Que du plaisir...
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Que du plaisir...
Le hasard fait que je croise mon beau-père et très vite ce dernier me demande si je pouvais lui rendre un service.
-Si c’est dans ma possibilité oui…
-J’aimerais que tu te rends chez ma femme lui dire que je suis de service ce soir.
-Vous êtes réquisitionné ?
-Non, c’est seulement que j’ai prévu une petite fiesta avec des collègues et il serait bien que ta belle-mère ne soit pas au courante, si tu vois ce que je veux te dire.
-Parfaitement. Bien je passe l’avertir.
-Merci… et surtout cela reste entre-nous bien entendu !
Quelques kilomètres plus loin, à peine entrée dans la maison de mes beaux-parents, ma belle mère fait son apparition.
-Tiens-toi là, que me vaut cette merveilleuse surprise.
-C’est pour t’annoncer que ton mari n’est pas près d’entrée.
-Ah oui !
-Le boulot !
-Mais c’est tout bon ça ! Me fait-elle en allant jusqu’à la porte d’entrée pour la verrouiller.
Ceci fait, la voilà qu’elle fait passée son tee-shirt par-dessus sa tête. Dessous elle porte un soutien-gorge rouge et rose en broderie. Doucement elle sort les seins des bonnets, les presse, les malaxe, caresse les bouts.
-Cela tombe bien je suis en manque en ce moment. Mon cher gendre me néglige !
-Tu es toujours en manque sale cochonne !
Elle attire ma nuque et me presse le visage contre ses seins.
-Vas-y, régale-toi mon gendre !
Elle me frotte le visage contre ses nichons. La chair m’englobe, m’étouffe, chaudement. J’essaye de happer les bouts, de les sucer, mais elle ne m’en laisse pas le loisir.
Puisqu’elle remonte sournoisement la jupe sur ses grosses cuisses pâles gainées de nylon couleur chair. Très vite attisé par ce qu’elle m’exhibe, je lui caresse l’intérieur des cuisses soyeux par le nylon. Mes doigts cherchent l’ouverture dans l’empiècement du collant et de la culotte, se glissent dessous, tirent sur les poils abondant de la chatte de ma belle-mère. Elle gémit bizarrement. J’enfonce mes doigts, les ressorts pour les porter à mes narines.
-Ça sent la cochonne pas propre !
Loin de me refouler, j’y retourne. Je glisse mes doigts à nouveau sous les élastiques, enfourne plusieurs doigts réunis dans le con ouvert, et mord la bouche de la belle-doche. La chaleur lui monte au visage.
Je branle le con de belle-maman avec gourmandise. Elle se déhanche, assez pour que sa chatte s’ouvre au maximum au-devant de mes doigts. Je glisse mon autre main côté pile. Dans la raie des fesses et lui flèche l’anus avec l’index. C’est tout mou, presque pas de résistance. J’encule belle-maman avec le doigt, et je la baise avec trois autres. Le faisant aller et venir, l’enfonçant au plus profond. La cochonne ne peut que gémir, prise comme elle est, par les deux orifices.
Loin d’être à mon aise, je suspends mon branlage pour dénuder son bas-ventre. Maintenant c’est contre ses chairs ouvertes et odorantes que je presse mon visage.
-Bouffe ! Se lâche-t-elle.
-Salope, t’aime que je te bouffe la chatte !
-Tu aimes bouffer la chatte de la mère de ta femme, hein ?
L’ordre claque comme une lanière. Je sors ma langue, lèche, puis mastique les bourrelets des grandes lèvres.
-Oui, comme cela… avec la langue… c’est divin…
Qui pourrait croire que sous tes airs de femme respectable, se cache une femme délurée…
-Dis-le que tu aimes ça, salope !
-Oh putain que j’aime la langue de mon gendre, c’est la meilleure…Lâche-t-elle en ondulant des hanches comme si elle voulait que mon visage s’imprime dans sa chatte.
-Oh, chéri, ajoute-elle, c’est bon… Ne t’arrête pas… Je te sens bien… Je t’aime… Oui, plus fort… Je viens…
Je crois voir une lueur inhabituelle dans son regard. Avec délicatesse, je frotte mon menton contre sa vulve tandis que mes lèvres happent son bourgeon très dur. Son corps ondule. Son ventre s’anime d’une houle. Ses mains, malaxent sa poitrine. Mon menton gluant de mouille s’enchâsse entre ses lèvres, ouvrant largement sa vulve. Absolument divin, je sens sa cyprine s’écouler jusque dans mon cou. Pour sa part, elle se laisse emporter par un orgasme si violent qu’elle hurle.
Une fois avoir repris ses esprits, elle me supplie de la prendre, qu’elle en a envie. Je fais tomber mon pantalon et mon slip à mes chevilles et colle mon ventre au sien, frotte mon sexe contre sa fente bien mouillée. Elle gémit, et se tend. Elle prend ma verge en main, et présente le gland à l’entrée du vagin.
-Enfonce-toi !
Mon sexe commence à pénétré dans la douce et chaude enveloppe. Elle donne un coup de ventre vers moi. S’empalant ainsi, complètement à ma barre de chair. Je place ses jambes vers le haut, de telle sorte qu’elles s’appuient à mes épaules, et que je puisse lécher ses pieds. Elle en raffole !
Je plante mon regard dans le sien. Et alors que je la baise à fond, une idée folle me passe dans la tête. Et pour ça, je me saisis du portable dans la poche de mon pantalon.
-Qu’est-ce que tu fais ? S’inquiète belle-maman.
-Il faut que je prévienne ta fille.
-Cela ne peut pas attendre un instant ?
-Non, et cela tombe bien, j’ai envie de jouer, fais-je en faisant le numéro.
Tout en attendant la communication, j’imprime à mes coups de reins une amplitude de plus en plus grande, et un rythme de plus en plus rapide.
-Allô ! Fait la voix que je reconnais étant celle de ma femme dans l’appareil.
-C’est moi, je vais avoir un petit retard…
- Oh non ! me fait-elle. Tu ne vas pas me dire que… non… sale con, rentre-vite à la maison j’ai besoin de ta queue…
-Je finis là et j’arrive…
-Je suis certaine que tu es en train de baiser…
-Tu ne crois pas si bien dire…
-Alors baise-la vite et rentre…
Sitôt raccrocher, ma belle-mère me demande si je ne suis pas tombé sur la tête.
-Qu’est-ce qui t’a pris ?
Pout toute réponse je lui envoie une grande série de coups de reins. Elle répond à chaque coup par un gémissement, ponctuant ainsi mes mouvements de plus en plus violents. Puis elle crie, se tendant, les yeux dans les miens. Mon orgasme suit le sien presque immédiatement, et je répands ma semence dans son fourreau brûlant.
Je me dégage ensuite, lentement, alors qu’elle reste en position.
-Pourquoi cette folie d’appeler ma fille.
-Je suis sûr que cela t’a plu ?
Cela la fait sourire. Quelques poils bruns déjà humides de sa mouille entourent la rondelle bistre de son anus plissé.
-Encule-moi Alain, défonce-moi, rentre-moi ta queue dans mon cul. Je veux de sentir dedans, je vais te salir la queue. Viens ! Viens, salaud ! Viens me bourrer le cul !
-Mais ta fille m’attend…
-Rien à foutre !
Je ne peux plus tenir. Je colle alors ma queue encore raide contre l’anus poilu et force l’entrée. Le sexe peine un instant, puis d’un seul coup je fais avaler. Belle-maman déchainée, bouge les fesses. Malgré ma première éjaculation je n’ai pas mis longtemps à gicler mon foutre dans son cul. Je me retire une fois encore, sous le regard de belle-maman. Elle me sourit, et tente pas sans mal de se redresser. Je l’aide. Elle se colle à moi et me donne un long baiser sur la bouche.
-Tu pus la chatte. Tu devrais mieux te nettoyer la figure avant de rejoindre ma fille !
-Je le ferais chez moi !
Cela fait rire ma belle-mère.
Sitôt arrivé chez moi ma femme m’attendait dans le salon en petite tenue.
-Eh bien tu en as mis du temps ! J’espère que ça valait le coup !
-Elle était trop bonne ! Elle a insisté pour que je l’encule ! C’est le pourquoi de mon retard.
Elle m’attrape par le cou et m’attire à elle. Là elle colle ses lèvres aux miennes.
-Waouh ! Mais elle ne se lave pas la chatte, ta copine ?
Pour toute réponse, je masse les aréoles d’un rose très clair de ses seins. Elle se saisit de ma queue entre ses doigts, elle la tripote, puis elle la décalotte. Ma femme aime par-dessus, la bite. Elle fixe la mienne de tout près, suivant du doigt le dessin des veines.
-Ta queue est encore dure. J’oublierais ta trahison si tu me baises bien !
Elle introduit elle-même ma queue dans ses chairs toute molles de son sexe. Elle maintient mon organe par la racine, le faisant entrer et sortir. Elle se masturbe avec, de plus en plus fort, de plus en plus vite. En même temps, elle me palpe les couilles. Je sens la paroi souple de sa gaine se mouler autour de mon gland, s’écarter, revenir en se pressant pendant que la mouille coule en abondance.
Comme l’est sa mère, ma femme question sexe est survoltée. Je passe mes mains sous ses fesses, lisses et très compactes. Je les presse à lui faire mal. Puis les écarte. Je sens son anus tout chaud sous mes doigts. Elle piaille d’une voix suraiguë.
-C’est ça écartèle-moi, salaud !
Elle halète sous mes coups de boutoirs. J’éjacule pourtant en fortes giclées dans son vagin, lequel agit, comme une véritable pompe aspirante.
Après être passé sous la case douche, avec ma femme nous nous sommes posé autour d’un verre.
-Ça été ton stage ? Lui fais-je.
-Oui, comme à l’accoutumé. A par que Sylvie (sa collègue qui est en stage elle-aussi) !
Et là ma femme se met à rire.
-Qu’est-ce que tu as ?
-Il lui est arrivé une sacré aventure ce matin.
-Vas-y, je t’écoute…
-T’inquiète, j’ai bien l’intention de le faire. Ce matin comme d’habitude nous prenons elle et moi ensemble le métro. La rame décolle et le wagon est secoué, compressées par la foule moi et Sylvie nous nous tenons debout côte à côte. Au bout d’un certain temps voilà que Sylvie penche sa tête vers moi avec un drôle d’air. Ses traits sont figés, ses yeux vides paraissent ne rien voir. Ses joues et son front rosi. Le sourire qu’elle tente de former ressemble à un rictus. Je commence à m’inquiéter. Il est clair qu’elle n’est pas bien ! Élevant la voix pour dominer le vacarme, je lui propose de descendre à la prochaine station. Mais voilà que Sylvie me lance un regard d’impuissance.
-Je ne peux pas… me lâche-t-elle.
Tout de suite, elle lâche un petit cri en se penchant brutalement en avant. C’est alors que je remarque un type derrière elle. Il est plaqué contre le dos de Sylvie. Cette dernière a la bouche ouverte, en chancelant dans la grappe humaine ballotée par les cahots de la rame. Les deux corps sont à l’unisson. Je commence alors à comprendre. Dans un sourire d’extase, Sylvie me fait savoir que tout va bien.
-Qu’est-ce qu’il te fait ?
-Que du bien !
-Tu veux que j’appel de l’aide ?
-Oh non, ça ne va pas… Je suis aux anges !
J’assiste alors à l’agitation du bassin de Sylvie, elle se mort la main. Puis le type pousse un grognement que je pense être la seule à l’entendre. Sylvie répond par une série de râles étouffés. Le reste du trajet se poursuit dans le calme. Le type se faufile entre la foule. J’ai attendu d’être sur le quai pour la questionner. Et là elle me sort qu’elle en a prit plein la chatte. Elle qui avait prévu une soirée de jeune fille a été servi et cela nous a fait bien rire.
-Et toi dans tout ça ?
-A ton avis ?
Je me lève, me saisis de sa culotte toujours sur le carrelage de la cuisine. La petite lingerie était riche d’enseignement.
-Tu es sûr que ce n’est pas toi qui à pris le coup de bite ?
-Eh bien sache que je n’aurais pas était contre.
-Salope, tu es bien comme ta…
-Ta quoi ?
-Collègue…enfin !
Une fois dans le lit ma femme remet ça.
-Mais dis-moi tu es jalouse.
-Un peu, oui !
-Un peu beaucoup, oui !
-Je l’admets !
-Et bien tu sais ce que te reste à faire demain.
-Tu plaisantes là…
-Pas du tout.
-Alors comme ça tu t’en fou ?
-C’est bien ce que nous faisons ces derniers temps, non, je me trompe ?
-Ce qui permet de faire durée notre couple je te rappelle.
-Parfaitement !
Il a fallu attendre quelques jours avant que ma femme me revienne sourire aux lèvres.
-C’est fait ?
-C’est fait !
-Si c’est dans ma possibilité oui…
-J’aimerais que tu te rends chez ma femme lui dire que je suis de service ce soir.
-Vous êtes réquisitionné ?
-Non, c’est seulement que j’ai prévu une petite fiesta avec des collègues et il serait bien que ta belle-mère ne soit pas au courante, si tu vois ce que je veux te dire.
-Parfaitement. Bien je passe l’avertir.
-Merci… et surtout cela reste entre-nous bien entendu !
Quelques kilomètres plus loin, à peine entrée dans la maison de mes beaux-parents, ma belle mère fait son apparition.
-Tiens-toi là, que me vaut cette merveilleuse surprise.
-C’est pour t’annoncer que ton mari n’est pas près d’entrée.
-Ah oui !
-Le boulot !
-Mais c’est tout bon ça ! Me fait-elle en allant jusqu’à la porte d’entrée pour la verrouiller.
Ceci fait, la voilà qu’elle fait passée son tee-shirt par-dessus sa tête. Dessous elle porte un soutien-gorge rouge et rose en broderie. Doucement elle sort les seins des bonnets, les presse, les malaxe, caresse les bouts.
-Cela tombe bien je suis en manque en ce moment. Mon cher gendre me néglige !
-Tu es toujours en manque sale cochonne !
Elle attire ma nuque et me presse le visage contre ses seins.
-Vas-y, régale-toi mon gendre !
Elle me frotte le visage contre ses nichons. La chair m’englobe, m’étouffe, chaudement. J’essaye de happer les bouts, de les sucer, mais elle ne m’en laisse pas le loisir.
Puisqu’elle remonte sournoisement la jupe sur ses grosses cuisses pâles gainées de nylon couleur chair. Très vite attisé par ce qu’elle m’exhibe, je lui caresse l’intérieur des cuisses soyeux par le nylon. Mes doigts cherchent l’ouverture dans l’empiècement du collant et de la culotte, se glissent dessous, tirent sur les poils abondant de la chatte de ma belle-mère. Elle gémit bizarrement. J’enfonce mes doigts, les ressorts pour les porter à mes narines.
-Ça sent la cochonne pas propre !
Loin de me refouler, j’y retourne. Je glisse mes doigts à nouveau sous les élastiques, enfourne plusieurs doigts réunis dans le con ouvert, et mord la bouche de la belle-doche. La chaleur lui monte au visage.
Je branle le con de belle-maman avec gourmandise. Elle se déhanche, assez pour que sa chatte s’ouvre au maximum au-devant de mes doigts. Je glisse mon autre main côté pile. Dans la raie des fesses et lui flèche l’anus avec l’index. C’est tout mou, presque pas de résistance. J’encule belle-maman avec le doigt, et je la baise avec trois autres. Le faisant aller et venir, l’enfonçant au plus profond. La cochonne ne peut que gémir, prise comme elle est, par les deux orifices.
Loin d’être à mon aise, je suspends mon branlage pour dénuder son bas-ventre. Maintenant c’est contre ses chairs ouvertes et odorantes que je presse mon visage.
-Bouffe ! Se lâche-t-elle.
-Salope, t’aime que je te bouffe la chatte !
-Tu aimes bouffer la chatte de la mère de ta femme, hein ?
L’ordre claque comme une lanière. Je sors ma langue, lèche, puis mastique les bourrelets des grandes lèvres.
-Oui, comme cela… avec la langue… c’est divin…
Qui pourrait croire que sous tes airs de femme respectable, se cache une femme délurée…
-Dis-le que tu aimes ça, salope !
-Oh putain que j’aime la langue de mon gendre, c’est la meilleure…Lâche-t-elle en ondulant des hanches comme si elle voulait que mon visage s’imprime dans sa chatte.
-Oh, chéri, ajoute-elle, c’est bon… Ne t’arrête pas… Je te sens bien… Je t’aime… Oui, plus fort… Je viens…
Je crois voir une lueur inhabituelle dans son regard. Avec délicatesse, je frotte mon menton contre sa vulve tandis que mes lèvres happent son bourgeon très dur. Son corps ondule. Son ventre s’anime d’une houle. Ses mains, malaxent sa poitrine. Mon menton gluant de mouille s’enchâsse entre ses lèvres, ouvrant largement sa vulve. Absolument divin, je sens sa cyprine s’écouler jusque dans mon cou. Pour sa part, elle se laisse emporter par un orgasme si violent qu’elle hurle.
Une fois avoir repris ses esprits, elle me supplie de la prendre, qu’elle en a envie. Je fais tomber mon pantalon et mon slip à mes chevilles et colle mon ventre au sien, frotte mon sexe contre sa fente bien mouillée. Elle gémit, et se tend. Elle prend ma verge en main, et présente le gland à l’entrée du vagin.
-Enfonce-toi !
Mon sexe commence à pénétré dans la douce et chaude enveloppe. Elle donne un coup de ventre vers moi. S’empalant ainsi, complètement à ma barre de chair. Je place ses jambes vers le haut, de telle sorte qu’elles s’appuient à mes épaules, et que je puisse lécher ses pieds. Elle en raffole !
Je plante mon regard dans le sien. Et alors que je la baise à fond, une idée folle me passe dans la tête. Et pour ça, je me saisis du portable dans la poche de mon pantalon.
-Qu’est-ce que tu fais ? S’inquiète belle-maman.
-Il faut que je prévienne ta fille.
-Cela ne peut pas attendre un instant ?
-Non, et cela tombe bien, j’ai envie de jouer, fais-je en faisant le numéro.
Tout en attendant la communication, j’imprime à mes coups de reins une amplitude de plus en plus grande, et un rythme de plus en plus rapide.
-Allô ! Fait la voix que je reconnais étant celle de ma femme dans l’appareil.
-C’est moi, je vais avoir un petit retard…
- Oh non ! me fait-elle. Tu ne vas pas me dire que… non… sale con, rentre-vite à la maison j’ai besoin de ta queue…
-Je finis là et j’arrive…
-Je suis certaine que tu es en train de baiser…
-Tu ne crois pas si bien dire…
-Alors baise-la vite et rentre…
Sitôt raccrocher, ma belle-mère me demande si je ne suis pas tombé sur la tête.
-Qu’est-ce qui t’a pris ?
Pout toute réponse je lui envoie une grande série de coups de reins. Elle répond à chaque coup par un gémissement, ponctuant ainsi mes mouvements de plus en plus violents. Puis elle crie, se tendant, les yeux dans les miens. Mon orgasme suit le sien presque immédiatement, et je répands ma semence dans son fourreau brûlant.
Je me dégage ensuite, lentement, alors qu’elle reste en position.
-Pourquoi cette folie d’appeler ma fille.
-Je suis sûr que cela t’a plu ?
Cela la fait sourire. Quelques poils bruns déjà humides de sa mouille entourent la rondelle bistre de son anus plissé.
-Encule-moi Alain, défonce-moi, rentre-moi ta queue dans mon cul. Je veux de sentir dedans, je vais te salir la queue. Viens ! Viens, salaud ! Viens me bourrer le cul !
-Mais ta fille m’attend…
-Rien à foutre !
Je ne peux plus tenir. Je colle alors ma queue encore raide contre l’anus poilu et force l’entrée. Le sexe peine un instant, puis d’un seul coup je fais avaler. Belle-maman déchainée, bouge les fesses. Malgré ma première éjaculation je n’ai pas mis longtemps à gicler mon foutre dans son cul. Je me retire une fois encore, sous le regard de belle-maman. Elle me sourit, et tente pas sans mal de se redresser. Je l’aide. Elle se colle à moi et me donne un long baiser sur la bouche.
-Tu pus la chatte. Tu devrais mieux te nettoyer la figure avant de rejoindre ma fille !
-Je le ferais chez moi !
Cela fait rire ma belle-mère.
Sitôt arrivé chez moi ma femme m’attendait dans le salon en petite tenue.
-Eh bien tu en as mis du temps ! J’espère que ça valait le coup !
-Elle était trop bonne ! Elle a insisté pour que je l’encule ! C’est le pourquoi de mon retard.
Elle m’attrape par le cou et m’attire à elle. Là elle colle ses lèvres aux miennes.
-Waouh ! Mais elle ne se lave pas la chatte, ta copine ?
Pour toute réponse, je masse les aréoles d’un rose très clair de ses seins. Elle se saisit de ma queue entre ses doigts, elle la tripote, puis elle la décalotte. Ma femme aime par-dessus, la bite. Elle fixe la mienne de tout près, suivant du doigt le dessin des veines.
-Ta queue est encore dure. J’oublierais ta trahison si tu me baises bien !
Elle introduit elle-même ma queue dans ses chairs toute molles de son sexe. Elle maintient mon organe par la racine, le faisant entrer et sortir. Elle se masturbe avec, de plus en plus fort, de plus en plus vite. En même temps, elle me palpe les couilles. Je sens la paroi souple de sa gaine se mouler autour de mon gland, s’écarter, revenir en se pressant pendant que la mouille coule en abondance.
Comme l’est sa mère, ma femme question sexe est survoltée. Je passe mes mains sous ses fesses, lisses et très compactes. Je les presse à lui faire mal. Puis les écarte. Je sens son anus tout chaud sous mes doigts. Elle piaille d’une voix suraiguë.
-C’est ça écartèle-moi, salaud !
Elle halète sous mes coups de boutoirs. J’éjacule pourtant en fortes giclées dans son vagin, lequel agit, comme une véritable pompe aspirante.
Après être passé sous la case douche, avec ma femme nous nous sommes posé autour d’un verre.
-Ça été ton stage ? Lui fais-je.
-Oui, comme à l’accoutumé. A par que Sylvie (sa collègue qui est en stage elle-aussi) !
Et là ma femme se met à rire.
-Qu’est-ce que tu as ?
-Il lui est arrivé une sacré aventure ce matin.
-Vas-y, je t’écoute…
-T’inquiète, j’ai bien l’intention de le faire. Ce matin comme d’habitude nous prenons elle et moi ensemble le métro. La rame décolle et le wagon est secoué, compressées par la foule moi et Sylvie nous nous tenons debout côte à côte. Au bout d’un certain temps voilà que Sylvie penche sa tête vers moi avec un drôle d’air. Ses traits sont figés, ses yeux vides paraissent ne rien voir. Ses joues et son front rosi. Le sourire qu’elle tente de former ressemble à un rictus. Je commence à m’inquiéter. Il est clair qu’elle n’est pas bien ! Élevant la voix pour dominer le vacarme, je lui propose de descendre à la prochaine station. Mais voilà que Sylvie me lance un regard d’impuissance.
-Je ne peux pas… me lâche-t-elle.
Tout de suite, elle lâche un petit cri en se penchant brutalement en avant. C’est alors que je remarque un type derrière elle. Il est plaqué contre le dos de Sylvie. Cette dernière a la bouche ouverte, en chancelant dans la grappe humaine ballotée par les cahots de la rame. Les deux corps sont à l’unisson. Je commence alors à comprendre. Dans un sourire d’extase, Sylvie me fait savoir que tout va bien.
-Qu’est-ce qu’il te fait ?
-Que du bien !
-Tu veux que j’appel de l’aide ?
-Oh non, ça ne va pas… Je suis aux anges !
J’assiste alors à l’agitation du bassin de Sylvie, elle se mort la main. Puis le type pousse un grognement que je pense être la seule à l’entendre. Sylvie répond par une série de râles étouffés. Le reste du trajet se poursuit dans le calme. Le type se faufile entre la foule. J’ai attendu d’être sur le quai pour la questionner. Et là elle me sort qu’elle en a prit plein la chatte. Elle qui avait prévu une soirée de jeune fille a été servi et cela nous a fait bien rire.
-Et toi dans tout ça ?
-A ton avis ?
Je me lève, me saisis de sa culotte toujours sur le carrelage de la cuisine. La petite lingerie était riche d’enseignement.
-Tu es sûr que ce n’est pas toi qui à pris le coup de bite ?
-Eh bien sache que je n’aurais pas était contre.
-Salope, tu es bien comme ta…
-Ta quoi ?
-Collègue…enfin !
Une fois dans le lit ma femme remet ça.
-Mais dis-moi tu es jalouse.
-Un peu, oui !
-Un peu beaucoup, oui !
-Je l’admets !
-Et bien tu sais ce que te reste à faire demain.
-Tu plaisantes là…
-Pas du tout.
-Alors comme ça tu t’en fou ?
-C’est bien ce que nous faisons ces derniers temps, non, je me trompe ?
-Ce qui permet de faire durée notre couple je te rappelle.
-Parfaitement !
Il a fallu attendre quelques jours avant que ma femme me revienne sourire aux lèvres.
-C’est fait ?
-C’est fait !
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Tout le monde s'éclate à la queue leu leu ... à quand un trio avec Sylvie ou a 4 avec l homme du metro