Puceau à déniaiser 3
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Puceau à déniaiser 3
-"Ferme les yeux" . Et quoi encore? Veux-tu m'hypnotiser, prendre les commandes de mon cerveau et m'imposer une conduite conforme à tes souhaits ? Mdr ! Joris pourra se livrer sur moi à tout ce que tu dicteras mais je resterai insensible, purement technicienne, dénuée de sentiments ou de sensations. Pourquoi ne pas me bander les yeux et m'empêcher de voir ce qui m'arrive ? Pourquoi ne pas m'anesthésier comme pour une opération chirurgicale ? Cela devient dément, alors que tout pourrait être rapide, simple et définitivement réglé dès aujourd'hui.
- Ce qui est différent devient pour toi dément ? Je prétends parvenir au résultat souhaité par un chemin légèrement autre que le tien et dès aujourd'hui si c'est ton voeu. Ne crains ni hypnotisme ni anesthésie. Mon protocole exclut ces expédients qui te feraient perdre conscience. L'amour n'est pas source de douleur à éviter par ces moyens bons à l'hôpital.
-Merci de me rassurer sur ce point. Laisse-moi mener l'éducation de Joris, après
N'avons-nous pas conclu un accord qui autorisait une copulation hors norme entre un étranger et ma future épouse à condition que j'organise la préparation et l'exécution de l'examen minutieux de ton corps, de ton sexe et de tes zones érogènes et leur conclusion logique, à savoir la pénétration vaginale de ce corps que tu m'avais offert ? Cela est sinon dément, du moins énorme. Aucun élément de notre contrat moral ne stipulait que ta bonne action devait te procurer une jouissance appréciée en prime
-Est-ce le plaisir que je pourrais prendre qui te chagrine ? Te sens-tu mis à l'écart, sacrifié, spolié ou volé, n'obtiens-tu pas de moi les soins amoureux et tout le plaisir que tu es en droit d'attendre ? Ai-je jamais repoussé une marque de ton désir? Je ne comprends pas ta mise en scène et tes recommandations de technicité neutre, inodore, insipide et insensible. Humainement, l'indifférence aux sensations d'un accouplement effectué dans les règles de l'art est impossible. Je ne suis pas une poupée gonflable. L'impassibilité au cours d'un accouplement est une vue de l'esprit irréaliste, une aberration intellectuelle. Je ne suis pas un être désincarné, ne me réclame pas de rester de glace quand Joris introduira son sexe dans son premier sexe de femme. C'est pourquoi notre contrat ne pouvait pas stipuler que je ne ressentirais ni sentiment ni plaisir en m'unissant sexuellement à ce jeune homme...
-Entre une jouissance impossible à contenir et une jouissance attendue et recherchée avec force il y a des degrés significatifs. Je te demande de mettre en oeuvre les moyens nécessaires pour remplir ta tâche d'éducatrice et pour limiter les signes visibles, audibles et mécaniques. Ceux-ci attacheraient Joris à toi et lui donneraient l'illusion que tu ne pourrais plus te passer de relations sexuelles avec lui. Voilà pourquoi j'essaie de te donner la possibilité de maîtriser les réactions de ton corps, malgré la légitime satisfaction de ta réussite. L'émotion et la fierté d'être sa toute première fille peuvent te bouleverser, ne doivent pas te faire perdre le contrôle de tes sens
- Tu sais comment cela se passera. Sitôt calmée l'excitation du premier contact du gland contre mes nymphes et des frottements contre mes parois intérieures, l'instinct sexuel poussera Joris à bouger d'avant en arrière, à se lancer à la recherche de la jouissance sexuelle naturellement inscrite dans nos gènes. Et je devrais ne pas répondre à ses assauts d'homme nouveau, déchaîné par sa passion charnelle de jeune mâle. Je ne devrais ne rien éprouver ? Imagine qu'un jour je te donne une fille à déflorer. Aurais-tu la capacité de la faire jouir, de lui faire connaître l'orgasme et de ne pas éjaculer ?
Même placé par toi dans une telle situation, je conseillerais à ta pucelle de s'adresser à un célibataire et il n'en manque pas. Je refuse donc d' imaginer que je serais capable de me fourrer dans un pareil guêpier. D'ailleurs je n'aurais jamais imaginé que tu fabriquerais un problème aussi embarrassant que celui que tu nous imposes. Tu n'as pas eu besoin de moi pour te foutre dans le pétrin. Je ne t'ai pas donné Joris, au contraire je subis sa présence. Tu ne peux pas comparer l'incomparable. C'est bien toi qui as créé la situation inextricable qui nous oppose.
- Tu ne t'es pas opposé très fort quand j'ai pris conseil, tu t'es contenté de relever quelques inconvénients, des risques de traumatisme supposé. Ton dépucelage a-t-il causé des dégâts ? Il est un peu tard, à la deuxième séance, pour vouloir me prodiguer des recommandations. Quel élément nouveau justifie ton revirement ?
- Votre zèle au cours de la première phase d'aujourd'hui m'inspire beaucoup de méfiance et me fait redouter notre séparation. La femme qui s'investit autant dans les préliminaires travaillera ensuite à un remplacement de compagnon ,si ce n'est pas déjà fait. La pédagogie est votre dernier souci.
- Je regrette de t'avoir donné cette impression. Je ne peux pas interrompre ce qui est entrepris. Je ne me reconnais pas le droit d'infliger une désillusion aussi traumatisante à Joris. Je tiendrai mes engagements. Dis-moi comment je pourrai te rassurer autrement sur le sort de notre couple. Je suivrai tes conseils, je m'interdirai de jouir si c'est possible. Commande, mon chéri, j'obéirai..
-Nous avons dans la chambre voisine un portant à vêtement en métal : Si je me souviens de ses dimensions il fait environ 190 x 55 x 178 cm. On peut le déplacer sur roulettes.
- Ce doit être pratique pour faire l'amour, mon chéri ! Nous avions oublié de le tester. Enfin Jean quel rapport y a-t-il entre cet objet et notre problème ?
- Fais-moi confiance, j'ai trouvé la solution. Attends deux minutes,je le décharge et je l'amène ici.
- Dépêche-toi. Le pauvre garçon va s'ennuyer. Je serais étonnée qu'il bande encore. Amène ton instrument de torture... Tu as fait vite. Qu'as-tu fait des vêtements ?
- On en reparlera. Je lève le bas du lit, pousse le portant dessous. Merci. Maintenant il faut un grand drap.
- Tu perds la tête.
- Le drap est devenu un rideau. Allonge-toi, passe le haut de ton corps de l'autre côté du rideau. Joris connaît par coeur ta bouche, tes seins ,ton cou. Il a vu, il a caressé chaque centimètre carré de ton torse; il a dévoré tes yeux du regard comme un amoureux éperdu. Cela me suffit et doit te suffire. De ce coté du drap il n'a plus rien à apprendre. Ce que tu tenais surtout à lui faire découvrir, reste à exposer et à choyer. C'est ce que Joris attend le plus, ce qu"il appréciera le plus. Pour que tu puisses lui accorder le privilège de lui laisser la plus totale liberté d'action, mais en restant technicienne, sans être débordée par tes émotions et sans créer l'illusion que tu ne saurais plus te passer de lui, ce drap cachera ton visage et toutes les expressions qu'il transmettrait pendant qu'il s'occupera de ton sexe.Ce voile est censé limiter l'apprentissage à la partie basse de ton corps. Joris aura accès uniquement à ton sexe et aux abords proches.
- Il est cruel de scinder son apprentissage en parties. Je suis une, je ne suis pas un puzzle fait de pièces assemblées. On ne fait pas l'amour avec un morceau de femme ou avec un autre, on le fait avec une femme complète.
-Je sais. Mais vous ne faites pas l'amour, tu l'oublies. C'est ce que tu as précisé. Tu montres, tu fais voir ce qui fait de la femme un être différent de l'homme. Lui reçoit la leçon. Je me suis engagé un peu vite à permettre qu'il expérimente la pénétration, avant de constater que tu as du mal à rester dans le domaine technique. J'essaie de réparer cette erreur. Les possibilités de rapports sexuels sont réduites par ce voile, elles demeurent cependant. Tu peux varier les positions: couchée sur le dos, couchée sur un flanc, couchée sur le ventre. Du moment que le haut ne franchira pas le drap de séparation, tu pourras éventuellement être prise en levrette et pour cela lever ta croupe.
Joris pourra-t-il se coucher sur moi en position du missionnaire?
Non, il devra rester de son côté de la ligne de cette douane. Donc les regards langoureux, les suçons sur le cou ou les seins etc... c'est fini, vous en avez abusé. De même tu ne pourras pas le chevaucher, t'asseoir sur sa queue et galoper sur lui. Pour les positions couchées, je me chargerai de te disposer de façon pratique. En principe, hors de ta vue, agenouillé ou debout au pied du lit, ton apprenti aura accès à ton frifri et pourra s'introduire en toi. Le porte vêtements sur roulettes se déplacera et restera toujours positionné sur ta taille. Ne cherche pas à tricher si tu souhaites faire durer la séance. Tu as promis obéissance, respecte ta parole. Je vais chercher ton élève.
A mon arrivée,Joris se masturbe lentement sans gêne. La discussion a duré, son érection faiblit. Il reçoit les recommandations nécessaires, accepte les restrictions imposées par la séparation du lit en deux territoires, se réjouit de pouvoir pénétrer le vagin de sa maîtresse de stage. Pris de pitié je le conduis par le côté du lit au chevet de Mia.
- Ma chérie notre entretien a trop duré. La verge est retournée à l'état de pénis. Je vous donne cinq minutes pour rétablir ce membre dans ses dimensions. Tu peux user de tes doigts et de ta bouche.
Mes instructions sont suivies, leurs yeux ne se cherchent pas. Il tend son membre, elle le suce religieusement, les paupières fermées.
- C'est assez, Joris accompagne moi de ton côté....
Je reprends:
En premier tire le corps vers toi, amène les fesses au bord du matelas pendant que j'ajuste le voile. Bien. Pose tes mains de chaque côté sur l'élastique de la petite culotte. Délicatement retire ce dernier obstacle. Mia te facilite la tâche en soulevant ses hanches. Admire ce que tu mets au jour. Hume ce tissu, donne-le moi et approche ton nez de la fente encore fermée. Toute ta vie tu te souviendras de l'odeur spécifique de ton premier sexe de femme.
- Ca sent bon. J'adore.
-Tu n'as pas fini d'adorer ! Regarde, mes mains entourent les chevilles, je soulève les deux jambes et je les écarte largement. Adore cette vulve enflée étalée en haut des cuisses... Admire la douceur de la toison pubienne. Pose tes pouces sur les bourrelets en forme d'abricot et tire sur ces chairs vers l'extérieur. Doucement, mais sans avoir peur de bien ouvrir le sexe. Ces crêtes que je touche s'appellent nymphes ou petites lèvres. Tu peux également les écarter comme si tu ouvrais une moule. Que remarques-tu ?
- C'est rose et humide, ça brille. C'est adorable.
- N'attends plus, adore ! Prosterne-toi devant ce bijou sacré, caresse-le, baise-le, caresse-le, lèche-le, prends le en bouche. Adore avec tes lèvres, avec ta langue, avec tes doigts. Je te laisse toute la place, je t'abandonne les jambes. Fais la fête à cette chatte; tes voeux sont comblés. Carpe diem. Ne t'étonne pas, les mouvements du bassin sont des réactions normales. Nulle femme ne résistera au plaisir qui naît de tes soins. Applique-toi. Toutes se tortilleront ainsi au bout de ta langue . Insiste, bientôt elle gémira de bonheur Et là, en haut de la fente, il y a le point le plus sensible, le clitoris. De la langue repousse son capuchon. traite-le comme un bonbon, suce.
Afin d'atténuer le chant d'amour de Mia, je me déplace et je présente à sa bouche mon sexe. A elle aussi je dis "suce". elle obéit ! La bouche pleine émet moins de bruits. Mia tète, avale, me transforme en gourdin. Ses gémissements atténués excite le gourmand qui lui bouffe la chatte.
Raide, je retourne à côté de Joris. La leçon est incomplète. Comme le chat qui a attrapé un oiseau, il lâche difficilement sa proie, encouragé par les mouvements du bassin et les râles de joie de sa proie.
Il n'a pas eu besoin de conseils pour faire d'autres découvertes. Il suce toujours, tantôt les nymphes, tantôt le clitoris, en plus il a introduit deux doigts dans le vagin. Il les active et tourmente le point G, comme le connaisseur qu'il n'est pas. Je comprends mieux l'agitation de ma femme en transes.
- Ce qui est différent devient pour toi dément ? Je prétends parvenir au résultat souhaité par un chemin légèrement autre que le tien et dès aujourd'hui si c'est ton voeu. Ne crains ni hypnotisme ni anesthésie. Mon protocole exclut ces expédients qui te feraient perdre conscience. L'amour n'est pas source de douleur à éviter par ces moyens bons à l'hôpital.
-Merci de me rassurer sur ce point. Laisse-moi mener l'éducation de Joris, après
N'avons-nous pas conclu un accord qui autorisait une copulation hors norme entre un étranger et ma future épouse à condition que j'organise la préparation et l'exécution de l'examen minutieux de ton corps, de ton sexe et de tes zones érogènes et leur conclusion logique, à savoir la pénétration vaginale de ce corps que tu m'avais offert ? Cela est sinon dément, du moins énorme. Aucun élément de notre contrat moral ne stipulait que ta bonne action devait te procurer une jouissance appréciée en prime
-Est-ce le plaisir que je pourrais prendre qui te chagrine ? Te sens-tu mis à l'écart, sacrifié, spolié ou volé, n'obtiens-tu pas de moi les soins amoureux et tout le plaisir que tu es en droit d'attendre ? Ai-je jamais repoussé une marque de ton désir? Je ne comprends pas ta mise en scène et tes recommandations de technicité neutre, inodore, insipide et insensible. Humainement, l'indifférence aux sensations d'un accouplement effectué dans les règles de l'art est impossible. Je ne suis pas une poupée gonflable. L'impassibilité au cours d'un accouplement est une vue de l'esprit irréaliste, une aberration intellectuelle. Je ne suis pas un être désincarné, ne me réclame pas de rester de glace quand Joris introduira son sexe dans son premier sexe de femme. C'est pourquoi notre contrat ne pouvait pas stipuler que je ne ressentirais ni sentiment ni plaisir en m'unissant sexuellement à ce jeune homme...
-Entre une jouissance impossible à contenir et une jouissance attendue et recherchée avec force il y a des degrés significatifs. Je te demande de mettre en oeuvre les moyens nécessaires pour remplir ta tâche d'éducatrice et pour limiter les signes visibles, audibles et mécaniques. Ceux-ci attacheraient Joris à toi et lui donneraient l'illusion que tu ne pourrais plus te passer de relations sexuelles avec lui. Voilà pourquoi j'essaie de te donner la possibilité de maîtriser les réactions de ton corps, malgré la légitime satisfaction de ta réussite. L'émotion et la fierté d'être sa toute première fille peuvent te bouleverser, ne doivent pas te faire perdre le contrôle de tes sens
- Tu sais comment cela se passera. Sitôt calmée l'excitation du premier contact du gland contre mes nymphes et des frottements contre mes parois intérieures, l'instinct sexuel poussera Joris à bouger d'avant en arrière, à se lancer à la recherche de la jouissance sexuelle naturellement inscrite dans nos gènes. Et je devrais ne pas répondre à ses assauts d'homme nouveau, déchaîné par sa passion charnelle de jeune mâle. Je ne devrais ne rien éprouver ? Imagine qu'un jour je te donne une fille à déflorer. Aurais-tu la capacité de la faire jouir, de lui faire connaître l'orgasme et de ne pas éjaculer ?
Même placé par toi dans une telle situation, je conseillerais à ta pucelle de s'adresser à un célibataire et il n'en manque pas. Je refuse donc d' imaginer que je serais capable de me fourrer dans un pareil guêpier. D'ailleurs je n'aurais jamais imaginé que tu fabriquerais un problème aussi embarrassant que celui que tu nous imposes. Tu n'as pas eu besoin de moi pour te foutre dans le pétrin. Je ne t'ai pas donné Joris, au contraire je subis sa présence. Tu ne peux pas comparer l'incomparable. C'est bien toi qui as créé la situation inextricable qui nous oppose.
- Tu ne t'es pas opposé très fort quand j'ai pris conseil, tu t'es contenté de relever quelques inconvénients, des risques de traumatisme supposé. Ton dépucelage a-t-il causé des dégâts ? Il est un peu tard, à la deuxième séance, pour vouloir me prodiguer des recommandations. Quel élément nouveau justifie ton revirement ?
- Votre zèle au cours de la première phase d'aujourd'hui m'inspire beaucoup de méfiance et me fait redouter notre séparation. La femme qui s'investit autant dans les préliminaires travaillera ensuite à un remplacement de compagnon ,si ce n'est pas déjà fait. La pédagogie est votre dernier souci.
- Je regrette de t'avoir donné cette impression. Je ne peux pas interrompre ce qui est entrepris. Je ne me reconnais pas le droit d'infliger une désillusion aussi traumatisante à Joris. Je tiendrai mes engagements. Dis-moi comment je pourrai te rassurer autrement sur le sort de notre couple. Je suivrai tes conseils, je m'interdirai de jouir si c'est possible. Commande, mon chéri, j'obéirai..
-Nous avons dans la chambre voisine un portant à vêtement en métal : Si je me souviens de ses dimensions il fait environ 190 x 55 x 178 cm. On peut le déplacer sur roulettes.
- Ce doit être pratique pour faire l'amour, mon chéri ! Nous avions oublié de le tester. Enfin Jean quel rapport y a-t-il entre cet objet et notre problème ?
- Fais-moi confiance, j'ai trouvé la solution. Attends deux minutes,je le décharge et je l'amène ici.
- Dépêche-toi. Le pauvre garçon va s'ennuyer. Je serais étonnée qu'il bande encore. Amène ton instrument de torture... Tu as fait vite. Qu'as-tu fait des vêtements ?
- On en reparlera. Je lève le bas du lit, pousse le portant dessous. Merci. Maintenant il faut un grand drap.
- Tu perds la tête.
- Le drap est devenu un rideau. Allonge-toi, passe le haut de ton corps de l'autre côté du rideau. Joris connaît par coeur ta bouche, tes seins ,ton cou. Il a vu, il a caressé chaque centimètre carré de ton torse; il a dévoré tes yeux du regard comme un amoureux éperdu. Cela me suffit et doit te suffire. De ce coté du drap il n'a plus rien à apprendre. Ce que tu tenais surtout à lui faire découvrir, reste à exposer et à choyer. C'est ce que Joris attend le plus, ce qu"il appréciera le plus. Pour que tu puisses lui accorder le privilège de lui laisser la plus totale liberté d'action, mais en restant technicienne, sans être débordée par tes émotions et sans créer l'illusion que tu ne saurais plus te passer de lui, ce drap cachera ton visage et toutes les expressions qu'il transmettrait pendant qu'il s'occupera de ton sexe.Ce voile est censé limiter l'apprentissage à la partie basse de ton corps. Joris aura accès uniquement à ton sexe et aux abords proches.
- Il est cruel de scinder son apprentissage en parties. Je suis une, je ne suis pas un puzzle fait de pièces assemblées. On ne fait pas l'amour avec un morceau de femme ou avec un autre, on le fait avec une femme complète.
-Je sais. Mais vous ne faites pas l'amour, tu l'oublies. C'est ce que tu as précisé. Tu montres, tu fais voir ce qui fait de la femme un être différent de l'homme. Lui reçoit la leçon. Je me suis engagé un peu vite à permettre qu'il expérimente la pénétration, avant de constater que tu as du mal à rester dans le domaine technique. J'essaie de réparer cette erreur. Les possibilités de rapports sexuels sont réduites par ce voile, elles demeurent cependant. Tu peux varier les positions: couchée sur le dos, couchée sur un flanc, couchée sur le ventre. Du moment que le haut ne franchira pas le drap de séparation, tu pourras éventuellement être prise en levrette et pour cela lever ta croupe.
Joris pourra-t-il se coucher sur moi en position du missionnaire?
Non, il devra rester de son côté de la ligne de cette douane. Donc les regards langoureux, les suçons sur le cou ou les seins etc... c'est fini, vous en avez abusé. De même tu ne pourras pas le chevaucher, t'asseoir sur sa queue et galoper sur lui. Pour les positions couchées, je me chargerai de te disposer de façon pratique. En principe, hors de ta vue, agenouillé ou debout au pied du lit, ton apprenti aura accès à ton frifri et pourra s'introduire en toi. Le porte vêtements sur roulettes se déplacera et restera toujours positionné sur ta taille. Ne cherche pas à tricher si tu souhaites faire durer la séance. Tu as promis obéissance, respecte ta parole. Je vais chercher ton élève.
A mon arrivée,Joris se masturbe lentement sans gêne. La discussion a duré, son érection faiblit. Il reçoit les recommandations nécessaires, accepte les restrictions imposées par la séparation du lit en deux territoires, se réjouit de pouvoir pénétrer le vagin de sa maîtresse de stage. Pris de pitié je le conduis par le côté du lit au chevet de Mia.
- Ma chérie notre entretien a trop duré. La verge est retournée à l'état de pénis. Je vous donne cinq minutes pour rétablir ce membre dans ses dimensions. Tu peux user de tes doigts et de ta bouche.
Mes instructions sont suivies, leurs yeux ne se cherchent pas. Il tend son membre, elle le suce religieusement, les paupières fermées.
- C'est assez, Joris accompagne moi de ton côté....
Je reprends:
En premier tire le corps vers toi, amène les fesses au bord du matelas pendant que j'ajuste le voile. Bien. Pose tes mains de chaque côté sur l'élastique de la petite culotte. Délicatement retire ce dernier obstacle. Mia te facilite la tâche en soulevant ses hanches. Admire ce que tu mets au jour. Hume ce tissu, donne-le moi et approche ton nez de la fente encore fermée. Toute ta vie tu te souviendras de l'odeur spécifique de ton premier sexe de femme.
- Ca sent bon. J'adore.
-Tu n'as pas fini d'adorer ! Regarde, mes mains entourent les chevilles, je soulève les deux jambes et je les écarte largement. Adore cette vulve enflée étalée en haut des cuisses... Admire la douceur de la toison pubienne. Pose tes pouces sur les bourrelets en forme d'abricot et tire sur ces chairs vers l'extérieur. Doucement, mais sans avoir peur de bien ouvrir le sexe. Ces crêtes que je touche s'appellent nymphes ou petites lèvres. Tu peux également les écarter comme si tu ouvrais une moule. Que remarques-tu ?
- C'est rose et humide, ça brille. C'est adorable.
- N'attends plus, adore ! Prosterne-toi devant ce bijou sacré, caresse-le, baise-le, caresse-le, lèche-le, prends le en bouche. Adore avec tes lèvres, avec ta langue, avec tes doigts. Je te laisse toute la place, je t'abandonne les jambes. Fais la fête à cette chatte; tes voeux sont comblés. Carpe diem. Ne t'étonne pas, les mouvements du bassin sont des réactions normales. Nulle femme ne résistera au plaisir qui naît de tes soins. Applique-toi. Toutes se tortilleront ainsi au bout de ta langue . Insiste, bientôt elle gémira de bonheur Et là, en haut de la fente, il y a le point le plus sensible, le clitoris. De la langue repousse son capuchon. traite-le comme un bonbon, suce.
Afin d'atténuer le chant d'amour de Mia, je me déplace et je présente à sa bouche mon sexe. A elle aussi je dis "suce". elle obéit ! La bouche pleine émet moins de bruits. Mia tète, avale, me transforme en gourdin. Ses gémissements atténués excite le gourmand qui lui bouffe la chatte.
Raide, je retourne à côté de Joris. La leçon est incomplète. Comme le chat qui a attrapé un oiseau, il lâche difficilement sa proie, encouragé par les mouvements du bassin et les râles de joie de sa proie.
Il n'a pas eu besoin de conseils pour faire d'autres découvertes. Il suce toujours, tantôt les nymphes, tantôt le clitoris, en plus il a introduit deux doigts dans le vagin. Il les active et tourmente le point G, comme le connaisseur qu'il n'est pas. Je comprends mieux l'agitation de ma femme en transes.
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