Quel beau souvenir... - histoire érotique

Nous avions tous les deux dix huit ans. Nous nous étions connus au lycée et nous allions fréquenter tous deux la même université. Nous n’avions jamais abordé la question du sexe tous les deux, même si secrètement, toutes les nuits, en rêve je ne voyais qu’une seule chose, nos deux corps nus posés l’un sur l’autre, dans une ambiance bien chaude… Je rêvai de son corps musclé d’athlète et sa peau bronzée, de ses cheveux blonds, de ses yeux bleus, de sa bite que je n’avais jamais encore vue..

Un soir, comme presque tous les samedis soirs, il m’avait invitée chez lui à regarder des DVDs tout en mangeant du pop corn. Habituellement, mon père venait toujours me chercher vers 22h. Il arrivait pratiquement en même temps que ses parents.

Il n’était pas encore 20h quand le premier film prit fin. J’étais sur le point de passer un autre DVD quand il me prit la main, comme pour m’en empêcher. Je le regardais avec étonnement quand ses lèvres s’ouvrirent pour dire « Viens dans mes bras ! » Alors moi, sans hésiter, je me jetai sur lui et le serrai très très fort. Ensuite il m’embrassa. Faut dire qu’il embrassait comme un dieu. Soudain, il m’allongea sur son lit –car nous étions dans sa chambre, assis sur son lit- et s’allongea sur moi tout en continuant de m’embrasser langoureusement. J’étais folle de joie. Je mis quelques minutes à prédire la suite des évènements, et quand je compris, je me laissai faire sans rien dire.

Nous continuâmes à nous embrasser pendant dix bonnes minutes je pense, sans oser aller plus loin, ou bien alors, j’avais mal pensé… Raaah comme j’avais envie de lui, comme j’étais excitée, mais qu’est-ce qu’il attendait ?!

A un moment, il retira sa langue de ma bouche, pour laisser sortir les mots suivant

« J’ai envie de te faire l’amour, de te faire jouir et jouir comme jamais, oh oui, je veux te pénétrer… » Je le regardais en souriant, les yeux pleins d’étoiles, quand il haussa le ton en disant « Je veux sentir ma bite dans ta chatte mon bébé, oh oui je veux ça ! »

De plus en plus excitée, je répondis « Mais alleeeez, qu’est-ce que tu attends ?! »

Quelques minutes plus tard nous étions tous les deux en sous-vêtements, chacun ayant sauvagement arracher les habits de l’autre. Je le poussai et montai sur lui, baissant rapidement son caleçon et lui glissant à l’oreille : « Alleeeez, montre moi ta bite ! »

Son caleçon fut vite de l’autre côté de la pièce, laissant apparaître son engin, qui était vraiment très gros, en érection, j’étais de plus en plus excitée… Je le pris dans mes mains et le caressai, ne sachant pas vraiment quoi faire. De sa main gauche, il détacha mon soutif et de la droite me baissa la culotte, quand tout à coup il me mis sauvagement sur le dos, je laissais échapper un petit cri.

Il enfonça sa bite dans ma chatte, je n’avais pas mal. Il enchaina alors de petits mouvements de va et viens, qui se multiplièrent et devinrent de plus en plus violents.

Au 7e ciel, je ne pouvais m’empêcher de gémir et de crier quelques fois, ne pouvant retenir ma jouissance. Il me baisait, il me baisait fort et n’avait pas l’air de vouloir s’arrêter. Moi non plus.

Nous répétâmes cela trois fois de suite, j’eus trois orgasmes tous aussi bons les uns que les autres. Épuisés nous nous allongeâmes l’un à côté de l’autre pour reprendre notre souffle, avant de le faire une quatrième fois.

J’étais allongée à côté de lui, les yeux fermés et nageant dans le bonheur pendant qu’il me caressait les seins en me chuchotant des mots comme « Ils sont beaux et gros tes nichons… Oh que je les aime tes nichons… Et ta chatte de salope ma petite pute, comme elle m’a fait du bien… Hmmmm cochonne, comme je t’aime ma salope à moi… »

A un moment, il se tut. Ensuite il murmura, doucement mais clairement : « Tu me suces la bite ? » Sans répondre mais sans hésitation, j’écartai ses jambes et branlai un peu son sexe avant de voir celui-là se durcir et se tenir droit. Doucement alors, je l’enfonçai dans ma bouche et suçait de tout plaisir. Soudain, je sentais quelques chose remplir ma bouche. Son sperme. Il ne m’avait pas prévenu. Mais c’est pas grave. J’avalai alors le liquide, continuant ma besogne, ce qui l’excitait et m’excitait.

Ensuite, je ne sais plus au juste ce que nous avons fait, mais tout à coup nous entendîmes une clé tourner dans la serrure. Nous étions alors nus, sous la couverture, dans les bras l’un de l’autre. Malgré la couverture on pouvait clairement voir qu’il n’avait rien sur lui, d’en haut en tout cas, et moi pas de soutif. En moins de 30 secondes, il enfila son short, sans remettre son caleçon, et moi j’attrapai mes habits et me dirigeai vers la salle de bain et m’habilla en vitesse. Son père et le mien pénétrèrent la chambre, (comme lui m’avait pénétrée il n’y même pas une heure) et je pus les entendre dire :

« Salut fiston, où est Élodie ?

-Oh elle est aux toilettes.

-Ah d’accord. Ca va, tu n’as pas l’air très en forme ?

-Mais si, pourquoi tu dis ça ? »

Son père invita alors le mien à prendre un café dans le salon, pendant que moi je me rhabillai et me recoiffai, veillant bien à ce que j’ai une allure tout à fait normal.

Jack et moi ne sommes plus ensemble maintenant, et n’avons pas eu l’occasion de refaire l’amour une autre fois. Mais je garde un merveilleux souvenir de ma première fois, que je n’oublierai certainement jamais.