Quand j'ai commencé à me masturber
Récit érotique écrit par Helene2010 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2010 dans la catégorie En solitaire
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Couleur du fond :
Quand j'ai commencé à me masturber
Je revenais du lycée et il y avait un mot sur la table de la cuisine : "Nous sommes allés voir ta grand-mère. Ne t'inquiète pas. On revient pour le dîner." J'ai compris que j'étais seule et j'avais du travail pour le lendemain mais j'ai posé mon sac à dos le long de la porte du salon et je me suis affalée dans le fauteuil où j'avais l'habitude de regarder la télé quand je ne voulais rien faire.
Pendant un moment, j'ai pensé à ce qui pouvait être arrivé à ma grand-mère. Je l'aimais beaucoup mais elle commençait à être très vieille. Comment en étais-je arrivée à me caresser ? Quand j'ai réagi, j'avais la main coincée entre mes cuisses. C'était une manie que j'avais depuis longtemps et ma mère avait cessé de m'en dissuader. Un jour, je l'avais surprise sur son lit. Elle était en train de se masturber, la robe remontée sur le ventre. Je lui avais demandé ce qu'elle faisait et elle m'avait répondu, pas embarrassée pour deux sous, qu'elle n'était pas toujours raisonnable.
J'avais tout vu, la précision de ses doigts, les doigts de son autre main qui jouaient avec ses mamelons. Il y avait des années, elle m'avait dit qu'entre filles on n'avait pas de secrets mais au fil des ans, elle était devenue de moins en moins ma copine. J'avais des copines au collège et puis après au lycée, mais j'étais trop timide pour me confier et je me contentais de les écouter se vanter car pour moi, leurs histoires de sexe c'était de l'invention. Comment auraient-elles pu avoir toutes ces aventures ?
Quand j'avais commencé à avoir des poils sur le ventre, j'avais trouvé ça dégoûtant et pendant longtemps avant que je ne me hasarde à les raser, j'en avais souffert. Ce fut la même chose pour ma poitrine. Ma mère ayant une très belle poitrine, elle m'avait dit que moi aussi, un jour... mais ce jour tardait à venir. J'observais ma mère dans la salle de bains. "Que regardes-tu, me demandait-elle à chaque fois ?" Elle bousculait ses seins en se lavant comme s'ils n'existaient pas et passait le gant dessus et dessous, les rinçait et les essuyait comme elle rinçait et essuyait ses fesses ou ses bras.
Ça m'avait réveillée dans la nuit. Bien sûr, ça peut paraître ridicule de dire que j'ai senti que mes seins s'étaient mis à pousser, mais je le savais et le sentais : ils poussaient. Enfin, m'étais-je dit ! Mes mamelons avaient pris du volume et étaient bien plus sensibles et mes aréoles bien plus larges et bien plus foncées. Je me regardais dans la glace tous les soirs avant de me coucher et tous les matins après m'être levée. Bien sûr, ça aurait plus parlant si je m'étais regardée une fois par semaine ou une fois par mois ou une fois par an, mais ils étaient là et n'arrêtaient pas de me dire qu'ils étaient là, qu'il arrivaient et que bientôt je serais une femme.
Puis c'est là que pour la première fois j'ai eu mes règles. Ma mère m'avait prévenu, préparée, mais ça a vraiment été une surprise et j'ai paniqué. Tout ce sang, ma chemise de nuit tachée. "Voilà ! Tu es maintenant une femme, m'avait dit ma mère, et tu vas devoir faire attention car tu va pouvoir faire un enfant !"Elle n'en avait pas dit plus et j'étais encore plus paniquée et si j'avais commencé à embrasser des garçons, j'ai arrêté de peur d'être enceinte.
Il n'y avait pas que ma poitrine qui évoluait. Ma vulve aussi, au milieu de mes poils. Pour quelle raison me suis-je enfoncé un crayon dans le vagin ? Je n'en sais toujours rien. Pourquoi ai-je insisté avec le stylo que j'ai eu de mon parrain pour ma communion ? Encore moins ! Pourquoi me suis-je enfoncée dans le vagin la bougie qui trônait dans un bougeoir sur la cheminée de ma chambre ?
Oui, c'était ça, le besoin de m'explorer, de m'enfoncer quelque chose dans mon ventre. C'était très agréable l'été de sucer un esquimau glacé. Je l'enfonçais tout au fond de ma bouche au grand désespoir de ma mère qui me répétait que j'allais m'étouffer. J'ignorais alors que j'adorerai avaler le pénis de mon mari ! L'avaler complètement jusqu'aux bourses et même en avaler les bourses jusqu'à étouffer. J'avais besoin d'explorer cette ouverture qui se transformait.
Ce n'était plus la fente fine que j'avais eu jusqu'ici.
C'était presque un cours d'anatomie que je faisais dans ma chambre, assise les cuisses ouvertes face au miroir, le dictionnaire médical de mes parents ouverts à la page de la vulve et c'était bien moi. Je reconnaissais mes grandes lèvres, mes petites lèvres, mon clitoris et son frein, l'ouverture de mon vagin. J'ignorais alors aussi qu'un jour en me masturbant, j'allais faire aussi presque jaillir le col de mon utérus, et qu'il ressemblerait au gland d'un pénis et que j'y enfoncerait le bout d'un stylo et que ça me ferait mal.
C'est comme ça que j'ai commencé à me masturber. J'étais maladroite et je n'arrivais à rien car j'étais embrouillée jusqu'à ce jour dont j'ai parlé plus haut où j'avais vu ma mère, ses doigts agiles et précis, ses ongles aussi qui participaient et qu'elle titillait en tournant autour, son bouton. "Cochon, tu me rends folle, lui disait-elle sans s'apercevoir que j'étais à la porte de sa chambre, l'épaule appuyée contre le chambranle. "Dépêche-toi, dépêche-toi, ajoutait-elle en continuant de parler à son clitoris ! Je n'ai pas que ça à faire !" Ma mère tortillait aussi ses mamelons puis s'enfonçait un doigt, deux doigts et trois doigts dans son vagin. "Ah, mon dieu, ça vient ! Je suis une vraie salope, avait-elle ajouté ! Ça vient ! Fais-moi un bel orgasme !" Ma mère avait relevé la tête et le torse et regardait maintenant son ventre et au-delà vers sa vulve puis a poussé un cri et est retombée en arrière.
Je m'étais reculée dans le couloir. "Ah, chéri, a ajouté ma mère ! Tu as épousé une drôle de femme ! Comment n'as-tu pas compris que j'aime le sexe ? Je voudrais que tu me baises sans arrêt et que tu fasse de moi ta putain ! Je serais une bonne putain et tu pourrais m'enculer sans arrêt !" J'ai compris que ma mère s'était levée de son lit. J'ai encore reculé jusqu'au coin du couloir. Elle l'a traversé pour se rendre dans la salle de bains. Heureusement pour moi, c'était juste en face. "Tu n'as pas honte, avait ajouté ma mère - elle parlait dans le vide car mon père n'était pas là - il te baise presque toutes les nuits et tu n'en as jamais assez !" J'ai fini par comprendre que le mieux pour moi était de m'en aller, de sortir de la maison et de revenir un peu plus tard pour faire croire à ma mère que je n'avais pas séché un cours et que j'étais rentrée plus tôt.
Mais d'un autre côté, ça m'a plutôt fait du bien et j'ai commencé à me masturber plus sérieusement jusqu'à obtenir à chaque fois un orgasme ou plusieurs comme cette fois où je m'en suis donnée trois de suite.
J'ai ouvert ma robe et j'ai retiré mon soutien-gorge — c'est bien pratique ces soutifs qui s'agrafent par devant entre les bonnets — puis j'ai retiré ma culotte et j'ai continué à me caresser en pensant que c'était plus agréable que les cours au lycée et que je préférais ça dans la vie plutôt que toute autre chose. Je m'étirais et pressais ma poitrine dans mes doigts puis je revenais à ma vulve qui s'ennuyait. J'ai joui une première fois et j'allais jouir encore quand j'ai entendu la clé dans la serrure et la porte qui s'ouvrait. "Tu es là, ma chérie, a demandé la voix de ma mère ? Nous sommes rentrés !" J'ai ramassé mon soutien-gorge et ma petite culotte et je me suis sauvée dans ma chambre par la porte du fond. Juste le temps de reboutonner ma robe et ma mère est entrée dans ma chambre : "Ah, tu es là ! Tu aurais quand même pu mettre la table ! Je fais réchauffer une pizza !" "Et grand-mère, ai-je demandé ?" "Oh, rien, m'a répondu ma mère ! Elle s'était juste inquiétée ! Tout va bien !"Ma mère a tourné les talons. Je me suis refaite un visage dans la salle de bains et je suis allée dans la cuisine. "Tu as vu l'heure qu'il est, m'a demandé ma mère ! Presque huit heures et demie !" Huit heures et demie ! J'étais donc restée pendant presque cinq heures dans ce fauteuil à me caresser et à rêver. La vie dont je rêvais. "Tu devrais quand même garder ton soutien-gorge, a ajouté ma mère, sinon ta poitrine va tomber !"
Pendant un moment, j'ai pensé à ce qui pouvait être arrivé à ma grand-mère. Je l'aimais beaucoup mais elle commençait à être très vieille. Comment en étais-je arrivée à me caresser ? Quand j'ai réagi, j'avais la main coincée entre mes cuisses. C'était une manie que j'avais depuis longtemps et ma mère avait cessé de m'en dissuader. Un jour, je l'avais surprise sur son lit. Elle était en train de se masturber, la robe remontée sur le ventre. Je lui avais demandé ce qu'elle faisait et elle m'avait répondu, pas embarrassée pour deux sous, qu'elle n'était pas toujours raisonnable.
J'avais tout vu, la précision de ses doigts, les doigts de son autre main qui jouaient avec ses mamelons. Il y avait des années, elle m'avait dit qu'entre filles on n'avait pas de secrets mais au fil des ans, elle était devenue de moins en moins ma copine. J'avais des copines au collège et puis après au lycée, mais j'étais trop timide pour me confier et je me contentais de les écouter se vanter car pour moi, leurs histoires de sexe c'était de l'invention. Comment auraient-elles pu avoir toutes ces aventures ?
Quand j'avais commencé à avoir des poils sur le ventre, j'avais trouvé ça dégoûtant et pendant longtemps avant que je ne me hasarde à les raser, j'en avais souffert. Ce fut la même chose pour ma poitrine. Ma mère ayant une très belle poitrine, elle m'avait dit que moi aussi, un jour... mais ce jour tardait à venir. J'observais ma mère dans la salle de bains. "Que regardes-tu, me demandait-elle à chaque fois ?" Elle bousculait ses seins en se lavant comme s'ils n'existaient pas et passait le gant dessus et dessous, les rinçait et les essuyait comme elle rinçait et essuyait ses fesses ou ses bras.
Ça m'avait réveillée dans la nuit. Bien sûr, ça peut paraître ridicule de dire que j'ai senti que mes seins s'étaient mis à pousser, mais je le savais et le sentais : ils poussaient. Enfin, m'étais-je dit ! Mes mamelons avaient pris du volume et étaient bien plus sensibles et mes aréoles bien plus larges et bien plus foncées. Je me regardais dans la glace tous les soirs avant de me coucher et tous les matins après m'être levée. Bien sûr, ça aurait plus parlant si je m'étais regardée une fois par semaine ou une fois par mois ou une fois par an, mais ils étaient là et n'arrêtaient pas de me dire qu'ils étaient là, qu'il arrivaient et que bientôt je serais une femme.
Puis c'est là que pour la première fois j'ai eu mes règles. Ma mère m'avait prévenu, préparée, mais ça a vraiment été une surprise et j'ai paniqué. Tout ce sang, ma chemise de nuit tachée. "Voilà ! Tu es maintenant une femme, m'avait dit ma mère, et tu vas devoir faire attention car tu va pouvoir faire un enfant !"Elle n'en avait pas dit plus et j'étais encore plus paniquée et si j'avais commencé à embrasser des garçons, j'ai arrêté de peur d'être enceinte.
Il n'y avait pas que ma poitrine qui évoluait. Ma vulve aussi, au milieu de mes poils. Pour quelle raison me suis-je enfoncé un crayon dans le vagin ? Je n'en sais toujours rien. Pourquoi ai-je insisté avec le stylo que j'ai eu de mon parrain pour ma communion ? Encore moins ! Pourquoi me suis-je enfoncée dans le vagin la bougie qui trônait dans un bougeoir sur la cheminée de ma chambre ?
Oui, c'était ça, le besoin de m'explorer, de m'enfoncer quelque chose dans mon ventre. C'était très agréable l'été de sucer un esquimau glacé. Je l'enfonçais tout au fond de ma bouche au grand désespoir de ma mère qui me répétait que j'allais m'étouffer. J'ignorais alors que j'adorerai avaler le pénis de mon mari ! L'avaler complètement jusqu'aux bourses et même en avaler les bourses jusqu'à étouffer. J'avais besoin d'explorer cette ouverture qui se transformait.
Ce n'était plus la fente fine que j'avais eu jusqu'ici.
C'était presque un cours d'anatomie que je faisais dans ma chambre, assise les cuisses ouvertes face au miroir, le dictionnaire médical de mes parents ouverts à la page de la vulve et c'était bien moi. Je reconnaissais mes grandes lèvres, mes petites lèvres, mon clitoris et son frein, l'ouverture de mon vagin. J'ignorais alors aussi qu'un jour en me masturbant, j'allais faire aussi presque jaillir le col de mon utérus, et qu'il ressemblerait au gland d'un pénis et que j'y enfoncerait le bout d'un stylo et que ça me ferait mal.
C'est comme ça que j'ai commencé à me masturber. J'étais maladroite et je n'arrivais à rien car j'étais embrouillée jusqu'à ce jour dont j'ai parlé plus haut où j'avais vu ma mère, ses doigts agiles et précis, ses ongles aussi qui participaient et qu'elle titillait en tournant autour, son bouton. "Cochon, tu me rends folle, lui disait-elle sans s'apercevoir que j'étais à la porte de sa chambre, l'épaule appuyée contre le chambranle. "Dépêche-toi, dépêche-toi, ajoutait-elle en continuant de parler à son clitoris ! Je n'ai pas que ça à faire !" Ma mère tortillait aussi ses mamelons puis s'enfonçait un doigt, deux doigts et trois doigts dans son vagin. "Ah, mon dieu, ça vient ! Je suis une vraie salope, avait-elle ajouté ! Ça vient ! Fais-moi un bel orgasme !" Ma mère avait relevé la tête et le torse et regardait maintenant son ventre et au-delà vers sa vulve puis a poussé un cri et est retombée en arrière.
Je m'étais reculée dans le couloir. "Ah, chéri, a ajouté ma mère ! Tu as épousé une drôle de femme ! Comment n'as-tu pas compris que j'aime le sexe ? Je voudrais que tu me baises sans arrêt et que tu fasse de moi ta putain ! Je serais une bonne putain et tu pourrais m'enculer sans arrêt !" J'ai compris que ma mère s'était levée de son lit. J'ai encore reculé jusqu'au coin du couloir. Elle l'a traversé pour se rendre dans la salle de bains. Heureusement pour moi, c'était juste en face. "Tu n'as pas honte, avait ajouté ma mère - elle parlait dans le vide car mon père n'était pas là - il te baise presque toutes les nuits et tu n'en as jamais assez !" J'ai fini par comprendre que le mieux pour moi était de m'en aller, de sortir de la maison et de revenir un peu plus tard pour faire croire à ma mère que je n'avais pas séché un cours et que j'étais rentrée plus tôt.
Mais d'un autre côté, ça m'a plutôt fait du bien et j'ai commencé à me masturber plus sérieusement jusqu'à obtenir à chaque fois un orgasme ou plusieurs comme cette fois où je m'en suis donnée trois de suite.
J'ai ouvert ma robe et j'ai retiré mon soutien-gorge — c'est bien pratique ces soutifs qui s'agrafent par devant entre les bonnets — puis j'ai retiré ma culotte et j'ai continué à me caresser en pensant que c'était plus agréable que les cours au lycée et que je préférais ça dans la vie plutôt que toute autre chose. Je m'étirais et pressais ma poitrine dans mes doigts puis je revenais à ma vulve qui s'ennuyait. J'ai joui une première fois et j'allais jouir encore quand j'ai entendu la clé dans la serrure et la porte qui s'ouvrait. "Tu es là, ma chérie, a demandé la voix de ma mère ? Nous sommes rentrés !" J'ai ramassé mon soutien-gorge et ma petite culotte et je me suis sauvée dans ma chambre par la porte du fond. Juste le temps de reboutonner ma robe et ma mère est entrée dans ma chambre : "Ah, tu es là ! Tu aurais quand même pu mettre la table ! Je fais réchauffer une pizza !" "Et grand-mère, ai-je demandé ?" "Oh, rien, m'a répondu ma mère ! Elle s'était juste inquiétée ! Tout va bien !"Ma mère a tourné les talons. Je me suis refaite un visage dans la salle de bains et je suis allée dans la cuisine. "Tu as vu l'heure qu'il est, m'a demandé ma mère ! Presque huit heures et demie !" Huit heures et demie ! J'étais donc restée pendant presque cinq heures dans ce fauteuil à me caresser et à rêver. La vie dont je rêvais. "Tu devrais quand même garder ton soutien-gorge, a ajouté ma mère, sinon ta poitrine va tomber !"
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui bien écrit et sensualité vérité
Super histoir et super excitant
Tu me fais bander à chaque fois que je te lis. Encore plus fort et je me masturbe en pensant à toi.
bien décrit, c'était presque pareil, à mes débuts.