Punition
Récit érotique écrit par Mister dark [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Punition
Une journée difficile s'était présentée à moi, et je pense que la soirée allait également être du même ordre. En effet, ma chipie de Lady était restée à la maison avec un certain nombre de consigne et je me doute qu'aucune de ces dernières n'allaitent être respecter. Je prenais donc le chemin de notre foyer. Après un passage infernal dans les transports en commun, je rentrais enfin chez moi. Voir la porte de chez moi me permettait de retrouver le moral mais celui-ci fut de courte durée une fois la porte d'entrée passée!! Et là je fus assailli par le chaos! le salon était dans un désordre complet, des paquets de chips vide, des bouteilles de soda vide côtoient des chaussettes sales.
Dans le canapé, Lady ne m'ayant pas encore repéré, elle est torse nue et en culotte allongée sur le canapé avec la main droite dans la culotte en train de se donner du plaisir et la main gauche sur le sain en train de se titiller le téton. A priori, elle se donne du plaisir depuis un petit moment et il est bien avancé bien avancé car je constate que ça culotte à force d'être mouillée en est transparente. Mon sang ne fait qu'un tout car en plus de faire les tâches ménagères, lady avait interdiction de ce donner du plaisir. Elle ne peut se donner du plaisir que sous mon contrôle.
Elle a du sentir ma présence dans l'entrée, car je la vois lever les yeux vers moi. Son expression change du tout au tout, le plaisir est remplacé par la crainte car elle a compris que cela fais plusieurs minutes que je l'observe. Je la vois blêmir, elle lit la colère dans mes yeux qui ont pris un reflet glacé. Ma mâchoire et mes poings serrés ne font qu'amplifier sa peur. Elle me regarde et jette un coup d'œil au salon et voit le désordre qui l'entoure. Elle comprend donc qu'elle n'a pas remplie ses missions et qu'elle a outrepassé mes prérogatives. Lady décide donc de jouer son va-tout et se lève rapidement et décide de courir vers la chambre!! J’ai compris ce qu'elle veut faire, elle veut échapper à sa punition en allant s'enfermer dans notre chambre. Je ne la laisserai pas faire, avant d'arriver dans la chambre, j'arrive à la saisir par la taille et a refermer ma deuxième mains sur le sein qu'elle se tripotait rester encore tendu par l'excitation.
Elle voulait aller dans la chambre, je l'y emmène donc et la jette sur le lit. Elle n'a plus aucune échappatoire, j'attrape ces bras et je les attaches aux montants gauches et droits du lit. Lady est bloquée sur le ventre, je lui soulève et bloques les jambes avec mes nouvelles cordes!! Voila donc Lady, les bras attachés, les jambes écarté et bloqués et les fesses relevés, je sors un plug anal que j'enduis de lubrifiant que j'insère dans son anus. Je décide de laisser Lady réfléchir à son comportement dans cette position. Je reviendrai la punir dans 1h.
Dans cette position, Lady est à ma merci. Je ne suis pas sortie tout de suite de la chambre, j’ai pris un fauteuil et je me suis assis afin de m’abreuver de ce magnifique spectacle. Quel plaisir de la voir la croupe en l’air, ce spectacle me permet d’admiré son petit bouton rempli de ce plug anal mais également d’avoir une vue inégalable sur son sexe. Je ne constate que sa mouille continue à faire reluire son clitoris et ses grandes lèvres.
Je me lève prend un mouchoir dans la boite en papier et le passe sur son sexe. Je constate que le mouchoir est bien trempé et que cette position continue à bien l’exciter. Cela attise ma colère qui avait été diminué par l’excitation de la voir dans cette position.
Je prends un mouchoir en tissu dans la commode et je le passe sur son sexe, je le présente au regard de lady. Celle-ci est attentive au moindre de mes faits et gestes et me présente un visage radieux avec un sourire en coin. Elle est fière d’elle car malgré sa position de soumission elle sait que son excitation exerce sur moi une énorme envie qu’elle a vite identifié au travers de la bosse dans mon pantalon. Tout en continuant de sourire, elle se passe lentement la langue sur les lèvres. Elle me défie donc et mon sang ne fait qu’un tour, je me dirige vers l’armoire et en ressort de quoi la bâillonné. Elle me voit arrivé avec le bâillon et cette fois elle ne sourit plus, je lui met la boule dans la bouche et lui attache le bâillon derrière la tête. Je lui ai enlevé son sourire mais elle me défie toujours du regard, je décide donc de prendre un mouchoir en satin afin d lui bander les yeux. Pour terminer, vu qu’elle veut du plaisir je sors son gode vibrant, je le lubrifie et lui insère d’un seul mouvement au fond de son vagin luisant de mouille. J’active ce jouet et met la vibration en position maximal. Elle émet une râle de plaisir. Tout cela excite beaucoup ma lady, je le vois. Je vais donc devoir la punir en conséquence. Je la fait pivoter de 90 ° afin que tous ses orifices soient à porter car dans la position précédente sa tête était contre le mur. Je me régale une dernière fois de sa position et lui annonce que cette fois ci-je serai de retour dans 1h. Je claque la porte pour qu’elle comprenne bien que je suis parti.
J’ai toujours regard de défi en tête, par contre je ne me sens pas en capacité de la punir comme il se doit car son corps exerce une trop forte attraction sur moi. Je décide donc de prendre mon téléphone et d’appeler de l’aide pour que sa punition soit mémorable, une heure c’est largement suffisant pour appeler du renfort…
L’heure était enfin passé, il était donc temps de mettre en application la sentence. J’ouvrais la porte de la chambre et je constatai que cette heure avait eu des forts effets sur ma lady. Cette dernière était couverte de sueur et le lit au niveau de son vagin et de son anus est trempé. Je me déplace sans un bruit dans la chambre et vient frôler ses fesses ce qui lui provoque un frisson qui parcours son échine. Je suis incapable de déchiffrement ce frisson, est ce un frisson de plaisir car ses orifices sont toujours plein ou est ce un frisson de crainte de la punition qui s’annonce. Je passe ma main au niveau de son sexe et ce dernier est trempé, ce qui est également le cas de son petit trou. Je recouvre ma main de sa mouille, je présente ma main humide sous le nez de lady, celle-ci frissonne cette fois de crainte car elle sent bien l’odeur de son excitation. Elle sait bien que sa punition pour plaisir solitaire sera méritée et cette fois elle ne sait pas ce que je lui réserve et ce que je lui réserve sera au-delà du plaisir qu’elle peut se donner.
Je lui dis à haute voie que j’espère qu’elle a bien profité de sa punition mais qu’il est temps de passer aux choses sérieuses. Je ne lui ai pas dit que je ne suis pas seul dans la pièce. Mon acolyte n’a fait aucun bruit en rentrant dans la chambre, il se tient dans un coin de la chambre et attend mes instructions. Je constate que la scène de ma lady avec son fessier relevé et ses orifices remplis lui fait de l’effet, son érection est visible et son regard intense ne laisse aucun doute sur son désir.
Je me rapproche de ma lady, tout en lui laissant les orifices rempli, car l’effet en sera amplifié, je commence à la fessée avec ma main. Je frappe d’entrée de jeu très fort, alternant fesse droite et fesse gauche. Elle se dandine tant qu’elle peut malgré ces lien mais ne peut s’empêchée d’émettre des râles de plaisir. L’action conjuguée des fessée et des jouets sexuels lui procure un mélange de douleur et de plaisir mais je m’arrête quand je vois que le frisson commence à durer, je veux la frustrée de s’être donner du plaisir seule. Et je me suis arrêter au bon moment car je l’entends grogner derrière son bâillon, elle avait presque atteint l’orgasme mais je lui ai refusé en m’arrêtant. J’admire mon œuvre, son postérieur est bien rouge mais la punition est loin d’être terminer, je fais un signe de tête à mon alter égal de se rapprocher de moi derrière le cul écarlate de ma compagne. Je lui remets son martinet, nous en somme tous les deux équipés…
Tout en laissant mon complice tenir sa position, je décide de faire comprendre à ma chérie que l’étape suivante est en approche, tout d’abord je laisse glissée les lanières du martinet de ces fesses vers le bas de son dos et je la sens avaler sa salive. Elle a compris que le martinet va entrer en action. Je me rapproche de ses orifices et enlève le gode et le plug anal car cette fois seule la douleur doit entrée en jeu. Je constate avec un plaisir non dissimulé que son anus est bien dilaté, mon compère le note également et me fait un clin d’œil gourmant.
Nous nous mettons en position, je me réserve la fesse droite lui la fesse gauche. Je lance la punition et il me suit. J‘impose une cadence lente mais lourde et je vois ma lady essayé de bouger mais elle est à notre merci. Mon acolyte suit ma cadence quand celle-ci augmente. J’entend les sanglots dans la gorge de ma lady et à l’unissions nous ralentissons la cadence jusqu’à nous arrêté en simultanée.
Je regarde les fesses de ma chérie, elles sont entièrement rouge, aucune partie de ses fesses si blanches n’ont échappée au martinet. La fessée n’est toutefois pas terminée mais je décide de donner un répit à ma lady. Je vais chercher la pommade à l’arnica et lui en passe une faible dose sur les fesses, dose faible pour limité la douleur mais pas l’anesthésié. Je lui fais comprendre que je vais lui laisser faire une pause mais je lui dit que dans 30 minutes, la cravache entrera en action. Avant de sortir je prends le soin de lui desserré les liens pour ne pas lui coupé sa circulation sanguine.
Mon acolyte, toujours sans un bruit, acquiesce de la tête pour me confirmer son approbation de cette pause mais lui comme moi nous sommes pressés de passer aux étapes suivantes.
La demi heure est passée, nous entrons à nouveau dans la chambre. Je constate que les fesses de lady son d’un beau rouge cramoisi. Je m’approche de lady, je fais claquer la cravache dans l’air. Je décide de lui enlever son bâillon. Je lui demande si elle a bien compris les raisons de sa punition et de me répondre par un hochement de tête. Elle hoche de la tête de manière affirmative et elle a compris qu’elle a mal fait. Toutefois je lui confirme que la punition n’est pas terminé et elle acquiesce. je lui dis donc qu’il est temps d’appliquer le traitement avec la cravache. Cette fois-ci mon compère et moi même allons procéder différemment. Je commence donc à fendre l’air avec la cravache et celle-ci s'abat sur la fesse droite de lady, je lève une nouvelle fois la cravache et l’abat maintenant sur sa deuxième fesse et cette fois je continue seul et j’alterne fesses droites et gauches. Je frappe fermement mais sans forcé. Mon complice apprécie mon rythme. Je continue comme ça pendant 10 min, la marque de la cravache est présente partout sur ses fesses. Je m’arrête et laisse mon partenaire de fessée appliqué la même sanction à Lady. Furtivement je me déplace pour observer le visage de lady et je constate qu’elle sert les dents à chaque coup. Au bout de 10 minutes mon acolytes s'arrête à son tour. Je suis toujours devant le visage de lady et je lui demande si cette punition est suffisante, elle confirme par un hochement de tête mais elle a les sourcils froncés. Je pense qu’elle se pose des questions, comment ai-je fait pour lui posé la question en face d’elle instantanément après avoir arrête de lui donner des coups de cravaches. Cette fois ci c’est à moi de sourire car elle va bientôt comprendre.
Je lui rappelle que dans notre contrat, je suis le seul à pouvoir lui donner du plaisir. Enfreindre ce contrat s’est appliquer une punition et fournir réparation. Je lui demande si elle est prête à appliquer sa deuxième partie du contrat, lady confirme de nouveau. Je me déshabille donc, je suis complètement nu. Mon érection est tellement forte que ma verge est complètement tendu, le gland gorgé de sang. Je sais que Lady a déjà compris. Je souris en la voyant ouvrir la bouche. Sa bouche humide ne demande qu’à être rempli, je ne la fait donc pas attendre. J’insère mon sexe dans sa bouche gourmande. Je m’insère lentement, pour lui laisser le temps de laisser parcourir sa langue sur mon gland. Ensuite, je décide de faire des va et viens lentement, au vu de mon excitation je ne veux pas venir de suite car sa punition n’est pas terminer. Je me retire de sa bouche, ma verge est luisante de salive et cette dernière s’écoule sur mes bourses, je lui met mon indexe et mon majeur dans la bouche et elle comprend elle les lèches comme si elle me suçait. Je lui confirme qu’elle m’a bien préparé pour la suite. Mon acolyte et moi intervertissons nos position. Je suis derrière ma Lady, mon sexe a proximité de son orifice anal. Mon acolyte nu à proximité de sa bouche. Ce dernier attend mon feu vert, je glisse les doigts qu’elle m’a précédemment mouillé et je lui introduit dans son anus bien dilaté, Lady laisse émettre un soupir de plaisir. je rapproche mon gland de son anus et l’insère d’une traite bien ferme afin de me retrouver d’un seul mouvement enfoncer jusqu’à la base de mon pénis. Une fois bien au fond je demande à Lady d’ouvrir la bouche et de m’écouter. Je lui demande si le plaisir que le lui apporte est meilleur que le plaisir qu’elle s’est apporté. Elle oscille la tête positivement mais je lui répond que je ne pense pas que ce soit le cas. C’est le signal, mon compère insère d’un mouvement précis sa verge dans la bouche de ma lady. Celle-ci ne s’y attendait pas, je commence mes va et viens, après une première résistance ma lady se laisse aller au plaisir que nous lui fournissions. Nous continuons nos va et viens pendant une merveilleuse et longue durée. Mon compère s’arrête, je sors de l’anus de ma Lady. Mon gland est bien mur mais Lady n’aime pas que je jouisse dans son anus. Tout d’abord, je décide de lui détaché une main que je positionne sur la verge de mon comparse en indiquant à Lady que si elle veut sentir ma semence chaude dans son vagin, elle se doit de faire jouir mon compère. Elle a parfaitement compris sa mission, je me positionne donc derrière elle et je pénètre dans son sexe humide et chaud. Que de plaisir de me retrouver au cœur de sa chair, je me sens tellement bien que je commence des vas et viens rapide. Je sens que je vais bientôt jouir, je regarde mon acolyte dans les yeux et je comprend que c’est pareil pour lui.
La jouissance arrive et je me réveille!! Qu’elle rêve incroyable, que je trouve sacrément réaliste. Je soulève ma couette et je constate que j’ai le bas ventre plein de sperme car je me suis jouis dessus. Je tourne la tête, je regarde Lady, elle a encore mon sexe humide de sa salive dans sa main. Elle me rend mon regard en souriant et me demande si un tel comportement indécent ne mériterait pas une fessée.
Fin
Dans le canapé, Lady ne m'ayant pas encore repéré, elle est torse nue et en culotte allongée sur le canapé avec la main droite dans la culotte en train de se donner du plaisir et la main gauche sur le sain en train de se titiller le téton. A priori, elle se donne du plaisir depuis un petit moment et il est bien avancé bien avancé car je constate que ça culotte à force d'être mouillée en est transparente. Mon sang ne fait qu'un tout car en plus de faire les tâches ménagères, lady avait interdiction de ce donner du plaisir. Elle ne peut se donner du plaisir que sous mon contrôle.
Elle a du sentir ma présence dans l'entrée, car je la vois lever les yeux vers moi. Son expression change du tout au tout, le plaisir est remplacé par la crainte car elle a compris que cela fais plusieurs minutes que je l'observe. Je la vois blêmir, elle lit la colère dans mes yeux qui ont pris un reflet glacé. Ma mâchoire et mes poings serrés ne font qu'amplifier sa peur. Elle me regarde et jette un coup d'œil au salon et voit le désordre qui l'entoure. Elle comprend donc qu'elle n'a pas remplie ses missions et qu'elle a outrepassé mes prérogatives. Lady décide donc de jouer son va-tout et se lève rapidement et décide de courir vers la chambre!! J’ai compris ce qu'elle veut faire, elle veut échapper à sa punition en allant s'enfermer dans notre chambre. Je ne la laisserai pas faire, avant d'arriver dans la chambre, j'arrive à la saisir par la taille et a refermer ma deuxième mains sur le sein qu'elle se tripotait rester encore tendu par l'excitation.
Elle voulait aller dans la chambre, je l'y emmène donc et la jette sur le lit. Elle n'a plus aucune échappatoire, j'attrape ces bras et je les attaches aux montants gauches et droits du lit. Lady est bloquée sur le ventre, je lui soulève et bloques les jambes avec mes nouvelles cordes!! Voila donc Lady, les bras attachés, les jambes écarté et bloqués et les fesses relevés, je sors un plug anal que j'enduis de lubrifiant que j'insère dans son anus. Je décide de laisser Lady réfléchir à son comportement dans cette position. Je reviendrai la punir dans 1h.
Dans cette position, Lady est à ma merci. Je ne suis pas sortie tout de suite de la chambre, j’ai pris un fauteuil et je me suis assis afin de m’abreuver de ce magnifique spectacle. Quel plaisir de la voir la croupe en l’air, ce spectacle me permet d’admiré son petit bouton rempli de ce plug anal mais également d’avoir une vue inégalable sur son sexe. Je ne constate que sa mouille continue à faire reluire son clitoris et ses grandes lèvres.
Je me lève prend un mouchoir dans la boite en papier et le passe sur son sexe. Je constate que le mouchoir est bien trempé et que cette position continue à bien l’exciter. Cela attise ma colère qui avait été diminué par l’excitation de la voir dans cette position.
Je prends un mouchoir en tissu dans la commode et je le passe sur son sexe, je le présente au regard de lady. Celle-ci est attentive au moindre de mes faits et gestes et me présente un visage radieux avec un sourire en coin. Elle est fière d’elle car malgré sa position de soumission elle sait que son excitation exerce sur moi une énorme envie qu’elle a vite identifié au travers de la bosse dans mon pantalon. Tout en continuant de sourire, elle se passe lentement la langue sur les lèvres. Elle me défie donc et mon sang ne fait qu’un tour, je me dirige vers l’armoire et en ressort de quoi la bâillonné. Elle me voit arrivé avec le bâillon et cette fois elle ne sourit plus, je lui met la boule dans la bouche et lui attache le bâillon derrière la tête. Je lui ai enlevé son sourire mais elle me défie toujours du regard, je décide donc de prendre un mouchoir en satin afin d lui bander les yeux. Pour terminer, vu qu’elle veut du plaisir je sors son gode vibrant, je le lubrifie et lui insère d’un seul mouvement au fond de son vagin luisant de mouille. J’active ce jouet et met la vibration en position maximal. Elle émet une râle de plaisir. Tout cela excite beaucoup ma lady, je le vois. Je vais donc devoir la punir en conséquence. Je la fait pivoter de 90 ° afin que tous ses orifices soient à porter car dans la position précédente sa tête était contre le mur. Je me régale une dernière fois de sa position et lui annonce que cette fois ci-je serai de retour dans 1h. Je claque la porte pour qu’elle comprenne bien que je suis parti.
J’ai toujours regard de défi en tête, par contre je ne me sens pas en capacité de la punir comme il se doit car son corps exerce une trop forte attraction sur moi. Je décide donc de prendre mon téléphone et d’appeler de l’aide pour que sa punition soit mémorable, une heure c’est largement suffisant pour appeler du renfort…
L’heure était enfin passé, il était donc temps de mettre en application la sentence. J’ouvrais la porte de la chambre et je constatai que cette heure avait eu des forts effets sur ma lady. Cette dernière était couverte de sueur et le lit au niveau de son vagin et de son anus est trempé. Je me déplace sans un bruit dans la chambre et vient frôler ses fesses ce qui lui provoque un frisson qui parcours son échine. Je suis incapable de déchiffrement ce frisson, est ce un frisson de plaisir car ses orifices sont toujours plein ou est ce un frisson de crainte de la punition qui s’annonce. Je passe ma main au niveau de son sexe et ce dernier est trempé, ce qui est également le cas de son petit trou. Je recouvre ma main de sa mouille, je présente ma main humide sous le nez de lady, celle-ci frissonne cette fois de crainte car elle sent bien l’odeur de son excitation. Elle sait bien que sa punition pour plaisir solitaire sera méritée et cette fois elle ne sait pas ce que je lui réserve et ce que je lui réserve sera au-delà du plaisir qu’elle peut se donner.
Je lui dis à haute voie que j’espère qu’elle a bien profité de sa punition mais qu’il est temps de passer aux choses sérieuses. Je ne lui ai pas dit que je ne suis pas seul dans la pièce. Mon acolyte n’a fait aucun bruit en rentrant dans la chambre, il se tient dans un coin de la chambre et attend mes instructions. Je constate que la scène de ma lady avec son fessier relevé et ses orifices remplis lui fait de l’effet, son érection est visible et son regard intense ne laisse aucun doute sur son désir.
Je me rapproche de ma lady, tout en lui laissant les orifices rempli, car l’effet en sera amplifié, je commence à la fessée avec ma main. Je frappe d’entrée de jeu très fort, alternant fesse droite et fesse gauche. Elle se dandine tant qu’elle peut malgré ces lien mais ne peut s’empêchée d’émettre des râles de plaisir. L’action conjuguée des fessée et des jouets sexuels lui procure un mélange de douleur et de plaisir mais je m’arrête quand je vois que le frisson commence à durer, je veux la frustrée de s’être donner du plaisir seule. Et je me suis arrêter au bon moment car je l’entends grogner derrière son bâillon, elle avait presque atteint l’orgasme mais je lui ai refusé en m’arrêtant. J’admire mon œuvre, son postérieur est bien rouge mais la punition est loin d’être terminer, je fais un signe de tête à mon alter égal de se rapprocher de moi derrière le cul écarlate de ma compagne. Je lui remets son martinet, nous en somme tous les deux équipés…
Tout en laissant mon complice tenir sa position, je décide de faire comprendre à ma chérie que l’étape suivante est en approche, tout d’abord je laisse glissée les lanières du martinet de ces fesses vers le bas de son dos et je la sens avaler sa salive. Elle a compris que le martinet va entrer en action. Je me rapproche de ses orifices et enlève le gode et le plug anal car cette fois seule la douleur doit entrée en jeu. Je constate avec un plaisir non dissimulé que son anus est bien dilaté, mon compère le note également et me fait un clin d’œil gourmant.
Nous nous mettons en position, je me réserve la fesse droite lui la fesse gauche. Je lance la punition et il me suit. J‘impose une cadence lente mais lourde et je vois ma lady essayé de bouger mais elle est à notre merci. Mon acolyte suit ma cadence quand celle-ci augmente. J’entend les sanglots dans la gorge de ma lady et à l’unissions nous ralentissons la cadence jusqu’à nous arrêté en simultanée.
Je regarde les fesses de ma chérie, elles sont entièrement rouge, aucune partie de ses fesses si blanches n’ont échappée au martinet. La fessée n’est toutefois pas terminée mais je décide de donner un répit à ma lady. Je vais chercher la pommade à l’arnica et lui en passe une faible dose sur les fesses, dose faible pour limité la douleur mais pas l’anesthésié. Je lui fais comprendre que je vais lui laisser faire une pause mais je lui dit que dans 30 minutes, la cravache entrera en action. Avant de sortir je prends le soin de lui desserré les liens pour ne pas lui coupé sa circulation sanguine.
Mon acolyte, toujours sans un bruit, acquiesce de la tête pour me confirmer son approbation de cette pause mais lui comme moi nous sommes pressés de passer aux étapes suivantes.
La demi heure est passée, nous entrons à nouveau dans la chambre. Je constate que les fesses de lady son d’un beau rouge cramoisi. Je m’approche de lady, je fais claquer la cravache dans l’air. Je décide de lui enlever son bâillon. Je lui demande si elle a bien compris les raisons de sa punition et de me répondre par un hochement de tête. Elle hoche de la tête de manière affirmative et elle a compris qu’elle a mal fait. Toutefois je lui confirme que la punition n’est pas terminé et elle acquiesce. je lui dis donc qu’il est temps d’appliquer le traitement avec la cravache. Cette fois-ci mon compère et moi même allons procéder différemment. Je commence donc à fendre l’air avec la cravache et celle-ci s'abat sur la fesse droite de lady, je lève une nouvelle fois la cravache et l’abat maintenant sur sa deuxième fesse et cette fois je continue seul et j’alterne fesses droites et gauches. Je frappe fermement mais sans forcé. Mon complice apprécie mon rythme. Je continue comme ça pendant 10 min, la marque de la cravache est présente partout sur ses fesses. Je m’arrête et laisse mon partenaire de fessée appliqué la même sanction à Lady. Furtivement je me déplace pour observer le visage de lady et je constate qu’elle sert les dents à chaque coup. Au bout de 10 minutes mon acolytes s'arrête à son tour. Je suis toujours devant le visage de lady et je lui demande si cette punition est suffisante, elle confirme par un hochement de tête mais elle a les sourcils froncés. Je pense qu’elle se pose des questions, comment ai-je fait pour lui posé la question en face d’elle instantanément après avoir arrête de lui donner des coups de cravaches. Cette fois ci c’est à moi de sourire car elle va bientôt comprendre.
Je lui rappelle que dans notre contrat, je suis le seul à pouvoir lui donner du plaisir. Enfreindre ce contrat s’est appliquer une punition et fournir réparation. Je lui demande si elle est prête à appliquer sa deuxième partie du contrat, lady confirme de nouveau. Je me déshabille donc, je suis complètement nu. Mon érection est tellement forte que ma verge est complètement tendu, le gland gorgé de sang. Je sais que Lady a déjà compris. Je souris en la voyant ouvrir la bouche. Sa bouche humide ne demande qu’à être rempli, je ne la fait donc pas attendre. J’insère mon sexe dans sa bouche gourmande. Je m’insère lentement, pour lui laisser le temps de laisser parcourir sa langue sur mon gland. Ensuite, je décide de faire des va et viens lentement, au vu de mon excitation je ne veux pas venir de suite car sa punition n’est pas terminer. Je me retire de sa bouche, ma verge est luisante de salive et cette dernière s’écoule sur mes bourses, je lui met mon indexe et mon majeur dans la bouche et elle comprend elle les lèches comme si elle me suçait. Je lui confirme qu’elle m’a bien préparé pour la suite. Mon acolyte et moi intervertissons nos position. Je suis derrière ma Lady, mon sexe a proximité de son orifice anal. Mon acolyte nu à proximité de sa bouche. Ce dernier attend mon feu vert, je glisse les doigts qu’elle m’a précédemment mouillé et je lui introduit dans son anus bien dilaté, Lady laisse émettre un soupir de plaisir. je rapproche mon gland de son anus et l’insère d’une traite bien ferme afin de me retrouver d’un seul mouvement enfoncer jusqu’à la base de mon pénis. Une fois bien au fond je demande à Lady d’ouvrir la bouche et de m’écouter. Je lui demande si le plaisir que le lui apporte est meilleur que le plaisir qu’elle s’est apporté. Elle oscille la tête positivement mais je lui répond que je ne pense pas que ce soit le cas. C’est le signal, mon compère insère d’un mouvement précis sa verge dans la bouche de ma lady. Celle-ci ne s’y attendait pas, je commence mes va et viens, après une première résistance ma lady se laisse aller au plaisir que nous lui fournissions. Nous continuons nos va et viens pendant une merveilleuse et longue durée. Mon compère s’arrête, je sors de l’anus de ma Lady. Mon gland est bien mur mais Lady n’aime pas que je jouisse dans son anus. Tout d’abord, je décide de lui détaché une main que je positionne sur la verge de mon comparse en indiquant à Lady que si elle veut sentir ma semence chaude dans son vagin, elle se doit de faire jouir mon compère. Elle a parfaitement compris sa mission, je me positionne donc derrière elle et je pénètre dans son sexe humide et chaud. Que de plaisir de me retrouver au cœur de sa chair, je me sens tellement bien que je commence des vas et viens rapide. Je sens que je vais bientôt jouir, je regarde mon acolyte dans les yeux et je comprend que c’est pareil pour lui.
La jouissance arrive et je me réveille!! Qu’elle rêve incroyable, que je trouve sacrément réaliste. Je soulève ma couette et je constate que j’ai le bas ventre plein de sperme car je me suis jouis dessus. Je tourne la tête, je regarde Lady, elle a encore mon sexe humide de sa salive dans sa main. Elle me rend mon regard en souriant et me demande si un tel comportement indécent ne mériterait pas une fessée.
Fin
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