Punition

- Par l'auteur HDS Le licencieux -
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Récit libertin : Punition Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Punition
Je suis encore plongé dans mes dossiers lorsque je vois Evelyne entrer dans la brasserie.
Je glisse sur la banquette pour demeurer dans l’ombre et je l’observe.
Elle se hisse sur un tabouret haut devant le bar et commande une boisson.
Une vodka orange sans doute.

Que fait-elle là, à cette heure tardive alors que je la pense à la salle de sport ?
C’est de là qu’elle a prétendu m’appeler dix minutes plus tôt.

Elle semble attendre quelqu’un.

Elle a revêtu sa courte robe turquoise au décolleté profond.

Je pense à ses seins généreux et je sens un frémissement dans mon slip.
Elle est belle avec sa longue chevelure blonde qui encadre son visage de poupée.
Je devine son corps musclé par les longues séances hebdomadaires de fitness sous le tissu. Puis soudain j’ai la certitude qu’elle n’a rien d’autre sur le corps.
Elle croise ses longues jambes fuselées et dévoile ses cuisses bronzées.
Je suis décidé à m’approcher lorsque je vois un homme entrer.
Grand, la cinquantaine. Blond. Il affiche une prestance assurée et se dirige immédiatement vers le bar.
Il se perche sur le tabouret près d’Evelyne et fais signe au barman qui lui sers un scotch.
Evelyne se redresse et je vois l’homme poser les yeux sur son décolleté.
Il semble la complimenter car elle sourit.
Elle boit une gorgée de vodka et ne repousse pas la main qui vient de se poser sur sa cuisse et qui remonte lentement.
Elle a disparu sous la robe et je vois Evelyne fermer les yeux.
Puis elle pose à son tour la main sur la cuisse de l’homme et laisse son auriculaire courir sur la braguette.
L’homme se penche et lui glisse quelque chose à l’oreille avant de retirer sa main.
Evelyne jette un regard à la ronde et je m’enfonce un peu plus dans la pénombre.
Elle ne m’a pas vu.
Elle regarde l’homme dans les yeux puis se lève et se dirige aux toilettes.
Cinq minutes plus tard, il l’imite.

J’attends un peu pour m’y rendre à mon tour.
Les toilettes femmes sont condamnées.
Je pousse précautionneusement la porte des hommes. Elle s’ouvre sur un espace compartimenté.
Seul le compartiment du fond est occupé.
Je progresse en silence et entre dans celui d’à côté.
Je me concentre sur les bruits et je perçois bientôt des gémissements rauques.
Je me hisse sur la cuvette et regarde par dessus la paroi.
L’homme est assis et Evelyne, agenouillée, lui taille une pipe.
Je sens aussitôt mon sang bouillonner.
Mais je me domine et continue d’observer.
Elle le fait jouir.
Alors certain qu’il ne la baisera pas, du moins maintenant, je retourne dans le bar.

Ils reprennent leur place peu de temps après puis sortent un quart d’heure plus tard.
Evelyne suit l’homme à une dizaine de mètres de distance.
Je leur emboite le pas.
Ils s’engagent dans une impasse et l’homme s’arrête devant un transformateur EDF.
J’ai juste le temps de plonger derrière un container pour éviter le regard d’Evelyne qui vient de se retourner brusquement.
Elle le rejoint et ils s’embrassent longuement.
Mon sang recommence à bouillonner.
Je me rapproche silencieusement et me dissimule derrière une pile de cartons à dix mètres d’eux.
Evelyne défait le pantalon de l’homme et saisit sa queue. Il la plaque violemment contre le transformateur, lui soulève une jambe et la pénètre d’un grand coup de reins.
Je sens la fureur qui m’empourpre.
Je sors de ma cachette et me rue sur l’homme que j’arrache à son étreinte.
Je l’envois au sol d’un uppercut au foie puis je lui mets le visage en bouillie.
Evelyne hurle. Me supplie d’arrêter. Mais ma rage est trop forte. Je donne encore un coup de pied dans le ventre puis je saisis Evelyne par le bras en grognant :
— Ah, t’as envie de te faire baiser salope. Tu ne vas pas être déçue.
Je la traine jusqu’au parking.
Elle perd ses chaussures et me supplie d’arrêter mais ma colère ne veut pas retomber.
Je commande l’ouverture à distance du coffre de l’Audi où je la jette.
Puis je démarre sur les chapeaux de roues.

Je roule en direction de la périphérie de la ville jusqu’à un parking de routiers où je sais trouver des amateurs.
L’espace est éclairé à la seule faveur de la lune.

Je stoppe entre deux camions puis je tire Evelyne du coffre.
Elle est en pleur.
Je la traîne devant un Volvo rouge où je lui arrache sa robe alors que trois gaillards bien en chair s’approchent.
Lorsqu’ils sont suffisamment prêts, je déclare :
— Cette salope est à vous messieurs.
Aussitôt trois paires de bras musclés se tendent vers elle.
Evelyne crie et les hommes s’arrêtent.
Je les incite à continuer en assurant qu’elle adore ça.
Evelyne me supplie mais je ne l’écoute pas.
Le plus petit, ventripotent défait son pantalon et approche sa queue de la bouche d’Evelyne qui crie :
— Non, non
Mais je la calme en la giflant et en criant plus fort qu’elle :
— La ferme et suce, salope !
Puis je la saisis par les cheveux pour approcher sa tête.
Je vois sa mine de dégoût.
Elle refuse d’ouvrir les lèvres alors je défais ma ceinture et je lui fouette les fesses jusqu’à ce qu’elle cède.
Dix coups sont nécessaires avant qu’elle ouvre la bouche.
Elle écarte timidement les lèvres et je pousse aussitôt sa tête pour qu’elle entre toute la bite.
Elle a un haut le coeur. Semble hésiter.
Alors je hurle :
— Dépêche-toi !
Elle s’exécute et je vois bientôt qu’elle y prend plaisir.

Elle a toujours aimé ça !

Les deux autres routiers commencent à se branler et je fais un signe de tête à celui qui me regarde.
Il se positionne aussitôt derrière Evelyne et la pénètre.
Il la baise comme un lapin et éjacule sur ses reins.
L’autre prend le relai tandis qu’un quatrième larron présente son membre devant la bouche d’Evelyne qui vient à peine d’avaler la semence du précédent.
Cette fois elle ne se fait pas prier. La queue est plus grosse et lui plait sans doute davantage.
Elle suce tandis qu’elle se fait défoncer la chatte.
Je sens que son plaisir monte, se presse à ses lèvres mais je ne veux pas lui accorder.
Je l’arrache à l’emprise des deux hommes et je la remets dans le coffre.
Je démarre bruyamment.
Je suis terriblement excité par ce qui vient de se passer. Mais la colère est toujours là.
Evelyne doit expier pour que je me calme.

Je m’éloigne du parking puis m’arrête sur un terrain vague un kilomètre plus loin.

Je sors Evelyne du coffre, le referme et la bascule à plat ventre.
Je laisse tomber mon pantalon puis je lui écarte les fesses.
Elle comprend et supplie :
— Non, s’il te plait, pas sans lubrifiant.
Je sais que je vais lui faire mal mais ma colère en a besoin.
J’appuie mon gland et je pousse lentement.
Ma queue est épaisse et j’ai du mal à dilater sa rondelle.
Elle gémit puis elle crie lorsque je pousse encore.
Je marque une pause. Je ne veux pas la blesser.

Juste la punir !

Soudain mon gland est comme aspiré et aux cris d’Evelyne succèdent bientôt ses gémissements.
Sa respiration s’accélère. Ses mouvements de bassin cherchent ma queue. Je m’enfonce violemment, mes couilles battant ses fesses à chaque coup de boutoir. Et plus je suis brutal plus son plaisir augmente.
Le mien aussi car l’absence de lubrifiant décuple mes sensations.
Evelyne se met à trembler. C’est le signe d’un orgasme imminent.

Un plaisir que je ne veux pas lui accorder.

Je ne peux plus rester dans ses fesses mais j’ai envie de jouir.

L’excitation me rend brusque.
Presque violent.

Je tire Evelyne hors de la voiture par les cheveux puis je plonge la queue dans sa bouche et je la baise.
Ma colère s’évanouit avec le sperme que je libère sur sa langue et qu’elle avale docilement.

J’attends quelques minutes puis j’ouvre la porte passager avant.
Elle s’installe en silence et je prends le chemin de la maison.
A peine revenus dans la ville, elle pose la main sur ma cuisse et lâche :
— Je te demande pardon chéri.
— C’était qui ?
— Un gars de la salle de sport. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je ne recommencerai plus je te le jure.
Lentement je sens la tendresse balayer les derniers sursauts de ressentiment et je réponds :
— Je suis désolé de t’avoir fait mal. Moi non plus je ne sais pas ce qui m’a pris. J’ai ressentis un besoin irrépressible de te punir.
Je sens sa main caresser ma nuque. Puis elle murmure :
— Ça m’a plu d’avoir un peu mal. Ta ceinture et puis tout à l’heure quand tu es rentré. J’ai l’impression que ça a décuplé mon excitation.
Elle caresse encore ma nuque puis ajoute : et avec les routiers ça m’a plu que tu m’obliges.
Je souris puis je pose la main sur sa cuisse.
— Tu aurais aimé jouir ?
— Oui, mais ça m’a plus aussi que tu ne m’y autorises pas. Je ne l’avais pas mérité.
Je garde les yeux fixés sur la route sans rien dire puis je la vois s’ouvrir et je descends la main sur sa chatte.
Elle se cale dans son siège, ferme les yeux et murmure.
— J’ai envie de devenir ton esclave sexuelle.
— Tu sais ce que ça implique ?
— Oui, chéri.

J’active ma main sur sa chatte.
Elle pousse de petits cris aigus. Ondule. Frissonne.
Puis elle jouit comme jamais.

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