Quand une femme est mariée il y a des avantages mais son mari n’est jamais loin

- Par l'auteur HDS Romainro -
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Quand une femme est mariée il y a des avantages mais son mari n’est jamais loin Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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Quand une femme est mariée il y a des avantages mais son mari n’est jamais loin
Le lendemain je me réveille vers 9h00, elle dort encore et je me rappelle qu’elle voulait être en forme pour ce matin alors je descends vers le centre de son corps et je lui donne un coup de langues sur ses lèvres intimes pour finir sur son clito. Je le fais rouler sous ma langue, elle commence à étirer son corps, je repasse ma langue sur ses lèvres et cette fois je compresse son petit bouton avec mes lèvres. Monique passe ses doigts dans mes cheveux alors j’aspire son clito et avec un doigt je lui caresse l’entrée de sa grotte. Ma langue court rejoindre mon doigt et la pénètre avant de remonter sur son berlingot, mais soudain ses mains se crispent sur mes tempes et elle me pousse la tête en me disant: « Arrête, je ne me suis pas laver depuis hier, ça pue la dedans! », je donne un dernier coup de langue avant de lui répondre « J’ai très envie de te bouffer la chatte et tes odeurs ne me dérangent pas au contraire, regarde! » et je lui montre mon sexe qui est raide. Elle me repousse complètement et enchaine: « Saches que pour moi une journée ça commence par un bonjour, une bonne douche et un café! Alors… », elle pose ses lèvres sur les miennes et me dit « Bonjour », va te doucher et on se retrouve au lit pour le petit déjeuner ». Elle se lève et avant de quitter la chambre elle rajoute: « Tu prends un café noir le matin? », j’ai juste le temps de lui répondre positivement qu’elle a déjà quitté la pièce.

Je file dans la salle de bain, je me brosse les dents et je rentre dans la douche qui a abrité nos ébats d’hier. Je me suis déjà laver mais je reste sous le jet pour attendre Monique. Ca doit bien faire 20 minutes que je suis sous l’eau quand elle rentre dans la salle de bain, elle porte un autre peignoir, et me dit: « Mais tu fais quoi? », idiot je lui répond: « Ben, je t’attends! », elle sourit et me dit: « J’ai toujours pas bu mon café alors te connaissant je me suis douché dans une autre salle de bain! Dépêches toi je t’attends», je m’avoue vaincue. Quand je rentre dans la chambre, elle est assise sur le lit entourée de son peignoir et à côté d’elle un plateau avec deux tasses de café, du pain griller, du beurre et de la confiture. Je fais tomber ma serviette et je m’allonge nu à ses côtés, pendant que nous buvons en silence, je lui caresse les jambes. Elle pose sa tasse vide sur le plateau, je pose aussi la mienne et je le mets sous le lit. Je tire sur la ceinture, j’ouvre en grand son peignoir et je me met sur elle pour coller nos deux corps nus. Je l’embrasse à pleine bouche en lui caressant le visage et les cheveux, j’ondule mon corps pour frotter nos deux sexes posés l’un sur l’autre (je ne peux pas parler pour elle mais je me raidi bien!), puis j’embrasse sa joue, son oreille, je descend le long de son cou. Alors que mes lèvres se pose sur un téton ma main attrape son autre sein. J’alterne le sein sur lequel je pose ma bouche et celui qui se fait cajoler par ma main. Puis ma bouche reprend sa descente sur son ventre, j’embrasse et je lèche chaque centimètre de peau jusqu’à ce que mes lèvres soient sur son ticket de métro avant t’atteindre enfin son clito que j’aspire directement dans ma bouche. Quand je relâche la pression c’est au tour de ma langue de s’occuper de lui avant de partir à la rencontre de son abricot que je lèche, embrasse et suce jusqu’à le pénétrer. Je lèche son périnée et je remonte doucement ma langue le long de ses lèvres et je finis ma course sur son son point sensible que j’aspire. Je recommence mais en accélérant le rythme à chaque fois tant et si bien qu’à la fin je lui lape la chatte qui perle déjà. Je pose ma bouche sur sa cuisse gauche et je l’embrasse en descendant vers son pied jusqu’à son talon. Je la fais se mettre sur le ventre et je redémarre depuis son autre talon et remonte, j’insiste sur l’arrière de son genou qui est souvent une zone sensible mais ça n’a pas l’air de lui faire plus d’effet alors je me dépêche d’arriver jusqu’à ses fesses que j’embrasse en cercle concentrique jusqu’à atteindre son oeillet. Je le titille avec ma langue, Monique se cambre pour faire ressortir son cul. Avec mes mains je lui écarte les fesses pour encore mieux lui bouffer le cul, ma langue et mes lèvres se régalent. Le bout de ma langue commence à forcer son petit trou qui se laisse faire et s’ouvre délicatement pour le laisser rentrer. Elle se met à 4 pattes pour me faciliter l’entrée, j’apprécie l’initiative et je fais de plus en plus rentrer ma langue en elle, avec une main je lui masse la moule et le clito, mes doigts sont rapidement trempés. Je suis depuis 10 minutes entre ses fesses avec une main qui s’occupe de son abricot quand elle me dit entre deux gémissements, qui sont de plus en plus fort: « Vas y ouvre moi bien le cul, Romain », je redouble d’effort sur ses deux trous. J’ai la main trempée et la langue qui commence à fatiguer alors je me place derrière elle, lui donne des coups de bite sur ses lèvres, c’est une mare à l’intérieur! Puis je place mon gland à l’entrée de sa grotte et j’y rentre d’un coup sec, j’ai à peine démarrer à la ramoner qu’elle me dit: « Attends, j’ai envie de m’empaler sur ta grosse queue, Romain! », elle n’a pas l’habitude de parler comme ça et pourquoi elle n’arrête pas de dire mon prénom mais j’ai trop envie d’elle pour me poser des questions, je m’allonge sur le dos, Monique m’enjambe en écartant au maximum ses cuisses et commence à plier les genoux. Plus elle descend et plus je vois son abricot s’ouvrir devant moi, elle empoigne ma bite et la place entre ses petites lèvres pour s’empaler tout doucement. Quand son cul est contre mes couilles, elle pose ses mains derrière elle avec les jambes toujours autant écartées, elle fait un petit mouvement d’avant en arrière avant de commencer à monter et descendre ses lèvres intimes le long de ma tige. J’adore voir mon sexe entrer et sortir d’un trou, avec mon pouce je lui malaxe son petit bouton pour lui donner autant de plaisir qu’elle m’en donne. Elle ne gémit plus mais cri son plaisir et hurle « Vas y Romain, j’adore quand tu me défonces la chatte! », comme je ne contrôle que les mouvements sur son clito, j’augmente la vitesse et la pression, ses coups de moules sur ma queue se font plus violent, elle a du mal à parler mais je comprends quand même « Continue plus fort… », je sens son sexe se contracter « C’est trop bon », j’augmente la pression de mon pouce « Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii ».
Ses mouvements ralentissent, elle retire mon pouce et s’assoie sur moi pour se balancer d’avant en arrière un moment avant de me faire sortir et de se placer entre mes jambes en faisant ressortir son cul. Elle empoigne ma queue et me donne des coups de langue uniquement sur le méat mais laisse ma bite recouverte de sa mouille et me dit « Maintenant mon lapin, tu vas me défoncer le cul avec ta grosses queue! ». Je commence vraiment à me poser des questions mais j’ai trop envie de son cul pour ne pas aller au pied du lit, derrière elle. J’écarte à deux mains ses fesses, je pose mon sexe le long de sa raie pour y étaler sa mouille je me branle contre son oeillet puis j’empoigne ma tige et avec mon gland je lui caresse le petit trou encore ouvert par mes coups de langue, quand elle me dit « Vas y! Défonce moi la rondelle! ». J’appuies avec mon gland que je fais rentrer lentement, je m’immobilise un moment et j’enfonce d’un coup sec le reste de ma tige. Je ne lui laisse aucun répit, je lui ramone violemment le cul en la fessant. Elle couine de plus en plus fort et dit « Voilà c’est comme ça que j’aime me faire éclater le cul! », pas besoin de me le dire deux fois, je la défonce de plus en plus fort, à tel point que, des fois, ma bite sort mais je la lui replante immédiatement dans ses entrailles. Je lui baise le cul depuis un moment quand mon sexe sort encore une fois alors avec mes mains je la pousse en avant par les fesses, elle ne bouge pas et me dit sur un ton sec: « Remets la moi! », je lui réponds juste « Patience », je la fait avancer vers le milieu du lit, je monte sur le lit debout derrière elle et je place mes jambes autour des siennes que j’ai serré, je plis les genoux jusqu’à ce que ma queue soit à la hauteur de son cul et je l’enfourche d’un coup sec. Je l’attrape par la taille et la ramone encore plus ardemment que tout à l’heure. Comme son cul et vachement serré dans cette position, c’est divin pour moi mais aussi pour elle qui crie comme je ne l’ai encore jamais entendu. Je lui défonce le cul dans cette position depuis seulement deux minutes que je vois la mousse qui réapparait sur ma bite et son oeillet mais encore plus abondamment qu’hier. Elle essaye de me dire des trucs mais je ne comprends rien. Je suis trop excité je ne contrôle plus rien, je sens du liquide couler le long de sa cuisse. Ses sphincters se contractent autour de mon sexe, elle hurle et je me vide en même temps que je fais mes derniers allers retours dans son cul. Son cul continue de compresser ma tige, je n’ai jamais vu ça. Je sors tout doucement de ses entrailles, une fois dehors je lui écarté bien les fesses, son trou est béant et plein de liquide, dont mon sperme, qui coule de son oeillet qui se contracte et décontracte dans des spasmes violent. Je suis ébloui par ce spectacle quand elle me dit « Tu sais ce que je veux maintenant! », sans lui répondre je viens m’allonger sur le lit, elle m’enjambe et reste à 4 pattes le cul toujours bien cambré, elle empoigne mon sexe qui a bien ramollie et place sa langue sur le haut de mes bourse et remonte doucement sa langue avec une forte pression jusqu’à mon gland en insistant sur mon frein. Puis elle me nettoie le gland et gobe entièrement ma queue. Elle la recrache et dit: « Alain, toi aussi tu sais ce que je veux! ». Intérieurement je me dis qu’elle m’appelle par le prénom de son mari mais non, c’est bien à lui qu’elle parle! Je vois un homme à peut près de ma taille en costume foncé venir vers le lit, sa braguette est ouverte et sa queue tendu est sortie, elle est bien plus petite que la mienne mais tout aussi large, il vient derrière elle rentre dans le cul de sa femme que je viens de défoncer et donc en sa présence! Ma bite est toujours dans la bouche de sa femme quand Alain se repend en moins de 5 minutes dans les entrailles de sa femme.

Je reste un peu con je ne sais pas quoi dire ni quoi faire. Quand Monique abandonne ma queue pour aller nettoyer celle de son mari, je me lève et remarque que le lit et plein de taches, je ramasse ma serviette, j’attrape mon sac et je sors de la chambre pour aller vite me rincer, m’habiller et filer d’ici.

Arrivé chez moi j’ai un message sur mon répondeur, c’est Monique qui veut me rassurer qui me dit que son mari et elle ont trouvé ce moment grandiose et qu’ils aimeraient recommencer. J’étais énervé mais aussi excité. J’ai mis 4 jours à rappeler Monique et nous nous sommes revus plusieurs fois à deux mais aussi à 3 par contre il fallait tout le temps que son mari nous surprennent en train de faire l’amour mais ça c’est une autre histoire…

Les avis des lecteurs

J’ai adoré mais je reste presque sur ma faim vivement la suite

Je me doutais de la chute mais ça n'empêche pas l'excitation .
Je réitère ma petite remarque concernant un peu d'air dans le texte; sinon excellent texte ( crédible, en plus), bon scénario et bien écrit.
Encore!!



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Histoire sexe : Une rose rouge
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