Putain de COVID !
Récit érotique écrit par LECOURBE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Putain de COVID !
Putain de COVID !
Tout le monde en a ras-le-bol de ce maudit virus mais moi c'est un peu différent... Disons que sans cette pandémie, ma vie serait toujours un peu monotone et forcément je ne regarde plus l'affaire sous le même angle.
Je vivais en couple à cette époque où tout le monde a dû vivre confiné. Je sais que pour certain ce fut le feu d'artifice à la maison mais j'ai l'impression que ceux qui en ont profité pour explorer voire élargir les possibilités offertes par le Kamasutra, ou profiter de ce temps offert chez soi pour lire et expérimenter tout ce que la littérature un peu chaude peut offrir, sont loin de constituer la majorité. Je crois même que beaucoup de couples qui ont dû subitement se supporter H24 ont volé en éclat.
De mon côté, sans le petit coup de pouce bien involontaire de l'architecte qui a conçu l'immeuble où se trouve mon appartement, peut-être que ma relation avec Nadège aurait aussi tourné court. Nous habitions à l'époque un petit T2 dans une résidence bien propre sur elle mais pas vraiment récente quant à sa conception. Lorsque l'annonce du confinement total est tombée, nos deux employeurs ont pris des positions diamétralement opposées : pour elle, pas de télétravail possible et donc attestations pour rejoindre chaque jour les locaux de son entreprise, quant à moi interdiction d'y mettre les pieds avec des heures à passer sur l'ordi à la maison.
Au début, ça m'a gonflé un peu mais très vite j'y ai trouvé mon compte. Les réunions en visio étaient rarement organisées aux aurores et je m'étais retrouvé avec une grande liberté d'action surtout que je n'étais pas débordé par la tâche... En réalité, depuis mon emménagement, c'était la première fois que je passais autant de temps chez moi. En semaine, on arrivait assez tard tous les deux et on était rarement là les week-ends. Donc, j'avais découvert la vie cachée de mon immeuble et, avec elle, celle de ses occupants car un bon paquet était dans la même situation que moi. Quelques sorties autorisées et retour le plus souvent chacun dans son bocal... C'est là que j'ai découvert que le voyeurisme n'était pas une pratique réservée à quelques personnes dont la perversité est assurément condamnable. Non, je l'ai donc pratiqué et je n'ai pas l'impression que cela doive m'envoyer devant les tribunaux.
Avec tout ce temps à des moments bien différents de la journée, et avec une capacité certaine à lever mon cul du siège devant mon PC, j'ai découvert des choses passionnantes. Conçu en U, à l'ancienne, la situation de mon appart au beau milieu d'une aile du bâtiment m'offrait une vue idéale sur un paquet de fenêtres pas très éloignées et pour la plupart, dénuées de rideaux. J'ai fait ainsi la connaissance avec quelques uns de mes voisins, contraints comme moi d'y passer presque toute la journée.
En à peine une semaine, j'avais repéré plusieurs cibles particulièrement intéressantes et, pour deux d'entre-elles une forte probabilité pour que leurs occupants mettent un peu, voire complètement, en scène ce qui était visible de l'extérieur. Je passe assez vite sur celle qui faisait chaque matin ses séances de gym sur son tapis bien en face de la baie vitrée grande ouverte. Tenues très moulantes et regard en alerte chez cette nana hyper bien foutue. J'aimais tout particulièrement la fin de son show quand elle se remettait debout avant de se mettre à poil bien lentement et filer sans doute sous la douche. Des fesses de rêve et une paire de seins comme j'en avais rarement vues.
Quand je prenais le temps de rester un bon moment à regarder tout en restant discret, il n'était pas rare de voir d'autres corps nus déambuler et j'avoue très honnêtement que ça m'excitait de plus en plus. La petite, mais fort performante, paire de jumelles utile lors de nos randonnée en montagne pour observer de plus près chamois et autres bouquetins trouva donc une nouvelle fonction...
La première scène plus hot était venue du troisième, un étage plus bas que le mien. Un très grand appartement. J'y avais vu jusque-là, un homme seul, la cinquantaine. J'avais une vue plongeante sur la grande pièce de vie, ouverte par deux grandes baies, dotées de voilages, mais souvent tirés sur les côtés, comme ce jour-là. Mon regard avait été irrémédiablement attiré par la silhouette inhabituelle qui venait de rentrer dans mon champ de vision. Une parfaite maid version très british pour ce qui était de la tenue, aspirateur en main. Le physique et l'extrême côté sexy de cet accoutrement avaient attiré comme un aimant mon attention.
J'avais pressenti l'accident et avais même failli crié pour la prévenir mais... heureusement, j'étais resté scotché. J'aurais tout gâché en interrompant le scénario. Car, très vite, j'ai compris. Un grand mouvement de la fille et le vase installé sur la table basse avait volé... L'homme était alors apparu. J'avais eu l'impression qu'il était déjà dans la pièce sur le côté et je n'avais pas identifié immédiatement ce qu'il avait dans les mains. L'employée s'était d'abord baissée pour ramasser les fleurs et les morceaux du vase brisé. Un peu loin pour voir si elle pleurait mais mon impression était celle-la. Manquait le son, mais hormis cet aspect des choses, j'avais une vue imprenable sur l'action qui continuait dans ce salon cosy.
L'homme s'était approché et avait doucement soulevé le menton de la fille comme pour la réconforter. Quelle erreur d'interprétation ! L'objet qu'il tenait dans ses mains depuis le début était désormais bien visible et le voir approcher cette sorte de martinet à lanière noires du visage de celle qui jouait fort bien le rôle d'une servante soumise me fit frissonner de plaisir. Et la suite ne fut pas de nature à faire redescendre la pression. D'abord elle se recula d'un pas et je la vis se déshabiller devant lui. Une beauté. Brune, très fine et assez grande, la vision de cette nana en culotte et soutif me fit bander comme un âne. Le moment où elle avait dégrafé ce qui soutenait encore des seins lourds, mais naturels de toute évidence, avant de faire glisser sa culotte m'excita comme jamais et la suite me surprit par l'envie qu'elle déclencha chez moi de prendre la place de cet homme.
Il avait pris la jeune femme par la main et l'avait faite monter sur le large fauteuil qui trônait au beau milieu de la pièce. A l'envers, bras posés sur le dossier et genoux écartés sur le coussin près des accoudoirs, elle offrait une vue imprenable sur une croupe incroyable. Elle avait cambré au maximum son dos et dans cette position, avec mes jumelles, je pouvais voir un entre-jambe irrésistible. La punition commença, lentement, régulièrement. Le bras de cet homme ne tremblait pas et je pouvais voir aux réactions de la fille qu'il ne simulait pas. Après une dizaine de coups qui faisaient à chaque cinglon bouger les deux seins si proéminents dans cette position, des sillons rouges se dessinèrent sur ce cul prodigieux. Elle en prit encore autant avant qu'il ne la fasse redresser son buste pour flageller durement son dos. Cette fois, ce visage qu'elle retournait de temps à autre exprima une vraie détresse .Les larmes coulaient abondamment sans que, pour autant, la punition ne soit stoppée. L'homme arrêta uniquement lorsque, dos rougi et strié de lignes bien distinctes, elle s'écroula complètement. Sans doute le signal... peut-être pour eux l'équivalent d'un safe word.
Bien plus doux dans sa manière de faire, il l'avait alors relevé et pris place à son tour dans le fauteuil devant elle. Je ne pus pas vraiment voir si ce mec était mieux monté que moi mais la fellation qu'elle lui avait prodigué ensuite durant de longues minutes avant qu'il n'explose dans sa bouche me donna tout le loisir de voir grâce au grossissement des jumelles que sa fente si désirable dégoulinait de cyprine. Je n'en étais pas revenu de voir que malgré la douleur intense qu'avait dû provoquer un tel traitement, elle mouillait comme une folle. Incapable de me retenir car je me masturbais depuis un moment en regardant la scène, j'avais joui sans retenue avant même qu'elle n'en termine et qu'ils quittent tous les deux la pièce.
Lorsque Nadège était rentrée, j'avais hésité un moment à lui raconter. Allait-elle me prendre pour un sale voyeur et être déçue ? Plutôt branchée cul et pas vraiment prude, ça m'aurait étonné. J'avoue que ce fut pour moi aussi une manière de la tester. Si elle avait hurlé au pervers je crois que notre relation n'aurait pas duré. De là à imaginer sa réaction... une vraie surprise.
Une fois mon récit terminé, tous les deux sur le canapé, elle m'avait d'abord regardé avec dans le regard quelque chose d'indéfinissable. J'avais cru un moment que mon enthousiasme quant à sa capacité à supporter un tel voyeurisme et comprendre que la scène m'avait prodigieusement excité, était une erreur car je l'avais vue se lever, tablette en main, et filer sans rien dire vers la chambre. Au bout de dix bonnes minutes, alors que j'étais persuadé que le test était plutôt négatif, je l'avais entendue m'appeler.
Lorsque j'ai poussé la porte, je l'ai vue totalement nue, à plat ventre sur le lit, jambes largement écartées et un oreiller placé sous son ventre. Sur l'écran juste devant ses yeux, une jeune femme pratiquement dans la même position se faisait rougir les fesses à coup de ceinture... Son regard en direction du dressing fut très explicite et la bosse qui déforma aussitôt mon jogging tout autant.
L'exploration de cette autre voie dépassa pour nous largement cette période COVID et on a pas mal expérimenté cette autre voie que jamais je n'aurais crue abordable avec elle. Pourtant quelle erreur ç'aurait été de ne pas s'y engager.
Demain, on doit nous livrer un colis dont le contenu est un peu spécial... Comme elle, j'ai hâte.
Chers lecteurs, si cette histoire vous a plu et que vous voulez découvrir d'autres personnages dans une aventure hors norme n'hésitez pas c'est par ici : https://www.leseditionsdunet.com/erotique/8662-l-autre-voie-yann-lecourbe-9782312119892.htmlEt surtout, faites-vous plaisir. Une seule règle : respect et consentements mutuels de rigueur.
Bien à vous
Yann LECOURBE
Tout le monde en a ras-le-bol de ce maudit virus mais moi c'est un peu différent... Disons que sans cette pandémie, ma vie serait toujours un peu monotone et forcément je ne regarde plus l'affaire sous le même angle.
Je vivais en couple à cette époque où tout le monde a dû vivre confiné. Je sais que pour certain ce fut le feu d'artifice à la maison mais j'ai l'impression que ceux qui en ont profité pour explorer voire élargir les possibilités offertes par le Kamasutra, ou profiter de ce temps offert chez soi pour lire et expérimenter tout ce que la littérature un peu chaude peut offrir, sont loin de constituer la majorité. Je crois même que beaucoup de couples qui ont dû subitement se supporter H24 ont volé en éclat.
De mon côté, sans le petit coup de pouce bien involontaire de l'architecte qui a conçu l'immeuble où se trouve mon appartement, peut-être que ma relation avec Nadège aurait aussi tourné court. Nous habitions à l'époque un petit T2 dans une résidence bien propre sur elle mais pas vraiment récente quant à sa conception. Lorsque l'annonce du confinement total est tombée, nos deux employeurs ont pris des positions diamétralement opposées : pour elle, pas de télétravail possible et donc attestations pour rejoindre chaque jour les locaux de son entreprise, quant à moi interdiction d'y mettre les pieds avec des heures à passer sur l'ordi à la maison.
Au début, ça m'a gonflé un peu mais très vite j'y ai trouvé mon compte. Les réunions en visio étaient rarement organisées aux aurores et je m'étais retrouvé avec une grande liberté d'action surtout que je n'étais pas débordé par la tâche... En réalité, depuis mon emménagement, c'était la première fois que je passais autant de temps chez moi. En semaine, on arrivait assez tard tous les deux et on était rarement là les week-ends. Donc, j'avais découvert la vie cachée de mon immeuble et, avec elle, celle de ses occupants car un bon paquet était dans la même situation que moi. Quelques sorties autorisées et retour le plus souvent chacun dans son bocal... C'est là que j'ai découvert que le voyeurisme n'était pas une pratique réservée à quelques personnes dont la perversité est assurément condamnable. Non, je l'ai donc pratiqué et je n'ai pas l'impression que cela doive m'envoyer devant les tribunaux.
Avec tout ce temps à des moments bien différents de la journée, et avec une capacité certaine à lever mon cul du siège devant mon PC, j'ai découvert des choses passionnantes. Conçu en U, à l'ancienne, la situation de mon appart au beau milieu d'une aile du bâtiment m'offrait une vue idéale sur un paquet de fenêtres pas très éloignées et pour la plupart, dénuées de rideaux. J'ai fait ainsi la connaissance avec quelques uns de mes voisins, contraints comme moi d'y passer presque toute la journée.
En à peine une semaine, j'avais repéré plusieurs cibles particulièrement intéressantes et, pour deux d'entre-elles une forte probabilité pour que leurs occupants mettent un peu, voire complètement, en scène ce qui était visible de l'extérieur. Je passe assez vite sur celle qui faisait chaque matin ses séances de gym sur son tapis bien en face de la baie vitrée grande ouverte. Tenues très moulantes et regard en alerte chez cette nana hyper bien foutue. J'aimais tout particulièrement la fin de son show quand elle se remettait debout avant de se mettre à poil bien lentement et filer sans doute sous la douche. Des fesses de rêve et une paire de seins comme j'en avais rarement vues.
Quand je prenais le temps de rester un bon moment à regarder tout en restant discret, il n'était pas rare de voir d'autres corps nus déambuler et j'avoue très honnêtement que ça m'excitait de plus en plus. La petite, mais fort performante, paire de jumelles utile lors de nos randonnée en montagne pour observer de plus près chamois et autres bouquetins trouva donc une nouvelle fonction...
La première scène plus hot était venue du troisième, un étage plus bas que le mien. Un très grand appartement. J'y avais vu jusque-là, un homme seul, la cinquantaine. J'avais une vue plongeante sur la grande pièce de vie, ouverte par deux grandes baies, dotées de voilages, mais souvent tirés sur les côtés, comme ce jour-là. Mon regard avait été irrémédiablement attiré par la silhouette inhabituelle qui venait de rentrer dans mon champ de vision. Une parfaite maid version très british pour ce qui était de la tenue, aspirateur en main. Le physique et l'extrême côté sexy de cet accoutrement avaient attiré comme un aimant mon attention.
J'avais pressenti l'accident et avais même failli crié pour la prévenir mais... heureusement, j'étais resté scotché. J'aurais tout gâché en interrompant le scénario. Car, très vite, j'ai compris. Un grand mouvement de la fille et le vase installé sur la table basse avait volé... L'homme était alors apparu. J'avais eu l'impression qu'il était déjà dans la pièce sur le côté et je n'avais pas identifié immédiatement ce qu'il avait dans les mains. L'employée s'était d'abord baissée pour ramasser les fleurs et les morceaux du vase brisé. Un peu loin pour voir si elle pleurait mais mon impression était celle-la. Manquait le son, mais hormis cet aspect des choses, j'avais une vue imprenable sur l'action qui continuait dans ce salon cosy.
L'homme s'était approché et avait doucement soulevé le menton de la fille comme pour la réconforter. Quelle erreur d'interprétation ! L'objet qu'il tenait dans ses mains depuis le début était désormais bien visible et le voir approcher cette sorte de martinet à lanière noires du visage de celle qui jouait fort bien le rôle d'une servante soumise me fit frissonner de plaisir. Et la suite ne fut pas de nature à faire redescendre la pression. D'abord elle se recula d'un pas et je la vis se déshabiller devant lui. Une beauté. Brune, très fine et assez grande, la vision de cette nana en culotte et soutif me fit bander comme un âne. Le moment où elle avait dégrafé ce qui soutenait encore des seins lourds, mais naturels de toute évidence, avant de faire glisser sa culotte m'excita comme jamais et la suite me surprit par l'envie qu'elle déclencha chez moi de prendre la place de cet homme.
Il avait pris la jeune femme par la main et l'avait faite monter sur le large fauteuil qui trônait au beau milieu de la pièce. A l'envers, bras posés sur le dossier et genoux écartés sur le coussin près des accoudoirs, elle offrait une vue imprenable sur une croupe incroyable. Elle avait cambré au maximum son dos et dans cette position, avec mes jumelles, je pouvais voir un entre-jambe irrésistible. La punition commença, lentement, régulièrement. Le bras de cet homme ne tremblait pas et je pouvais voir aux réactions de la fille qu'il ne simulait pas. Après une dizaine de coups qui faisaient à chaque cinglon bouger les deux seins si proéminents dans cette position, des sillons rouges se dessinèrent sur ce cul prodigieux. Elle en prit encore autant avant qu'il ne la fasse redresser son buste pour flageller durement son dos. Cette fois, ce visage qu'elle retournait de temps à autre exprima une vraie détresse .Les larmes coulaient abondamment sans que, pour autant, la punition ne soit stoppée. L'homme arrêta uniquement lorsque, dos rougi et strié de lignes bien distinctes, elle s'écroula complètement. Sans doute le signal... peut-être pour eux l'équivalent d'un safe word.
Bien plus doux dans sa manière de faire, il l'avait alors relevé et pris place à son tour dans le fauteuil devant elle. Je ne pus pas vraiment voir si ce mec était mieux monté que moi mais la fellation qu'elle lui avait prodigué ensuite durant de longues minutes avant qu'il n'explose dans sa bouche me donna tout le loisir de voir grâce au grossissement des jumelles que sa fente si désirable dégoulinait de cyprine. Je n'en étais pas revenu de voir que malgré la douleur intense qu'avait dû provoquer un tel traitement, elle mouillait comme une folle. Incapable de me retenir car je me masturbais depuis un moment en regardant la scène, j'avais joui sans retenue avant même qu'elle n'en termine et qu'ils quittent tous les deux la pièce.
Lorsque Nadège était rentrée, j'avais hésité un moment à lui raconter. Allait-elle me prendre pour un sale voyeur et être déçue ? Plutôt branchée cul et pas vraiment prude, ça m'aurait étonné. J'avoue que ce fut pour moi aussi une manière de la tester. Si elle avait hurlé au pervers je crois que notre relation n'aurait pas duré. De là à imaginer sa réaction... une vraie surprise.
Une fois mon récit terminé, tous les deux sur le canapé, elle m'avait d'abord regardé avec dans le regard quelque chose d'indéfinissable. J'avais cru un moment que mon enthousiasme quant à sa capacité à supporter un tel voyeurisme et comprendre que la scène m'avait prodigieusement excité, était une erreur car je l'avais vue se lever, tablette en main, et filer sans rien dire vers la chambre. Au bout de dix bonnes minutes, alors que j'étais persuadé que le test était plutôt négatif, je l'avais entendue m'appeler.
Lorsque j'ai poussé la porte, je l'ai vue totalement nue, à plat ventre sur le lit, jambes largement écartées et un oreiller placé sous son ventre. Sur l'écran juste devant ses yeux, une jeune femme pratiquement dans la même position se faisait rougir les fesses à coup de ceinture... Son regard en direction du dressing fut très explicite et la bosse qui déforma aussitôt mon jogging tout autant.
L'exploration de cette autre voie dépassa pour nous largement cette période COVID et on a pas mal expérimenté cette autre voie que jamais je n'aurais crue abordable avec elle. Pourtant quelle erreur ç'aurait été de ne pas s'y engager.
Demain, on doit nous livrer un colis dont le contenu est un peu spécial... Comme elle, j'ai hâte.
Chers lecteurs, si cette histoire vous a plu et que vous voulez découvrir d'autres personnages dans une aventure hors norme n'hésitez pas c'est par ici : https://www.leseditionsdunet.com/erotique/8662-l-autre-voie-yann-lecourbe-9782312119892.htmlEt surtout, faites-vous plaisir. Une seule règle : respect et consentements mutuels de rigueur.
Bien à vous
Yann LECOURBE
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