Quand la lectrice devient actrice.
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Quand la lectrice devient actrice.
Je reçois quelques rares messages d'encouragement pour mes récits, et je dois avouer que c'est agréable. Merci à tous.
Mais celui qui restera pour moi le plus important, est celui d'une lectrice qui m'a écrit:
"Franchement ton histoire est trop forte. J'en ai la culotte toute mouillée. J'aimerais tant que mon mec me fasse tout ça et me prenne de force ensuite. Ouah quel délire, j'en suis toute retournée. Bravo continue"
Je ne sais si c'est volontaire ou pas, mais cette lectrice m'a laissé son adresse mail. Vous comprenez qu'un vicieux comme moi ne peux laisser passer l'occasion de lui écrire, pour lui proposer mes services en cas de défaillance de son homme en certains domaines. Je n'espère pas vraiment de réponse, mais voila qu'un message me parvient. Je pense qu'elle va m'envoyer me faire foutre, mais non. Elle me remercie pour ma proposition, me dit qu'elle n'a jamais trompé son époux, sauf parfois en pensée, et ne se sent pas tout à fait prête à franchir le pas.
Avec mon expérience, je commence à bien connaître ces petites saintes nitouche, à qui il suffit juste de forcer un peu la main. S'en suivent plusieurs échanges, corrects au début et où je la persuade qu'il faut satisfaire ses envies pour n'avoir aucun regret, puis plus chauds, plus hards, où je lui dis tout ce que j'attends d'elle et comment elle va pouvoir réaliser ses fantasmes les plus inavouables.
Son mari est souvent en déplacement, et on met au point une rencontre de 48h, chez moi, pour raison de discrétion. On a tout programmé en détail, pour éviter tout malentendu. Elle est ok pour accepter toutes mes suggestions.
Son train arrive à 16h30, je vais la chercher et on est chez moi pour 17h : juste pour un 5 à 7.
On ne s'est pas menti, ni sur notre âge, ni sur notre physique, et on se retrouve tels que l'on s'imaginait. On est dans ma chambre et on se déshabille sans tarder. Elle était classe en ensemble veste pantalon, presque sévère ou coincée, mais une fois le costume tombé elle est des plus désirables, des plus bandantes. Elle est en dessous deux pièces, string et soutien gorge hyper sexy. Je suis à poil, et ma queue ne s'y trompe pas qui se dresse pour lui rendre hommage.
On est dans les bras l'un de l'autre, fébriles, impatients de la suite. Nos bouches se soudent dans un long baiser chaleureux, tandis que ma main glisse dans sa culotte et que la sienne me caresse le sexe. Je l'invite à me sucer, elle s'agenouille et après trente secondes de turlutte je jouis dans sa bouche. Elle avale tout, et ne semble pas déçue de cette pipe éclair, de mon éjaculation précoce. En fait je l'avais prévenue par mail. Ca me fait chaque fois ça la première fois avec une nouvelle fille. Ou je déchargeais très rapidement, ou je me branlais avant ça venue. Elle préférais la première solution, pour ne rien gaspiller de ma semence précieuse.
Je viens de jouir, mais face à une plante pareille il m'est interdit de débander. J'enlève ses dessous, et on va passer deux heures de baise intense. On fait tout ce qui est possible tellement on est excité, on a envie l'un de l'autre. On se caresse, on se masturbe, on se roule des pelles, fellation, cunnilingus, analingus chacun son tour, 69, baise, sodomie, dans toutes les positions. 19h, on va conclure. Je la sodomise profond et j'ai juste le temps de me retirer pour jouir sur ses reins et m'essuyer la queue sur ses superbes miches.
On est épuisés, en sueur, mais ravis de ce premier contact très charnel. J'ai réservé un resto pour 20h30, et on a le temps de prendre une douche bienfaitrice, puis un apéro, même deux. On profite du repas pour revoir notre programme, et elle semble toute aussi impatiente que moi de savourer les heures à venir.
Dans l'immédiat, de retour chez moi, on a prévu un plan pisse. On boit des quantités d'eau en mangeant, les carafes défilent, histoire de bien se remplir les vessies. Dès le retour, on se déshabille, et le repas ayant un peu traîné on a déjà envie de se soulager. On se défringue vite fait, et on gagne ma vaste douche. On a fermé la porte, et on peut uriner à volonté, dans toutes les postures. On se pisse dessus, de la tête aux pieds, on se pisse dans la bouche. J'éprouve encore plus de plaisir à recevoir ses puissants jets dorés, et je sais qu'il en est de même pour elle. On ne fait pas en continu, mais au fur et à mesure de nos besoins, et on passe les temps morts à s'embrasser et se caresser. Lorsqu'on est sûr de s'être vidangé à fonds, on reprend une douche.
Il est tard, et on se couche. On ne dort pas de suite, on éteint la lumière, et on se fait un gros câlin, une baise tendre, à la papa maman. On se finit en 69 pour ne pas avoir à se relever pour se nettoyer. On se roule une longue pelle bien salivée pour se rincer les bouches. On s'endort.
Je dors mal, je me réveille souvent, je bande et me caresse n'osant réveiller ma nouvelle copine. A six heures du matin, le jour entre dans la chambre, et je n'en peux plus de triquer. Je me tourne, me plaque contre elle en chien de fusil, et glisse ma queue entre ses cuisses. Elle gémit, se plaint dans son sommeil, puis se réveille avec un petit cri. Je veux la rassurer :
- Ca va ?
- Oui, mais je pensais être chez moi.
- Déçue ?
- Oh non, au contraire.
- Je bande, j'ai envie de baiser. Tu veux ?
- Je suis là pour ça, pour être ta chienne soumise, ton vide couilles.
Elle a à peine fini sa phrase que ma bite fouille sa chatte. Je la prends en levrette, sur le côté. On ne parle pas pour économiser nos forces, et se concentrer sur notre fusion. Après quelques minutes je me dégage, la retourne sur le dos, et vient sur elle. Je peux ainsi la reprendre et l'embrasser à pleine bouche. Quelques minutes encore, je me retire, m'allonge sur le dos et allume la lumière :
- Viens sur moi salope, monte moi, baise moi comme tu n'as jamais baisé ton mari.
Elle m'enfourche, se redresse, s'empale sur ma trique, et m'aime avec ardeur. Je la vois monter et descendre sur ma hampe, je vois ses magnifiques seins sauter au rythme de sa chevauchée fantastique. Elle me baise trop bien, et je sens la sève qui monte. Je lui demande de me sucer. Elle s'exécute docilement:
- Hummmmm, c'est bon ça madame. C'est de la bonne salope qui aime les grosses queues bien juteuses, les couilles bien pleines. Pompes traînée, il ne doit pas s'ennuyer ton mec avec une pute pareille.......
Je jouis sans retenue et elle engloutit tout voracement. Il est encore tôt et on se rendort pour une grasse matinée. On se lève sagement. On a un après midi intense en vue, et il faut s'économiser. On déjeune, puis on se prépare pour quelques achats.
J'ai prévu, avec son accord, une longue séance dans la salle ciné du sex-shop, celui là même où j'ai emmené Joëlle. J'espère qu'elle sera aussi appréciée et aussi talentueuse que ma petite blonde. Elle n'a que sa tenue classique, et ça ne vas pas le faire. Il y a près de chez moi un magasin d'habillement et lingerie à prix cassés. On y trouve de tout, des dessous hyper sexy à un euro pièce. Je veux l'habiller en pute pour la circonstance et je fais mon choix. Elle en profite pour des achats personnels, pour allumer son mari.
On rentre, on prend un apéro, on mange, un café, un digestif pour qu'elle soit motivée.
Le sex-shop ouvre à 14h, et il est temps de partir.
A SUIVRE, ou pas, selon encouragements.
Mais celui qui restera pour moi le plus important, est celui d'une lectrice qui m'a écrit:
"Franchement ton histoire est trop forte. J'en ai la culotte toute mouillée. J'aimerais tant que mon mec me fasse tout ça et me prenne de force ensuite. Ouah quel délire, j'en suis toute retournée. Bravo continue"
Je ne sais si c'est volontaire ou pas, mais cette lectrice m'a laissé son adresse mail. Vous comprenez qu'un vicieux comme moi ne peux laisser passer l'occasion de lui écrire, pour lui proposer mes services en cas de défaillance de son homme en certains domaines. Je n'espère pas vraiment de réponse, mais voila qu'un message me parvient. Je pense qu'elle va m'envoyer me faire foutre, mais non. Elle me remercie pour ma proposition, me dit qu'elle n'a jamais trompé son époux, sauf parfois en pensée, et ne se sent pas tout à fait prête à franchir le pas.
Avec mon expérience, je commence à bien connaître ces petites saintes nitouche, à qui il suffit juste de forcer un peu la main. S'en suivent plusieurs échanges, corrects au début et où je la persuade qu'il faut satisfaire ses envies pour n'avoir aucun regret, puis plus chauds, plus hards, où je lui dis tout ce que j'attends d'elle et comment elle va pouvoir réaliser ses fantasmes les plus inavouables.
Son mari est souvent en déplacement, et on met au point une rencontre de 48h, chez moi, pour raison de discrétion. On a tout programmé en détail, pour éviter tout malentendu. Elle est ok pour accepter toutes mes suggestions.
Son train arrive à 16h30, je vais la chercher et on est chez moi pour 17h : juste pour un 5 à 7.
On ne s'est pas menti, ni sur notre âge, ni sur notre physique, et on se retrouve tels que l'on s'imaginait. On est dans ma chambre et on se déshabille sans tarder. Elle était classe en ensemble veste pantalon, presque sévère ou coincée, mais une fois le costume tombé elle est des plus désirables, des plus bandantes. Elle est en dessous deux pièces, string et soutien gorge hyper sexy. Je suis à poil, et ma queue ne s'y trompe pas qui se dresse pour lui rendre hommage.
On est dans les bras l'un de l'autre, fébriles, impatients de la suite. Nos bouches se soudent dans un long baiser chaleureux, tandis que ma main glisse dans sa culotte et que la sienne me caresse le sexe. Je l'invite à me sucer, elle s'agenouille et après trente secondes de turlutte je jouis dans sa bouche. Elle avale tout, et ne semble pas déçue de cette pipe éclair, de mon éjaculation précoce. En fait je l'avais prévenue par mail. Ca me fait chaque fois ça la première fois avec une nouvelle fille. Ou je déchargeais très rapidement, ou je me branlais avant ça venue. Elle préférais la première solution, pour ne rien gaspiller de ma semence précieuse.
Je viens de jouir, mais face à une plante pareille il m'est interdit de débander. J'enlève ses dessous, et on va passer deux heures de baise intense. On fait tout ce qui est possible tellement on est excité, on a envie l'un de l'autre. On se caresse, on se masturbe, on se roule des pelles, fellation, cunnilingus, analingus chacun son tour, 69, baise, sodomie, dans toutes les positions. 19h, on va conclure. Je la sodomise profond et j'ai juste le temps de me retirer pour jouir sur ses reins et m'essuyer la queue sur ses superbes miches.
On est épuisés, en sueur, mais ravis de ce premier contact très charnel. J'ai réservé un resto pour 20h30, et on a le temps de prendre une douche bienfaitrice, puis un apéro, même deux. On profite du repas pour revoir notre programme, et elle semble toute aussi impatiente que moi de savourer les heures à venir.
Dans l'immédiat, de retour chez moi, on a prévu un plan pisse. On boit des quantités d'eau en mangeant, les carafes défilent, histoire de bien se remplir les vessies. Dès le retour, on se déshabille, et le repas ayant un peu traîné on a déjà envie de se soulager. On se défringue vite fait, et on gagne ma vaste douche. On a fermé la porte, et on peut uriner à volonté, dans toutes les postures. On se pisse dessus, de la tête aux pieds, on se pisse dans la bouche. J'éprouve encore plus de plaisir à recevoir ses puissants jets dorés, et je sais qu'il en est de même pour elle. On ne fait pas en continu, mais au fur et à mesure de nos besoins, et on passe les temps morts à s'embrasser et se caresser. Lorsqu'on est sûr de s'être vidangé à fonds, on reprend une douche.
Il est tard, et on se couche. On ne dort pas de suite, on éteint la lumière, et on se fait un gros câlin, une baise tendre, à la papa maman. On se finit en 69 pour ne pas avoir à se relever pour se nettoyer. On se roule une longue pelle bien salivée pour se rincer les bouches. On s'endort.
Je dors mal, je me réveille souvent, je bande et me caresse n'osant réveiller ma nouvelle copine. A six heures du matin, le jour entre dans la chambre, et je n'en peux plus de triquer. Je me tourne, me plaque contre elle en chien de fusil, et glisse ma queue entre ses cuisses. Elle gémit, se plaint dans son sommeil, puis se réveille avec un petit cri. Je veux la rassurer :
- Ca va ?
- Oui, mais je pensais être chez moi.
- Déçue ?
- Oh non, au contraire.
- Je bande, j'ai envie de baiser. Tu veux ?
- Je suis là pour ça, pour être ta chienne soumise, ton vide couilles.
Elle a à peine fini sa phrase que ma bite fouille sa chatte. Je la prends en levrette, sur le côté. On ne parle pas pour économiser nos forces, et se concentrer sur notre fusion. Après quelques minutes je me dégage, la retourne sur le dos, et vient sur elle. Je peux ainsi la reprendre et l'embrasser à pleine bouche. Quelques minutes encore, je me retire, m'allonge sur le dos et allume la lumière :
- Viens sur moi salope, monte moi, baise moi comme tu n'as jamais baisé ton mari.
Elle m'enfourche, se redresse, s'empale sur ma trique, et m'aime avec ardeur. Je la vois monter et descendre sur ma hampe, je vois ses magnifiques seins sauter au rythme de sa chevauchée fantastique. Elle me baise trop bien, et je sens la sève qui monte. Je lui demande de me sucer. Elle s'exécute docilement:
- Hummmmm, c'est bon ça madame. C'est de la bonne salope qui aime les grosses queues bien juteuses, les couilles bien pleines. Pompes traînée, il ne doit pas s'ennuyer ton mec avec une pute pareille.......
Je jouis sans retenue et elle engloutit tout voracement. Il est encore tôt et on se rendort pour une grasse matinée. On se lève sagement. On a un après midi intense en vue, et il faut s'économiser. On déjeune, puis on se prépare pour quelques achats.
J'ai prévu, avec son accord, une longue séance dans la salle ciné du sex-shop, celui là même où j'ai emmené Joëlle. J'espère qu'elle sera aussi appréciée et aussi talentueuse que ma petite blonde. Elle n'a que sa tenue classique, et ça ne vas pas le faire. Il y a près de chez moi un magasin d'habillement et lingerie à prix cassés. On y trouve de tout, des dessous hyper sexy à un euro pièce. Je veux l'habiller en pute pour la circonstance et je fais mon choix. Elle en profite pour des achats personnels, pour allumer son mari.
On rentre, on prend un apéro, on mange, un café, un digestif pour qu'elle soit motivée.
Le sex-shop ouvre à 14h, et il est temps de partir.
A SUIVRE, ou pas, selon encouragements.
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
oui courage on veux savoir la suite du week-end , explique nous comment elle s'est donnée, j'en suis impatient a bientot de te lire et si elle veut ajouter un commentaire c'est mieux
super histoire. j'attends la suite avec impatience. j'imagine bien ma femme à la place
de cette femme
de cette femme
Très bonne histoire, j'ai hâte de lire la suite !!! et j'aimerai rencontrer une femme
comme elle !
comme elle !
très bonne baise, faut être assez vigoureux pour tenir la distance, mais c'est pas mal,
de mon coté je baise une copine devant son mari, il est tout excité et je prends bien
mon pied, va-y continue tant que tu as de la vigueur
de mon coté je baise une copine devant son mari, il est tout excité et je prends bien
mon pied, va-y continue tant que tu as de la vigueur
hum! j'ai hate de voir cette salope dans le sexe shop
curieux de lire la suite...
Joli,vivement la suite.
Je suis impatient de découvrir la suite
vraiment trés bien. bien écrit, facile a lire, exitant....parfait.
manque peut-etre un peu de détails sur les pénétrations.
vivement la suite
merci
manque peut-etre un peu de détails sur les pénétrations.
vivement la suite
merci