Quand la poissonnière a la moule en chaleur
Récit érotique écrit par Norbert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Quand la poissonnière a la moule en chaleur
On entend chaque jour que le coût de la vie devient impossible, aussi avec Jeanne comme beaucoup de Français nous allons dans une grande surface près de chez nous, où nous trouvons tout ce que nous voulons, et même du poisson de première fraîcheur.
C'est donc au rayon poissons que commence cette aventure. Le rayon est tenu, soit par un homme d'une cinquantaine d'années très gentil, soit par une sémillante brunette dont les proportions ne sont pas celles d'un thon, ce qui n'avait pu échapper à mon oeil de cochon en chaleur, ni à celui de Jeanne. En fait elle est grande et mince avec une poitrine et un cul qui augure que si elle sait s'en servir ce doit être une vraie affaire. Nous saurons plus tard qu'elle se prénomme Danièle, Dany pour les amis.
Ce jour donc, il est dix huit heures et nous allons directement au rayon poissons car nous voulons manger des moules frites ce soir et hormis les moules nous avons tout ce qu'il faut.
Avec un air malicieux je demande à Dany si ses moules sont fraîches, et avec un air aussi malicieux elle me répond qu'elles sont du matin et que je peux voir qu'aucune d'elles ne baille,
Ce qui est vrai, mais Jeanne lui dit alors qu'une moule qui baille peut être très comestible, si on la consomme à 37°, il faut dire qu'il y a peu de monde dans le magasin, ce qui nous permet de taquiner la petite.
Dany répond alors à Jeanne qu'elle adore aussi les moules mais qu'étant seule dans un studio et quittant le soir à 19h30 elle ne peut en faire car il faut les faire tremper après les avoir gratté, puis les préparer. J'enchaîne en déclarant qu'en effet la moule est un fruit de mer, qui est simple à cuisiner mais qui doit être propre et bien accommodé.
Je demande à Dany si cela lui ferait plaisir de venir manger les moules avec nous, après un moment de gène elle accepte en disant qu'elle apportera le vin blanc, de plus le lendemain elle est de congés. Nous lui donnons notre adresse, et Dany nous dit qu'elle viendra un peu tard car elle doit rentrer chez elle pour se doucher et se changer. Jeanne lui dit alors qu'elle peut venir directement, la salle de bains sera à sa disposition et Jeanne lui prêtera de quoi se changer. Je sent cette salope de Jeanne venir, et crois deviner quel genre de vêtements elle va prêter.
En rentrant à la maison je demande à Jeanne ce qu'elle à derrière la tête et elle me répond la même chose que toi espèce de salopard. Il est vrai que Dany qui doit avoir une vingtaine d'années est fort appétissante pour des jouisseurs comme nous, de plus elle ne semble pas farouche.
Pendant que je gratte les moules et les mets à tremper, j'envoie Jeanne à la salle de bains, puis préparer des affaires pour la petite, je ne veux pas savoir ce qu'elle va choisir, je lui fais confiance.
Mon imagination commence à gambader pendant que je m'occupe de cet aliment si évocateur. L'une d'elle est ouverte et avant de la jeter, je regarde ces deux lèvres noires qui renferment deux petites lèvres orangées, puis au centre le petit appendice qui me laisse imaginer le clito de Dany que je pourrais peut-être aspirer en lui bouffant la "moule".
Jeanne ayant libéré la SdB je vais prendre ma douche, des images toutes plus lubriques les unes que les autres en tête.
Je finis d'enfiler mon pantalon, lorsque la sonnette retentie, la petite a fait vite.
Vous connaîtrez la suite de cette histoire au goût iodé dans une prochaine parution.
C'est donc au rayon poissons que commence cette aventure. Le rayon est tenu, soit par un homme d'une cinquantaine d'années très gentil, soit par une sémillante brunette dont les proportions ne sont pas celles d'un thon, ce qui n'avait pu échapper à mon oeil de cochon en chaleur, ni à celui de Jeanne. En fait elle est grande et mince avec une poitrine et un cul qui augure que si elle sait s'en servir ce doit être une vraie affaire. Nous saurons plus tard qu'elle se prénomme Danièle, Dany pour les amis.
Ce jour donc, il est dix huit heures et nous allons directement au rayon poissons car nous voulons manger des moules frites ce soir et hormis les moules nous avons tout ce qu'il faut.
Avec un air malicieux je demande à Dany si ses moules sont fraîches, et avec un air aussi malicieux elle me répond qu'elles sont du matin et que je peux voir qu'aucune d'elles ne baille,
Ce qui est vrai, mais Jeanne lui dit alors qu'une moule qui baille peut être très comestible, si on la consomme à 37°, il faut dire qu'il y a peu de monde dans le magasin, ce qui nous permet de taquiner la petite.
Dany répond alors à Jeanne qu'elle adore aussi les moules mais qu'étant seule dans un studio et quittant le soir à 19h30 elle ne peut en faire car il faut les faire tremper après les avoir gratté, puis les préparer. J'enchaîne en déclarant qu'en effet la moule est un fruit de mer, qui est simple à cuisiner mais qui doit être propre et bien accommodé.
Je demande à Dany si cela lui ferait plaisir de venir manger les moules avec nous, après un moment de gène elle accepte en disant qu'elle apportera le vin blanc, de plus le lendemain elle est de congés. Nous lui donnons notre adresse, et Dany nous dit qu'elle viendra un peu tard car elle doit rentrer chez elle pour se doucher et se changer. Jeanne lui dit alors qu'elle peut venir directement, la salle de bains sera à sa disposition et Jeanne lui prêtera de quoi se changer. Je sent cette salope de Jeanne venir, et crois deviner quel genre de vêtements elle va prêter.
En rentrant à la maison je demande à Jeanne ce qu'elle à derrière la tête et elle me répond la même chose que toi espèce de salopard. Il est vrai que Dany qui doit avoir une vingtaine d'années est fort appétissante pour des jouisseurs comme nous, de plus elle ne semble pas farouche.
Pendant que je gratte les moules et les mets à tremper, j'envoie Jeanne à la salle de bains, puis préparer des affaires pour la petite, je ne veux pas savoir ce qu'elle va choisir, je lui fais confiance.
Mon imagination commence à gambader pendant que je m'occupe de cet aliment si évocateur. L'une d'elle est ouverte et avant de la jeter, je regarde ces deux lèvres noires qui renferment deux petites lèvres orangées, puis au centre le petit appendice qui me laisse imaginer le clito de Dany que je pourrais peut-être aspirer en lui bouffant la "moule".
Jeanne ayant libéré la SdB je vais prendre ma douche, des images toutes plus lubriques les unes que les autres en tête.
Je finis d'enfiler mon pantalon, lorsque la sonnette retentie, la petite a fait vite.
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