Proximité Immédiate
Récit érotique écrit par LorheaSalope [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Proximité Immédiate
Un mois encore d’audit dans cette usine. Demain c’est l’élection du président des Etats-Unis.
C’est mon premier audit en tant que cheffe d’équipe.
Au cours de cette mission, j’ai retrouvé une vieille copine du lycée, qui habite dans la région.
Depuis un mois que je suis là, nous enchainons les soirées sympas, les weekends de balades.
Elle me fait visiter la région. Elle m’a présenté ses amis, je ne me sens un peu chez moi.
Le reste de mon équipe est composé d’Anabelle, de Stéphane et de Benoît.
Ils sont trop sérieux.
Ne sortent pas beaucoup. Veulent bien faire. Il faut dire qu’ils sont à l’essai.
La transformation de leur CDD en CDI dépend en grande partie de mon appréciation à la fin de l’audit.
Je sais d’avance qu’Annabelle ne fera pas l’affaire. Trop douce, trop gentille, trop complaisante. On ne peut pas se permettre ce genre de caractère.
Je pense qu’elle ferait un bon élément dans la branche « conseil » de l’entreprise, mais certainement pas une auditrice.
Au passage, elle est très jolie. Il m’arrive assez souvent de me caresser en imaginante que je la force à me lécher la chatte, ou que je la gode.
Ce soir-là, mon amie d’enfance me propose de l’accompagner chez Eric, un pote à elle.
Il organise une soirée américaine. Je suis un peu gênée de m’incruster chez des gens que je ne connais pas, mais après tout je verrai des nouvelles têtes.
Personne de mon équipe ne souhaite se joindre à nous. Tant pis pour eux.
Je les laisse à l’hôtel et profite de la voiture de ma copine pour aller à la soirée.
Je me suis mise en Jean, avec un chemisier à manches longues et un soutien-gorge noir. Petit string en dentelle noire, cheveux relevés en queue de cheval.
Nous arrivons chez Eric. C’est sa femme qui nous accueille. Plusieurs personnes sont déjà là. En fait, je réalise que je connais Eric.
C’est un des chefs d’équipe de l’usine. Il est sympa, on a déjà discuté deux ou trois fois au travail.
La soirée suit son cours. Puis, vers deux heures du matin, les invités commencent à partir. Ma copine et son mec sont bourrés, et je ne suis pas très fraîche.
La femme d’Eric nous propose de rester dormir. Le couple prendra la chambre d’ami et elle me propose leur confortable canapé. Tout le monde va se coucher.
Je retire mon pantalon et mon chemisier et me glisse en culotte et soutif sous la couverture.
Je me sens bien. Comme chaque fois que j’ai un peu bu, j’ai envie de me caresser.
Certaine que tout le monde dort, je glisse ma main dans mon string et commence à masser mon clito.
Le côté un peu risqué m’excite. Je frotte de plus en plus fort et laisse le plaisir naître et m’envahir peu à peu. Je ferme les yeux et commence à me raconter un fantasme.
Ce fantasme dans lequel j'ai invité Annabelle dans ma chambre.
Je l'ai allongée sur le lit après l'avoir déshabillée, lui ai attaché les mains et je frotte ma fente sur son visage en lui ordonnant de me lécher.
Entendant un bruit, j’ouvre les yeux et réalise qu’Eric m’observe. Je m’arrête, gênée.
- Continue, ne t’arrête pas.
- Mais ...
- Continue. Tu avais l’air d’être bien
En fait, le savoir qui regarde intensifie mon excitation. Je recommence à me caresser.
Il s’approche de moi, pose un baiser sur mes lèvres, qu’il écarte délicatement avec sa langue. Surprise, je m’arrête de nouveau.
- Continue je te dis.
Il prend ma main et la pose sur ma fente, lui donnant le rythme de la caresse. Il continue à m’embrasser. Je me laisse faire, mais je suis gênée. Sa femme dort au-dessus.
- Ne t’inquiète pas pour elle. Caresse-toi.
Je suis au bord de l’orgasme. Il sort son sexe turgescent de son pantalon et caresse ma bouche avec, puis l’enfonce brutalement.
D’une main, il maintient ma tête pendant qu’il baise ma bouche. De l’autre, il ajoute trois doigts aux deux que j’ai déjà enfoncés dans ma chatte.
Au moment où je jouis, il lâche une salve de jus dans ma bouche.
Il me lâche et me laisse sans un mot, mouillée et essoufflée.
Le lendemain, à l’usine, nous nous croisons. Il me regarde avec des yeux brillants.
Plusieurs semaines plus tard, je reste tard à l'usine, car j’ai besoin de faire un point avec l’équipe.
Nous sommes encore dans la salle de réunion lorsque l’équipe de nuit prend son service.
Le chef d’équipe vient nous saluer. C’est Eric….
Vers minuit, nous nous apprêtons à partir. Je me dirige vers la salle de contrôle pour informer le chef d’équipe que nous quittons le site.
En réalité, ce n'est pas nécessaire, mais j'ai envie de le voir
ll est seul devant son poste de travail.
- Salut. Nous quittons le site.
- Ok, à demain peut-être.
- Merci, bonne soirée.
Je tourne les talons.
Une fois dans le couloir, je sens une main attraper mon bras, et me pousser dans une pièce sur la droite. C’est un local de stockage.
Il ferme la porte dernière nous et attrape mon deuxième bras. Avec un lien à câbles, il attache mes poignets dans mon dos, et me pousse face contre le mur.
- Non, s’il te plaît
- Aller laisse toi faire, je sais que tu es une petite cochonne.
- Non pas maintenant.
Il baisse mon pantalon et glisse un doigt dans ma fente en écartant mon string.
- Tu mouilles petite pute. Ne me dis pas que tu n’es pas excitée.
- S’il te plaît arrête.
- Chez moi, je ne suis pas allé au bout de ce que je voulais. Tu suces comme une déesse. Je veux tester ta chatte et ton cul.
Sans plus de préliminaires, il sort son sexe, le frotte sur ma fente, afin d’utiliser ma mouille pour le lubrifier et m’empale directement par la chatte, en forçant d’un coup sec.
Je crie, de douleur et en même temps de plaisir.
- Tais-toi salope. Tu vas attirer les autres… A moins que ce soit ce que tu veux ?
- Non, ma voix tremble. Ses coups de reins sont trop bons, j’aime.
- Tu aimes ma queue ?
- Oui. Continue. Un nouveau cri sort de ma gorge quand il accélère le rythme.
- Ta gueule, sinon, j'appelle mes gars!
Il attrape le cutter qui est dans sa poche et découpe mon string, qu’il me fourre dans la bouche
- Tu te tais maintenant.
Alors qu’il continue à défoncer ma petite chatte et que je sens l’orgasme monter, il introduit deux doigts dans mon cul.
Je m’entends hurler, mais mon bâillon étouffe mon cri.
- Oui, je vais te faire jouir sale pute. Tu vas sentir ma grosse queue dans ton petit trou.
Il attrape un outil, que je ne vois pas, mais dont je découvrirai plus tard qu’il s’agissait d’un énorme tournevis au manche arrondi.
Il retire sa queue de ma chatte y enfonce le manche du tournevis en me limant puis sans prévenir m’encule d’un coup sec.
Il ressort de mon trou et rentre de nouveau violemment, plaquant sa main libre sur ma bouche pour davantage étouffer mes cris.
Je jouis intensément, comme j’ai rarement joui auparavant.
Tout mon corps tremble. Sa bite se fait éjecter de mon cul tandis que mon vagin se contracte autour du tournevis qu'il continue à agiter en moi.
Il me retourne, me met à genoux, enlève mon string et enfonce sa verge dans ma bouche, jusqu’au fond.
Il tire mes cheveux en arrière pour me faire pencher la tête et s’enfonce tout entier jusqu’au couilles. Il me baise la bouche
- Vas-y sale pute pompe mon dard,
Il ne lui faut pas longtemps pour dégorger dans un râle bestial.
Il asperge mon visage de foutre, qu’il étale avec sa main, sur mes joues, mon menton et ma gorge.
- C'est bien! t'es une bonne petite chienne obéissante. Maintenant, nettoie ma queue.
Je lèche et suce passionnément sa tige et ses couilles, pour enlever toute trace de mouille te de sperme.
Il coupe mes liens et me laisse à nouveau dans cet état. Il s’en va.
Dans le mois qui suivi, chacune de nos rencontres se termina par une baise brutale.
Dans un coin de l’usine. J’ai ainsi visité les stocks, une cabine de camion, le bureau du directeur, les toilettes des hommes, quelques salles de réunions.
Il m’a regardée me masturber sur le parking, m’a enculée dans sa voiture. Je l’ai sucé sous le bureau de la salle de contrôle.
A la fin de l’audit, lors du dîner au restaurant, il a réussi à me faire enlever ma culotte.
J’ai passé la soirée nue sous ma jupe. Il me doigtait sous la table.
Il a fini par me prendre directement le cul, en levrette, derrière les cuisines du restaurant, sous les yeux d’un serveur qui en a profité pour se branler et gicler sur moi.
A la fin de cette baise rapide, il m’a claqué les fesses, s’est penché vers mon oreille et m’a murmuré : Adieu sale pute, j’ai kiffé.
Je ne l'ai jamais revu.
J'ai pensé pendant longtemps qu'il fallait que j'arrête de me faire baiser à tort et travers à chaque nouvelle mission. Mais c'est plus fort que moi...
C’est mon premier audit en tant que cheffe d’équipe.
Au cours de cette mission, j’ai retrouvé une vieille copine du lycée, qui habite dans la région.
Depuis un mois que je suis là, nous enchainons les soirées sympas, les weekends de balades.
Elle me fait visiter la région. Elle m’a présenté ses amis, je ne me sens un peu chez moi.
Le reste de mon équipe est composé d’Anabelle, de Stéphane et de Benoît.
Ils sont trop sérieux.
Ne sortent pas beaucoup. Veulent bien faire. Il faut dire qu’ils sont à l’essai.
La transformation de leur CDD en CDI dépend en grande partie de mon appréciation à la fin de l’audit.
Je sais d’avance qu’Annabelle ne fera pas l’affaire. Trop douce, trop gentille, trop complaisante. On ne peut pas se permettre ce genre de caractère.
Je pense qu’elle ferait un bon élément dans la branche « conseil » de l’entreprise, mais certainement pas une auditrice.
Au passage, elle est très jolie. Il m’arrive assez souvent de me caresser en imaginante que je la force à me lécher la chatte, ou que je la gode.
Ce soir-là, mon amie d’enfance me propose de l’accompagner chez Eric, un pote à elle.
Il organise une soirée américaine. Je suis un peu gênée de m’incruster chez des gens que je ne connais pas, mais après tout je verrai des nouvelles têtes.
Personne de mon équipe ne souhaite se joindre à nous. Tant pis pour eux.
Je les laisse à l’hôtel et profite de la voiture de ma copine pour aller à la soirée.
Je me suis mise en Jean, avec un chemisier à manches longues et un soutien-gorge noir. Petit string en dentelle noire, cheveux relevés en queue de cheval.
Nous arrivons chez Eric. C’est sa femme qui nous accueille. Plusieurs personnes sont déjà là. En fait, je réalise que je connais Eric.
C’est un des chefs d’équipe de l’usine. Il est sympa, on a déjà discuté deux ou trois fois au travail.
La soirée suit son cours. Puis, vers deux heures du matin, les invités commencent à partir. Ma copine et son mec sont bourrés, et je ne suis pas très fraîche.
La femme d’Eric nous propose de rester dormir. Le couple prendra la chambre d’ami et elle me propose leur confortable canapé. Tout le monde va se coucher.
Je retire mon pantalon et mon chemisier et me glisse en culotte et soutif sous la couverture.
Je me sens bien. Comme chaque fois que j’ai un peu bu, j’ai envie de me caresser.
Certaine que tout le monde dort, je glisse ma main dans mon string et commence à masser mon clito.
Le côté un peu risqué m’excite. Je frotte de plus en plus fort et laisse le plaisir naître et m’envahir peu à peu. Je ferme les yeux et commence à me raconter un fantasme.
Ce fantasme dans lequel j'ai invité Annabelle dans ma chambre.
Je l'ai allongée sur le lit après l'avoir déshabillée, lui ai attaché les mains et je frotte ma fente sur son visage en lui ordonnant de me lécher.
Entendant un bruit, j’ouvre les yeux et réalise qu’Eric m’observe. Je m’arrête, gênée.
- Continue, ne t’arrête pas.
- Mais ...
- Continue. Tu avais l’air d’être bien
En fait, le savoir qui regarde intensifie mon excitation. Je recommence à me caresser.
Il s’approche de moi, pose un baiser sur mes lèvres, qu’il écarte délicatement avec sa langue. Surprise, je m’arrête de nouveau.
- Continue je te dis.
Il prend ma main et la pose sur ma fente, lui donnant le rythme de la caresse. Il continue à m’embrasser. Je me laisse faire, mais je suis gênée. Sa femme dort au-dessus.
- Ne t’inquiète pas pour elle. Caresse-toi.
Je suis au bord de l’orgasme. Il sort son sexe turgescent de son pantalon et caresse ma bouche avec, puis l’enfonce brutalement.
D’une main, il maintient ma tête pendant qu’il baise ma bouche. De l’autre, il ajoute trois doigts aux deux que j’ai déjà enfoncés dans ma chatte.
Au moment où je jouis, il lâche une salve de jus dans ma bouche.
Il me lâche et me laisse sans un mot, mouillée et essoufflée.
Le lendemain, à l’usine, nous nous croisons. Il me regarde avec des yeux brillants.
Plusieurs semaines plus tard, je reste tard à l'usine, car j’ai besoin de faire un point avec l’équipe.
Nous sommes encore dans la salle de réunion lorsque l’équipe de nuit prend son service.
Le chef d’équipe vient nous saluer. C’est Eric….
Vers minuit, nous nous apprêtons à partir. Je me dirige vers la salle de contrôle pour informer le chef d’équipe que nous quittons le site.
En réalité, ce n'est pas nécessaire, mais j'ai envie de le voir
ll est seul devant son poste de travail.
- Salut. Nous quittons le site.
- Ok, à demain peut-être.
- Merci, bonne soirée.
Je tourne les talons.
Une fois dans le couloir, je sens une main attraper mon bras, et me pousser dans une pièce sur la droite. C’est un local de stockage.
Il ferme la porte dernière nous et attrape mon deuxième bras. Avec un lien à câbles, il attache mes poignets dans mon dos, et me pousse face contre le mur.
- Non, s’il te plaît
- Aller laisse toi faire, je sais que tu es une petite cochonne.
- Non pas maintenant.
Il baisse mon pantalon et glisse un doigt dans ma fente en écartant mon string.
- Tu mouilles petite pute. Ne me dis pas que tu n’es pas excitée.
- S’il te plaît arrête.
- Chez moi, je ne suis pas allé au bout de ce que je voulais. Tu suces comme une déesse. Je veux tester ta chatte et ton cul.
Sans plus de préliminaires, il sort son sexe, le frotte sur ma fente, afin d’utiliser ma mouille pour le lubrifier et m’empale directement par la chatte, en forçant d’un coup sec.
Je crie, de douleur et en même temps de plaisir.
- Tais-toi salope. Tu vas attirer les autres… A moins que ce soit ce que tu veux ?
- Non, ma voix tremble. Ses coups de reins sont trop bons, j’aime.
- Tu aimes ma queue ?
- Oui. Continue. Un nouveau cri sort de ma gorge quand il accélère le rythme.
- Ta gueule, sinon, j'appelle mes gars!
Il attrape le cutter qui est dans sa poche et découpe mon string, qu’il me fourre dans la bouche
- Tu te tais maintenant.
Alors qu’il continue à défoncer ma petite chatte et que je sens l’orgasme monter, il introduit deux doigts dans mon cul.
Je m’entends hurler, mais mon bâillon étouffe mon cri.
- Oui, je vais te faire jouir sale pute. Tu vas sentir ma grosse queue dans ton petit trou.
Il attrape un outil, que je ne vois pas, mais dont je découvrirai plus tard qu’il s’agissait d’un énorme tournevis au manche arrondi.
Il retire sa queue de ma chatte y enfonce le manche du tournevis en me limant puis sans prévenir m’encule d’un coup sec.
Il ressort de mon trou et rentre de nouveau violemment, plaquant sa main libre sur ma bouche pour davantage étouffer mes cris.
Je jouis intensément, comme j’ai rarement joui auparavant.
Tout mon corps tremble. Sa bite se fait éjecter de mon cul tandis que mon vagin se contracte autour du tournevis qu'il continue à agiter en moi.
Il me retourne, me met à genoux, enlève mon string et enfonce sa verge dans ma bouche, jusqu’au fond.
Il tire mes cheveux en arrière pour me faire pencher la tête et s’enfonce tout entier jusqu’au couilles. Il me baise la bouche
- Vas-y sale pute pompe mon dard,
Il ne lui faut pas longtemps pour dégorger dans un râle bestial.
Il asperge mon visage de foutre, qu’il étale avec sa main, sur mes joues, mon menton et ma gorge.
- C'est bien! t'es une bonne petite chienne obéissante. Maintenant, nettoie ma queue.
Je lèche et suce passionnément sa tige et ses couilles, pour enlever toute trace de mouille te de sperme.
Il coupe mes liens et me laisse à nouveau dans cet état. Il s’en va.
Dans le mois qui suivi, chacune de nos rencontres se termina par une baise brutale.
Dans un coin de l’usine. J’ai ainsi visité les stocks, une cabine de camion, le bureau du directeur, les toilettes des hommes, quelques salles de réunions.
Il m’a regardée me masturber sur le parking, m’a enculée dans sa voiture. Je l’ai sucé sous le bureau de la salle de contrôle.
A la fin de l’audit, lors du dîner au restaurant, il a réussi à me faire enlever ma culotte.
J’ai passé la soirée nue sous ma jupe. Il me doigtait sous la table.
Il a fini par me prendre directement le cul, en levrette, derrière les cuisines du restaurant, sous les yeux d’un serveur qui en a profité pour se branler et gicler sur moi.
A la fin de cette baise rapide, il m’a claqué les fesses, s’est penché vers mon oreille et m’a murmuré : Adieu sale pute, j’ai kiffé.
Je ne l'ai jamais revu.
J'ai pensé pendant longtemps qu'il fallait que j'arrête de me faire baiser à tort et travers à chaque nouvelle mission. Mais c'est plus fort que moi...
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