Pure Agnès 1
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Pure Agnès 1
PURE Agnès
- Non, tu ne conduiras pas ton train aujourd'hui. Nous exerçons le droit de retrait. Et nous casserons les casseurs de grève. Allez rentre chez toi, ça vaut mieux.
Je ne force pas le piquet de grève trop imposant, je retourne à la maison. Agnès sera heureuse de m'avoir pour elle une journée entière de façon aussi inattendue. Elle me trouvera rapidement des occupations variées. J'entends déjà:
- Mon chéri, le lave linge fait un bruit bizarre, peux-tu faire quelque chose ? ou - Mon amour il faudrait changer l'ampoule de...
Enfin elle sait toujours chasser l'ennui provoqué par l'oisiveté et me donner l'occasion de prouver combien je lui suis précieux. Elle répète à qui veut l'entendre :
- Mon Jean est merveilleux. C'est un bricoleur plein de ressources, il répare tout, j'admire ses nombreux talents. Je ne pourrais pas me passer de lui.
Mais à force de tout remettre en état, je risque pour une fois de me retrouver sans petit boulot. J'ai bien envie d'utiliser cette journée un peu mieux que d'habitude. Pourquoi ne pas m'occuper de plus près de mon épouse adorée? Il m'arrive trop souvent de passer des nuits dans des hôtels à des centaines de kilomètres de chez moi et de n'avoir pour tout contact avec ma femme que des relations virtuelles par snapchat. Alors puisque ce matin on m'impose une grève, je m'appliquerai à rattraper ces temps perdus pour donner un supplément de bonheur et de plaisir à Agnès.
Faut-il la prévenir de mon retour? Non, je vais lui faire une bonne surprise, sa joie n'en sera que plus grande. On va s'aimer! J'ouvre la porte doucement. Peut-être s'est-elle rendormie après mon départ, le lundi matin elle ne travaille pas. Comme j'ai fait la lessive samedi, comme j'ai repassé le linge dimanche, elle se lèvera après une grasse matinée assez longue pour ranger dans les armoires le contenu des paniers à linge que j'ai abandonnés faute de temps dans le dressing.
Agnès admire ce fameux dressing, entièrement conçu et fabriqué par moi, mais qu'elle critique parfois en le montrant à ses copines parce que la porte ouvre sur le couloir et non dans notre chambre à coucher. Je n'avais pas voulu abattre un mur porteur et avais juste ouvert une fenêtre au fond, coté chambre, pour faciliter l'aération. Le bricolage c'est bien, je préfère pourtant faire l'amour avec Agnès. Il faut un temps pour chaque chose. Agnès se plaint parfois de ma gourmandise pour le sexe.
- Oh: Mon chéri, encore ? C'est bon, oui. Pas trop souvent ou on va s'en lasser. Et je dois être en forme au travail, tu comprends. .. Ne fais pas cette tête. Moi je trouve que deux fois par semaine c'est suffisant. Tu ne veux pas t'endormir dans ta motrice. Un conducteur de train a une énorme responsabilité. Prends soin de ta santé et n'abuse pas des bonnes choses. Et puis, qui veut aller loin ménage sa monture. hum, tu comprends?
Voilà comment dernièrement ma tendre épouse a mis un frein à mes élans amoureux. Elle a de la chance que je sois un homme de parole; jamais je n'irai chercher chez une autre ce qu'elle ne m'accorde qu'avec parcimonie. Bien sûr elle a une haute estime de mes responsabilité, bien sûr elle veut paraître fraîche quand elle arrive au travail, je trouve qu'elle a trop le souci de notre santé depuis quelques semaines. N'est-ce pas à cause de ces "voyantes" qu'elle consulte parfois sur internet, annonciatrices rémunérées de malheurs imminents ou diseuses de bonne aventure?
Or, qu'ouïs-je. Qu'arrive-t-il ici ? Agnès parle toute seule? Elle parle fort, elle fait des commentaires et donne des ordres étranges? Sa voix est méconnaissable, hachée, un peu comme si le souffle lui manquait. Je ne pense pas qu'elle téléphone, ses entretiens téléphoniques sont calmes, posés, jamais nerveux ou agressifs. Peut-être se défend-elle. Mais qui l'attaquerait puisque la porte était fermée à clé. Est-elle tombée, appelle-t-elle à l'aide? Quoi, que dit-elle? Je tends l'oreille:
- Comment, tu es fatigué ? Non, tu ne t'en tireras pas comme ça. Petite nature ! Au bout d'une heure tu réclames déjà un peu de répit! Allez, grimpe la-dessus et baise moi encore.
Ma clé n'a pas pu ouvrir la serrure d'un voisin. Je suis bien chez moi, au pied de l'escalier qui mène aux chambres. Alors quelle est cette voix grave d'homme qui se met à rire et se défend :
- Hé bien, ma cochonne, je vois que tu étais en manque. De quoi te plains-tu ? Ce n'était pas bon ? Qu'est-ce que tu as gueulé ! C'est pas mieux qu'avec ton Jean qui sait tout faire sauf l'amour?
- Mais si ! C'est toi le meilleur. J'aime tellement ta force et ton savoir faire. Depuis deux mois tu as réveillé ma libido en sommeil. Franchement, aujourd'hui tu es moins performant que d'habitude. Attends, je te suce et tu retrouveras ta raideur.
Je viens de prendre un coup de massue. Ma femme se tait. J'ai compris, sa bouche est pleine de la verge qu'elle veut revigorer. Ma femme est au lit avec un amant. Le type grogne de plaisir puis réclame un peu de douceur. Enfin interroge :
- Alors, ton mari n'est pas aussi bon que moi ? Pourquoi, il a une petite queue, trop petite pour toi?
- Attends, je m'essuie les lèvres... Ce n'est pas ça : Jean est normalement constitué. Il est amateur de relations sexuelles. Il fait bien l'amour et aimerait le faire plus souvent. Comme je l'aime, je veux le garder le plus longtemps possible et je nous impose une limitation à deux rapports sexuels hebdomadaires.Tu as sur lui un double avantage. En premier tu as celui de la nouveauté, ne dit-on pas "tout nouveau tout beau" ? Ensuite tu me permets de ne pas connaître le manque causé par ma règle de limitation et ainsi tu préserves la santé de mon mari et tu me procures l'indispensable équilibre de mes sens.
- Donc tu m'emploies comme bouche trou ? Pour la bonne santé de ton mari tu as besoin d'un mec qui te baise quand tu as le feu au cul. Tu juges ça normal ? Et ma santé, tu t'en fous. Par bonheur, Aurore a un tempérament moins exigeant que le tien : deux fois par semaine avec elle plus deux coups semaine avec toi ça fait quatre. Autrement dit tu ne comptes pas me garder longtemps en bonne santé.
- A toi de montrer que tu peux durer. On n' a qu'un mari, le nombre d'amants n'est pas limité. Bon tu es venu philosopher ou baiser? A l'oeuvre, si tu tiens à moi sois à la hauteur de mes attentes. Hop, viens sur moi , vise bien et fais moi jouir.
- Oh! La vache, qu'est-ce que tu mouilles. Mets tes pieds sur mes épaules, tu vas voir ce que je sais faire. En endurance je suis champion et une femme longuement défoncée finit toujours par une s"rie d(orgasmes. Tiens, encaisse ça... tu aimes
- Oh! Oui. Encore... plus fort... plus vite... oui tu es le meilleur
- Ah! Tu le reconnais.
Et moi, le mari cocu, j'ai écouté, paralysé par la découverte de l'infidélité de mon épouse. Cette fois Agnès y est allée un peu fort. Elle me ménage parce qu'elle m'aime ! Cette façon de se justifier trompera peut-être le type qui la prend. Moi je n'y crois pas. Elle se donne bonne conscience pour pas cher Ca ne me plaît pas, ça me met en colère. Agnès écrit bon avec un "C" et c'est impardonnable.
Sans bruit je vais chercher une fourche sur le tas de fumier du jardin. Maintenant je peux affronter le couple adultère. J'en sais assez, je peux me montrer. J'entre dans la chambre où ils copulent allègrement. L'amant cesse sa charge au fond du vagin d'Agnès au moment où l'applique dans son dos nu, à hauteur des reins les pointes de la fourche en hurlant ;
- Stop:
L'ordre est bref, clair et efficace. Surprise en plein délire amoureux Agnès a un sursaut brutal qui pousse la peau contre les pointes aiguës et arrache un cri de douleur au héros baiseur. Après ce "Aïe" celui qui est censé ménager ma santé reste immobile. Agnès, dérangée dans son extase finit par ouvrir ses, jette un oeil furieux sur l'amant incapable, cherche à comprendre, voudrait le vilipender, me découvre, voit la fourche et pousse un cri de frayeur. Elle tente enfin sa dernière chance :
- Oh! Mon amour, tu es là. Je te croyais au travail.
- En effet, c'est ce que je constate. Je suis content de voir que tu ne t'ennuies pas quand je suis absent. Deux fois par semaine avec celui là, au détriment de sa santé. Comme je le plains. mais tu me le présentes, lui ne peut pas se retourner ou risquerait de se blesser avec des conséquences graves.
Le type immobile, toujours planté dans le vagin en chaleur ose une question incongrue dans sa position
- Quelles conséquences?
- Ma fourche sort du tas de fumier. Je parie que tu n'as pas renouvelé depuis longtemps le vaccin anti tétanos. Une piqûre à travers la peau et tu deviendras plus raide que ta queue des pieds à la tête avant de mourir. Je te recommande d'éviter les mouvements brusques si tu tiens à ta peau , surtout si tu comptes revenir sauter cette putain en mon absence. Compris. Ne bouge pas.
- J'ai envie de pisser. Les Wc ...?
- Tu y es. Laisse-toi aller, tant pis si ça déborde dans les draps.
- Non, pas ça, c'est dégoûtant, proteste la femme adultère
- Use ton bavardage à faire les présentations. Qui est le bonhomme qui a deux avantages sur moi?
- Jean, tu nous as espionnés et tu l'as laissé faire? tu devrais avoir honte.
- Je l'ai laissé te posséder parce que tu le lui demandais. Moi aussi je suis soucieux de ta santé. Je comprends que tu prennes un amant pour calmer tes démangeaisons vaginales, je te laisse prendre ton pied, ça adoucit ton caractère. Allons qui doit avoir honte de toi ou de moi. Qui commet l'adultère? Réponds correctement si tu ne veux pas que je perce ton pubis avec ma fourche?
Le contact de l'acier contre son flanc tue l'arrogance de la coupable. Elle se se met à trembler à sangloter et à secouer l'homme nu étendu sur son corps et prisonnier de son sexe. J'éprouve une forme de jouissance à les voir si pitoyables, humbles, soumis et terrorisés. Je n'ai pas l'intention de les tuer. Je ne suis pas le premier cocu, je préfère vivre libre plutôt qu'en prison. Je n'avais jamais imaginé me retrouver dans cette situation. Pris de court j'essaie d'imaginer comment les punir. Ce n'est pas facile. En attendant l'inspiration je les tiens en respect avec lma fourche figés dans la position dite du missionnaire.
- Non, tu ne conduiras pas ton train aujourd'hui. Nous exerçons le droit de retrait. Et nous casserons les casseurs de grève. Allez rentre chez toi, ça vaut mieux.
Je ne force pas le piquet de grève trop imposant, je retourne à la maison. Agnès sera heureuse de m'avoir pour elle une journée entière de façon aussi inattendue. Elle me trouvera rapidement des occupations variées. J'entends déjà:
- Mon chéri, le lave linge fait un bruit bizarre, peux-tu faire quelque chose ? ou - Mon amour il faudrait changer l'ampoule de...
Enfin elle sait toujours chasser l'ennui provoqué par l'oisiveté et me donner l'occasion de prouver combien je lui suis précieux. Elle répète à qui veut l'entendre :
- Mon Jean est merveilleux. C'est un bricoleur plein de ressources, il répare tout, j'admire ses nombreux talents. Je ne pourrais pas me passer de lui.
Mais à force de tout remettre en état, je risque pour une fois de me retrouver sans petit boulot. J'ai bien envie d'utiliser cette journée un peu mieux que d'habitude. Pourquoi ne pas m'occuper de plus près de mon épouse adorée? Il m'arrive trop souvent de passer des nuits dans des hôtels à des centaines de kilomètres de chez moi et de n'avoir pour tout contact avec ma femme que des relations virtuelles par snapchat. Alors puisque ce matin on m'impose une grève, je m'appliquerai à rattraper ces temps perdus pour donner un supplément de bonheur et de plaisir à Agnès.
Faut-il la prévenir de mon retour? Non, je vais lui faire une bonne surprise, sa joie n'en sera que plus grande. On va s'aimer! J'ouvre la porte doucement. Peut-être s'est-elle rendormie après mon départ, le lundi matin elle ne travaille pas. Comme j'ai fait la lessive samedi, comme j'ai repassé le linge dimanche, elle se lèvera après une grasse matinée assez longue pour ranger dans les armoires le contenu des paniers à linge que j'ai abandonnés faute de temps dans le dressing.
Agnès admire ce fameux dressing, entièrement conçu et fabriqué par moi, mais qu'elle critique parfois en le montrant à ses copines parce que la porte ouvre sur le couloir et non dans notre chambre à coucher. Je n'avais pas voulu abattre un mur porteur et avais juste ouvert une fenêtre au fond, coté chambre, pour faciliter l'aération. Le bricolage c'est bien, je préfère pourtant faire l'amour avec Agnès. Il faut un temps pour chaque chose. Agnès se plaint parfois de ma gourmandise pour le sexe.
- Oh: Mon chéri, encore ? C'est bon, oui. Pas trop souvent ou on va s'en lasser. Et je dois être en forme au travail, tu comprends. .. Ne fais pas cette tête. Moi je trouve que deux fois par semaine c'est suffisant. Tu ne veux pas t'endormir dans ta motrice. Un conducteur de train a une énorme responsabilité. Prends soin de ta santé et n'abuse pas des bonnes choses. Et puis, qui veut aller loin ménage sa monture. hum, tu comprends?
Voilà comment dernièrement ma tendre épouse a mis un frein à mes élans amoureux. Elle a de la chance que je sois un homme de parole; jamais je n'irai chercher chez une autre ce qu'elle ne m'accorde qu'avec parcimonie. Bien sûr elle a une haute estime de mes responsabilité, bien sûr elle veut paraître fraîche quand elle arrive au travail, je trouve qu'elle a trop le souci de notre santé depuis quelques semaines. N'est-ce pas à cause de ces "voyantes" qu'elle consulte parfois sur internet, annonciatrices rémunérées de malheurs imminents ou diseuses de bonne aventure?
Or, qu'ouïs-je. Qu'arrive-t-il ici ? Agnès parle toute seule? Elle parle fort, elle fait des commentaires et donne des ordres étranges? Sa voix est méconnaissable, hachée, un peu comme si le souffle lui manquait. Je ne pense pas qu'elle téléphone, ses entretiens téléphoniques sont calmes, posés, jamais nerveux ou agressifs. Peut-être se défend-elle. Mais qui l'attaquerait puisque la porte était fermée à clé. Est-elle tombée, appelle-t-elle à l'aide? Quoi, que dit-elle? Je tends l'oreille:
- Comment, tu es fatigué ? Non, tu ne t'en tireras pas comme ça. Petite nature ! Au bout d'une heure tu réclames déjà un peu de répit! Allez, grimpe la-dessus et baise moi encore.
Ma clé n'a pas pu ouvrir la serrure d'un voisin. Je suis bien chez moi, au pied de l'escalier qui mène aux chambres. Alors quelle est cette voix grave d'homme qui se met à rire et se défend :
- Hé bien, ma cochonne, je vois que tu étais en manque. De quoi te plains-tu ? Ce n'était pas bon ? Qu'est-ce que tu as gueulé ! C'est pas mieux qu'avec ton Jean qui sait tout faire sauf l'amour?
- Mais si ! C'est toi le meilleur. J'aime tellement ta force et ton savoir faire. Depuis deux mois tu as réveillé ma libido en sommeil. Franchement, aujourd'hui tu es moins performant que d'habitude. Attends, je te suce et tu retrouveras ta raideur.
Je viens de prendre un coup de massue. Ma femme se tait. J'ai compris, sa bouche est pleine de la verge qu'elle veut revigorer. Ma femme est au lit avec un amant. Le type grogne de plaisir puis réclame un peu de douceur. Enfin interroge :
- Alors, ton mari n'est pas aussi bon que moi ? Pourquoi, il a une petite queue, trop petite pour toi?
- Attends, je m'essuie les lèvres... Ce n'est pas ça : Jean est normalement constitué. Il est amateur de relations sexuelles. Il fait bien l'amour et aimerait le faire plus souvent. Comme je l'aime, je veux le garder le plus longtemps possible et je nous impose une limitation à deux rapports sexuels hebdomadaires.Tu as sur lui un double avantage. En premier tu as celui de la nouveauté, ne dit-on pas "tout nouveau tout beau" ? Ensuite tu me permets de ne pas connaître le manque causé par ma règle de limitation et ainsi tu préserves la santé de mon mari et tu me procures l'indispensable équilibre de mes sens.
- Donc tu m'emploies comme bouche trou ? Pour la bonne santé de ton mari tu as besoin d'un mec qui te baise quand tu as le feu au cul. Tu juges ça normal ? Et ma santé, tu t'en fous. Par bonheur, Aurore a un tempérament moins exigeant que le tien : deux fois par semaine avec elle plus deux coups semaine avec toi ça fait quatre. Autrement dit tu ne comptes pas me garder longtemps en bonne santé.
- A toi de montrer que tu peux durer. On n' a qu'un mari, le nombre d'amants n'est pas limité. Bon tu es venu philosopher ou baiser? A l'oeuvre, si tu tiens à moi sois à la hauteur de mes attentes. Hop, viens sur moi , vise bien et fais moi jouir.
- Oh! La vache, qu'est-ce que tu mouilles. Mets tes pieds sur mes épaules, tu vas voir ce que je sais faire. En endurance je suis champion et une femme longuement défoncée finit toujours par une s"rie d(orgasmes. Tiens, encaisse ça... tu aimes
- Oh! Oui. Encore... plus fort... plus vite... oui tu es le meilleur
- Ah! Tu le reconnais.
Et moi, le mari cocu, j'ai écouté, paralysé par la découverte de l'infidélité de mon épouse. Cette fois Agnès y est allée un peu fort. Elle me ménage parce qu'elle m'aime ! Cette façon de se justifier trompera peut-être le type qui la prend. Moi je n'y crois pas. Elle se donne bonne conscience pour pas cher Ca ne me plaît pas, ça me met en colère. Agnès écrit bon avec un "C" et c'est impardonnable.
Sans bruit je vais chercher une fourche sur le tas de fumier du jardin. Maintenant je peux affronter le couple adultère. J'en sais assez, je peux me montrer. J'entre dans la chambre où ils copulent allègrement. L'amant cesse sa charge au fond du vagin d'Agnès au moment où l'applique dans son dos nu, à hauteur des reins les pointes de la fourche en hurlant ;
- Stop:
L'ordre est bref, clair et efficace. Surprise en plein délire amoureux Agnès a un sursaut brutal qui pousse la peau contre les pointes aiguës et arrache un cri de douleur au héros baiseur. Après ce "Aïe" celui qui est censé ménager ma santé reste immobile. Agnès, dérangée dans son extase finit par ouvrir ses, jette un oeil furieux sur l'amant incapable, cherche à comprendre, voudrait le vilipender, me découvre, voit la fourche et pousse un cri de frayeur. Elle tente enfin sa dernière chance :
- Oh! Mon amour, tu es là. Je te croyais au travail.
- En effet, c'est ce que je constate. Je suis content de voir que tu ne t'ennuies pas quand je suis absent. Deux fois par semaine avec celui là, au détriment de sa santé. Comme je le plains. mais tu me le présentes, lui ne peut pas se retourner ou risquerait de se blesser avec des conséquences graves.
Le type immobile, toujours planté dans le vagin en chaleur ose une question incongrue dans sa position
- Quelles conséquences?
- Ma fourche sort du tas de fumier. Je parie que tu n'as pas renouvelé depuis longtemps le vaccin anti tétanos. Une piqûre à travers la peau et tu deviendras plus raide que ta queue des pieds à la tête avant de mourir. Je te recommande d'éviter les mouvements brusques si tu tiens à ta peau , surtout si tu comptes revenir sauter cette putain en mon absence. Compris. Ne bouge pas.
- J'ai envie de pisser. Les Wc ...?
- Tu y es. Laisse-toi aller, tant pis si ça déborde dans les draps.
- Non, pas ça, c'est dégoûtant, proteste la femme adultère
- Use ton bavardage à faire les présentations. Qui est le bonhomme qui a deux avantages sur moi?
- Jean, tu nous as espionnés et tu l'as laissé faire? tu devrais avoir honte.
- Je l'ai laissé te posséder parce que tu le lui demandais. Moi aussi je suis soucieux de ta santé. Je comprends que tu prennes un amant pour calmer tes démangeaisons vaginales, je te laisse prendre ton pied, ça adoucit ton caractère. Allons qui doit avoir honte de toi ou de moi. Qui commet l'adultère? Réponds correctement si tu ne veux pas que je perce ton pubis avec ma fourche?
Le contact de l'acier contre son flanc tue l'arrogance de la coupable. Elle se se met à trembler à sangloter et à secouer l'homme nu étendu sur son corps et prisonnier de son sexe. J'éprouve une forme de jouissance à les voir si pitoyables, humbles, soumis et terrorisés. Je n'ai pas l'intention de les tuer. Je ne suis pas le premier cocu, je préfère vivre libre plutôt qu'en prison. Je n'avais jamais imaginé me retrouver dans cette situation. Pris de court j'essaie d'imaginer comment les punir. Ce n'est pas facile. En attendant l'inspiration je les tiens en respect avec lma fourche figés dans la position dite du missionnaire.
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