime :
"Souvent femme varie, bien fol qui s’y fie."
Ce grand roi (surtout par la taille) avait raison.
Il devait avoir une bonne expérience sur le sujet, car il ne s’est pas contenté de n’avoir qu’une seule maîtresse. Même s’il est mort à la cinquantaine, il a pu joyeusement profiter des joies de la vie, surtout avec son statut de roi plutôt bel homme.
Les yeux vers le plafond, ma chère épouse continue son petit délire :
— À bien y réfléchir, moi, je ne préférerais pas voir les mecs qui me tronchent ; donc, allongée sur le ventre avec un gros coussin sous le ventre, ça m’irait bien.
—Ça… C’est une façon de voir…
Caline continue sur sa lancée :
— Et puis, toutes ces queues dans ma chatte… non…
— Oui, ça fait beaucoup…
— Non, c’est pas ça, mais ma chatte, c’est intime. Si je dois avoir plein de queues en moi, autant que ce soit dans mon cul !
— Dans ton cul ?? Mais c’est tout aussi intime, tu ne crois pas ?
— Non, c’est pas pareil ! Je chie avec mon cul, pas avec ma chatte !
C’est d’une logique implacable ! Et entre nous, vaut mieux entendre ça que d’être sourd ! Je m’amuse à demander à ma chère et tendre moitié :
— Et, sans indiscrétion, tu urines par où ?
— Pas par ma chatte, mais par mon urètre, cher monsieur ! C’est pas la même chose.
— Je te l’accorde, mais c’est trèèès proche.
Soudain, elle regarde sous la couette :
— Oooh le gros cochon ! Ça te fait bander, n’est-ce pas ?
— Je m’imagine te faire neuf cent dix-neuf fois l’amour…
— Hihihi, tu serais tellement vidé, desséché, qu’on pourrait te glisser sous la porte !
— Oui, t’as pas tort…
Elle saisit ma colonne de chair bien raide dans sa main, puis commence à me branler délicatement comme il se doit, en me disant :
— Ça ne me dit trop rien de faire crac-crac ce soir, car on se lève tôt demain, mais je peux faire un petit quelque chose pour toi maintenant !
— C’est-à-dire ?
— En un mot comme en cent : te vider les couilles pour soulager ta tension !
— Beau programme !
Elle continue de s’activer autour de ma verge bien gonflée. Ma femme a toujours su bien s’y prendre, que cela soit avec ses mains, ses lèvres, ses seins et j’en passe.
Et puis, d’après ce que j’ai cru comprendre chez d’autres hommes, tout le monde n’a pas la chance d’avoir une femme un tantinet portée sur le sexuel, voire un poil salope, dans le bon sens du terme ! Pour preuve, le fait que nous sortons parfois dans des endroits libertins, avec souvent à la clé des séances de baise... Des trios et même de quatuors… Oui, le pied…
Sa voix me sort de ma rêverie :
— Mon gros loup, aides-moi un peu, car on va pas y passer cent sept ans !
— Euh… Que veux-tu que je fasse ?
Sa voix se fait plus sensuelle, caressante :
— Hmmm… Imagine que c’est effectivement toi qui m’encules neuf cent dix-neuf fois ! Surtout que t’aimes mon cul, n’est-ce pas !
— Oh oui, j’aime ton cul et pas que lui !
Sa voix se fait nettement gourmande, perverse :
— Je sais, je sais ! Mais pour l’instant, on parle de mon cul que tu adores défoncer, n’est-ce pas, mon gros cochon ?
— Ah ça, oui ! J’adore plonger dedans !
Sa voix devient charnelle et rauque :
— Ah oui ? Continues…
— J’adore le forer, le perforer, le transpercer !
— Ah oui ?
— J’adore mettre ma bite au plus profond de ton trou du cul pour mieux te le remplir !
Sa voix se dilue dans mon cerveau en fusion :
— Hein que t’adores me remplir le cul avec tout ton foutre !
— Oh oui que j’adore, ça, je pourrais le… Aaargh !!
— Yes !! Eh bien, nous y voilà, le pétrole blanc jaillit !
Ah ma femme et ses métaphores ! En tout cas, c’est réussi, je suis en train d’éjaculer comme pas possible, comme si j’avais des réserves cachées ! Décidément, ma femme est très forte à ce genre de jeu, comme en témoignent ses divers amants et rencontres d’un soir…
Recherches :
Ce n’est pas la première fois que j’organise pour ma femme des choses qu’il vaut mieux, ne pas ébruiter sur la place publique. Mais cette fois-ci, je ne vois pas par quel bout commencer.
Trouver des lieux, des endroits, des locaux, on y arrive.
Trouver des accessoires particuliers, on y arrive aussi.
Trouver des bons partenaires de jeu, là ça devient déjà plus problématique.
Mais trouver beaucoup de partenaires qui jouent le jeu, le tout au même moment, au même endroit, là ça devient mission quasi impossible...
Mais impossible n’est pas "français" et surtout pas "tunisien" ce peuple qui est connu et reconnu pour être si.... Débrouillard, dit-on.
Et je fais parti de ce peuple (rappel : chui Germano-tunisien) depuis ma naissance, donc je devrais y arriver.
Je peux éventuellement me faire aider par certains comparses qui m’ont déjà prêté main-forte, mais j’ai des doutes qu’ils y arrivent mieux que moi.
Jean-Pierre est agent immobilier, c’est mon fournisseur attitré de locaux.
Michelle possède un bon réseau, ce qui est utile pour certaines choses.
Enfin, Daniel est antiquaire, il arrive souvent à dénicher l’accessoire étrange.
Bref... Monique !
Peut-être que Michelle pourra quelque chose pour moi.
Elle trempe dans le milieu libertin depuis une bonne vingtaine d’années. Certaines personnes l’ont baptisée Miche-Michelle ou Miche-Miche, car sa poitrine est fort avenante.
Elle organise parfois des festivités jusqu’à dix couples, mais jamais plus. Remarquez dix couples, donc vingt personnes, il faut savoir les gérer et les caser.
— Ah d’accord ! Elle fait fort, ta femme !
— C’est pour cette raison que je te contacte, Michelle. Moi, je ne vois pas comment m’en sortir. J’ai retourné le problème dans tous les sens, je n’ai pas les moyens de réunir tant de personnes, et si possible, qui sauront jouer le jeu.
— Honnêtement, là, tu me prends de court. Je sais, que tu sais que j’organise des soirées avec diverses personnes, mais là, ça dépasse mes capacités…
Ah zut !
Si Michelle se sent dépassée, je ne vois pas qui d’autre pourrait assouvir l’idée un peu foldingue de ma chère moitié. Après trois-quatre secondes de silence téléphonique, mon interlocutrice me demande :
—Hamed... Est-ce que ta femme accepterait qu’on la filme ?
— On a déjà fait deux films, mais pour notre "plaisir" personnel, dans le cadre de réaliser un fantasme... Du moment qu'on ne voit pas sur le net... Et si même cela et "indispensable", cela sera génial qu’on ne voit pas son visage, je pense que je pourrais la convaincre...
— Avec un masque ou un loup, par exemple ?
— Oui, ça devrait aller…
— Et en body-painting ?
Je marque une courte pause :
— Si ses traits sont altérés, ça devrait aussi le faire.
Un nouveau petit silence s’installe, puis Michelle annonce :
— Écoute, Hamed, je ne te promets rien, mais il y a peut-être moyen d’assouvir ce fantasme. Je dis bien «peut-être»... Bon, je te recontacte dès que j’ai du nouveau, OK ?
— D’accord.
Puis nous discutons d’un peu de tout avant de couper la communication. Que diable Michelle a pu avoir comme idée ? Surtout avec son body-painting ?
Une idée incongrue.
Quelques jours plus tard, Michelle débarque à la maison pour expliquer son idée. J’ai déjà entendu des choses étranges dans ma vie, mais là, je ne peux m’empêcher de rire, tandis que Caline reste bouche bée !
— En Schtroumpfette !?
— Exactement ! Si tu relis la BD, tu sauras que les Schtroumpfs sont cent, avec le Grand Schtroumpf, le tout pour une seule Schtroumpfette.
Un sacré ratio !
Je demande :
— Et il y aura cent Schtroumpfs ?
— Pas autant, mais on peut déjà compter sur trente volontaires. En cadrant bien, on peut faire croire qu’il y en a beaucoup plus.
— Tu as déniché trente personnes qui accepteraient ce genre de truc ?
— Ce n’est pas moi, mais un contact qui sévit dans le milieu du X. Et puis, sodomiser une Schtroumpfette en étant soi-même déguisé en Schtroumpf, ce n’est pas tous les jours que ça arrive !
— Oui, en effet… C’est même... I... Ni... Ma... Ginable !
Je tiens à faire remarquer un point qui me chagrine :
— Oui… Mais si c’est filmé, il ne va pas y avoir un problème de copyright pour une quelconque diffusion ?
— En réalité, HULSTER, vous connaissez ? Ils ont déjà fait un film X avec des Schtroumpfs en 2011 ou 2012 et nous, on pense faire un petit truc comme-ça...
— Aïe ! Ça risque de générer un double problème de copyright ! Dis-je.
— T’inquiètes, ça va être un mélange entre les Schtroumpfs et Avatar... Il paraît que la solution adoptée ne posera pas de souci. De plus, en cas de poursuites pénales, l’actrice n’est en rien concernée, donc pas de danger. Idem pour les bites participantes... Ah au fait, je suppose que tu participeras toi aussi… Ça fera un bonhomme de plus…
Je n’avais pas songé à mettre la main à la pâte, mais pourquoi pas, surtout peint en bleu !
— Hmmm, ça peut se faire…
Amusée, Caline réplique :
— Pff ! Le contraire m’aurait étonné !
Puis elle se tourne vers Michelle :
— Ton body-painting, ce sera de la tête aux pieds ?
— Disons, une bonne partie de ton corps, en tout cas, ma jolie. On peut imaginer que le haut de ton corps soit vêtu avec la même robe que la Schtroumpfette, mais ton visage sera peint. Pour ce faire, le décorateur pense à des zébrures, le tout en bleu.
— Une version tigrée, c’est ça ?
— T’as tout compris, ma chère Caline !
Des zébrures ?
Bonne idée !
Je sais que c’est très efficace pour modifier les volumes et donc les traits du visage. Songeuse, ma femme marque une légère pause, puis elle lâche :
— Du moment qu’on ne me reconnaît pas, c’est le principal !
— Il faudra cependant faire au moins un essai de peinture pour voir si c’est OK. Que dirais-tu d’après-demain, ma jolie ?
— Déjà ?
— Il faut battre le fer tant qu’il est encore chaud !
Assez rêveuse, ma femme accepte.
Concrétisation :
L’essai ayant été concluant, le fameux jour bleu est arrivé. La peinture de son corps achevée, elle s’admire devant le grand miroir. Elle approche même mon visage afin de bien observer le reflet :
— Ah oui, en effet ! C’est dingue, je ne me reconnais même pas !
Michelle, qui est présente, lui rassure :
— Tu vois, pas de souci... Au fait, tu reconnais ton homme parmi les figurants ?
— Attends… Je vais te dire ça…
Tournant la tête, elle plisse des yeux, observant attentivement les hommes qui vont bientôt aller se vider en elle. Comment dire, c’est étrange : mis à part des chaussons rouges et un bonnet rouge de Noël, ils sont nus, dont certains déjà au garde-à-vous.
Quoique certains ont des sortes de gilets.
Tous des variantes du Grand Schtroumpf, mais en version bleue zébrée, avec ou sans barbe. Elle se demande même si elle n'est pas en train de rêver !
Après examen, elle reconnait :
— Ben… Non… Je n’arrive pas à le repérer… Les rayures, ça change tout !
Jean-Daniel, le réalisateur, nous a réuni et nous explique :
— Comme tu le sais déjà, étant donné que tout le monde est clean et que c’est une grosse demande du marché... Pas usage de préservatifs... S’il le faut, on rajoutera même du faux sperme de temps à autre pour donner l’impression que ton cul déborde à fond.
— Hmm-hmm… Fait Caline.
— Et comme tu vois, j’ai trois caméras pour immortaliser l’événement. En général, fais comme si elles n’étaient pas là, sauf si un caméraman ou moi-même te faisons le signe de la victoire avec nos doigts, comme ça.
Il met sous son nez son index et son majeur dessinant la lettre V.
Il poursuit :
— Dans ce cas, tu regardes bien l’objectif... OK ?
— OK… Comme si je regardais mon mari ?
— Si ça t’aide de penser que c’est ton mari que tu regardes et qui te regarde, fais ainsi. Il faut que de temps en temps l’actrice regarde le spectateur pour mieux l’intégrer dans l’action. Tu comprends ?
Un peu stressée, réalisant ce qu’il va se passer dans peu de temps, elle fini par hocher la tête :
— Oui, je comprends !
— Continuons : pour le son, ne t’inquiète pas, on fera de la post-synchro. Donc, tu peux dire tout ce que tu veux. Et ne t’étonne pas de ce que les figurants peuvent dire. OK ?
— Ah OK… Ils racontent des trucs pas possibles ?
Le réalisateur explique :
— Comme des noms d’oiseaux, et parfois, y en a qui ont des drôles de fantasmes !
— Ah bon ? Fis-je.
— Eh oui, "il faut de tout pour faire un monde"! Enfin, si tu veux une pause, serre ton poing vers le bas, je dis bien, vers le bas. OK ?
— D’accord, vers le bas… Comme ça ?
— Oui, comme ça. Eh bien… C’est quand tu veux, tout le monde est prêt !
Elle respire un grand coup, puis se dirigeant vers le lit, je lance alors :
— Bon, en route pour la gloire !
Ce qui fait rire la plupart des personnes présentes. Mais honnêtement, je ne suis pas très rassuré, et Caline encore moins !
Comme convenu, elle s’allonge sur le ventre, avec deux gros traversins sous son pubis, ce qui met ses fesses en évidence. De part et d’autre du pied du lit, il y a deux petits escabeaux à trois marches.
Je réalise qu’ils seront utiles pour que certains hommes pour mieux se positionner.
Michelle arrive sur le côté, avec une grande seringue. Tapotant sur les fesses de ma chéri, elle explique :
— Panique pas, ma jolie, c’est juste du lubrifiant pour que ça se passe au mieux, sinon tu auras le trou du cul comme un chou-fleur !
— OK…
— T’as bien fait un lavement avant de venir ?
—Mais cela va de soit... J'me suis déjà faite enculer plus d'une fois ! Et... J'en ai même fait deux, de lavement, pour être certaine ! Répond ma cochonne avec un grand sourire.
J’entends quelques rires autour de moi.
Bref... Une fois ses fesses écartées, un fin tube s’enfonce avec facilité dans le cul de Caline qui semble, à s'y méprendre, être très excitée par l'événement qu'elle va (que nous allons) vivre, puis quelque chose est ensuite injecté dans mon rectum, puis un doigt s’amuse à barbouiller l'entrée des artistes.
La voix de Michelle retentit alors :
— Voilààà, ma jolie ! J’en ai mis une tonne ! Même un tronc d’arbre passerait sans problème !
— Pfff ! T’as de ces comparaisons ! J’espère que ça n’arrivera pas ! Bien que… Souffle Caline.
— Bien que quoi, Caline ?
— Y a des figurants qui sont bien dotés par la nature ! Et... Ça me fait plaisir... Soyons une vraie salope de chez salope au moins une fois dans la vie !
— Le plus souvent possible tu veux dire ! Ai-je ajouté.
Michelle se met à glousser et nous informe :
— En général, dans le milieu du X, on préfère les anacondas aux anchois. Mais pour te rassurer, on va commencer avec des engins dans la moyenne.
Là je me sens visé.
— Quelle moyenne ? Celle des hommes sur cette terre ou celle des artistes du X ?
— Dans la moyenne, c'est à dire ceux avec une bite qui fait 17-18cm !
Puis elle donne une grosse claque sur les fesses de ma princesse.
Le ballet des caméras commence, tournant autour de Caline. Parfois, elle regarde droit l’objectif comme demander.
Ce petit manège dure bien deux minutes, je suppose qu’il y aura montage avec des coupes.
Je crois avoir lu, quelque part, que, dans un film classique, on tourne quelques dizaines de minutes par jour... Sauf dans le X pur et dur, où il arrive qu’on tourne plusieurs films le même jour avec les mêmes acteurs dans le même endroit, afin d’optimiser les coûts.
Je sens que ça s’agite derrière moi, nous allons entrer dans le vif du sujet, dans le vif du cul de Caline !
Je vois une main agripper sa hanche tandis qu’aussitôt quelque chose de dur taquine son petit trou. La ronde des hommes en bleu va commencer.
— C’est parti, ma Schtroumpfette ! murmure une voix inconnue.
Quelques secousses, deux-trois positionnements, et ce figurant déjà très excité l’encule posément !
Comme sa queue est assez fine, il entre en elle assez facilement.
Il faut dire que Michelle a effectivement mis le paquet avec son espèce de vaseline, et qu’on a demandé aux figurants d’être eux aussi bien lubrifiés.
— Han ! Han !
Il la secoue comme un prunier. Heureusement, pour elle, comme il était déjà bien excité, il s’abandonne bien vite :
— Aaah ! Oh que c’est bon d’être dans ce cuuul !! Finit ce personnage de dire.
Les autres s’impatientent déjà... Le premier Schtroumpf se retire. Caline exprime un murmure qui ressemble à un soulagement, mais aussi comme si c'était un manque.
C’est à présent une autre queue un peu plus grosse qui investit son petit trou. L’intrus entre joyeusement en elle, il la pistonne ludiquement trois fois, puis se retire avec aisance, sans avoir joui.
La machine à enculer est lancée, la délicate entrée des artistes de Caline va être très visitée ces prochaines minutes !
Les figurants s’enchaînent un à un, elle met bien mon cul en buse afin de faciliter les choses.
Aussi étrange que cela puisse être, ça me paraît presque banal, trop facile. Des tas de queues la perforent, l’assaillent, plongent en elle, certaines grosses, d’autres fines, certaines longues, d’autres courtes.
Elle est ramonée à fond, puissamment, copieusement, allant d’une bite à une autre, tel un jouet que des gamins se refilent.
Soudain, un figurant présente sa verge à moitié molle sous son nez. Ce n’était pas prévu au programme.
Néanmoins, bonne fille qu'elle est, elle lui offre un "massage" à sa façon. Bien sûr, une caméra n’en perd pas une miette !
— Et en plus, elle suce bien ! J’aurais bien eu tort de ne pas tenter ma chance !
Tandis que elle s’occupe de cette sucette qui redurcit dans sa bouche, je suis en train de songer à tout ce qui arrive actuellement.
Il n’y a peut-être que trente figurants présents autour de moi, mais certains vont y revenir plusieurs fois, à moins que ce ne soit déjà le cas.
Je suis déjà en train de perdre le compte des queues que Caline a pu recevoir dans son cul !
Certains la pénètrent sans trop de difficulté, d’autres doivent s’y reprendre à plusieurs fois. Un quidam a même éjaculé au moment où il posait son membre sur sa cuvette !
Ses enculeurs adoptent parfois des positions acrobatiques en grimpant sur les escabeaux ou carrément sur le lit. Quelques-uns s’y prennent même à rebours, lui tournant le dos.
La vidéo qui est en train d’être tournée va ressembler à un catalogue de positions ou peut-être même à un guide d'enculage des temps modernes !
J’entends des tas de commentaires avec souvent des noms d’oiseau :
— À mon tour de baiser ce bon gros cul ! Dit l'un des présents.
— Eh bé, un sacré garage à bite, cette gonzesse ! Dit un autre.
— Oooaaah ! Ah quelle puuute ! Mais quelle puuute ! Dit un autre Schtroumpf.
— C’est plus un cul qu’elle a, c’est un trou, un puits, un gouffre ! Hurle Schtroumpf bricoleur.
— Enculer un cul pareil, puis se faire sucer, oui c’est le pied intégral ! S’exclame le grand Schtroumpf.
— Oui, c’est une grosse salope, cette femme ! Pour une débutante, c’est pas mal ! Dit Schtroumpf "farceur".
À présent, la sensation générale que j’éprouve est étrange : c’est à la fois excitant et humiliant.
Caline n'est qu’un trou, un trou normalement interdit, que ces bites, inconnues, remplissent, comblent.
Caline déborde petit à petit, pas besoin de faux sperme... Je vois le foutre dégouliner hors de son anus, coulant le long de ses lèvres intimes, le long de ses cuisses.
Elle ruisselle de foutre, son cul n’arrive plus à le contenir tant ces salauds, se vident dans son cul !
— Bordel ! Regardez comme ça déborde !! Dit l'un des protagonistes.
— Oui, ch’te dis pas tout le foutre qu’elle a dans le cul ! Reprend un autre.
— Pouvu que ce réservoir arrive à tout prendre !
Tandis qu'elle est toujours allongée sur le ventre, fesses bien en évidence, la ronde des queues continue sans répit à l’enculer... D’autres bites cherchent sa bouche, ses lèvres, elle suce, elle lèche, ils déchargent, devant, derrière. Elle nettoie un par un ces braquemarts qui ont juté, qui ont vidé leurs bourses bien pleines.
Caline est devenue leur chose, cet avilissement m’excite d’une étrange façon !
Enfiévrée, elle glisse sa main sous mon ventre, puis sous son pubis. Arrivée à bon port, elle commence à se masturber... Ses doigts s’agitent frénétiquement dans da fente devenue gluante de sperme.
— Eh ! Regarde-la, cette cochonne ! Elle se doigte ! S’exclame Schtroumpf "costaud".
— Elle a raison d’en profiter ! Au moins, cette fille ne fait pas semblant, contrairement à beaucoup d’actrices du X.
Oui, elle en profite !
Et eux, ces Schtroumpfs à queue, que font-ils ?
Ils n'en profitent pas allégrement du cul à ma Caline ?
Ses doigts continuent leur ballet avec délice... Je sens comme un flottement autour de moi. Il se murmure diverses choses dans mon dos, mais je ne comprends pas, tellement que je suis actuellement plongée dans un brouillard opaque et cotonneux.
— Yeee Yves ?
— 2 fois O ?
— Let's go !
La queue qui était en train de l’enculer se retire légèrement. Soudain, je vois une autre bite venir se coller contre son entrée dévastée, dégoulinante et gluante. Je devine aussitôt que ces salauds veulent tenter une double anale !
Dans un mélange de plaisir et d’appréhension, les deux queues entrent en elle. Je les vois passer sans encombre, mais finalement, ce n’est pas pire que la grosse queue de certains de ses amants, ou de certains godes.
— Eh bé ! Ça rentre comme dans du beurre !
— Je te l’avais bien dit ! C’est élastique !
Caline, bien qu'elle a déjà connu cette "intrusion", 2 fois, est passée à ce moment-ci, dans une autre catégorie, une catégorie restreinte, celle des putes qui acceptent les doubles dans le petit trou, et le tout, sous l’œil avide de trois caméras !
Je n’ai pas cru que ça irait aussi loin, mais curieusement, ça me semble quasiment naturel…
Les deux salopards bleutés commencent à la pistonner lentement mais sûrement, mais hélas, ils ne sont pas synchrones, ce qui fait que son sphincter est mis à rude épreuve !
Mais petit à petit, la situation s’améliore pour ma plus grande satisfaction, d’autant que je me masturbe frénétiquement !
Mon plaisir monte, tout comme le plaisir de la Caline (qui me l'a confirmé plus tard)... J'imagine qu'elle doit être dans un autre monde, qu'il nous est (à nous les hommes) impossible de connaître, de sentir, le bonheur et la joie d'y être !
"Je sentais ces deux membres de chair qui me labouraient, qui remplissaient mon petit trou du cul, je me suis sentis, petit à petit, sombrer, comme si je flottais, assise sur un doux nuage nirvanesque... Et soudain, les intrus ont abandonné la cave qui les avait accueilli... Je ne saurais te dire si j'étais soulagée ou un peu déçue. Tout est si flou..." Me dira plus tard Caline, quand on a visionné le film de ses exploits.
Bref,
— Oh putain que c’est bon d’aller dans ce cul de pute !! Hurle presque un des deux Schtroumpfs.
Mais nul répit pour ses fesses ni pour mes oreilles... Une autre verge s’introduit... Un autre commentaire se fait entendre.
Quelques instants plus tard, la queue qui la fouille, est remplacée par une autre, puis par deux autres à nouveau. Je perds le compte de toutes ces saucisses humaines qui barattent le cul de ma belle coquine.
Et on dit que cette actrice s’est offerte plus de neuf cents bonhommes ?
Je crois que déjà dès la trentaine ou la quarantaine, elle devait être sur pilotage automatique !
Mais peut-être que ce n’est pas pareil dans la chatte…
Pour ma part, j’ai découvert, il y a quelques années, que le cul à Caline était plus permissif, tolérant, que mon vagin.
Mais est-ce le cas pour toutes les femmes ? Je ne suis pas allé demandé !
Une nouvelle queue en remplace une autre.
Est-ce vraiment une nouvelle verge ?
Cette queue, n'a-t-elle déjà éjaculé en elle ?
Je ne sais pas, et je m’en fous...
Je prends un plaisir étrange à être le spectateur de ces accouplements, à voir que le cul de Caline sert de déversoir de ces hommes en bleu, tel un puits insondable, une version moderne du tonneau des Danaïdes (pour ceux qui ne savent pas, une petite leçon d'histoire, ou plutôt de mythologie : Et pour cause, l'expression "tonneau des Danaïdes" est issue de la mythologie grecque. Eh oui ! Les Danaïdes étaient les cinquante filles de Danaos, roi d'Égypte et elles furent condamnées par les dieux à remplir sans fin tonneau percé en enfer)
— Eh, vises-moi cette pouffe ! Elle déborde ! Acclamé un des Schtroumpfs présent.
— Oui, j’vois ça ! C’est gravement kiffant !!
C'est alors (elle me le racontera plus tard) qu'elle se sentait comme "demi-morte"... Elle se voyait comme suspendue, mais avait une sensation si reposante, si apaisante... Elle était ailleurs, autrement, lointaine, étrangère à toutes ces délicieuses turpitudes qu'elle était entrain de subir.
Et cette "demi-mort" n’est que la première. La ronde infernale des figurants bleutés est telle la roue du karma, avec naissance, vie, mort et renaissance sans cesse renouvelées, dans un délire absolu de lubricité et de débauche !
Franchement, un truc de ouf, de dingue, de malade, mais qu'elle se devait, voulait, vivre au moins une fois dans ma vie et moi aussi, c'estpas tous mes jours qu'on aura l'occasion de vivre, voir un truc pareil !
Actrice – Caroline
Quand la vidéo est sortie (je ne vous donnerai pas le titre... N'insistez pas !) il n'y a eu aucun souci. Et... Depuis que nous avons eu une copie de cette vidéo, au premier visionnage, Caline était assise sur le bord du canapé prête à bondir, me cherchant parmi les figurants, mais elle n’arriva pas à me dénicher.
À chaque fois qu'elle croyait m’avoir trouvé, je lui disais, même si elle avait raison:
— Non, non, ce n’est pas moi !
Déjà, qu'elle-même, avait du mal à se reconnaître, mais que son trou du cul avait gardé en mémoire le passage de ses bites ! Je n’aurais jamais cru que ce banal (c’est vite dit) fantasme lancé en l’air se concrétiserait un jour. Comme quoi tout peut arriver, même ce qui semble impossible et impensable.
— Chéri, je vais me méfier la prochaine fois que je lancerai une idée en l’air ! Me dit-elle quand on évoque cette aventure.
— Hahaha ! Rappelle-toi que je t’ai demandé ton aval. Et puis, maintenant, tu as le pied à l’étrier, je me trompe ?
Effectivement... Sous l’égide de Jean-Daniel (le réalisateur pour ceux qui auraient, déjà, oublié), Caline a tourné d’autres scènes, mais beaucoup plus reposantes que celle, qu'a vécu la Schtroumpfette. Là aussi, ona fait en sorte, qu'on ne puisse pas reconnaissait ma tendre Caline... D'ailleurs un grand merci à celui, ou celle, qui a inventé le maquillage et bien entendu, à toute l'équipe des maquilleuses.
C’est ainsi que j’ai pu croiser au naturel deux actrices X, c’est vrai qu’il y a souvent un gouffre entre la bombe incendiaire sur l’écran et la femme qu’on croise avant le maquillage.
Résultat des courses : maintenant Caline a trois films à mon actif (et à preuve du contraire, il n'y aura pas d'autres)+ les deux films, qu'elle a, qu'on a, tourné en Belgique (qu'on garde précieusement) + nos quelques (10aines) films amateurs (introuvables sur le web)
Cela a mis un peu de beurre à nos épinards !
Au plaisir de vous faire lire une autre aventure !
— Waah ! Baisée par neuf cent dix-neuf (919) bonshommes !
— Euh pardon ?
— La dénommée Lisa Sparxxx, avec trois X, elle a été baisée par 919 gugusses, c’est écrit là.
Haussant les sourcils, assez étonné par cette affirmation, je tends le cou vers la tablette que Caline tient en main et je lis :
— "L'actrice porno Lisa Sparxxx a participé en 2004 au plus grand gang-bang de l'histoire. La jeune femme a couché avec pas moins de 919 hommes différents en une journée. Elle a battu le record de 646 hommes en 2002 et 759 hommes en 2003." C’est possible, ça ?
— Ben, faut croire ! Il y a même des vidéos et c'est dans le livre "Guinness Book des records" !
Durant quelques instants, je regarde avec elle diverses vidéos, en avançant souvent plus loin. Je fais le point à ma façon :
— Bon, on voit bien qu’elle a eu plein de partenaires, mais de là à ce qu’il y en ait plus de neuf cents, ce n’est pas garanti.
— Pourquoi tu penses ça, Hamed ? Et puis c'est confirmé par le "Guinness Book"
Comme j’aime me faire une bonne idée, je saisis mon smartphone pour calculer :
— À la louche, pour une séance de huit heures, sans pause, ça fait... Un bonhomme toutes les trente secondes.
— Ah oui, quand même ! Trente secondes, c’est court pour tirer sa crampe, non ? Mais dans l'article il est dit "en une journée" et une journée c'est 24h !
– Ouais ? Bon donc... En 24h cela fait... 94 secondes par mec !
— Une minute et demie ! Dit Caline.
—Ils ont dû se masturber avant, en attendant leurs tour... Mais j’ai vu nettement mieux comme façon de faire l’amour à une femme.
— Bah, là, c’est même pas faire l’amour…
— Je suis d’accord avec toi, ma chérie.
— N’empêche…
Je n’aime pas trop quand Caline utilise ce ton. Je demande une précision :
— N’empêche que quoi ?
— Ben, ça fait rêver…
— Pardon ?
Enfoncée dans son oreiller, elle devient songeuse :
— Ben oui, tous ces hommes sur la même femme, c’est un truc à vivre au moins une fois dans sa vie, non ?
— Neuf cent dix-neuf ?
— OK, je t’accorde que c’est un peu de trop… Déjà, cent, ça doit être quelque chose !
Je fais remarquer un point de détail :
— Ton record actuel, c’est dix.
— Oui, je sais... Et... Je te rappelle que c’est souvent toi qui ne souhaité pas te joindre aux autres quand nous allons dans des clubs spécialisés.
— Oui, je sais. Mais ça ne me disait trop rien. Je préfère te voir jouir avec toutes ces bites ! Mais là, ça te dit de faire ce genre de record ?
— Ben oui !
Sauf erreur de ma part : François Premier avait une maxime :
"Souvent femme varie, bien fol qui s’y fie."
Ce grand roi (surtout par la taille) avait raison.
Il devait avoir une bonne expérience sur le sujet, car il ne s’est pas contenté de n’avoir qu’une seule maîtresse. Même s’il est mort à la cinquantaine, il a pu joyeusement profiter des joies de la vie, surtout avec son statut de roi plutôt bel homme.
Les yeux vers le plafond, ma chère épouse continue son petit délire :
— À bien y réfléchir, moi, je ne préférerais pas voir les mecs qui me tronchent ; donc, allongée sur le ventre avec un gros coussin sous le ventre, ça m’irait bien.
—Ça… C’est une façon de voir…
Caline continue sur sa lancée :
— Et puis, toutes ces queues dans ma chatte… non…
— Oui, ça fait beaucoup…
— Non, c’est pas ça, mais ma chatte, c’est intime. Si je dois avoir plein de queues en moi, autant que ce soit dans mon cul !
— Dans ton cul ?? Mais c’est tout aussi intime, tu ne crois pas ?
— Non, c’est pas pareil ! Je chie avec mon cul, pas avec ma chatte !
C’est d’une logique implacable ! Et entre nous, vaut mieux entendre ça que d’être sourd ! Je m’amuse à demander à ma chère et tendre moitié :
— Et, sans indiscrétion, tu urines par où ?
— Pas par ma chatte, mais par mon urètre, cher monsieur ! C’est pas la même chose.
— Je te l’accorde, mais c’est trèèès proche.
Soudain, elle regarde sous la couette :
— Oooh le gros cochon ! Ça te fait bander, n’est-ce pas ?
— Je m’imagine te faire neuf cent dix-neuf fois l’amour…
— Hihihi, tu serais tellement vidé, desséché, qu’on pourrait te glisser sous la porte !
— Oui, t’as pas tort…
Elle saisit ma colonne de chair bien raide dans sa main, puis commence à me branler délicatement comme il se doit, en me disant :
— Ça ne me dit trop rien de faire crac-crac ce soir, car on se lève tôt demain, mais je peux faire un petit quelque chose pour toi maintenant !
— C’est-à-dire ?
— En un mot comme en cent : te vider les couilles pour soulager ta tension !
— Beau programme !
Elle continue de s’activer autour de ma verge bien gonflée. Ma femme a toujours su bien s’y prendre, que cela soit avec ses mains, ses lèvres, ses seins et j’en passe.
Et puis, d’après ce que j’ai cru comprendre chez d’autres hommes, tout le monde n’a pas la chance d’avoir une femme un tantinet portée sur le sexuel, voire un poil salope, dans le bon sens du terme ! Pour preuve, le fait que nous sortons parfois dans des endroits libertins, avec souvent à la clé des séances de baise... Des trios et même de quatuors… Oui, le pied…
Sa voix me sort de ma rêverie :
— Mon gros loup, aides-moi un peu, car on va pas y passer cent sept ans !
— Euh… Que veux-tu que je fasse ?
Sa voix se fait plus sensuelle, caressante :
— Hmmm… Imagine que c’est effectivement toi qui m’encules neuf cent dix-neuf fois ! Surtout que t’aimes mon cul, n’est-ce pas !
— Oh oui, j’aime ton cul et pas que lui !
Sa voix se fait nettement gourmande, perverse :
— Je sais, je sais ! Mais pour l’instant, on parle de mon cul que tu adores défoncer, n’est-ce pas, mon gros cochon ?
— Ah ça, oui ! J’adore plonger dedans !
Sa voix devient charnelle et rauque :
— Ah oui ? Continues…
— J’adore le forer, le perforer, le transpercer !
— Ah oui ?
— J’adore mettre ma bite au plus profond de ton trou du cul pour mieux te le remplir !
Sa voix se dilue dans mon cerveau en fusion :
— Hein que t’adores me remplir le cul avec tout ton foutre !
— Oh oui que j’adore, ça, je pourrais le… Aaargh !!
— Yes !! Eh bien, nous y voilà, le pétrole blanc jaillit !
Ah ma femme et ses métaphores ! En tout cas, c’est réussi, je suis en train d’éjaculer comme pas possible, comme si j’avais des réserves cachées ! Décidément, ma femme est très forte à ce genre de jeu, comme en témoignent ses divers amants et rencontres d’un soir…
Recherches :
Ce n’est pas la première fois que j’organise pour ma femme des choses qu’il vaut mieux, ne pas ébruiter sur la place publique. Mais cette fois-ci, je ne vois pas par quel bout commencer.
Trouver des lieux, des endroits, des locaux, on y arrive.
Trouver des accessoires particuliers, on y arrive aussi.
Trouver des bons partenaires de jeu, là ça devient déjà plus problématique.
Mais trouver beaucoup de partenaires qui jouent le jeu, le tout au même moment, au même endroit, là ça devient mission quasi impossible...
Mais impossible n’est pas "français" et surtout pas "tunisien" ce peuple qui est connu et reconnu pour être si.... Débrouillard, dit-on.
Et je fais parti de ce peuple (rappel : chui Germano-tunisien) depuis ma naissance, donc je devrais y arriver.
Je peux éventuellement me faire aider par certains comparses qui m’ont déjà prêté main-forte, mais j’ai des doutes qu’ils y arrivent mieux que moi.
Jean-Pierre est agent immobilier, c’est mon fournisseur attitré de locaux.
Michelle possède un bon réseau, ce qui est utile pour certaines choses.
Enfin, Daniel est antiquaire, il arrive souvent à dénicher l’accessoire étrange.
Bref... Monique !
Peut-être que Michelle pourra quelque chose pour moi.
Elle trempe dans le milieu libertin depuis une bonne vingtaine d’années. Certaines personnes l’ont baptisée Miche-Michelle ou Miche-Miche, car sa poitrine est fort avenante.
Elle organise parfois des festivités jusqu’à dix couples, mais jamais plus. Remarquez dix couples, donc vingt personnes, il faut savoir les gérer et les caser.
— Ah d’accord ! Elle fait fort, ta femme !
— C’est pour cette raison que je te contacte, Michelle. Moi, je ne vois pas comment m’en sortir. J’ai retourné le problème dans tous les sens, je n’ai pas les moyens de réunir tant de personnes, et si possible, qui sauront jouer le jeu.
— Honnêtement, là, tu me prends de court. Je sais, que tu sais que j’organise des soirées avec diverses personnes, mais là, ça dépasse mes capacités…
Ah zut !
Si Michelle se sent dépassée, je ne vois pas qui d’autre pourrait assouvir l’idée un peu foldingue de ma chère moitié. Après trois-quatre secondes de silence téléphonique, mon interlocutrice me demande :
—Hamed... Est-ce que ta femme accepterait qu’on la filme ?
— On a déjà fait deux films, mais pour notre "plaisir" personnel, dans le cadre de réaliser un fantasme... Du moment qu'on ne voit pas sur le net... Et si même cela et "indispensable", cela sera génial qu’on ne voit pas son visage, je pense que je pourrais la convaincre...
— Avec un masque ou un loup, par exemple ?
— Oui, ça devrait aller…
— Et en body-painting ?
Je marque une courte pause :
— Si ses traits sont altérés, ça devrait aussi le faire.
Un nouveau petit silence s’installe, puis Michelle annonce :
— Écoute, Hamed, je ne te promets rien, mais il y a peut-être moyen d’assouvir ce fantasme. Je dis bien «peut-être»... Bon, je te recontacte dès que j’ai du nouveau, OK ?
— D’accord.
Puis nous discutons d’un peu de tout avant de couper la communication. Que diable Michelle a pu avoir comme idée ? Surtout avec son body-painting ?
Une idée incongrue.
Quelques jours plus tard, Michelle débarque à la maison pour expliquer son idée. J’ai déjà entendu des choses étranges dans ma vie, mais là, je ne peux m’empêcher de rire, tandis que Caline reste bouche bée !
— En Schtroumpfette !?
— Exactement ! Si tu relis la BD, tu sauras que les Schtroumpfs sont cent, avec le Grand Schtroumpf, le tout pour une seule Schtroumpfette.
Un sacré ratio !
Je demande :
— Et il y aura cent Schtroumpfs ?
— Pas autant, mais on peut déjà compter sur trente volontaires. En cadrant bien, on peut faire croire qu’il y en a beaucoup plus.
— Tu as déniché trente personnes qui accepteraient ce genre de truc ?
— Ce n’est pas moi, mais un contact qui sévit dans le milieu du X. Et puis, sodomiser une Schtroumpfette en étant soi-même déguisé en Schtroumpf, ce n’est pas tous les jours que ça arrive !
— Oui, en effet… C’est même... I... Ni... Ma... Ginable !
Je tiens à faire remarquer un point qui me chagrine :
— Oui… Mais si c’est filmé, il ne va pas y avoir un problème de copyright pour une quelconque diffusion ?
— En réalité, HULSTER, vous connaissez ? Ils ont déjà fait un film X avec des Schtroumpfs en 2011 ou 2012 et nous, on pense faire un petit truc comme-ça...
— Aïe ! Ça risque de générer un double problème de copyright ! Dis-je.
— T’inquiètes, ça va être un mélange entre les Schtroumpfs et Avatar... Il paraît que la solution adoptée ne posera pas de souci. De plus, en cas de poursuites pénales, l’actrice n’est en rien concernée, donc pas de danger. Idem pour les bites participantes... Ah au fait, je suppose que tu participeras toi aussi… Ça fera un bonhomme de plus…
Je n’avais pas songé à mettre la main à la pâte, mais pourquoi pas, surtout peint en bleu !
— Hmmm, ça peut se faire…
Amusée, Caline réplique :
— Pff ! Le contraire m’aurait étonné !
Puis elle se tourne vers Michelle :
— Ton body-painting, ce sera de la tête aux pieds ?
— Disons, une bonne partie de ton corps, en tout cas, ma jolie. On peut imaginer que le haut de ton corps soit vêtu avec la même robe que la Schtroumpfette, mais ton visage sera peint. Pour ce faire, le décorateur pense à des zébrures, le tout en bleu.
— Une version tigrée, c’est ça ?
— T’as tout compris, ma chère Caline !
Des zébrures ?
Bonne idée !
Je sais que c’est très efficace pour modifier les volumes et donc les traits du visage. Songeuse, ma femme marque une légère pause, puis elle lâche :
— Du moment qu’on ne me reconnaît pas, c’est le principal !
— Il faudra cependant faire au moins un essai de peinture pour voir si c’est OK. Que dirais-tu d’après-demain, ma jolie ?
— Déjà ?
— Il faut battre le fer tant qu’il est encore chaud !
Assez rêveuse, ma femme accepte.
Concrétisation :
L’essai ayant été concluant, le fameux jour bleu est arrivé. La peinture de son corps achevée, elle s’admire devant le grand miroir. Elle approche même mon visage afin de bien observer le reflet :
— Ah oui, en effet ! C’est dingue, je ne me reconnais même pas !
Michelle, qui est présente, lui rassure :
— Tu vois, pas de souci... Au fait, tu reconnais ton homme parmi les figurants ?
— Attends… Je vais te dire ça…
Tournant la tête, elle plisse des yeux, observant attentivement les hommes qui vont bientôt aller se vider en elle. Comment dire, c’est étrange : mis à part des chaussons rouges et un bonnet rouge de Noël, ils sont nus, dont certains déjà au garde-à-vous.
Quoique certains ont des sortes de gilets.
Tous des variantes du Grand Schtroumpf, mais en version bleue zébrée, avec ou sans barbe. Elle se demande même si elle n'est pas en train de rêver !
Après examen, elle reconnait :
— Ben… Non… Je n’arrive pas à le repérer… Les rayures, ça change tout !
Jean-Daniel, le réalisateur, nous a réuni et nous explique :
— Comme tu le sais déjà, étant donné que tout le monde est clean et que c’est une grosse demande du marché... Pas usage de préservatifs... S’il le faut, on rajoutera même du faux sperme de temps à autre pour donner l’impression que ton cul déborde à fond.
— Hmm-hmm… Fait Caline.
— Et comme tu vois, j’ai trois caméras pour immortaliser l’événement. En général, fais comme si elles n’étaient pas là, sauf si un caméraman ou moi-même te faisons le signe de la victoire avec nos doigts, comme ça.
Il met sous son nez son index et son majeur dessinant la lettre V.
Il poursuit :
— Dans ce cas, tu regardes bien l’objectif... OK ?
— OK… Comme si je regardais mon mari ?
— Si ça t’aide de penser que c’est ton mari que tu regardes et qui te regarde, fais ainsi. Il faut que de temps en temps l’actrice regarde le spectateur pour mieux l’intégrer dans l’action. Tu comprends ?
Un peu stressée, réalisant ce qu’il va se passer dans peu de temps, elle fini par hocher la tête :
— Oui, je comprends !
— Continuons : pour le son, ne t’inquiète pas, on fera de la post-synchro. Donc, tu peux dire tout ce que tu veux. Et ne t’étonne pas de ce que les figurants peuvent dire. OK ?
— Ah OK… Ils racontent des trucs pas possibles ?
Le réalisateur explique :
— Comme des noms d’oiseaux, et parfois, y en a qui ont des drôles de fantasmes !
— Ah bon ? Fis-je.
— Eh oui, "il faut de tout pour faire un monde"! Enfin, si tu veux une pause, serre ton poing vers le bas, je dis bien, vers le bas. OK ?
— D’accord, vers le bas… Comme ça ?
— Oui, comme ça. Eh bien… C’est quand tu veux, tout le monde est prêt !
Elle respire un grand coup, puis se dirigeant vers le lit, je lance alors :
— Bon, en route pour la gloire !
Ce qui fait rire la plupart des personnes présentes. Mais honnêtement, je ne suis pas très rassuré, et Caline encore moins !
Comme convenu, elle s’allonge sur le ventre, avec deux gros traversins sous son pubis, ce qui met ses fesses en évidence. De part et d’autre du pied du lit, il y a deux petits escabeaux à trois marches.
Je réalise qu’ils seront utiles pour que certains hommes pour mieux se positionner.
Michelle arrive sur le côté, avec une grande seringue. Tapotant sur les fesses de ma chéri, elle explique :
— Panique pas, ma jolie, c’est juste du lubrifiant pour que ça se passe au mieux, sinon tu auras le trou du cul comme un chou-fleur !
— OK…
— T’as bien fait un lavement avant de venir ?
—Mais cela va de soit... J'me suis déjà faite enculer plus d'une fois ! Et... J'en ai même fait deux, de lavement, pour être certaine ! Répond ma cochonne avec un grand sourire.
J’entends quelques rires autour de moi.
Bref... Une fois ses fesses écartées, un fin tube s’enfonce avec facilité dans le cul de Caline qui semble, à s'y méprendre, être très excitée par l'événement qu'elle va (que nous allons) vivre, puis quelque chose est ensuite injecté dans mon rectum, puis un doigt s’amuse à barbouiller l'entrée des artistes.
La voix de Michelle retentit alors :
— Voilààà, ma jolie ! J’en ai mis une tonne ! Même un tronc d’arbre passerait sans problème !
— Pfff ! T’as de ces comparaisons ! J’espère que ça n’arrivera pas ! Bien que… Souffle Caline.
— Bien que quoi, Caline ?
— Y a des figurants qui sont bien dotés par la nature ! Et... Ça me fait plaisir... Soyons une vraie salope de chez salope au moins une fois dans la vie !
— Le plus souvent possible tu veux dire ! Ai-je ajouté.
Michelle se met à glousser et nous informe :
— En général, dans le milieu du X, on préfère les anacondas aux anchois. Mais pour te rassurer, on va commencer avec des engins dans la moyenne.
Là je me sens visé.
— Quelle moyenne ? Celle des hommes sur cette terre ou celle des artistes du X ?
— Dans la moyenne, c'est à dire ceux avec une bite qui fait 17-18cm !
Puis elle donne une grosse claque sur les fesses de ma princesse.
Le ballet des caméras commence, tournant autour de Caline. Parfois, elle regarde droit l’objectif comme demander.
Ce petit manège dure bien deux minutes, je suppose qu’il y aura montage avec des coupes.
Je crois avoir lu, quelque part, que, dans un film classique, on tourne quelques dizaines de minutes par jour... Sauf dans le X pur et dur, où il arrive qu’on tourne plusieurs films le même jour avec les mêmes acteurs dans le même endroit, afin d’optimiser les coûts.
Je sens que ça s’agite derrière moi, nous allons entrer dans le vif du sujet, dans le vif du cul de Caline !
Je vois une main agripper sa hanche tandis qu’aussitôt quelque chose de dur taquine son petit trou. La ronde des hommes en bleu va commencer.
— C’est parti, ma Schtroumpfette ! murmure une voix inconnue.
Quelques secousses, deux-trois positionnements, et ce figurant déjà très excité l’encule posément !
Comme sa queue est assez fine, il entre en elle assez facilement.
Il faut dire que Michelle a effectivement mis le paquet avec son espèce de vaseline, et qu’on a demandé aux figurants d’être eux aussi bien lubrifiés.
— Han ! Han !
Il la secoue comme un prunier. Heureusement, pour elle, comme il était déjà bien excité, il s’abandonne bien vite :
— Aaah ! Oh que c’est bon d’être dans ce cuuul !! Finit ce personnage de dire.
Les autres s’impatientent déjà... Le premier Schtroumpf se retire. Caline exprime un murmure qui ressemble à un soulagement, mais aussi comme si c'était un manque.
C’est à présent une autre queue un peu plus grosse qui investit son petit trou. L’intrus entre joyeusement en elle, il la pistonne ludiquement trois fois, puis se retire avec aisance, sans avoir joui.
La machine à enculer est lancée, la délicate entrée des artistes de Caline va être très visitée ces prochaines minutes !
Les figurants s’enchaînent un à un, elle met bien mon cul en buse afin de faciliter les choses.
Aussi étrange que cela puisse être, ça me paraît presque banal, trop facile. Des tas de queues la perforent, l’assaillent, plongent en elle, certaines grosses, d’autres fines, certaines longues, d’autres courtes.
Elle est ramonée à fond, puissamment, copieusement, allant d’une bite à une autre, tel un jouet que des gamins se refilent.
Soudain, un figurant présente sa verge à moitié molle sous son nez. Ce n’était pas prévu au programme.
Néanmoins, bonne fille qu'elle est, elle lui offre un "massage" à sa façon. Bien sûr, une caméra n’en perd pas une miette !
— Et en plus, elle suce bien ! J’aurais bien eu tort de ne pas tenter ma chance !
Tandis que elle s’occupe de cette sucette qui redurcit dans sa bouche, je suis en train de songer à tout ce qui arrive actuellement.
Il n’y a peut-être que trente figurants présents autour de moi, mais certains vont y revenir plusieurs fois, à moins que ce ne soit déjà le cas.
Je suis déjà en train de perdre le compte des queues que Caline a pu recevoir dans son cul !
Certains la pénètrent sans trop de difficulté, d’autres doivent s’y reprendre à plusieurs fois. Un quidam a même éjaculé au moment où il posait son membre sur sa cuvette !
Ses enculeurs adoptent parfois des positions acrobatiques en grimpant sur les escabeaux ou carrément sur le lit. Quelques-uns s’y prennent même à rebours, lui tournant le dos.
La vidéo qui est en train d’être tournée va ressembler à un catalogue de positions ou peut-être même à un guide d'enculage des temps modernes !
J’entends des tas de commentaires avec souvent des noms d’oiseau :
— À mon tour de baiser ce bon gros cul ! Dit l'un des présents.
— Eh bé, un sacré garage à bite, cette gonzesse ! Dit un autre.
— Oooaaah ! Ah quelle puuute ! Mais quelle puuute ! Dit un autre Schtroumpf.
— C’est plus un cul qu’elle a, c’est un trou, un puits, un gouffre ! Hurle Schtroumpf bricoleur.
— Enculer un cul pareil, puis se faire sucer, oui c’est le pied intégral ! S’exclame le grand Schtroumpf.
— Oui, c’est une grosse salope, cette femme ! Pour une débutante, c’est pas mal ! Dit Schtroumpf "farceur".
À présent, la sensation générale que j’éprouve est étrange : c’est à la fois excitant et humiliant.
Caline n'est qu’un trou, un trou normalement interdit, que ces bites, inconnues, remplissent, comblent.
Caline déborde petit à petit, pas besoin de faux sperme... Je vois le foutre dégouliner hors de son anus, coulant le long de ses lèvres intimes, le long de ses cuisses.
Elle ruisselle de foutre, son cul n’arrive plus à le contenir tant ces salauds, se vident dans son cul !
— Bordel ! Regardez comme ça déborde !! Dit l'un des protagonistes.
— Oui, ch’te dis pas tout le foutre qu’elle a dans le cul ! Reprend un autre.
— Pouvu que ce réservoir arrive à tout prendre !
Tandis qu'elle est toujours allongée sur le ventre, fesses bien en évidence, la ronde des queues continue sans répit à l’enculer... D’autres bites cherchent sa bouche, ses lèvres, elle suce, elle lèche, ils déchargent, devant, derrière. Elle nettoie un par un ces braquemarts qui ont juté, qui ont vidé leurs bourses bien pleines.
Caline est devenue leur chose, cet avilissement m’excite d’une étrange façon !
Enfiévrée, elle glisse sa main sous mon ventre, puis sous son pubis. Arrivée à bon port, elle commence à se masturber... Ses doigts s’agitent frénétiquement dans da fente devenue gluante de sperme.
— Eh ! Regarde-la, cette cochonne ! Elle se doigte ! S’exclame Schtroumpf "costaud".
— Elle a raison d’en profiter ! Au moins, cette fille ne fait pas semblant, contrairement à beaucoup d’actrices du X.
Oui, elle en profite !
Et eux, ces Schtroumpfs à queue, que font-ils ?
Ils n'en profitent pas allégrement du cul à ma Caline ?
Ses doigts continuent leur ballet avec délice... Je sens comme un flottement autour de moi. Il se murmure diverses choses dans mon dos, mais je ne comprends pas, tellement que je suis actuellement plongée dans un brouillard opaque et cotonneux.
— Yeee Yves ?
— 2 fois O ?
— Let's go !
La queue qui était en train de l’enculer se retire légèrement. Soudain, je vois une autre bite venir se coller contre son entrée dévastée, dégoulinante et gluante. Je devine aussitôt que ces salauds veulent tenter une double anale !
Dans un mélange de plaisir et d’appréhension, les deux queues entrent en elle. Je les vois passer sans encombre, mais finalement, ce n’est pas pire que la grosse queue de certains de ses amants, ou de certains godes.
— Eh bé ! Ça rentre comme dans du beurre !
— Je te l’avais bien dit ! C’est élastique !
Caline, bien qu'elle a déjà connu cette "intrusion", 2 fois, est passée à ce moment-ci, dans une autre catégorie, une catégorie restreinte, celle des putes qui acceptent les doubles dans le petit trou, et le tout, sous l’œil avide de trois caméras !
Je n’ai pas cru que ça irait aussi loin, mais curieusement, ça me semble quasiment naturel…
Les deux salopards bleutés commencent à la pistonner lentement mais sûrement, mais hélas, ils ne sont pas synchrones, ce qui fait que son sphincter est mis à rude épreuve !
Mais petit à petit, la situation s’améliore pour ma plus grande satisfaction, d’autant que je me masturbe frénétiquement !
Mon plaisir monte, tout comme le plaisir de la Caline (qui me l'a confirmé plus tard)... J'imagine qu'elle doit être dans un autre monde, qu'il nous est (à nous les hommes) impossible de connaître, de sentir, le bonheur et la joie d'y être !
"Je sentais ces deux membres de chair qui me labouraient, qui remplissaient mon petit trou du cul, je me suis sentis, petit à petit, sombrer, comme si je flottais, assise sur un doux nuage nirvanesque... Et soudain, les intrus ont abandonné la cave qui les avait accueilli... Je ne saurais te dire si j'étais soulagée ou un peu déçue. Tout est si flou..." Me dira plus tard Caline, quand on a visionné le film de ses exploits.
Bref,
— Oh putain que c’est bon d’aller dans ce cul de pute !! Hurle presque un des deux Schtroumpfs.
Mais nul répit pour ses fesses ni pour mes oreilles... Une autre verge s’introduit... Un autre commentaire se fait entendre.
Quelques instants plus tard, la queue qui la fouille, est remplacée par une autre, puis par deux autres à nouveau. Je perds le compte de toutes ces saucisses humaines qui barattent le cul de ma belle coquine.
Et on dit que cette actrice s’est offerte plus de neuf cents bonhommes ?
Je crois que déjà dès la trentaine ou la quarantaine, elle devait être sur pilotage automatique !
Mais peut-être que ce n’est pas pareil dans la chatte…
Pour ma part, j’ai découvert, il y a quelques années, que le cul à Caline était plus permissif, tolérant, que mon vagin.
Mais est-ce le cas pour toutes les femmes ? Je ne suis pas allé demandé !
Une nouvelle queue en remplace une autre.
Est-ce vraiment une nouvelle verge ?
Cette queue, n'a-t-elle déjà éjaculé en elle ?
Je ne sais pas, et je m’en fous...
Je prends un plaisir étrange à être le spectateur de ces accouplements, à voir que le cul de Caline sert de déversoir de ces hommes en bleu, tel un puits insondable, une version moderne du tonneau des Danaïdes (pour ceux qui ne savent pas, une petite leçon d'histoire, ou plutôt de mythologie : Et pour cause, l'expression "tonneau des Danaïdes" est issue de la mythologie grecque. Eh oui ! Les Danaïdes étaient les cinquante filles de Danaos, roi d'Égypte et elles furent condamnées par les dieux à remplir sans fin tonneau percé en enfer)
— Eh, vises-moi cette pouffe ! Elle déborde ! Acclamé un des Schtroumpfs présent.
— Oui, j’vois ça ! C’est gravement kiffant !!
C'est alors (elle me le racontera plus tard) qu'elle se sentait comme "demi-morte"... Elle se voyait comme suspendue, mais avait une sensation si reposante, si apaisante... Elle était ailleurs, autrement, lointaine, étrangère à toutes ces délicieuses turpitudes qu'elle était entrain de subir.
Et cette "demi-mort" n’est que la première. La ronde infernale des figurants bleutés est telle la roue du karma, avec naissance, vie, mort et renaissance sans cesse renouvelées, dans un délire absolu de lubricité et de débauche !
Franchement, un truc de ouf, de dingue, de malade, mais qu'elle se devait, voulait, vivre au moins une fois dans ma vie et moi aussi, c'estpas tous mes jours qu'on aura l'occasion de vivre, voir un truc pareil !
Actrice – Caroline
Quand la vidéo est sortie (je ne vous donnerai pas le titre... N'insistez pas !) il n'y a eu aucun souci. Et... Depuis que nous avons eu une copie de cette vidéo, au premier visionnage, Caline était assise sur le bord du canapé prête à bondir, me cherchant parmi les figurants, mais elle n’arriva pas à me dénicher.
À chaque fois qu'elle croyait m’avoir trouvé, je lui disais, même si elle avait raison:
— Non, non, ce n’est pas moi !
Déjà, qu'elle-même, avait du mal à se reconnaître, mais que son trou du cul avait gardé en mémoire le passage de ses bites ! Je n’aurais jamais cru que ce banal (c’est vite dit) fantasme lancé en l’air se concrétiserait un jour. Comme quoi tout peut arriver, même ce qui semble impossible et impensable.
— Chéri, je vais me méfier la prochaine fois que je lancerai une idée en l’air ! Me dit-elle quand on évoque cette aventure.
— Hahaha ! Rappelle-toi que je t’ai demandé ton aval. Et puis, maintenant, tu as le pied à l’étrier, je me trompe ?
Effectivement... Sous l’égide de Jean-Daniel (le réalisateur pour ceux qui auraient, déjà, oublié), Caline a tourné d’autres scènes, mais beaucoup plus reposantes que celle, qu'a vécu la Schtroumpfette. Là aussi, ona fait en sorte, qu'on ne puisse pas reconnaissait ma tendre Caline... D'ailleurs un grand merci à celui, ou celle, qui a inventé le maquillage et bien entendu, à toute l'équipe des maquilleuses.
C’est ainsi que j’ai pu croiser au naturel deux actrices X, c’est vrai qu’il y a souvent un gouffre entre la bombe incendiaire sur l’écran et la femme qu’on croise avant le maquillage.
Résultat des courses : maintenant Caline a trois films à mon actif (et à preuve du contraire, il n'y aura pas d'autres)+ les deux films, qu'elle a, qu'on a, tourné en Belgique (qu'on garde précieusement) + nos quelques (10aines) films amateurs (introuvables sur le web)
Cela a mis un peu de beurre à nos épinards !
Au plaisir de vous faire lire une autre aventure !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Cher Tamis
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cher Lolo,
L'assurance qu'on a, que Caline a, de pouvoir vivre encore une autre jouissance efface tous nos/ses maux !
L'assurance qu'on a, que Caline a, de pouvoir vivre encore une autre jouissance efface tous nos/ses maux !
Caline a dû avoir le cul en compote !
Elle a eu du mal pour se bouger la semaine suivante ! Une sacrée coquine.
Lolo
Elle a eu du mal pour se bouger la semaine suivante ! Une sacrée coquine.
Lolo
Perso, je pense que kiffer son vibes gratuitement est plus "gratifiant"!
Et merci pour votre commentaire cher Daniel
Et merci pour votre commentaire cher Daniel
Waouh là Caline a fait très fort mais ce n’était que du sexe gratuit. Si elle a pris son pied tant mieux. Daniel

