Quand tu couches avec ton coloc parce que les autres sont partis.
Récit érotique écrit par Azerty_bis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Quand tu couches avec ton coloc parce que les autres sont partis.
Travail, Travail. Elle doit travailler dur si elle veut réussir à obtenir ce poste tant convoité de conseillère du ministre. Assise à son bureau, dans sa petite chambre, Emy Ashton révise les nombreuses données qu’elle a assimilé aujourd’hui. Au moins ici, elle a un petit havre de paix, presque jamais dérangée par ses trois autres colocs. Il est déjà tard et elle est seule dans l’appartement. Les autres ne sont pas encore rentrés de leur cours d’architecture mais c’est tant mieux, elle peut mieux se concentrer sur son travail.
Une clé tourne tout à coup dans la serrure. Elle entend quelques pas puis le bruit d’une porte qui se ferme. Un bruit de pas perce dans le couloir puis une main hésitante toque à la porte. Elle lève le nez de son document et invite l’intrus à entrer.
- Oui ?
La porte est poussée et Stéphane Couvrand, le plus mignon de ses colocs par ses yeux bleus, ses beaux cheveux bruns et ses bras musclés, entre timidement dans la chambre, meublée uniquement d’un lit double, d’un bureau et d’un placard. A le voir, son cœur se met à battre plus fort dans sa poitrine.
- Excuse-moi de te déranger, je viens de rentrer, dit-il en s’avançant. Daniel et Cheliff sont partis à Liverpool pour les études, ils nous laissent l’appart.
Il est un peu embarrassé, ne parvenant pas à masquer sa gêne de pénétrer dans cet endroit intime qu’est la chambre de l’unique fille de la coloc.
- Je voulais savoir si tu avais déjà mangé, demande-t-il.
- Oui merci, c’est gentil.
- Eh bien c’est pas grave, je vais me réchauffer un truc.
Et le voilà qui sort, laissant derrière lui l’ombre de sa présence. En le voyant partir le cœur d’Emy se serre un peu. Il est vrai qu’elle le trouve tellement mignon, toujours un peu gêné, hésitant, et il est si beau.
Elle tente de se replonger dans son travail mais ne parvient pas à chasser de sa tête l’image du jeune homme. Aussi elle décide de se lever et d’aller prendre une douche. Elle hôte délicatement ses différents vêtements, faisant voler son tee-shirt et son jean, envoyant son soutien-gorge et sa culotte rejoindre le tas de ses vêtements. Une fois complètement nue, elle se regarde dans le grand miroir de sa chambre. Elle est très fière de son corps, ose se tourner sous tous les angles pour mirer sa peau de pêche, ses belles fesses rondes, ses gros seins dont elle est très fière et le petit carré de poils recouvrant son vagin.
Elle se dirige alors vers la porte qu’elle ouvre sans se soucier du fait que Stéphane la verra peut-être, elle s’en fiche. Elle est très fière de son corps et n’a pas peur de le montrer, surtout si c’est à Steph’. Mais (malheureusement ?), elle ne croise pas Stéphane, celui-ci étant occupé à se faire à manger et franchit seule les quelques mètres séparant sa chambre de la salle de bain. Elle ferme la porte, ne prenant pas la peine de bloquer le verrou et se glisse sous la douche.
L’eau chaude qui ruisselle sur sa peau viens chasser son stress des examens et noyer les cours qui hantent sa tête. Elle laisse ses pensées s’effacer, une seule image hantant son esprit, celle de Stéphane Couvrand, son coloc préféré. Et, sans cesser de penser à lui, elle commence à se toucher le vagin, se procurant une dose de plaisir. Elle imagine Stéphane, ses mains qui lui touchent la poitrine, et effectue les gestes qu’elle adorerait qu’il fasse. Elle se tripote les seins, laisse ses mains courir sur sa peau. Elle insère son doigt dans son utérus, se retenant de jouir de plaisir. Elle se caresse le sexe, laissant sa peau frissonner sous l’action de ses paumes. Elle interrompt finalement ces jouissances et quitte la douche. Saisissant une serviette sur le séchoir, elle en entoure son corps, recouvrant son intimité d’un voile blanc.
Face au miroir, elle commence à se toiletter, elle noue ses beaux cheveux bruns en une demi-queue. Elle commence à se démaquiller lorsqu’une main vient tourner la poignée de la porte. Stéphane fait son entrée dans la salle de bain et découvre Emy, emmaillotée dans sa serviette. Dès qu’il l’aperçoit, ses joues s’empourprent et il veut s’en retourner.
- Désolé, je ne savais pas, bafouille-t-il.
Mais Emy s’avance, le contredisant d’un :
- Ce n’est pas grave, reste, je n’en ai pas pour longtemps.
Stéphane se résigne et referme la porte derrière lui, n’osant pas lever les yeux vers le corps de sa coloc. Celle-ci se tourne vers lui, le forçant à la regarder dans les yeux.
- Dis-moi Stéphane, tu m’as bien dit que les autres étaient partis ?
- Euh, oui.
- Ne penses-tu pas qu’il serait temps de passer aux choses sérieuses ?
Et, d’un geste, elle dénoue sa serviette et tend les bras en croix, se dévoilant tout entier à son chéri. Celui-ci ne sait pas quoi dire, il ne fait pas un geste, il est sidéré devant le corps dénudé de sa coloc. Il est en émoi devant la rondeur de ses seins, qu’il ne pensait pas aussi gros, il n’arrive pas à détourner les yeux de son utérus, contemplant la fente de son vagin.
Emy laisse tomber sa serviette et viens tendrement lui prendre la main, elle le guide jusqu’à sa poitrine et lui fait caresser son sein, tripoter son téton, palper sa poitrine. Puis, dans un éclat de rire, sans lui lâcher la main, elle se met à courir, l’entraîne jusqu’à sa chambre. Elle se précipite à l’intérieur, se blottit sous sa couette.
Stéphane, dégrisé, enlève ses vêtements d’une main tremblante. Caleçon et polo viennent rejoindre soutien-gorge et culotte. Puis, une fois nu, il se blottit sous les draps, laissant leurs corps se câliner. Sous la couette, les deux amants s’enserrent, se frottent, laissant leur peaux se toucher. Stéphane enserre la fille de ses bras, vient la serrer contre son corps, sentant chaque partie du corps féminin se mêler à sa peau nue. Elle se redresse et, de sa main droite lui prend la main et la colle de force sur son vagin, l’obligeant à la caresser, à lui toucher le sexe. A genoux, sa main maintenant celle de l’homme, elle se met à jouir, poussant des cris d’allégresse. Avec sa main gauche elle commence à lui prendre le pénis et le frotte de plus en plus fort, comme si elle voulait en ôter toutes les saletés. Ils se touchent, se palpent, de plus en plus. Lui muet, elle jouissante, poussant des cris de plaisir.
- Oh oui ! Encore, plus fort !
Puis, toute féroce, les cheveux en bataille, elle se place au-dessus de lui et vient entourer de son vagin le sexe de son ami. Elle se laisse pénétrer et une dose inouïe de plaisir la pénètre tout entier. Elle retire son vagin et se laisse glisser sur le dos puis l’attire à elle. Lui est allongé sur son ventre, elle sent ses fesses toucher son vagin, laissant son corps irradier le sien. Puis elle s’éloigne encore, se replace sur lui et se laisse pénétrer. Nouvelle dose de plaisir. Elle se retire et bascule sur le côté, se laissant choir par terre, en-dehors du lit. Les bras passés autour du cou de son chéri, elle l’entraîne à sa suite et ils se retrouvent l’un sur l’autre, sur le parquet de sa chambre, tandis qu’il la pénètre encore. Elle ne s’arrête plus, toute jouissante, criant de plaisir.
- Oui ! Oui ! Vas-y ! Continue !
Il se retire pour mieux l’engouffrer à nouveau, laissant sa bite creuser son vagin. Encore une fois il se retire tandis qu’elle bascule encore, échangeant leurs position. Lui reste allongé à terre, elle s’assied sur son ventre et se met à l’embrasser. Ses lèvres courent sur sa bouche, elle veut tout embrasser, elle baise plusieurs fois ses lèvres puis sa bouche trouve ses oreilles, son nez, son cou. Elle se redresse et se laisse pénétrer encore une fois, prise de plaisir.
- Oh oui ! s’écrie-t-elle.
Elle se retire alors et s’écarte de son corps, peinant à reprendre son souffle. Stéphane se lève, va chercher une cigarette dans sa poche de pantalon et l’allume, assis sur le lit. Elle reste à quatre pattes à ses pieds, complètement essoufflée.
- Alors là, dit Stéphane, peinant à se remettre du choc, alors là.
- T’as vu, c’était génial, hein ?
- Je ne savais pas que t’avais des seins aussi gros.
- Et toi une bite aussi ferme.
Et ils éclatent de rire tous les deux. Elle se relève et commence à se glisser sur son corps, s’asseyant sur ses cuisses, comme pour en redemander. Elle l’embrasse à nouveau. Lui souffle une bouffée de fumée et lui rend son baiser. Il la serre dans ses bras et bascule sous la couette. Elle se blottit sur son torse, cherchant le réconfort de son amant. Une main la serrant à lui, il utilise l’autre pour la recouvrir de la couverture, la laissant prostrée là, goûtant uniquement au corps chaud de l’homme de sa vie. Dans un dernier élan elle se redresse et se fait pénétrer une fois de plus, laissant le plaisir se répandre dans ses veines. Puis elle se met de profil, allongée sur le lit les yeux rivés sur son ami, à qui elle a fait découvrir tout le mystère de la gent féminine. Elle entoure son corps de ses bras, se rapproche de lui jusqu’à ce que ses seins viennent toucher son côté puis elle ferme les yeux. Elle est en bonne compagnie cette nuit.
Une clé tourne tout à coup dans la serrure. Elle entend quelques pas puis le bruit d’une porte qui se ferme. Un bruit de pas perce dans le couloir puis une main hésitante toque à la porte. Elle lève le nez de son document et invite l’intrus à entrer.
- Oui ?
La porte est poussée et Stéphane Couvrand, le plus mignon de ses colocs par ses yeux bleus, ses beaux cheveux bruns et ses bras musclés, entre timidement dans la chambre, meublée uniquement d’un lit double, d’un bureau et d’un placard. A le voir, son cœur se met à battre plus fort dans sa poitrine.
- Excuse-moi de te déranger, je viens de rentrer, dit-il en s’avançant. Daniel et Cheliff sont partis à Liverpool pour les études, ils nous laissent l’appart.
Il est un peu embarrassé, ne parvenant pas à masquer sa gêne de pénétrer dans cet endroit intime qu’est la chambre de l’unique fille de la coloc.
- Je voulais savoir si tu avais déjà mangé, demande-t-il.
- Oui merci, c’est gentil.
- Eh bien c’est pas grave, je vais me réchauffer un truc.
Et le voilà qui sort, laissant derrière lui l’ombre de sa présence. En le voyant partir le cœur d’Emy se serre un peu. Il est vrai qu’elle le trouve tellement mignon, toujours un peu gêné, hésitant, et il est si beau.
Elle tente de se replonger dans son travail mais ne parvient pas à chasser de sa tête l’image du jeune homme. Aussi elle décide de se lever et d’aller prendre une douche. Elle hôte délicatement ses différents vêtements, faisant voler son tee-shirt et son jean, envoyant son soutien-gorge et sa culotte rejoindre le tas de ses vêtements. Une fois complètement nue, elle se regarde dans le grand miroir de sa chambre. Elle est très fière de son corps, ose se tourner sous tous les angles pour mirer sa peau de pêche, ses belles fesses rondes, ses gros seins dont elle est très fière et le petit carré de poils recouvrant son vagin.
Elle se dirige alors vers la porte qu’elle ouvre sans se soucier du fait que Stéphane la verra peut-être, elle s’en fiche. Elle est très fière de son corps et n’a pas peur de le montrer, surtout si c’est à Steph’. Mais (malheureusement ?), elle ne croise pas Stéphane, celui-ci étant occupé à se faire à manger et franchit seule les quelques mètres séparant sa chambre de la salle de bain. Elle ferme la porte, ne prenant pas la peine de bloquer le verrou et se glisse sous la douche.
L’eau chaude qui ruisselle sur sa peau viens chasser son stress des examens et noyer les cours qui hantent sa tête. Elle laisse ses pensées s’effacer, une seule image hantant son esprit, celle de Stéphane Couvrand, son coloc préféré. Et, sans cesser de penser à lui, elle commence à se toucher le vagin, se procurant une dose de plaisir. Elle imagine Stéphane, ses mains qui lui touchent la poitrine, et effectue les gestes qu’elle adorerait qu’il fasse. Elle se tripote les seins, laisse ses mains courir sur sa peau. Elle insère son doigt dans son utérus, se retenant de jouir de plaisir. Elle se caresse le sexe, laissant sa peau frissonner sous l’action de ses paumes. Elle interrompt finalement ces jouissances et quitte la douche. Saisissant une serviette sur le séchoir, elle en entoure son corps, recouvrant son intimité d’un voile blanc.
Face au miroir, elle commence à se toiletter, elle noue ses beaux cheveux bruns en une demi-queue. Elle commence à se démaquiller lorsqu’une main vient tourner la poignée de la porte. Stéphane fait son entrée dans la salle de bain et découvre Emy, emmaillotée dans sa serviette. Dès qu’il l’aperçoit, ses joues s’empourprent et il veut s’en retourner.
- Désolé, je ne savais pas, bafouille-t-il.
Mais Emy s’avance, le contredisant d’un :
- Ce n’est pas grave, reste, je n’en ai pas pour longtemps.
Stéphane se résigne et referme la porte derrière lui, n’osant pas lever les yeux vers le corps de sa coloc. Celle-ci se tourne vers lui, le forçant à la regarder dans les yeux.
- Dis-moi Stéphane, tu m’as bien dit que les autres étaient partis ?
- Euh, oui.
- Ne penses-tu pas qu’il serait temps de passer aux choses sérieuses ?
Et, d’un geste, elle dénoue sa serviette et tend les bras en croix, se dévoilant tout entier à son chéri. Celui-ci ne sait pas quoi dire, il ne fait pas un geste, il est sidéré devant le corps dénudé de sa coloc. Il est en émoi devant la rondeur de ses seins, qu’il ne pensait pas aussi gros, il n’arrive pas à détourner les yeux de son utérus, contemplant la fente de son vagin.
Emy laisse tomber sa serviette et viens tendrement lui prendre la main, elle le guide jusqu’à sa poitrine et lui fait caresser son sein, tripoter son téton, palper sa poitrine. Puis, dans un éclat de rire, sans lui lâcher la main, elle se met à courir, l’entraîne jusqu’à sa chambre. Elle se précipite à l’intérieur, se blottit sous sa couette.
Stéphane, dégrisé, enlève ses vêtements d’une main tremblante. Caleçon et polo viennent rejoindre soutien-gorge et culotte. Puis, une fois nu, il se blottit sous les draps, laissant leurs corps se câliner. Sous la couette, les deux amants s’enserrent, se frottent, laissant leur peaux se toucher. Stéphane enserre la fille de ses bras, vient la serrer contre son corps, sentant chaque partie du corps féminin se mêler à sa peau nue. Elle se redresse et, de sa main droite lui prend la main et la colle de force sur son vagin, l’obligeant à la caresser, à lui toucher le sexe. A genoux, sa main maintenant celle de l’homme, elle se met à jouir, poussant des cris d’allégresse. Avec sa main gauche elle commence à lui prendre le pénis et le frotte de plus en plus fort, comme si elle voulait en ôter toutes les saletés. Ils se touchent, se palpent, de plus en plus. Lui muet, elle jouissante, poussant des cris de plaisir.
- Oh oui ! Encore, plus fort !
Puis, toute féroce, les cheveux en bataille, elle se place au-dessus de lui et vient entourer de son vagin le sexe de son ami. Elle se laisse pénétrer et une dose inouïe de plaisir la pénètre tout entier. Elle retire son vagin et se laisse glisser sur le dos puis l’attire à elle. Lui est allongé sur son ventre, elle sent ses fesses toucher son vagin, laissant son corps irradier le sien. Puis elle s’éloigne encore, se replace sur lui et se laisse pénétrer. Nouvelle dose de plaisir. Elle se retire et bascule sur le côté, se laissant choir par terre, en-dehors du lit. Les bras passés autour du cou de son chéri, elle l’entraîne à sa suite et ils se retrouvent l’un sur l’autre, sur le parquet de sa chambre, tandis qu’il la pénètre encore. Elle ne s’arrête plus, toute jouissante, criant de plaisir.
- Oui ! Oui ! Vas-y ! Continue !
Il se retire pour mieux l’engouffrer à nouveau, laissant sa bite creuser son vagin. Encore une fois il se retire tandis qu’elle bascule encore, échangeant leurs position. Lui reste allongé à terre, elle s’assied sur son ventre et se met à l’embrasser. Ses lèvres courent sur sa bouche, elle veut tout embrasser, elle baise plusieurs fois ses lèvres puis sa bouche trouve ses oreilles, son nez, son cou. Elle se redresse et se laisse pénétrer encore une fois, prise de plaisir.
- Oh oui ! s’écrie-t-elle.
Elle se retire alors et s’écarte de son corps, peinant à reprendre son souffle. Stéphane se lève, va chercher une cigarette dans sa poche de pantalon et l’allume, assis sur le lit. Elle reste à quatre pattes à ses pieds, complètement essoufflée.
- Alors là, dit Stéphane, peinant à se remettre du choc, alors là.
- T’as vu, c’était génial, hein ?
- Je ne savais pas que t’avais des seins aussi gros.
- Et toi une bite aussi ferme.
Et ils éclatent de rire tous les deux. Elle se relève et commence à se glisser sur son corps, s’asseyant sur ses cuisses, comme pour en redemander. Elle l’embrasse à nouveau. Lui souffle une bouffée de fumée et lui rend son baiser. Il la serre dans ses bras et bascule sous la couette. Elle se blottit sur son torse, cherchant le réconfort de son amant. Une main la serrant à lui, il utilise l’autre pour la recouvrir de la couverture, la laissant prostrée là, goûtant uniquement au corps chaud de l’homme de sa vie. Dans un dernier élan elle se redresse et se fait pénétrer une fois de plus, laissant le plaisir se répandre dans ses veines. Puis elle se met de profil, allongée sur le lit les yeux rivés sur son ami, à qui elle a fait découvrir tout le mystère de la gent féminine. Elle entoure son corps de ses bras, se rapproche de lui jusqu’à ce que ses seins viennent toucher son côté puis elle ferme les yeux. Elle est en bonne compagnie cette nuit.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Connaissance en anatomie très relative de l'auteur...
Ça gêne clairement la lecture.
Confond vulve et vagin, vagin et utérus...
Ça gêne clairement la lecture.
Confond vulve et vagin, vagin et utérus...
très bien écris mais visiblement par par une fille : le vagin se situe a l'interieur du corp, comme l'utérus, il n'est donc pas visible directement. de plus, de poil de peuvent pas pousser dessus, les poils pousse sur la vulve...
C'est quoi cette dinguerie! J'ai rarement lu une telle romance. Continue!