Quand une mère m'offre sa fille, partie 2.
Récit érotique écrit par Clopin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Quand une mère m'offre sa fille, partie 2.
Suite :
Pour ceux qui n’ont pas lu la première partie, je vous conseille vivement de la lire afin de mieux comprendre ce qui suit.
Ainsi quand je suis arrivé chez moi, je suis vite monté à ma chambre. Couché sur le lit, j’étais perdu tellement les évènements m’étaient surréelles. La belle Nadine, sublime avec ses cheveux blonds et sa peau blanche et douce m’avait été offerte. Sa mère s’était arrangée pour que je la surprenne en pleine caresse intime et m’avait même poussé à coucher avec. Mmmm, les images de cette nuit était encore fraiches dans ma mémoire autant que son odeur sur mes doigts. Quelle nuit torride j’avais passée avec elle, cette belle beauté qui c’était offerte totalement à moi, sa petite chatte, ses seins, ses lèvres et même son jolie cul. Je rêvassais doucement à Nadine et je me demandais comment tout cela avait été possible. Tout cela avait été possible grâce à Natalie qui contre toute attente m’avait poussé dans le lit de sa fille et qui au lendemain, m’avait embrassée. Les dernières paroles qu’elle m’avait dites étaient figées dans ma mémoire !
-Si tu as aimé la fille…tu aimeras certainement la mère. Tu m’en dois une, ne l’oublies surtout pas. Bonne journée et à très bientôt.
Quelle femme ! Suite à ces mots, elle m’avait embrassée et avait même osé me caresser l’entre jambe. Par la suite, elle s’était défilée avec son sourire espiègle et m’avait laissé partir sans un mot de plus. Je repassais ces beaux moments dans ma tête, mais bien vite j’ai été rattrapé par la réalité. En moins de deux, j’étais en uniforme de caissier de dépanneur et parti pour le travail.
Malgré mon sourire, je trouvais la journée terriblement longue. Je travaillais sans réfléchir et la seule chose à laquelle je pensais c’était Nadine et sa mère Natalie. Cette charmante Natalie, une femme sublime et vraiment bien conservée. J’osais à peine imaginer tous ce qu’elle pourrait me faire. Si elle avait été capable de s’arrangée pour que je couche avec sa fille, quel autre délice me réservait-elle ? Parfois je me demandais même si tout cela était vraiment arrivé, si ce n’était pas un rêve. Mais la réalité était bien là, et c’était bel et bien arrivé. Il ne me restait qu’une heure à travailler et je recomptais ma caisse quand elle est entrée. La belle petite Nadine était là devant moi. Son regard semblait terriblement timide et son sourire était ravageur. Un tel visage ne mentait pas, je n’avais pas rêvé cette belle nuit passée à ses côtés. Ses joues étaient légèrement rouges et je pouvais même lire un petit malaise quand elle me dit bonjours.
-Bonjours Nadine, j’espère que tu vas bien.
-Oui, oui. Tous va bien et toi ?
-Très bien aussi, je ne pensais pas te revoir aujourd’hui.
-Moi non plus, c’est ma mère qui m’a demandée de faire deux ou trois commissions pour elle. Elle voulait également que je t’invite à souper pour te remercier de venir nous donner un coup de main à la maison durant que mon frère est en voyage.
-C’est très gentil, je serais très heureux de venir, si …ça ne te dérange pas ?
-Je serais bien contente si tu viendrais.
Nadine avait prononcé cette dernière phrase avec un petit sourire qui me fit rougir de la tête aux pieds. Je lui ai toute suite répondu que je viendrais. Elle quitta le dépanneur et quand la porte se referma j’ai poussé un cri de joie terrible ! Depuis le temps que je tripais sur la petite sœur d’Éric, enfin elle voulait me revoir même après notre folle nuit. Qui sait, je passerais peut-être même une seconde nuit avec elle. J’étais heureux comme un fou quand j’ai compris que je venais de me faire prendre. C’était Natalie qui avait organisée se souper. Son baisé, ses avances …si jamais Nadine se rendait compte que sa mère me draguait ou pire, si elle découvrait que sa mère m’avait poussé à coucher avec elle et m’avait en plus embrassée ! Je terminais de compter ma caisse et je me rendais compte combien j’étais dans de beaux draps !
J’ai fini de travaillé, j’ai dit salut à celui qui venait prendre la relève et j’ai filé à mon appartement. J’ai pris une bonne douche, j’ai mis ma plus belle chemise et je suis parti pour me rendre chez Nadine. Sur le chemin je n’osais pas imaginer comment le souper allait se dérouler avec Nadine et sa mère à la même table. Une fois arrivé, c’est Natalie qui ma répondue. Elle portait une camisole noire avec un décolleté plongeant et une jupe très courte. Comme je l’ai déjà dit, Natalie malgré son âge est une femme ravissante. Un beau visage avec quelques taches de rousseurs, des cheveux châtains clair, une poitrine bien généreuse et un corps divin. Elle avait encore sur ses lèvres ce sourire terriblement sexy.
-Allo mon beau, je suis contente que tu sois là.
-J’étais très heureux de l’invitation.
-Mmmm, je crois que tu vas adorer la soirée. On va bien s’amuser, j’ai préparé ce souper avec soins. Tu vas adorer goûter à ma cuisine.
-Heeeeee
J’ignorais quoi dire, son regard et son sourire étaient ceux d’une diablesse. Natalie pris mon manteau et en profita pour venir respirer dans le creux de ma nuque. Je pouvais sentir son souffle dans mon cou et elle complimenta mon parfum au creux de mon oreille. Elle m’invita alors à passer au salon pour boire une coupe de vin. Je me suis installé sur le divan et Natalie est venue me rejoindre, bouteille de rouge à la main et coupes dans l’autre. Elle déposa les coupes sur la table de salon et se pencha devant moi pour y verser le vin. Je pouvais voir sous sa jupe, ses longues jambes fines qui se terminaient sur une paire de fesses à couper le souffle. Natalie c’est doucement redressé et m’a donner ma coupe en souriant. Je lui ai demandé si Nadine était là, mais elle m’a répondu que Nadine viendrait nous retrouver pour le souper un peu plus tard. Son regard félin était plongé sur moi et je me sentais terriblement rougir.
-Mmmm, je suis contente que tu t’intéresses à ma fille. Tu es charmant, poli, bien élevé, bref un bon parti. En plus je vous ai observé hier et mmmm, j’ai vu que tu étais excellent au lit.
-Quoi ! Vous nous avez regardés?
-Du calme, c’est grâce à-moi si tu es arrivé dans son lit. J’ai bien le droit de regarder mon œuvre. J’aime bien voir le résultat de mes petites manigances. Après tout c’est plaisant de savoir que sa fille prend du plaisir avec un bon gars. En plus, je dois avouer que c’était très excitant.
-Heeee, c’est vraiment gênant de savoir que vous nous avez vus.
-Ha, haha, tu n’as pas à être gêné. Je t’ai vu et tu es un très bon amant, doux, respectueux et attentionné. Et tu ne dois pas être gêné avec moi, tu m’as embrassé.
-Heee, non, vous… m’avez embrassée, si je ne me trompe pas.
Sur ses mots, Natalie c’est levé debout. Elle a posé sa coupe et est venue sur moi avec un regard de feu et un sourire de braise. Délicatement, elle s’est assise sur moi en califourchon, ses cuisses de chaque côté des miennes. Sa jupe a remonté sur ses anches à la limite de ses fesses et je pouvais sentir son sexe collé sur le mien. Natalie m’a caressé le visage et m’a embrassé dans le cou puis sur les lèvres. Sa bouche était divine et peu à peu sa langue est venue dansée avec la mienne. J’ai mis mes mains sur ses anches, alors que sa bouche descendait doucement vers mon cou. Ses mains déboutonnaient ma chemise, alors que mes mains timidement montaient vers ses seins. Elle baisa mon torse, son souffle dansait sur ma peau. Sa langue est venue caresser mes mamelons puis elle me mordit légèrement avant de descendre à nouveau. Ses anches se sont tranquillement reculés et j’ai senti ses mains détachés ma ceinture. Je tentais de reprendre mon souffle, elle sorti mon sexe et le pris à pleine main en souriant. Elle licha un peu mes testicules puis passa sa langue sur toute ma verge avant de l’avalé. Sa bouche me suçait avec force et je pouvais sentir sa langue s’agité sur mon sexe. Dans toute cette excitation, Natalie gardait ses yeux rivés sur les miens. Sa bouche allait de bas en haut, ses mains continuait ses divines caresses et de temps à autre elle arrêtait tout, pour simplement me liché le sexe d’un bout à l’autre tout doucement. Jamais je n’avais pris autant de plaisir de cette façon et j’ai tenté de prévenir cette démone que j’allais bientôt jouir, mais elle redoubla de force et de vitesse. J’ai senti mon sperme sortir dans sa bouche. Natalie ferma les yeux et pris soins de tout avalé et licha mon sexe de toute part. Elle poussa un long soupire et se redressa devant moi.
-J’avais pas goûtée à un homme depuis un bout. Donc tu dis que c’est moi qui t’ai embrassé…pourtant tu ne m’as pas arrêté ? Ça marche à deux ces choses-là, je te conseille d’assumer ce que tu fais.
-Oui, je suis désolé. C’est vrai que je suis aussi coupable que vous.
-Ha, haha, ne t’en fait pas. Tu n’es coupable de rien de mal, tu es jeune, célibataire et beau garçon. Tu as bien le droit d’avoir du plaisir avec la mère d’une copine. Tu ne sors pas encore avec ma fille donc tu peux faire ce que tu veux.
-Oui, mais…je ne crois pas qu’elle aimerait.
-Mmmmm, moi je sais ce que ma fille aime. Ce soir tu feras tous ce que je te dis, sinon je lui dis que tu m’as demandé de te sucer dans le salon. C’est clair ?
-J’ai rien demandé, j’ai rien fait pour …
-C’est bien là le problème, tu ne fais rien. Ce soir nous allons corriger ce vilain défaut. Tu feras tous ce que je te dis, sinon ça ira mal pour toi. Tu verras je suis bon diable, tu vas surement aimer…
Elle m’embrassa de nouveau et me dit de me rhabiller. J’avais à peine terminé de reboutonner ma chemise que Nadine entra. Elle accrocha son manteau et est venu me saluer. Nadine portait une simple camisole jaune avec une mini-jupe blanche bien moulante. Elle semblait gêné de me voir, mais j’étais surement encore plus gêné qu’elle vue ce qui venait de se passé avec sa mère. Natalie offrit à boire à Nadine et puis après quelque minutes a parlé de tous et de rien, Natalie nous invita à table. Le souper était délicieux et je tentais tant bien que mal de combattre mon mal aise avec du vin. Bien vite la bouteille fût vide et Natalie demanda à sa fille d’aller chercher une bouteille à la cave et spécifia une bouteille de Bordeaux. Nadine disparu à la cave, me laissant seul avec sa mère. Natalie se leva pris place derrière moi pour me murmurer à l’oreille.
-On vient de finir la dernière bouteille de Bordeaux, il n’y en a plus. Je veux que tu descendes à la cave et tu vas me ramener sa petite culotte.
-Comment ? Vous êtes sérieuse ?
Comme réponse, Natalie pris ma main et la guida sous sa jupe. Mes doigts pouvaient sentir la dentelle de ses sous-vêtements et même l’humidité du tissu. Elle écarta légèrement les jambes et je pu sentir les grande lèvres de sa chatte. Mes doigts s’aventuraient entre ses cuisses, mais elle m’arrêta pour me demander de nouveau de lui ramener la petite culotte de Nadine et elle m’embrassa avant de me dire qu’elle était réellement sérieuse.
Toute suite je suis descendu à la cave. Nadine était là à chercher un peu partout. Il y avait plusieurs étagères et des bouteilles un peu partout, mêlé avec des boites et des toutes sortes conserves. La pauvre cherchait et fût surprise de me voir. Elle me demanda pourquoi j’étais là et j’ignore pourquoi, en guise de réponse je l’ai simplement embrassé sans dire un mot. Nadine semblait figé, elle ne me repoussa pas et bien vite elle me rendit mon baisé. Je l’ai prise dans mes bras et je l’ai doucement fait tournée afin qu’elle soit dos à moi. J’ai embrassé sa nuque et soufflé à son oreille combien je la trouvais belle. J’ai passé une main dans ses cheveux blonds et j’ai doucement caressé ses seins. Sa respiration était lente et profonde. Je prenais un plaisir fou, puis peu à peu mes doigts se sont dirigés vers son ventre. Je continuais de l’embrasser derrière l’oreille, alors que ma main se glissait sous sa petite jupe blanche, l’autre lui palpait un sein. Ses fesses se frottaient sur mon sexe en érection et chaque mouvement de ses hanches m’excitait comme un fou. J’ai alors glissé mes doigts sous son string. Son pubis était lisse, doux et bien rasé. J’ai continué l’aventure jusqu’à ces grandes lèvres. Sa petite chatte rosée était bien humide et je pouvais sentir son clito sous mes doigts. Nadine due se mordre la main afin de retenir ses gémissements. Je l’ai donc caressé doucement et peu à peu j’ai fait descendre sa petite culotte le long de ses jolies cuisses. Comme une plume au vent, la petite bobette rose roula sur ses jambes pour terminer sur le sol. Je continuais à caresser sa chatte et de bien glisser mes doigts sur son clito, qui a chaque contacte lui arrachait des gémissements de plaisir. Finalement Nadine poussa un léger cri et me supplia d’arrêté et que nous devions remonter avant que sa mère se pose des questions. J’ai embrassé Nadine et après je me suis penché pour saisir son string qui trainait à ses pieds. Elle me regarda avec un air coquin et me laissa le précieux bout de tissu. Nadine m’embrassa de nouveau avant de prendre la première bouteille de vin qui lui tomba sous la main. J’ai faufilé le sting dans ma poche et j’ai remonté avec Nadine à la cuisine. Nadine s’excusa et expliqua à sa mère que nous n’avions pas trouvée de bouteille de Bordeaux, ce qui la fit bien rire. Natalie me regarda avec un sourire complice et déboucha la bouteille en riant du temps qu’ils nous avaient fallu.
Durant la fin du repas, j’ai discrètement remis à Natalie le string de sa fille sous la table. Elle l’a pris et m’a adressé un sourire ravis qui me fit rougir de la tête au pied. Malgré tout ce jeu me plaisait terriblement et j’avais bien hâte de voir la suite du jeu. Bientôt toute nos assiettes furent vide et Natalie nous desservie. Elle prit mon assiette et me demanda si j’aimais sa cuisine. Ses yeux étaient si pétillants que je pouvais comprendre le deuxième sens de la question. C’est avec un petit plaisir coupable que je lui ai répondu que j’avais adoré ! Puis Natalie nous proposa de monter à la chambre, pendant qu’elle ferait la vaisselle et que par la suite elle nous rappellerait pour le désert. Toute suite Nadine me regarda avec un regard d’envie et m’encouragea à la suivre. J’étais en train de monter les marches avec elle, quand je voulu redescendre voir Natalie.
-Attend une seconde Nadine, je vais juste demander à ta mère si elle veut de l’aide. Je ne pense pas qu’elle va en vouloir, mais sa serait plus poli.
-D’accord, mais dépêche-toi, c’est fou comment tu m’as allumé tout à l’heure.
-Promis je remonte en vitesse !
Je suis donc retourné à la cuisine, pendant que Nadine remontait à sa chambre. Je voulais savoir ce que Natalie s’attendait de moi. Il était trop évident qu’elle me voulait quelque chose sinon pourquoi nous avoir invité à monter à la chambre. Le prétexte était trop facile pour ne pas être voulu. Quand je suis arrivé dans la cuisine, Natalie me souris et s’approcha de moi avec un sourire ravageur. Elle passa sa main sur mon torse et continua à tourner autour de moi en riant.
-Alors, je vois que tu as aimé mon petit jeu au point d’en redemander.
-J’ai adoré et je sais très bien que vous vous attendez à quelque chose de moi.
-Mmmmm, oui. Je veux que tu remontes voir ma fille et que tu lui bande les yeux. Une fois qu’elle ne verra plus rien, tu t’occupes bien d’elle et tu me laisse vous observer.
-Quoi !?
-Fait pas ton timide, je suis certaine que tu vas bien t’amuser. Allez, vas, elle doit t’attendre !
Comme de fait, je suis remonté à la chambre et là, couché dans son lit. Nadine se caressait en m’attendant. Son sourire était espiègle et elle se mordait les lèvres. Je me suis couché à ses côtés en cherchant du regard quelque chose pour lui couvrir les yeux comme je l’avais promis à Natalie. J’ai alors remarqué un foulard de soie qui trainait sur une commode. J’ai doucement prit le tissue sous le regard interrogateur de Nadine. Je lui ai dit de se retourné et de me laisser faire. Intrigué et follement excité, elle m’a laissé lui bander les yeux. Je me suis bien assuré qu’elle ne voyait rien, puis je l’ai embrassé. J’ai doucement fait mon chemin ver son cou et j’ai alors dévoré de baisé ses jolies petits seins. Ses mamelons étaient rosés et sensible sous mes lèvres qui mordillaient tendrement cette douce chaire. Mes mains glissaient sur ses hanches et ma tête aussi. Je couvrais Nadine de baisé quand sa mère entra discrètement dans la chambre. Elle prit la chaise d’ordinateur tout près du bureau et me fit signe de continuer. J’ai doucement remonté la jupe de Nadine afin de découvrir son sexe bien mouillé. J’ai terriblement excité et en même temps gêné d’être observé. Malgré ma timidité, j’ai continué. Ma langue c’est doucement posé sur le sexe de Nadine. Son souffle s’arrêta, alors que ma langue donnait ses caresses. Une de ses mains se posa sur ma tête et me supplia de continuer. Du coin de l’œil je pouvais voir Natalie qui se caressait en nous regardant. Je lichais avec passion se jolie sexe avec en guise d’encouragement les longs soupires et les gémissements de plaisir de Nadine. Après quelques minutes, Nadine me dit qu’elle voulait sentir ma verge en elle. Tout suite je me suis lever et j’ai retiré mon pantalon. Je me préparais à combler le désir de Nadine quand Natalie est venue me dire à l’oreille :
-Mmmm, j’aimerais que tu lui mange les fesses et que tu l’encule devant moi. Allez, fait le ou je lui enlève son bandeau.
Pris sous la menace je n’avais pas d’autre choix que d’obéir. J’ai pris Nadine par les hanches et je l’ai tournée sur le ventre. Ses jolies fesses étaient devant moi et j’ai commencé à les caresser. Nadine semblait aimée, j’ai doucement embrassé les bas de son dos et j’ai délicatement écarté ses fesses pour lui licher la raie. Elle me dit que c’était bon et me demanda de continuer. Je pouvais clairement voir sa petite rosette bien serrée qui couronnait sa belle fente bien humide. Tous près de moi, la mère de Nadine se caressait sous sa jupe en me regardant faire. Je ne ressentais plus aucune gêne et même au contraire j’étais excité par cette présence espiègle. Natalie me dévorait du regard pendant que je lichais le derrière de sa fille. Après quelques coups de langue sur sa rosette, j’ai remonté le long de sa colonne en embrassant chaque centimètre de peau. Nadine roulait ses hanches sur moi et quand mes baisés arrivèrent à sa nuque je pouvais sentir ses fesses sur ma verge.
-Allez, encule-moi. Je veux te sentir en moi. Tu m’as fait assez attendre.
-Mmmm, avec plaisir.
J’ai alors doucement collé mon gland sur sa rosette bien trempé et j’ai poussé légèrement. L’entré était douce et serré, je pouvais la sentir tout le long de mon sexe. Nadine gémie légèrement, mais me dit de continuer et qu’elle adorait. J’étais à l’extase, je pouvais sentir ma verge bien au chaud et bien serré en elle. Quelle bonheur, peu à peu j’augmentais la cadence dans un plaisir irréel. Nadine m’encourageait à continuer et ronronnait combien c’était bon. Collé près de moi, Natalie me caressa le dos et m’embrassa dans le cou, avant de sortir discrètement de la chambre. Je tentais de reprendre mes esprits, mais Nadine me supplia de continuer et d’y aller plus fort. J’ai donc augmenté la vitesse et sans vraiment y réfléchir j’ai donné une claque sur les fesses de Nadine. Nullement choqué, elle en redemanda en criant combien c’était bon. Après quelques moments j’ai sentie Nadine se cambré de plaisir et j’ai joui avec elle. Je l’ai toute suite embrassé et sans même avoir le temps de reprendre notre souffle, nous avons entendus la mère de Nadine nous appeler pour le désert. Nous nous sommes rhabillés en vitesse et sommes retournés à la cuisine pour la suite de ce souper follement excitant.
Pour ceux qui n’ont pas lu la première partie, je vous conseille vivement de la lire afin de mieux comprendre ce qui suit.
Ainsi quand je suis arrivé chez moi, je suis vite monté à ma chambre. Couché sur le lit, j’étais perdu tellement les évènements m’étaient surréelles. La belle Nadine, sublime avec ses cheveux blonds et sa peau blanche et douce m’avait été offerte. Sa mère s’était arrangée pour que je la surprenne en pleine caresse intime et m’avait même poussé à coucher avec. Mmmm, les images de cette nuit était encore fraiches dans ma mémoire autant que son odeur sur mes doigts. Quelle nuit torride j’avais passée avec elle, cette belle beauté qui c’était offerte totalement à moi, sa petite chatte, ses seins, ses lèvres et même son jolie cul. Je rêvassais doucement à Nadine et je me demandais comment tout cela avait été possible. Tout cela avait été possible grâce à Natalie qui contre toute attente m’avait poussé dans le lit de sa fille et qui au lendemain, m’avait embrassée. Les dernières paroles qu’elle m’avait dites étaient figées dans ma mémoire !
-Si tu as aimé la fille…tu aimeras certainement la mère. Tu m’en dois une, ne l’oublies surtout pas. Bonne journée et à très bientôt.
Quelle femme ! Suite à ces mots, elle m’avait embrassée et avait même osé me caresser l’entre jambe. Par la suite, elle s’était défilée avec son sourire espiègle et m’avait laissé partir sans un mot de plus. Je repassais ces beaux moments dans ma tête, mais bien vite j’ai été rattrapé par la réalité. En moins de deux, j’étais en uniforme de caissier de dépanneur et parti pour le travail.
Malgré mon sourire, je trouvais la journée terriblement longue. Je travaillais sans réfléchir et la seule chose à laquelle je pensais c’était Nadine et sa mère Natalie. Cette charmante Natalie, une femme sublime et vraiment bien conservée. J’osais à peine imaginer tous ce qu’elle pourrait me faire. Si elle avait été capable de s’arrangée pour que je couche avec sa fille, quel autre délice me réservait-elle ? Parfois je me demandais même si tout cela était vraiment arrivé, si ce n’était pas un rêve. Mais la réalité était bien là, et c’était bel et bien arrivé. Il ne me restait qu’une heure à travailler et je recomptais ma caisse quand elle est entrée. La belle petite Nadine était là devant moi. Son regard semblait terriblement timide et son sourire était ravageur. Un tel visage ne mentait pas, je n’avais pas rêvé cette belle nuit passée à ses côtés. Ses joues étaient légèrement rouges et je pouvais même lire un petit malaise quand elle me dit bonjours.
-Bonjours Nadine, j’espère que tu vas bien.
-Oui, oui. Tous va bien et toi ?
-Très bien aussi, je ne pensais pas te revoir aujourd’hui.
-Moi non plus, c’est ma mère qui m’a demandée de faire deux ou trois commissions pour elle. Elle voulait également que je t’invite à souper pour te remercier de venir nous donner un coup de main à la maison durant que mon frère est en voyage.
-C’est très gentil, je serais très heureux de venir, si …ça ne te dérange pas ?
-Je serais bien contente si tu viendrais.
Nadine avait prononcé cette dernière phrase avec un petit sourire qui me fit rougir de la tête aux pieds. Je lui ai toute suite répondu que je viendrais. Elle quitta le dépanneur et quand la porte se referma j’ai poussé un cri de joie terrible ! Depuis le temps que je tripais sur la petite sœur d’Éric, enfin elle voulait me revoir même après notre folle nuit. Qui sait, je passerais peut-être même une seconde nuit avec elle. J’étais heureux comme un fou quand j’ai compris que je venais de me faire prendre. C’était Natalie qui avait organisée se souper. Son baisé, ses avances …si jamais Nadine se rendait compte que sa mère me draguait ou pire, si elle découvrait que sa mère m’avait poussé à coucher avec elle et m’avait en plus embrassée ! Je terminais de compter ma caisse et je me rendais compte combien j’étais dans de beaux draps !
J’ai fini de travaillé, j’ai dit salut à celui qui venait prendre la relève et j’ai filé à mon appartement. J’ai pris une bonne douche, j’ai mis ma plus belle chemise et je suis parti pour me rendre chez Nadine. Sur le chemin je n’osais pas imaginer comment le souper allait se dérouler avec Nadine et sa mère à la même table. Une fois arrivé, c’est Natalie qui ma répondue. Elle portait une camisole noire avec un décolleté plongeant et une jupe très courte. Comme je l’ai déjà dit, Natalie malgré son âge est une femme ravissante. Un beau visage avec quelques taches de rousseurs, des cheveux châtains clair, une poitrine bien généreuse et un corps divin. Elle avait encore sur ses lèvres ce sourire terriblement sexy.
-Allo mon beau, je suis contente que tu sois là.
-J’étais très heureux de l’invitation.
-Mmmm, je crois que tu vas adorer la soirée. On va bien s’amuser, j’ai préparé ce souper avec soins. Tu vas adorer goûter à ma cuisine.
-Heeeeee
J’ignorais quoi dire, son regard et son sourire étaient ceux d’une diablesse. Natalie pris mon manteau et en profita pour venir respirer dans le creux de ma nuque. Je pouvais sentir son souffle dans mon cou et elle complimenta mon parfum au creux de mon oreille. Elle m’invita alors à passer au salon pour boire une coupe de vin. Je me suis installé sur le divan et Natalie est venue me rejoindre, bouteille de rouge à la main et coupes dans l’autre. Elle déposa les coupes sur la table de salon et se pencha devant moi pour y verser le vin. Je pouvais voir sous sa jupe, ses longues jambes fines qui se terminaient sur une paire de fesses à couper le souffle. Natalie c’est doucement redressé et m’a donner ma coupe en souriant. Je lui ai demandé si Nadine était là, mais elle m’a répondu que Nadine viendrait nous retrouver pour le souper un peu plus tard. Son regard félin était plongé sur moi et je me sentais terriblement rougir.
-Mmmm, je suis contente que tu t’intéresses à ma fille. Tu es charmant, poli, bien élevé, bref un bon parti. En plus je vous ai observé hier et mmmm, j’ai vu que tu étais excellent au lit.
-Quoi ! Vous nous avez regardés?
-Du calme, c’est grâce à-moi si tu es arrivé dans son lit. J’ai bien le droit de regarder mon œuvre. J’aime bien voir le résultat de mes petites manigances. Après tout c’est plaisant de savoir que sa fille prend du plaisir avec un bon gars. En plus, je dois avouer que c’était très excitant.
-Heeee, c’est vraiment gênant de savoir que vous nous avez vus.
-Ha, haha, tu n’as pas à être gêné. Je t’ai vu et tu es un très bon amant, doux, respectueux et attentionné. Et tu ne dois pas être gêné avec moi, tu m’as embrassé.
-Heee, non, vous… m’avez embrassée, si je ne me trompe pas.
Sur ses mots, Natalie c’est levé debout. Elle a posé sa coupe et est venue sur moi avec un regard de feu et un sourire de braise. Délicatement, elle s’est assise sur moi en califourchon, ses cuisses de chaque côté des miennes. Sa jupe a remonté sur ses anches à la limite de ses fesses et je pouvais sentir son sexe collé sur le mien. Natalie m’a caressé le visage et m’a embrassé dans le cou puis sur les lèvres. Sa bouche était divine et peu à peu sa langue est venue dansée avec la mienne. J’ai mis mes mains sur ses anches, alors que sa bouche descendait doucement vers mon cou. Ses mains déboutonnaient ma chemise, alors que mes mains timidement montaient vers ses seins. Elle baisa mon torse, son souffle dansait sur ma peau. Sa langue est venue caresser mes mamelons puis elle me mordit légèrement avant de descendre à nouveau. Ses anches se sont tranquillement reculés et j’ai senti ses mains détachés ma ceinture. Je tentais de reprendre mon souffle, elle sorti mon sexe et le pris à pleine main en souriant. Elle licha un peu mes testicules puis passa sa langue sur toute ma verge avant de l’avalé. Sa bouche me suçait avec force et je pouvais sentir sa langue s’agité sur mon sexe. Dans toute cette excitation, Natalie gardait ses yeux rivés sur les miens. Sa bouche allait de bas en haut, ses mains continuait ses divines caresses et de temps à autre elle arrêtait tout, pour simplement me liché le sexe d’un bout à l’autre tout doucement. Jamais je n’avais pris autant de plaisir de cette façon et j’ai tenté de prévenir cette démone que j’allais bientôt jouir, mais elle redoubla de force et de vitesse. J’ai senti mon sperme sortir dans sa bouche. Natalie ferma les yeux et pris soins de tout avalé et licha mon sexe de toute part. Elle poussa un long soupire et se redressa devant moi.
-J’avais pas goûtée à un homme depuis un bout. Donc tu dis que c’est moi qui t’ai embrassé…pourtant tu ne m’as pas arrêté ? Ça marche à deux ces choses-là, je te conseille d’assumer ce que tu fais.
-Oui, je suis désolé. C’est vrai que je suis aussi coupable que vous.
-Ha, haha, ne t’en fait pas. Tu n’es coupable de rien de mal, tu es jeune, célibataire et beau garçon. Tu as bien le droit d’avoir du plaisir avec la mère d’une copine. Tu ne sors pas encore avec ma fille donc tu peux faire ce que tu veux.
-Oui, mais…je ne crois pas qu’elle aimerait.
-Mmmmm, moi je sais ce que ma fille aime. Ce soir tu feras tous ce que je te dis, sinon je lui dis que tu m’as demandé de te sucer dans le salon. C’est clair ?
-J’ai rien demandé, j’ai rien fait pour …
-C’est bien là le problème, tu ne fais rien. Ce soir nous allons corriger ce vilain défaut. Tu feras tous ce que je te dis, sinon ça ira mal pour toi. Tu verras je suis bon diable, tu vas surement aimer…
Elle m’embrassa de nouveau et me dit de me rhabiller. J’avais à peine terminé de reboutonner ma chemise que Nadine entra. Elle accrocha son manteau et est venu me saluer. Nadine portait une simple camisole jaune avec une mini-jupe blanche bien moulante. Elle semblait gêné de me voir, mais j’étais surement encore plus gêné qu’elle vue ce qui venait de se passé avec sa mère. Natalie offrit à boire à Nadine et puis après quelque minutes a parlé de tous et de rien, Natalie nous invita à table. Le souper était délicieux et je tentais tant bien que mal de combattre mon mal aise avec du vin. Bien vite la bouteille fût vide et Natalie demanda à sa fille d’aller chercher une bouteille à la cave et spécifia une bouteille de Bordeaux. Nadine disparu à la cave, me laissant seul avec sa mère. Natalie se leva pris place derrière moi pour me murmurer à l’oreille.
-On vient de finir la dernière bouteille de Bordeaux, il n’y en a plus. Je veux que tu descendes à la cave et tu vas me ramener sa petite culotte.
-Comment ? Vous êtes sérieuse ?
Comme réponse, Natalie pris ma main et la guida sous sa jupe. Mes doigts pouvaient sentir la dentelle de ses sous-vêtements et même l’humidité du tissu. Elle écarta légèrement les jambes et je pu sentir les grande lèvres de sa chatte. Mes doigts s’aventuraient entre ses cuisses, mais elle m’arrêta pour me demander de nouveau de lui ramener la petite culotte de Nadine et elle m’embrassa avant de me dire qu’elle était réellement sérieuse.
Toute suite je suis descendu à la cave. Nadine était là à chercher un peu partout. Il y avait plusieurs étagères et des bouteilles un peu partout, mêlé avec des boites et des toutes sortes conserves. La pauvre cherchait et fût surprise de me voir. Elle me demanda pourquoi j’étais là et j’ignore pourquoi, en guise de réponse je l’ai simplement embrassé sans dire un mot. Nadine semblait figé, elle ne me repoussa pas et bien vite elle me rendit mon baisé. Je l’ai prise dans mes bras et je l’ai doucement fait tournée afin qu’elle soit dos à moi. J’ai embrassé sa nuque et soufflé à son oreille combien je la trouvais belle. J’ai passé une main dans ses cheveux blonds et j’ai doucement caressé ses seins. Sa respiration était lente et profonde. Je prenais un plaisir fou, puis peu à peu mes doigts se sont dirigés vers son ventre. Je continuais de l’embrasser derrière l’oreille, alors que ma main se glissait sous sa petite jupe blanche, l’autre lui palpait un sein. Ses fesses se frottaient sur mon sexe en érection et chaque mouvement de ses hanches m’excitait comme un fou. J’ai alors glissé mes doigts sous son string. Son pubis était lisse, doux et bien rasé. J’ai continué l’aventure jusqu’à ces grandes lèvres. Sa petite chatte rosée était bien humide et je pouvais sentir son clito sous mes doigts. Nadine due se mordre la main afin de retenir ses gémissements. Je l’ai donc caressé doucement et peu à peu j’ai fait descendre sa petite culotte le long de ses jolies cuisses. Comme une plume au vent, la petite bobette rose roula sur ses jambes pour terminer sur le sol. Je continuais à caresser sa chatte et de bien glisser mes doigts sur son clito, qui a chaque contacte lui arrachait des gémissements de plaisir. Finalement Nadine poussa un léger cri et me supplia d’arrêté et que nous devions remonter avant que sa mère se pose des questions. J’ai embrassé Nadine et après je me suis penché pour saisir son string qui trainait à ses pieds. Elle me regarda avec un air coquin et me laissa le précieux bout de tissu. Nadine m’embrassa de nouveau avant de prendre la première bouteille de vin qui lui tomba sous la main. J’ai faufilé le sting dans ma poche et j’ai remonté avec Nadine à la cuisine. Nadine s’excusa et expliqua à sa mère que nous n’avions pas trouvée de bouteille de Bordeaux, ce qui la fit bien rire. Natalie me regarda avec un sourire complice et déboucha la bouteille en riant du temps qu’ils nous avaient fallu.
Durant la fin du repas, j’ai discrètement remis à Natalie le string de sa fille sous la table. Elle l’a pris et m’a adressé un sourire ravis qui me fit rougir de la tête au pied. Malgré tout ce jeu me plaisait terriblement et j’avais bien hâte de voir la suite du jeu. Bientôt toute nos assiettes furent vide et Natalie nous desservie. Elle prit mon assiette et me demanda si j’aimais sa cuisine. Ses yeux étaient si pétillants que je pouvais comprendre le deuxième sens de la question. C’est avec un petit plaisir coupable que je lui ai répondu que j’avais adoré ! Puis Natalie nous proposa de monter à la chambre, pendant qu’elle ferait la vaisselle et que par la suite elle nous rappellerait pour le désert. Toute suite Nadine me regarda avec un regard d’envie et m’encouragea à la suivre. J’étais en train de monter les marches avec elle, quand je voulu redescendre voir Natalie.
-Attend une seconde Nadine, je vais juste demander à ta mère si elle veut de l’aide. Je ne pense pas qu’elle va en vouloir, mais sa serait plus poli.
-D’accord, mais dépêche-toi, c’est fou comment tu m’as allumé tout à l’heure.
-Promis je remonte en vitesse !
Je suis donc retourné à la cuisine, pendant que Nadine remontait à sa chambre. Je voulais savoir ce que Natalie s’attendait de moi. Il était trop évident qu’elle me voulait quelque chose sinon pourquoi nous avoir invité à monter à la chambre. Le prétexte était trop facile pour ne pas être voulu. Quand je suis arrivé dans la cuisine, Natalie me souris et s’approcha de moi avec un sourire ravageur. Elle passa sa main sur mon torse et continua à tourner autour de moi en riant.
-Alors, je vois que tu as aimé mon petit jeu au point d’en redemander.
-J’ai adoré et je sais très bien que vous vous attendez à quelque chose de moi.
-Mmmmm, oui. Je veux que tu remontes voir ma fille et que tu lui bande les yeux. Une fois qu’elle ne verra plus rien, tu t’occupes bien d’elle et tu me laisse vous observer.
-Quoi !?
-Fait pas ton timide, je suis certaine que tu vas bien t’amuser. Allez, vas, elle doit t’attendre !
Comme de fait, je suis remonté à la chambre et là, couché dans son lit. Nadine se caressait en m’attendant. Son sourire était espiègle et elle se mordait les lèvres. Je me suis couché à ses côtés en cherchant du regard quelque chose pour lui couvrir les yeux comme je l’avais promis à Natalie. J’ai alors remarqué un foulard de soie qui trainait sur une commode. J’ai doucement prit le tissue sous le regard interrogateur de Nadine. Je lui ai dit de se retourné et de me laisser faire. Intrigué et follement excité, elle m’a laissé lui bander les yeux. Je me suis bien assuré qu’elle ne voyait rien, puis je l’ai embrassé. J’ai doucement fait mon chemin ver son cou et j’ai alors dévoré de baisé ses jolies petits seins. Ses mamelons étaient rosés et sensible sous mes lèvres qui mordillaient tendrement cette douce chaire. Mes mains glissaient sur ses hanches et ma tête aussi. Je couvrais Nadine de baisé quand sa mère entra discrètement dans la chambre. Elle prit la chaise d’ordinateur tout près du bureau et me fit signe de continuer. J’ai doucement remonté la jupe de Nadine afin de découvrir son sexe bien mouillé. J’ai terriblement excité et en même temps gêné d’être observé. Malgré ma timidité, j’ai continué. Ma langue c’est doucement posé sur le sexe de Nadine. Son souffle s’arrêta, alors que ma langue donnait ses caresses. Une de ses mains se posa sur ma tête et me supplia de continuer. Du coin de l’œil je pouvais voir Natalie qui se caressait en nous regardant. Je lichais avec passion se jolie sexe avec en guise d’encouragement les longs soupires et les gémissements de plaisir de Nadine. Après quelques minutes, Nadine me dit qu’elle voulait sentir ma verge en elle. Tout suite je me suis lever et j’ai retiré mon pantalon. Je me préparais à combler le désir de Nadine quand Natalie est venue me dire à l’oreille :
-Mmmm, j’aimerais que tu lui mange les fesses et que tu l’encule devant moi. Allez, fait le ou je lui enlève son bandeau.
Pris sous la menace je n’avais pas d’autre choix que d’obéir. J’ai pris Nadine par les hanches et je l’ai tournée sur le ventre. Ses jolies fesses étaient devant moi et j’ai commencé à les caresser. Nadine semblait aimée, j’ai doucement embrassé les bas de son dos et j’ai délicatement écarté ses fesses pour lui licher la raie. Elle me dit que c’était bon et me demanda de continuer. Je pouvais clairement voir sa petite rosette bien serrée qui couronnait sa belle fente bien humide. Tous près de moi, la mère de Nadine se caressait sous sa jupe en me regardant faire. Je ne ressentais plus aucune gêne et même au contraire j’étais excité par cette présence espiègle. Natalie me dévorait du regard pendant que je lichais le derrière de sa fille. Après quelques coups de langue sur sa rosette, j’ai remonté le long de sa colonne en embrassant chaque centimètre de peau. Nadine roulait ses hanches sur moi et quand mes baisés arrivèrent à sa nuque je pouvais sentir ses fesses sur ma verge.
-Allez, encule-moi. Je veux te sentir en moi. Tu m’as fait assez attendre.
-Mmmm, avec plaisir.
J’ai alors doucement collé mon gland sur sa rosette bien trempé et j’ai poussé légèrement. L’entré était douce et serré, je pouvais la sentir tout le long de mon sexe. Nadine gémie légèrement, mais me dit de continuer et qu’elle adorait. J’étais à l’extase, je pouvais sentir ma verge bien au chaud et bien serré en elle. Quelle bonheur, peu à peu j’augmentais la cadence dans un plaisir irréel. Nadine m’encourageait à continuer et ronronnait combien c’était bon. Collé près de moi, Natalie me caressa le dos et m’embrassa dans le cou, avant de sortir discrètement de la chambre. Je tentais de reprendre mes esprits, mais Nadine me supplia de continuer et d’y aller plus fort. J’ai donc augmenté la vitesse et sans vraiment y réfléchir j’ai donné une claque sur les fesses de Nadine. Nullement choqué, elle en redemanda en criant combien c’était bon. Après quelques moments j’ai sentie Nadine se cambré de plaisir et j’ai joui avec elle. Je l’ai toute suite embrassé et sans même avoir le temps de reprendre notre souffle, nous avons entendus la mère de Nadine nous appeler pour le désert. Nous nous sommes rhabillés en vitesse et sommes retournés à la cuisine pour la suite de ce souper follement excitant.
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