Puni pour avoir réclamé..une fessée !
Récit érotique écrit par Annie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2004 dans la catégorie Dominants et dominés
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Puni pour avoir réclamé..une fessée !
... D'ordinaire, notre vie de couple se passe tout à fait normalement. Il y a quelques années, mon conjoint m'avoua son fantasme d'être fessé par moi, et bien que plutôt froide à l'idée au départ, quelque chose m'a excité dans l'idée et poussée à l'expérimenter. Il ne fallut pas longtemps pour que je prenne un certain goût à la chose et pour tout dire, pour en tirer des avantages : sur le plan sexuel, mais aussi pour obtenir des faveurs et même faire exécuter certains travaux ménagers dans la maison et ralonger ainsi mes temps libres.
Nous jouons ce petit jeu tout au plus une fois par mois, mais tous les prétextes sont bons pour justifier une punition : chicane, vêtements non rangés, traîneries à répétition, bref tout ce qui tape sur les nerfs.
Comme je n'ai pas toujours envie de jouer le jeu, nous avons convenu que moi seule pouvait décider du moment d'une punition. Toutes les raisons sont notées dans un registre spécial au fur et à mesure, même si j'en oublie quelques-unes, il y a toujours des items pour justifier.
Cette semaine, mon conjoint a transgressé à plusieurs reprises une règle fondamentale.
Bien que je lui concède le droit de me laisser savoir qu'il est "en manque" d'une bonne fessée, il ne doit jamais insister. Mais des dizaines de fois cette semaine, il l'a fait.
Ce soir, vendredi, je suis rentrée du travail et encore une fois, il m'a harcelée subtilement pour subir l'humiliation. D'humeur plutôt aggressive ce soir, au lieu de me sentir harcelée ainsi, je décidai intérieurement qu'il allait être servi... Monsieur voulait une fessée avec le martinet, il allait l'avoir sa fessée. Et il allait en avoir toute une...
Je lui dis de se déshabiller et de m'attendre dans la pièce d'à côté. Je pense qu'il s'attendait à plus de résistance de ma part. Il fût d'abord surpris, puis alla dans la pièce en question.
Je le rejoignis cinq minutes plus tard. Je le ligotai bien solidement, poignets et cuisses, sur un tabouret, avec des attaches en cuir que nous nous sommes procurées pour ces occasions. Intentionnellement, je ne prononcai aucun mot pendant de longues minutes, même s'il balbutia quelques paroles sans réponse. J'étais là, assise, à le laisser ressentir un certain inconfort physique et psychologique.
Puis, je lui dis : "Tu veux une fessée ? Tu la veux comment ?". Il répondit : "la meilleure que tu puisses donner, Annie".
- "Tu sais vraiment dans quoi tu t'embarques ?"
- "Oui, c'est ce que je veux..."
Il me donna quelques bonnes raisons, n'ayant aucune idée que le seul fait de m'avoir tant harcelée m'avait enflammée au point où, la journée au travail aidant, j'avais vraiment envie de lui faire payer, sans besoin d'une autre raison. Je lui dis :
- "Tu sais pourquoi je vais te punir ce soir ?"
- "Pour ces raisons..."
- "Oh que non.... Tu m'as harcelée toute la semaine. Qui doit décider d'appliquer une fessée, et quand l'appliquer ?"
- "Toi" dit-il, après une petite hésitation.
- "Bien. Maintenant, je décide : il n'y aura pas de nombre, ni de temps maximal fixé ce soir. Je te jure juste un minimum : rien, absolument rien, ne va m'arrêter avant douze minutes. Après douze minutes, je vais continuer. Et je vais continuer comme tu as continué à me harceler cette semaine. Et je vais arrêter quand ? J'arrêterai lorsque tu m'auras assez supplié et que tu m'auras juré de ne plus jamais me harceler".
Il rit alors un peu, puis voyant que je le fixe dans les yeux, il commence à comprendre que je ne plaisant pas. Je passai derrière lui, et lancai le chrono de ma montre. Mon premier coup n'avait rien d'un réchauffement, et en moins d'une seconde, le deuxième arriva encore plus fort. À peine 30 secondes s'étaient écoulées qu'il me suppliait d'y aller moins fort. Demande que j'ignorai bien entendu. Après quelques minutes, je décidai de faire un bout à la main, puis avec la canne de bambou, et revint au fouet. Au bout de 5 ou 6 minutes, il jurait de ne plus jamais me réclamer de fessée avec tant d'insistance, et de reconnaître que c'est moi qui peut prendre de telles décisions. Mais c'était trop tôt : il restait encore au minimum la moitié du parcours, et probablement plus : c'est ce que je lui répétai.
Ses fesses étaient rouges comme des tomates, marquées partout, et je ressentais une boule de feu dans mon ventre. Ma culotte se mouillait de le voir et l'entendre à ma merci. 'Il va l'avoir et il va l'avoir jusqu'au bout sa fessée' pensai-je, avec encore une pointe de colère en-dedans qui se mêlait à mon excitation.
À douze minutes, alors qu'il avait des larmes qui coulaient sur ses joues, j'arrêtai, lui laissant croire (sans lui dire) que c'était terminé. Je lui fis répéter sa promesse 3 ou 4 fois, puis recommencai à le fouetter, ce qui accrût l'intensité de ses mots. Il allait supplier de surcroît, et promettre encore et encore. J'ai dû le fouetter encore un autre 4 ou 5 minutes...
Puis je le détachai et le fis mettre à genoux dans un coin pour plusieurs longues minutes. Je lui présentai alors une tablette et une plume : "Tu vas noter la phrase que je vais te dicter". Et je lui dictai la phrase suivante :
'Je promets de ne plus jamais harceler ma conjointe pour lui demander une punition. C'est elle et elle seule qui a le pouvoir et l'autorité pour prendre une telle décision. Je vais respecter cette consigne'
- "Maintenant, tu vas la copier 1 000 fois cette phrase, et je veux cette copie terminée dans 3 jours. Et ce n'est pas tout. Je t'ai préparé une liste de corvées pour ce week-end. Tu en as pour de longues heures. Je veux tout fini pour demain 16h00. Tout!. Demain soir, tu auras encore une fessée, au gré de ma bonne ou mauvaise humeur si tout n'est pas impeccable."
Le lendemain matin, alors que ses fesses étaient encore à une sensibilité extrême, il eut droit à une autre impitoyable correction :
- "Hier, tu m'as souligné certains bons points qui méritent une fouettée..." lui dis-je.
- "Oh mais... Annie, tu m'as puni hier... Ne peut-on pas attendre... ce soir ? Demain ?..."
- "Premièrement, qui décide ? "
- "Toi. Bien sûr..."
- "Alors, tu vas te placer au même endroit. Hier, c'était pour ton insistance agaçante que tu as été puni. Ce matin, c'est pour autre chose."
C'était un test inversé, en quelque sorte, pour vérifier s'il avait bien compris la leçon. Il s'exécuta et eut droit à une cinquantaine de coups de fouet, sans doute très difficiles à prendre dans l'état de ses fesses...
Je pense qu'il l'a eu sa leçon. Non pas qu'il n'ait depuis reçu des fessées aussi sévères : il en a reçu des pires, mais jamais il n'a osé me harceler à nouveau. Je lui permets bien de me dire une seule fois qu'il ait envie de cela, mais pas plus.
Nous jouons ce petit jeu tout au plus une fois par mois, mais tous les prétextes sont bons pour justifier une punition : chicane, vêtements non rangés, traîneries à répétition, bref tout ce qui tape sur les nerfs.
Comme je n'ai pas toujours envie de jouer le jeu, nous avons convenu que moi seule pouvait décider du moment d'une punition. Toutes les raisons sont notées dans un registre spécial au fur et à mesure, même si j'en oublie quelques-unes, il y a toujours des items pour justifier.
Cette semaine, mon conjoint a transgressé à plusieurs reprises une règle fondamentale.
Bien que je lui concède le droit de me laisser savoir qu'il est "en manque" d'une bonne fessée, il ne doit jamais insister. Mais des dizaines de fois cette semaine, il l'a fait.
Ce soir, vendredi, je suis rentrée du travail et encore une fois, il m'a harcelée subtilement pour subir l'humiliation. D'humeur plutôt aggressive ce soir, au lieu de me sentir harcelée ainsi, je décidai intérieurement qu'il allait être servi... Monsieur voulait une fessée avec le martinet, il allait l'avoir sa fessée. Et il allait en avoir toute une...
Je lui dis de se déshabiller et de m'attendre dans la pièce d'à côté. Je pense qu'il s'attendait à plus de résistance de ma part. Il fût d'abord surpris, puis alla dans la pièce en question.
Je le rejoignis cinq minutes plus tard. Je le ligotai bien solidement, poignets et cuisses, sur un tabouret, avec des attaches en cuir que nous nous sommes procurées pour ces occasions. Intentionnellement, je ne prononcai aucun mot pendant de longues minutes, même s'il balbutia quelques paroles sans réponse. J'étais là, assise, à le laisser ressentir un certain inconfort physique et psychologique.
Puis, je lui dis : "Tu veux une fessée ? Tu la veux comment ?". Il répondit : "la meilleure que tu puisses donner, Annie".
- "Tu sais vraiment dans quoi tu t'embarques ?"
- "Oui, c'est ce que je veux..."
Il me donna quelques bonnes raisons, n'ayant aucune idée que le seul fait de m'avoir tant harcelée m'avait enflammée au point où, la journée au travail aidant, j'avais vraiment envie de lui faire payer, sans besoin d'une autre raison. Je lui dis :
- "Tu sais pourquoi je vais te punir ce soir ?"
- "Pour ces raisons..."
- "Oh que non.... Tu m'as harcelée toute la semaine. Qui doit décider d'appliquer une fessée, et quand l'appliquer ?"
- "Toi" dit-il, après une petite hésitation.
- "Bien. Maintenant, je décide : il n'y aura pas de nombre, ni de temps maximal fixé ce soir. Je te jure juste un minimum : rien, absolument rien, ne va m'arrêter avant douze minutes. Après douze minutes, je vais continuer. Et je vais continuer comme tu as continué à me harceler cette semaine. Et je vais arrêter quand ? J'arrêterai lorsque tu m'auras assez supplié et que tu m'auras juré de ne plus jamais me harceler".
Il rit alors un peu, puis voyant que je le fixe dans les yeux, il commence à comprendre que je ne plaisant pas. Je passai derrière lui, et lancai le chrono de ma montre. Mon premier coup n'avait rien d'un réchauffement, et en moins d'une seconde, le deuxième arriva encore plus fort. À peine 30 secondes s'étaient écoulées qu'il me suppliait d'y aller moins fort. Demande que j'ignorai bien entendu. Après quelques minutes, je décidai de faire un bout à la main, puis avec la canne de bambou, et revint au fouet. Au bout de 5 ou 6 minutes, il jurait de ne plus jamais me réclamer de fessée avec tant d'insistance, et de reconnaître que c'est moi qui peut prendre de telles décisions. Mais c'était trop tôt : il restait encore au minimum la moitié du parcours, et probablement plus : c'est ce que je lui répétai.
Ses fesses étaient rouges comme des tomates, marquées partout, et je ressentais une boule de feu dans mon ventre. Ma culotte se mouillait de le voir et l'entendre à ma merci. 'Il va l'avoir et il va l'avoir jusqu'au bout sa fessée' pensai-je, avec encore une pointe de colère en-dedans qui se mêlait à mon excitation.
À douze minutes, alors qu'il avait des larmes qui coulaient sur ses joues, j'arrêtai, lui laissant croire (sans lui dire) que c'était terminé. Je lui fis répéter sa promesse 3 ou 4 fois, puis recommencai à le fouetter, ce qui accrût l'intensité de ses mots. Il allait supplier de surcroît, et promettre encore et encore. J'ai dû le fouetter encore un autre 4 ou 5 minutes...
Puis je le détachai et le fis mettre à genoux dans un coin pour plusieurs longues minutes. Je lui présentai alors une tablette et une plume : "Tu vas noter la phrase que je vais te dicter". Et je lui dictai la phrase suivante :
'Je promets de ne plus jamais harceler ma conjointe pour lui demander une punition. C'est elle et elle seule qui a le pouvoir et l'autorité pour prendre une telle décision. Je vais respecter cette consigne'
- "Maintenant, tu vas la copier 1 000 fois cette phrase, et je veux cette copie terminée dans 3 jours. Et ce n'est pas tout. Je t'ai préparé une liste de corvées pour ce week-end. Tu en as pour de longues heures. Je veux tout fini pour demain 16h00. Tout!. Demain soir, tu auras encore une fessée, au gré de ma bonne ou mauvaise humeur si tout n'est pas impeccable."
Le lendemain matin, alors que ses fesses étaient encore à une sensibilité extrême, il eut droit à une autre impitoyable correction :
- "Hier, tu m'as souligné certains bons points qui méritent une fouettée..." lui dis-je.
- "Oh mais... Annie, tu m'as puni hier... Ne peut-on pas attendre... ce soir ? Demain ?..."
- "Premièrement, qui décide ? "
- "Toi. Bien sûr..."
- "Alors, tu vas te placer au même endroit. Hier, c'était pour ton insistance agaçante que tu as été puni. Ce matin, c'est pour autre chose."
C'était un test inversé, en quelque sorte, pour vérifier s'il avait bien compris la leçon. Il s'exécuta et eut droit à une cinquantaine de coups de fouet, sans doute très difficiles à prendre dans l'état de ses fesses...
Je pense qu'il l'a eu sa leçon. Non pas qu'il n'ait depuis reçu des fessées aussi sévères : il en a reçu des pires, mais jamais il n'a osé me harceler à nouveau. Je lui permets bien de me dire une seule fois qu'il ait envie de cela, mais pas plus.
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