Quand le plus pervers n’est pas qui l’on croit
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 201 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Quand le plus pervers n’est pas qui l’on croit
"Dialogues Interdits" : une série de mini-nouvelles sans narration, uniquement faite de dialogues. Confessions crues, drôles et surprenantes entre amis...
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### Sulfureux passé ###
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— Je sais qu’on est en train de passer une soirée romantique. Je veux juste que tu saches que… je ne suis pas forcément celle que tu crois. Cette bouche que je viens d’embrasser a déjà accueilli des centaines d’autres langues que la tienne.
— Seulement de langues ?
— Non, évidemment ! Autant de langues que de bites. Bon, je vois que t’en es pas choqué et que tu le prends plutôt avec humour.
— J’adore les filles franches. Comme ça tout est dit, pas de tralala. Puis tu sais de mon côté, j’ai aussi eu d’autres nanas. Pas des centaines, c’est vrai ! Mais si j’avais pu en avoir des centaines, j’imagine que je me serais pas privé.
— Que ça ne nous empêche pas de nous lire des poèmes et de nous dire des petits mots doux.
— Ça va de soit. J’espère que de ce côté il y a soudainement moins de concurrence.
— Beaucoup, beaucoup moins. Les garçons à mots doux, j’ai bien assez de deux mains pour les compter. Et pour le reste, mon passé ne te dérange pas du tout ?
— Au contraire ! D’abord parce que j’ai affaire à une connaisseuse qui doit connaître des tas d’astuces bien cochonnes comme tout… Ensuite parce que c’est un défi : je serai la millième bite dans ta bouche, ta chatte et ton anus, celle qui dépassera toutes les autres en sensations fortes. En tout cas c’est l’objectif que je viens de me donner.
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### Du luxe ! Côté filles ###
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— Il invite souvent des filles au resto et fait toujours son grand prince. Je dis bien : toujours. Tu es prévenue.
— Oui, et… toujours au même restaurant ! Je sais.
— Le principe te gêne ?
— Pas du tout, du moment qu’il me fait pas croire le contraire. Et puis, c’est un trois étoiles. Serveur qui te tire la chaise, trois verres par couvert, plats de création…
— Ce genre de type estime que s’il crame cent euros pour le repas d’une fille, il a bien droit à ce qu’elle lui rende le billet en nature…
— Pas tout à fait. Je connais un peu son quotidien, il me semble que certaines sortent avec lui sans coucher, parfois même sans flirter. Il aime le jeu de séduction.
— Sans espérer plus ?
— Évidemment que si. Un homme reste un homme, on ne saurait lui en vouloir. La différence est qu’il ne force pas la main, si la fille ne cède pas c’est sans rancune. Si l’entente est bonne, il est même prêt à l’inviter de nouveau.
— C’est qu’il met un point d’honneur à dîner avec une fille au moins deux soirs par semaine, dit-on. Et aussi un point d’honneur à ce qu’elle bouffe comme une reine, de l’entrée au dessert. Pour moi, ce fut sans dessert.
— Il a accepté ? Ça ne l’a pas vexé ?
— Je crois que si. Il a beaucoup insisté ! Jusqu’à ce que je lui avoue qu’avec mes habitudes frugales, le moindre dessert en soirée et je ne valais plus rien pour la baise. Soudain, il n’a plus insisté du tout.
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### Quand le plus pervers n’est pas qui l’on croit ###
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— La pire blague de toute ma vie. Le plus gros coup de pute qu’on m’ait jamais fait !
— Tu parles de cette soirée en club libertin ?
— Oui, elle m’a fait un super sale coup. J’ose à peine le dire. Me dire de m’installer pour me sucer, et sans que je le voie elle se fait remplacer par un gros black, sans que je m’en rende compte, et qui me pompe jusqu’au bout. Je m’en suis aperçu qu’à la fin. Je te raconte à toi mais ça restera entre nous, hein ? Franchement, si elle revient pas pour se confondre en excuses…
— Je comprends que tu apprécies pas la blague, si on peut appeler ça une blague. Et quand t’as vu, qu’est-ce que tu as fait ?
— J’ai failli tout casser, finalement je suis parti en beuglant et en tapant un scandale pas possible. Pendant que mon sperme s’écoulait dans la gorge d’un pédé. Beurk…
— Faut pas être homophobe.
— Oh, arrête. Aujourd’hui pour prouver qu’on n’est pas homophobe faut se faire piper par un mec ?
— Je plaisante. En tout cas tu l’as vraiment mal pris.
— Parce que tu l’aurais pris comment toi ? T’aurais éclaté de rire ?
— Moi, c’est différent. Je ne me serais jamais retrouvé dans pareille situation.
— Pourtant tu y vas dans les clubs libertins… Ou alors tu veux dire que t’y serais pas allé avec une nana que tu connais que depuis quelques jours ?
— C’est pas ce que je dis. Je dis que celui qui en reste trop au ressenti pur ne doit pas s’étonner de ce genre d’histoires.
— Au ressenti pur…
— Ben oui, tu t’es laissé mettre un bandeau sur les yeux et puis t’as fait bronzette. Un type dans mon genre adore regarder la fille qui suce. Il lui met les cheveux en arrière pour mieux voir, ou il lui demande de les attacher. Et puis il lui parle, la complimente. Il lui caresse la tignasse, la nuque, le visage, partout où il peut. Si tu savais à quel point la fellation en est meilleure ! T’aurais eu cette sensibilité, ton gros black n’aurait même pas pu approcher.
— Alors tu penses qu’elle a voulu me tester ?
— Oui, chez les libertines dignes de ce nom c’est un test classique. Que tu as échoué… Si tout ce que tu aimes c’est une bouche qui entoure ta bite, après tout pourquoi pas celle d’un gros black ?
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### Sulfureux passé ###
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— Je sais qu’on est en train de passer une soirée romantique. Je veux juste que tu saches que… je ne suis pas forcément celle que tu crois. Cette bouche que je viens d’embrasser a déjà accueilli des centaines d’autres langues que la tienne.
— Seulement de langues ?
— Non, évidemment ! Autant de langues que de bites. Bon, je vois que t’en es pas choqué et que tu le prends plutôt avec humour.
— J’adore les filles franches. Comme ça tout est dit, pas de tralala. Puis tu sais de mon côté, j’ai aussi eu d’autres nanas. Pas des centaines, c’est vrai ! Mais si j’avais pu en avoir des centaines, j’imagine que je me serais pas privé.
— Que ça ne nous empêche pas de nous lire des poèmes et de nous dire des petits mots doux.
— Ça va de soit. J’espère que de ce côté il y a soudainement moins de concurrence.
— Beaucoup, beaucoup moins. Les garçons à mots doux, j’ai bien assez de deux mains pour les compter. Et pour le reste, mon passé ne te dérange pas du tout ?
— Au contraire ! D’abord parce que j’ai affaire à une connaisseuse qui doit connaître des tas d’astuces bien cochonnes comme tout… Ensuite parce que c’est un défi : je serai la millième bite dans ta bouche, ta chatte et ton anus, celle qui dépassera toutes les autres en sensations fortes. En tout cas c’est l’objectif que je viens de me donner.
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### Du luxe ! Côté filles ###
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— Il invite souvent des filles au resto et fait toujours son grand prince. Je dis bien : toujours. Tu es prévenue.
— Oui, et… toujours au même restaurant ! Je sais.
— Le principe te gêne ?
— Pas du tout, du moment qu’il me fait pas croire le contraire. Et puis, c’est un trois étoiles. Serveur qui te tire la chaise, trois verres par couvert, plats de création…
— Ce genre de type estime que s’il crame cent euros pour le repas d’une fille, il a bien droit à ce qu’elle lui rende le billet en nature…
— Pas tout à fait. Je connais un peu son quotidien, il me semble que certaines sortent avec lui sans coucher, parfois même sans flirter. Il aime le jeu de séduction.
— Sans espérer plus ?
— Évidemment que si. Un homme reste un homme, on ne saurait lui en vouloir. La différence est qu’il ne force pas la main, si la fille ne cède pas c’est sans rancune. Si l’entente est bonne, il est même prêt à l’inviter de nouveau.
— C’est qu’il met un point d’honneur à dîner avec une fille au moins deux soirs par semaine, dit-on. Et aussi un point d’honneur à ce qu’elle bouffe comme une reine, de l’entrée au dessert. Pour moi, ce fut sans dessert.
— Il a accepté ? Ça ne l’a pas vexé ?
— Je crois que si. Il a beaucoup insisté ! Jusqu’à ce que je lui avoue qu’avec mes habitudes frugales, le moindre dessert en soirée et je ne valais plus rien pour la baise. Soudain, il n’a plus insisté du tout.
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— La pire blague de toute ma vie. Le plus gros coup de pute qu’on m’ait jamais fait !
— Tu parles de cette soirée en club libertin ?
— Oui, elle m’a fait un super sale coup. J’ose à peine le dire. Me dire de m’installer pour me sucer, et sans que je le voie elle se fait remplacer par un gros black, sans que je m’en rende compte, et qui me pompe jusqu’au bout. Je m’en suis aperçu qu’à la fin. Je te raconte à toi mais ça restera entre nous, hein ? Franchement, si elle revient pas pour se confondre en excuses…
— Je comprends que tu apprécies pas la blague, si on peut appeler ça une blague. Et quand t’as vu, qu’est-ce que tu as fait ?
— J’ai failli tout casser, finalement je suis parti en beuglant et en tapant un scandale pas possible. Pendant que mon sperme s’écoulait dans la gorge d’un pédé. Beurk…
— Faut pas être homophobe.
— Oh, arrête. Aujourd’hui pour prouver qu’on n’est pas homophobe faut se faire piper par un mec ?
— Je plaisante. En tout cas tu l’as vraiment mal pris.
— Parce que tu l’aurais pris comment toi ? T’aurais éclaté de rire ?
— Moi, c’est différent. Je ne me serais jamais retrouvé dans pareille situation.
— Pourtant tu y vas dans les clubs libertins… Ou alors tu veux dire que t’y serais pas allé avec une nana que tu connais que depuis quelques jours ?
— C’est pas ce que je dis. Je dis que celui qui en reste trop au ressenti pur ne doit pas s’étonner de ce genre d’histoires.
— Au ressenti pur…
— Ben oui, tu t’es laissé mettre un bandeau sur les yeux et puis t’as fait bronzette. Un type dans mon genre adore regarder la fille qui suce. Il lui met les cheveux en arrière pour mieux voir, ou il lui demande de les attacher. Et puis il lui parle, la complimente. Il lui caresse la tignasse, la nuque, le visage, partout où il peut. Si tu savais à quel point la fellation en est meilleure ! T’aurais eu cette sensibilité, ton gros black n’aurait même pas pu approcher.
— Alors tu penses qu’elle a voulu me tester ?
— Oui, chez les libertines dignes de ce nom c’est un test classique. Que tu as échoué… Si tout ce que tu aimes c’est une bouche qui entoure ta bite, après tout pourquoi pas celle d’un gros black ?
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