Quatuor sous un pin
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2012 dans la catégorie Plus on est
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Quatuor sous un pin
La chaleur nous assomme. Nous nous couchons non plus sur la plage, mais sous un grand
pin. Personne n’est en vue ; impeccable, nous allons faire une petite sieste même si
nous restons nus. La fin de l’après midi arrive en nous réveillant. Pierre à son
habitude se réveille en bandant. Il est plutôt bien monté. J’ai envie de la branler,
là sans précaution aucune. J’en, suis excitée. Je reste couchée sur le dos, je prends
sa queue dans ma main pour le masturber. Je le réveille complètement alors il se met à
genoux à mes cotés.
Ma main n’est pas rapide, je veux faire trainer son plaisir le plus possible.
J’aimerai moi aussi jouir : je ne me touche pas, j’attends simplement qu’il jouisse
pour me branler. Je ferme les yeux dans cette attente. Je sens bien sa queue grossir
encore un peu pendant la branlette.
Je sursaute de peur quand je sens une bouche se poser sur ma chatte. Un couple inconnu
est venu nous voir. C’est la tête de la femme qui est sur moi. Je sens de l’autre coté
de Pierre une autre présence : c’est un homme qui tend sa bite aussi belle que celle
de mon époux. Je ne résiste pas à la tentation de le prendre aussi dans l’autre main.
Je le branle comme je pourrais le faire à un copain de toujours.
Je coordonne mes mouvements de va-et-vient pour donner de façon équitable le même
plaisir. Les deux hommes regardent la bite de l’autre que je caresse sans, pour René
s’en plaindre. Kil me connait, il sait que je ne résiste jamais devant une belle bite.
Ce que je ne savais pas c’est que je déguste ce que je reçois de la bouche de cette
femme dont je ne vois que les cheveux blonds. J’aime sa façon de me mordiller le
clitoris, de passer ses doigts dans toute ma fente, particulièrement vers l’anus. Je
fais un léger mouvement de mon ventre : elle comprend vite que je la veux dans le cul.
Elle en fait une variante en entrant un doigt dans le con et un autre dans le cul.
Elle les fait entrer ensemble. Je suis crispée en attendant l’orgasme qui arrive fort
vite. Mes spasmes n’ont pas l’air de la faire cesser, au contraire. Cette fois sa
langue est directement dans le con, dans le cul elle a entré trois doigts. Elle me
fait un peu mal au début. Ensuite je me sens sodomisée normalement, comme avec une
grosse bite, une très grosse bite.
Les hommes doivent se donner le mot : ils jouissent ensemble ou presque : je reçois
une bonne dose de liqueur sur mon corps. Ils se laissent tomber les fesses sur les
talons pour regarder ce que fait mon amante. Elle me fait du bien sans cesse. Je vais
mourir.
Non je ne meurs pas encore, je jouis comme rarement. J’attire la tête vers moi pour
embrasser cette bouche qui m’a donné tant de plaisir. Elle vient sur moi. Cette femme
d’une quarantaine d’années sait bien faire jouir les autres. Nos langues font vite
connaissance. Notre baiser est très long. Si, comme elle le fait une fois elle veut
quitter ma bouche je la retiens par la nuque. Je caresse un peu ses seins qui, ma foi,
pour son âges tiennent bien le coup : ils sont encore durs. Ce qui me parait dur est
son pubis. Elle l’a posé sur le mien, un peu plus bas. Je le sens sur le bouton. Elle
sait bien ce qu’elle veut : me faire jouir ainsi. Je me laisse faire comme une enfant.
Je ne connais qu’une seule chose, l’orgasme qu’elle va me donner.
J’ai l’impression qu’elle est un homme qui me la met, même si elle n’a pas l’organe
nécessaire. J’ai son poids sur mon corps, ses seins à peine un peu plus bas que les
miens, et surtout son bas ventre qui me fait jouir. J’ai entouré ses fesses de mes
jambes. Si nous étions en couples, je ne demanderais jamais une bite tellement c’est
bon.
J’ouvre quand même les yeux ; je vois les deux hommes qui se branlent en me regardant.
C’est beaux deux hommes en face qui se masturbent comme des gamins. Je romps la
symétrie en prenant la queue de Pierre dans la bouche. Je continue la masturbation
commencé par l’autre. Je retrouve enfin le bon gout de la bite qui entre dans mon
ventre si souvent. Elle sent vaguement ma cyprine, un peu l’urine. Bref elle a bon
gout. J’aimerais qu’il jouisse dans ma bouche, que l’autre en fasse autant après que
j’ai pratiqué une fellation sur une bite inconnue encore de ma langue.
Finalement la petite sieste s’est transformée en petite partouze, même si je suis la
cible des trois autres. Je ne m’en plaints pas. Enfin je reçois la semence de mon
époux dans la bouche. Je suis comblée. J’adore son sperme, son jus d’homme. Je ne sais
pas si j’aimerai autant celui qui je branle toujours lentement.
Maintenant que j’ai la bouche libre, je tourne simplement la tête pour sucer le
pistolet tendu de l’autre individu qui sans me prévenir est venu avec une femme pour
profiter de Moi. Ma foi, son gout est agréable même si je trouve un gout de cyprine
moins prononcé que le mien. Il me caresse la tête pendant toute la durée de la
fellation. Ma langue s’entortille autour du gland très doux. Je la laisse s’attarder
un long moment sur le frein. Je l’avale en partie, en faisant une gorge profonde, que
j’aime bien. Il y a longtemps que je n’ai plus de nausées en faisant cette chose
finalement normale.
Je caresse ses couilles un peu plus grosse que celles de Pierre. J’ose même mettre un
doigt dans le cul. Je le fais aller et venir dans le même rythme que ma bouche. Il ne
résiste pas longtemps : il jouit. Je garde précieusement son sperme dans la bouche.
J’ai envie de le partager à celle qui doit être sa femme ou amante, je ne sais pas.
Elle me regardait faire avec des yeux envieux. Je sors à pine le bout de ma langue
plein de sperme. Elle comprend que je le lui réserve. Nos bouches réunies je partage
la semence de son mari. Il en faut peu pour la contenter. C’est l’intention qui
compte.
Elle se retourne pour me donner sa chatte. C’est le premier 69 que je fais avec une
autre fille. Je me trouve étonnée avec une chatte en état de marche à quelques
centimètres de ma bouche. Je fais comme ce qu’elle me fait, je prends son clitoris
dans la couche pour l’aspirer. Je fais connaissance avec son jus un peu sucré.
Finalement ce n’est pas méchant de faire cette chose à une autre fille. J’y prends
gout facilement. Si elle veut je recommence dès ce soir avec elle ou une autre.
Je suis encore surprise quand je vois une bite énorme, vue sa proximité, qui entre
directement dans son cul. Je la reconnais bien, c’est celle de Pierre. Nous avons la
même amante pour le moment. Que c’est bon de voir coulisser cette queue dans le cul.
Ils doivent se régaler, comme moi je le fais avec un con dans ma bouche après avoir
sucé deux bites. Pierre ne résiste pas longtemps : il est remplacé par le mari. Lui
non plus ne résiste pas plus que nous les femmes puisque nous jouissons pratiquement
ensemble.
Nous nous relevons pour échanger un dernier baiser avec la femme et avec son amant.
Ils partent. Nous ne les revoyons qu’au souper que nous faisons ensemble pour finir la
nuit à quatre et les vacances à baiser.
pin. Personne n’est en vue ; impeccable, nous allons faire une petite sieste même si
nous restons nus. La fin de l’après midi arrive en nous réveillant. Pierre à son
habitude se réveille en bandant. Il est plutôt bien monté. J’ai envie de la branler,
là sans précaution aucune. J’en, suis excitée. Je reste couchée sur le dos, je prends
sa queue dans ma main pour le masturber. Je le réveille complètement alors il se met à
genoux à mes cotés.
Ma main n’est pas rapide, je veux faire trainer son plaisir le plus possible.
J’aimerai moi aussi jouir : je ne me touche pas, j’attends simplement qu’il jouisse
pour me branler. Je ferme les yeux dans cette attente. Je sens bien sa queue grossir
encore un peu pendant la branlette.
Je sursaute de peur quand je sens une bouche se poser sur ma chatte. Un couple inconnu
est venu nous voir. C’est la tête de la femme qui est sur moi. Je sens de l’autre coté
de Pierre une autre présence : c’est un homme qui tend sa bite aussi belle que celle
de mon époux. Je ne résiste pas à la tentation de le prendre aussi dans l’autre main.
Je le branle comme je pourrais le faire à un copain de toujours.
Je coordonne mes mouvements de va-et-vient pour donner de façon équitable le même
plaisir. Les deux hommes regardent la bite de l’autre que je caresse sans, pour René
s’en plaindre. Kil me connait, il sait que je ne résiste jamais devant une belle bite.
Ce que je ne savais pas c’est que je déguste ce que je reçois de la bouche de cette
femme dont je ne vois que les cheveux blonds. J’aime sa façon de me mordiller le
clitoris, de passer ses doigts dans toute ma fente, particulièrement vers l’anus. Je
fais un léger mouvement de mon ventre : elle comprend vite que je la veux dans le cul.
Elle en fait une variante en entrant un doigt dans le con et un autre dans le cul.
Elle les fait entrer ensemble. Je suis crispée en attendant l’orgasme qui arrive fort
vite. Mes spasmes n’ont pas l’air de la faire cesser, au contraire. Cette fois sa
langue est directement dans le con, dans le cul elle a entré trois doigts. Elle me
fait un peu mal au début. Ensuite je me sens sodomisée normalement, comme avec une
grosse bite, une très grosse bite.
Les hommes doivent se donner le mot : ils jouissent ensemble ou presque : je reçois
une bonne dose de liqueur sur mon corps. Ils se laissent tomber les fesses sur les
talons pour regarder ce que fait mon amante. Elle me fait du bien sans cesse. Je vais
mourir.
Non je ne meurs pas encore, je jouis comme rarement. J’attire la tête vers moi pour
embrasser cette bouche qui m’a donné tant de plaisir. Elle vient sur moi. Cette femme
d’une quarantaine d’années sait bien faire jouir les autres. Nos langues font vite
connaissance. Notre baiser est très long. Si, comme elle le fait une fois elle veut
quitter ma bouche je la retiens par la nuque. Je caresse un peu ses seins qui, ma foi,
pour son âges tiennent bien le coup : ils sont encore durs. Ce qui me parait dur est
son pubis. Elle l’a posé sur le mien, un peu plus bas. Je le sens sur le bouton. Elle
sait bien ce qu’elle veut : me faire jouir ainsi. Je me laisse faire comme une enfant.
Je ne connais qu’une seule chose, l’orgasme qu’elle va me donner.
J’ai l’impression qu’elle est un homme qui me la met, même si elle n’a pas l’organe
nécessaire. J’ai son poids sur mon corps, ses seins à peine un peu plus bas que les
miens, et surtout son bas ventre qui me fait jouir. J’ai entouré ses fesses de mes
jambes. Si nous étions en couples, je ne demanderais jamais une bite tellement c’est
bon.
J’ouvre quand même les yeux ; je vois les deux hommes qui se branlent en me regardant.
C’est beaux deux hommes en face qui se masturbent comme des gamins. Je romps la
symétrie en prenant la queue de Pierre dans la bouche. Je continue la masturbation
commencé par l’autre. Je retrouve enfin le bon gout de la bite qui entre dans mon
ventre si souvent. Elle sent vaguement ma cyprine, un peu l’urine. Bref elle a bon
gout. J’aimerais qu’il jouisse dans ma bouche, que l’autre en fasse autant après que
j’ai pratiqué une fellation sur une bite inconnue encore de ma langue.
Finalement la petite sieste s’est transformée en petite partouze, même si je suis la
cible des trois autres. Je ne m’en plaints pas. Enfin je reçois la semence de mon
époux dans la bouche. Je suis comblée. J’adore son sperme, son jus d’homme. Je ne sais
pas si j’aimerai autant celui qui je branle toujours lentement.
Maintenant que j’ai la bouche libre, je tourne simplement la tête pour sucer le
pistolet tendu de l’autre individu qui sans me prévenir est venu avec une femme pour
profiter de Moi. Ma foi, son gout est agréable même si je trouve un gout de cyprine
moins prononcé que le mien. Il me caresse la tête pendant toute la durée de la
fellation. Ma langue s’entortille autour du gland très doux. Je la laisse s’attarder
un long moment sur le frein. Je l’avale en partie, en faisant une gorge profonde, que
j’aime bien. Il y a longtemps que je n’ai plus de nausées en faisant cette chose
finalement normale.
Je caresse ses couilles un peu plus grosse que celles de Pierre. J’ose même mettre un
doigt dans le cul. Je le fais aller et venir dans le même rythme que ma bouche. Il ne
résiste pas longtemps : il jouit. Je garde précieusement son sperme dans la bouche.
J’ai envie de le partager à celle qui doit être sa femme ou amante, je ne sais pas.
Elle me regardait faire avec des yeux envieux. Je sors à pine le bout de ma langue
plein de sperme. Elle comprend que je le lui réserve. Nos bouches réunies je partage
la semence de son mari. Il en faut peu pour la contenter. C’est l’intention qui
compte.
Elle se retourne pour me donner sa chatte. C’est le premier 69 que je fais avec une
autre fille. Je me trouve étonnée avec une chatte en état de marche à quelques
centimètres de ma bouche. Je fais comme ce qu’elle me fait, je prends son clitoris
dans la couche pour l’aspirer. Je fais connaissance avec son jus un peu sucré.
Finalement ce n’est pas méchant de faire cette chose à une autre fille. J’y prends
gout facilement. Si elle veut je recommence dès ce soir avec elle ou une autre.
Je suis encore surprise quand je vois une bite énorme, vue sa proximité, qui entre
directement dans son cul. Je la reconnais bien, c’est celle de Pierre. Nous avons la
même amante pour le moment. Que c’est bon de voir coulisser cette queue dans le cul.
Ils doivent se régaler, comme moi je le fais avec un con dans ma bouche après avoir
sucé deux bites. Pierre ne résiste pas longtemps : il est remplacé par le mari. Lui
non plus ne résiste pas plus que nous les femmes puisque nous jouissons pratiquement
ensemble.
Nous nous relevons pour échanger un dernier baiser avec la femme et avec son amant.
Ils partent. Nous ne les revoyons qu’au souper que nous faisons ensemble pour finir la
nuit à quatre et les vacances à baiser.
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