Puceau Ep01 Début de soirée
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 677 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Charly Chast ont reçu un total de 1 604 185 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 428 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Puceau Ep01 Début de soirée
Puceau Ep01
Début de soirée
Il devait avoir au moins vingt et un an, vingt trois plutôt même. Ce soir on discutait depuis un moment et c'était sans doute les effets de la bière qui nous faisait nous lâcher.
– Tu sais moi, je suis encore puceau ! Me déclarait-il.
Je le regardais l'air un peu surpris, je l'avais en effet déjà vu avec des filles. Il faut dire qu'il avait un physique avantageux. Un bon mètre quatre vingt dix, bâti comme un bûcheron avec un visage très doux et un sourire charmeur.
– Non pas avec les filles mais avec les mecs rajoutait-il.
Je pouffais de rire.
– Et ça te chagrine ?
– Non, c'est pas ça. Rajoutait-il. Mais il faut dire que c'est amusant, toi tu es puceau avec les filles et moi avec les mecs …
– Mais je ne suis pas puceau avec les filles ! Lui répondais-je.
– Non, j'y crois pas !
– Par contre toi tu es bien puceau avec les mecs.
– Oui mais moi j'ai les fesses sensibles.
On continuait à discuter et à picoler, on rigolait aussi beaucoup.
En sortant il m'invitait à prendre un dernier verre chez lui. Et bien devinez à quoi j'ai pensé à ce moment … Et bien à un dernier verre.
Bein oui quoi, je ne l'ai pas vu venir. Il faut dire que je ne m'y attendais pas. C'est pas qu'il ne me plaisait pas mais bon je l'avais vu avec des filles, et je n'imaginais pas la suite.
C'est devant une bière chez lui qu'il continuait …
– J'aimerais bien essayer avec un mec mais moi je ne me fais pas enculer.
– C'est une proposition ? Lui répondais-je.
– Tu es d'accord.
– Oh béh oui ! Répondais-je en parcourant son corps du regard.
Il était nettement plus grand que moi, plus carré, et avait aussi une bosse prometteuse entre les cuisses. Mais bon ça je l'avais déjà remarqué.
– Mais moi je ne me fais pas enculer !
– Peut être que tu aimerais ?
– Je sais pas, ça doit faire mal !
– Au début oui, mais ensuite ça devient un vrai plaisir.
– J'en ai une grosse tu sais.
– Ils disent tous ça !
Mais lui n’exagérait pas. J'allais le constaté peu après ...
– On compare ? Me lançait-il.
Je pouffais de rire, mais lui ne rigolait pas. C'est vrai qu'on était un peu allumé, on avait picolé pendant une partie de la soirée. Il se levait et baissait son pantalon.
Il avait du y penser depuis un moment, il voulait faire une expérience ou peut être était-il attiré par les garçons depuis un moment sans avoir jamais osé franchir le pas.
Moi j'étais vert, mes yeux me ressortaient de la tête. Il en avait une belle, en effet il n'avait pas exagéré. C'est une grosse semi-molle qui se redressait à moitié quand le pantalon tombait.
– Alors tu en dis quoi ?
Je ne lui laissais pas le temps de réagir mais c'est pas ma faute. Quand je vois un truc comme ça devant mon nez, je n'arrive pas à me retenir. A peine avait-il terminé sa question que son gland était déjà dans ma bouche.
– Ah ouai ! Arrivait-il à bafouiller.
Il ne me repoussait pas mais semblait ne pas savoir comment réagir. C'est moi qui baissais son pantalon jusque sur ses chevilles. Il dégageait ses pieds et s'asseyait sur le fauteuil, il retirait ses chaussettes sans que pour autant je n'arrête de le sucer. Je prenais et continuais à prendre sa queue bien à fond.
Je continuais à sucer avec avidité, c'était une belle queue comme on n'en voit pas souvent et je savais en profiter.
Je le sentais qui tremblait, qui frémissait, il posait doucement sa main sur ma nuque mais sans appuyer.
Je relevais et rabaissais ma tête, sa queue s'écrasait contre le fond de ma gorge, glissait sur ma langue et quand elle ressortait je le masturbais doucement quelques secondes puis reprenais sa queue dans ma bouche.
Il gémissait de plaisir et me caressait la nuque avec une grande douceur, il suivait mes mouvements sans me forcer.
Je relevais la tête et le voyait entièrement nu. Il avait retiré sa chemise sans que je ne le remarque, il était vraiment beau, un corps massif et musclé, il n'y avait rien de mou dans son corps et c'est avec plaisir que je reprenais dans la bouche ce qu'il y avait de plus dur dans son corps.
C'est à ce moment qu'il a eu comme un réflexe, il soulevait son bassin avec force sans prévenir et en même appuyait avec force sur l'arrière de ma tête. Là je l'ai senti passer. Il réagissait et rapidement se retenait et retirait sa mains.
Je relevais la tête et le regardais.
– Excuse moi ! Ça m'a échappé ! C'est peut être pas très respectueux, je ne le ferai plus …
Je fronçais les sourcils, prenais sa main et la reposais sur ma nuque.
– Bonhomme il y a des moments ou le respect, tu peux l'oublier. Le respect tu le pose à coté de toi sur ta pile de vêtements, et tu le récupéreras plus tard.
Je plongeais de nouveau et de nouveau sa queue glissait dans ma gorge. Il semblait hésiter quelques secondes et finissait par prendre le contrôle, c'est lui qui imprimait le mouvement, il appuyait sur ma tête avec force désormais.
Par moment il me retenait en appuyant très fort, là j'ai dégusté ! Il relevait aussi son bassin, il ne se retenait plus. Là j'ai aimé.
Puis il s'énervait, il y allait de plus en plus fort de plus en plus vite. Rapidement je ne contrôlais plus rien. J'avais créé un monstre.
Mais il était beau et sexy le monstre, il était beau comme un dieu. Je lui caressais le torse comme je pouvais. Sa peau était douce et ses muscles fermes. Mon nez s'écrasait contre son ventre et je n'avais plus le choix, il fallait que j'avale sa queue. Il appuyait fort, il devinait qu'il ne fallait pas m'étouffer mais il me poussait à la limite.
Par moment j'en pouvais plus. Par moment je le repoussais, il comprenait et se retenait. Pendant quelques instants il ne faisait plus rien mais quand je reprenais sa queue dans la bouche il recommençait à me limer la bouche. A me baiser par la bouche.
Je sentais le plaisir monter, pas le mien, moi je n'était que l'objet de son plaisir. C'était bien son plaisir que je sentais monter, dans ses gémissements, dans ses tremblements, il devait se retenir pour faire durer plus longtemps. Et ça il savait faire.
Les filles ne devaient pas se plaindre que c'était trop court avec lui. Et là je ne parle pas de ses vingt trois centimètres de long. Enfin peut être que certaines devait la trouver trop longue. Moi j'adore et c'est vrai que si je la trouvais longue, je ne dirai jamais ' trop '.
C'était de la folie, cette bite de très belle taille glissait contre ma langue, puis s'écrasait sur ma glotte, écrasait ma glotte avant de continuer encore un peu dans ma gorge.
C'est pas pour un débutant ça c'est sûr.
J'étais couvert de salive, sa queue lubrifiée avec ma salive se laissait masturber quand je retirais la tête pour reprendre mon souffle.
Puis il retirait définitivement sa main, il me laissait faire, il se penchait en arrière, s'abandonnait totalement à mes caresses et je le sentais qui respirait plus fort, puis encore plus fort.
Il râlait de plaisir.
C'est sans prévenir qu'il appuyait sur ma tête avec force. Sa queue s'enfonçait dans ma gorge et avant même que j'ai le temps de réagir il éjaculait, il lâchait quelques giclées, je relevais la tête et il éjaculais encore.
Avec sa main il retenait ma tête pendant qu'il continuait à juter dans ma bouche. Là moi je me régalais. Je ne cherchais pas à me dégager. Je fermais les yeux et je laissais faire, j'attendais qu'il termine, j'en prenais plein la gueule.
Il se calmais, il ne bougeait plus, j'avais toujours son gland dans ma bouche et à la moindre caresse de ma langue je le sentais qui se crispait, qui tremblait.
J'avalais son sperme, je me régalais, et quand je relevais la tête je laissais sa queue toute propre, il n'y avait plus la moindre trace, elle restait humide c'est tout.
Il était là allongé amorphe sur le dos, il respirait encore fort mais se détendait.
– Si c'est ça être PD, je signe tout de suite ! Me disait-il.
– Non mais ça c'est juste une présentation.
– Mais moi je me fais pas enculer.
Pendant qu'il parlait je me relevais, il attrapait une serviette pour que puisse m'essuyer, j'avais le visage couvert de salive et de sperme, mais j'avais le sourire.
– Tu n'est pas obligé de te faire enculer si tu n'aimes pas ! Lui expliquais-je en retirant ma chemise.
Il était entièrement nu allongé sur le fauteuil qui avait basculé en position détente. Il était beau mais vraiment beau, je le voulais contre moi, je le voulais en moi. Il avait joui, moi pas. Jusqu'à ce moment j'étais resté tout habillé.
Je me retrouvais torse nue et je continuais. J'ouvrais mon pantalon. Il me regardait en rigolant.
– Mais moi je ne me fait pas enculer. Continuait-il.
Il avait une grosse molle, bien grosse et bien molle qui courait sur sa cuisse. Je rigolais aussi en le regardant, je lui donnais une dernière caresse sur son sexe, il me laissait faire avec un large sourire, je devinais qu'il aimait. Avec ce que je venais de lui faire on peut le comprendre.
Puis mon pantalon tombait, je n'avais pas de sous vêtements, vous auriez vu sa tête. Il regardait fixement ma cage à bite dont il ne soupçonnait même pas l'existence.
– Et c'est quoi ça ?
– Ah ça, c'est un truc pour rester sage. Si tu veux que je le retire, je t'encule.
– Nanh ! Personne ne m'encule. Moi je t'encule.
Je voyais sa queue qui commençait à se réveiller et prenait un peu plus de volume.
Ce qui est bien avec un mec de vingt ans comme lui, c'est que après avoir tiré son coup, il se repose un petit moment et ça repart. Plusieurs fois de suite dans la nuit même.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Début de soirée
Il devait avoir au moins vingt et un an, vingt trois plutôt même. Ce soir on discutait depuis un moment et c'était sans doute les effets de la bière qui nous faisait nous lâcher.
– Tu sais moi, je suis encore puceau ! Me déclarait-il.
Je le regardais l'air un peu surpris, je l'avais en effet déjà vu avec des filles. Il faut dire qu'il avait un physique avantageux. Un bon mètre quatre vingt dix, bâti comme un bûcheron avec un visage très doux et un sourire charmeur.
– Non pas avec les filles mais avec les mecs rajoutait-il.
Je pouffais de rire.
– Et ça te chagrine ?
– Non, c'est pas ça. Rajoutait-il. Mais il faut dire que c'est amusant, toi tu es puceau avec les filles et moi avec les mecs …
– Mais je ne suis pas puceau avec les filles ! Lui répondais-je.
– Non, j'y crois pas !
– Par contre toi tu es bien puceau avec les mecs.
– Oui mais moi j'ai les fesses sensibles.
On continuait à discuter et à picoler, on rigolait aussi beaucoup.
En sortant il m'invitait à prendre un dernier verre chez lui. Et bien devinez à quoi j'ai pensé à ce moment … Et bien à un dernier verre.
Bein oui quoi, je ne l'ai pas vu venir. Il faut dire que je ne m'y attendais pas. C'est pas qu'il ne me plaisait pas mais bon je l'avais vu avec des filles, et je n'imaginais pas la suite.
C'est devant une bière chez lui qu'il continuait …
– J'aimerais bien essayer avec un mec mais moi je ne me fais pas enculer.
– C'est une proposition ? Lui répondais-je.
– Tu es d'accord.
– Oh béh oui ! Répondais-je en parcourant son corps du regard.
Il était nettement plus grand que moi, plus carré, et avait aussi une bosse prometteuse entre les cuisses. Mais bon ça je l'avais déjà remarqué.
– Mais moi je ne me fais pas enculer !
– Peut être que tu aimerais ?
– Je sais pas, ça doit faire mal !
– Au début oui, mais ensuite ça devient un vrai plaisir.
– J'en ai une grosse tu sais.
– Ils disent tous ça !
Mais lui n’exagérait pas. J'allais le constaté peu après ...
– On compare ? Me lançait-il.
Je pouffais de rire, mais lui ne rigolait pas. C'est vrai qu'on était un peu allumé, on avait picolé pendant une partie de la soirée. Il se levait et baissait son pantalon.
Il avait du y penser depuis un moment, il voulait faire une expérience ou peut être était-il attiré par les garçons depuis un moment sans avoir jamais osé franchir le pas.
Moi j'étais vert, mes yeux me ressortaient de la tête. Il en avait une belle, en effet il n'avait pas exagéré. C'est une grosse semi-molle qui se redressait à moitié quand le pantalon tombait.
– Alors tu en dis quoi ?
Je ne lui laissais pas le temps de réagir mais c'est pas ma faute. Quand je vois un truc comme ça devant mon nez, je n'arrive pas à me retenir. A peine avait-il terminé sa question que son gland était déjà dans ma bouche.
– Ah ouai ! Arrivait-il à bafouiller.
Il ne me repoussait pas mais semblait ne pas savoir comment réagir. C'est moi qui baissais son pantalon jusque sur ses chevilles. Il dégageait ses pieds et s'asseyait sur le fauteuil, il retirait ses chaussettes sans que pour autant je n'arrête de le sucer. Je prenais et continuais à prendre sa queue bien à fond.
Je continuais à sucer avec avidité, c'était une belle queue comme on n'en voit pas souvent et je savais en profiter.
Je le sentais qui tremblait, qui frémissait, il posait doucement sa main sur ma nuque mais sans appuyer.
Je relevais et rabaissais ma tête, sa queue s'écrasait contre le fond de ma gorge, glissait sur ma langue et quand elle ressortait je le masturbais doucement quelques secondes puis reprenais sa queue dans ma bouche.
Il gémissait de plaisir et me caressait la nuque avec une grande douceur, il suivait mes mouvements sans me forcer.
Je relevais la tête et le voyait entièrement nu. Il avait retiré sa chemise sans que je ne le remarque, il était vraiment beau, un corps massif et musclé, il n'y avait rien de mou dans son corps et c'est avec plaisir que je reprenais dans la bouche ce qu'il y avait de plus dur dans son corps.
C'est à ce moment qu'il a eu comme un réflexe, il soulevait son bassin avec force sans prévenir et en même appuyait avec force sur l'arrière de ma tête. Là je l'ai senti passer. Il réagissait et rapidement se retenait et retirait sa mains.
Je relevais la tête et le regardais.
– Excuse moi ! Ça m'a échappé ! C'est peut être pas très respectueux, je ne le ferai plus …
Je fronçais les sourcils, prenais sa main et la reposais sur ma nuque.
– Bonhomme il y a des moments ou le respect, tu peux l'oublier. Le respect tu le pose à coté de toi sur ta pile de vêtements, et tu le récupéreras plus tard.
Je plongeais de nouveau et de nouveau sa queue glissait dans ma gorge. Il semblait hésiter quelques secondes et finissait par prendre le contrôle, c'est lui qui imprimait le mouvement, il appuyait sur ma tête avec force désormais.
Par moment il me retenait en appuyant très fort, là j'ai dégusté ! Il relevait aussi son bassin, il ne se retenait plus. Là j'ai aimé.
Puis il s'énervait, il y allait de plus en plus fort de plus en plus vite. Rapidement je ne contrôlais plus rien. J'avais créé un monstre.
Mais il était beau et sexy le monstre, il était beau comme un dieu. Je lui caressais le torse comme je pouvais. Sa peau était douce et ses muscles fermes. Mon nez s'écrasait contre son ventre et je n'avais plus le choix, il fallait que j'avale sa queue. Il appuyait fort, il devinait qu'il ne fallait pas m'étouffer mais il me poussait à la limite.
Par moment j'en pouvais plus. Par moment je le repoussais, il comprenait et se retenait. Pendant quelques instants il ne faisait plus rien mais quand je reprenais sa queue dans la bouche il recommençait à me limer la bouche. A me baiser par la bouche.
Je sentais le plaisir monter, pas le mien, moi je n'était que l'objet de son plaisir. C'était bien son plaisir que je sentais monter, dans ses gémissements, dans ses tremblements, il devait se retenir pour faire durer plus longtemps. Et ça il savait faire.
Les filles ne devaient pas se plaindre que c'était trop court avec lui. Et là je ne parle pas de ses vingt trois centimètres de long. Enfin peut être que certaines devait la trouver trop longue. Moi j'adore et c'est vrai que si je la trouvais longue, je ne dirai jamais ' trop '.
C'était de la folie, cette bite de très belle taille glissait contre ma langue, puis s'écrasait sur ma glotte, écrasait ma glotte avant de continuer encore un peu dans ma gorge.
C'est pas pour un débutant ça c'est sûr.
J'étais couvert de salive, sa queue lubrifiée avec ma salive se laissait masturber quand je retirais la tête pour reprendre mon souffle.
Puis il retirait définitivement sa main, il me laissait faire, il se penchait en arrière, s'abandonnait totalement à mes caresses et je le sentais qui respirait plus fort, puis encore plus fort.
Il râlait de plaisir.
C'est sans prévenir qu'il appuyait sur ma tête avec force. Sa queue s'enfonçait dans ma gorge et avant même que j'ai le temps de réagir il éjaculait, il lâchait quelques giclées, je relevais la tête et il éjaculais encore.
Avec sa main il retenait ma tête pendant qu'il continuait à juter dans ma bouche. Là moi je me régalais. Je ne cherchais pas à me dégager. Je fermais les yeux et je laissais faire, j'attendais qu'il termine, j'en prenais plein la gueule.
Il se calmais, il ne bougeait plus, j'avais toujours son gland dans ma bouche et à la moindre caresse de ma langue je le sentais qui se crispait, qui tremblait.
J'avalais son sperme, je me régalais, et quand je relevais la tête je laissais sa queue toute propre, il n'y avait plus la moindre trace, elle restait humide c'est tout.
Il était là allongé amorphe sur le dos, il respirait encore fort mais se détendait.
– Si c'est ça être PD, je signe tout de suite ! Me disait-il.
– Non mais ça c'est juste une présentation.
– Mais moi je me fais pas enculer.
Pendant qu'il parlait je me relevais, il attrapait une serviette pour que puisse m'essuyer, j'avais le visage couvert de salive et de sperme, mais j'avais le sourire.
– Tu n'est pas obligé de te faire enculer si tu n'aimes pas ! Lui expliquais-je en retirant ma chemise.
Il était entièrement nu allongé sur le fauteuil qui avait basculé en position détente. Il était beau mais vraiment beau, je le voulais contre moi, je le voulais en moi. Il avait joui, moi pas. Jusqu'à ce moment j'étais resté tout habillé.
Je me retrouvais torse nue et je continuais. J'ouvrais mon pantalon. Il me regardait en rigolant.
– Mais moi je ne me fait pas enculer. Continuait-il.
Il avait une grosse molle, bien grosse et bien molle qui courait sur sa cuisse. Je rigolais aussi en le regardant, je lui donnais une dernière caresse sur son sexe, il me laissait faire avec un large sourire, je devinais qu'il aimait. Avec ce que je venais de lui faire on peut le comprendre.
Puis mon pantalon tombait, je n'avais pas de sous vêtements, vous auriez vu sa tête. Il regardait fixement ma cage à bite dont il ne soupçonnait même pas l'existence.
– Et c'est quoi ça ?
– Ah ça, c'est un truc pour rester sage. Si tu veux que je le retire, je t'encule.
– Nanh ! Personne ne m'encule. Moi je t'encule.
Je voyais sa queue qui commençait à se réveiller et prenait un peu plus de volume.
Ce qui est bien avec un mec de vingt ans comme lui, c'est que après avoir tiré son coup, il se repose un petit moment et ça repart. Plusieurs fois de suite dans la nuit même.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Charly Chast
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire, vivement la suite, moi non plus je ne voulais pas me faire éculer ,maintenant j'adore et en redemande et je suis acro au sperme