Quelle famille ! - histoire érotique

Ca y est c'est vendredi soir, la fin de semaine pour enfin aller draguer en boite. Je ne sais pas pourquoi mais ce vendredi là, j'étais vraiment en manque. Je bandais sans arrêt à la moindre vue d'un petit cul serré dans un jean. Il fallait vraiment que je décompresse.

Quand ça me prend comme ça, j'ai toujours un ou deux potes prêts à rendre service mais ce jour là ils étaient tous occupés alors je suis allé au super marché du sexe, notre bonne vieille boite de de la région où se presse beaucoup de monde et où l'on peut trouver tout ce que l'on désire. J'y ai même vu des trav venir!

Ce vendredi soir, comme d'habitude, il y avait pas mal de monde, certes, beaucoup de jeunes couples. Je m'installe au bar, sur un tabouret et papote comme je peux avec le barman, un pote avec qui j'ai déjà baisé et, comme il dit souvent, moi je trouve ce qui reste à la fermeture et ils sont souvent bourrés!

J'avais remarqué un jeune mec, les cheveux clairs dansant tout seul, les yeux fermés et se donnant à fond sans s'occuper des personnes autour de lui. Des mecs et des nanas étaient venus, essayant de capter son attention, mais le minet les ignorait superbement.
Il s'est mis à m'intéresser ce minet et je le détaillais de plus en plus au fur et à mesure de ses danses. Il était à peu près de ma hauteur, cheveux mi longs qui devaient être châtains, un corps mince mais bien taillé et ce petit cul serré dans son jean m'avait donné la trique. J'essayais de bouger ma queue emprisonnée dans mon jean.

Il a dansé pendant au moins une heure. Il était en nage, la sueur coulait de son front, son tee-shirt était trempé. J'ai vu qu'il regardait vers le bar et quand il a vu le tabouret de libre juste à coté de moi, il s'est précipité pour l'accaparer. Plus je le voyais arriver, plus je le trouvais beau et la chance était avec moi il s'est installé juste à côté, demandant une bière au serveur.

Assis sur le tabouret, tournant le dos au bar, il s'est appuyé et a siroté sa bière, les jambes bien écartées, si bien, quand il s'est tourné pour déposer son verre nos genoux se sont cognés.
-désolé m'a-t-il dit avec un grand sourire.
-pas grave, j'ai dit.
Il avait un très beau sourire.
-eh bien j'ai vu que tu te donnais à fond! tu transpires toujours comme ça ?
Je ne sais pas s'il avait entendu ma question, mais il s'est tourné vers moi, a penché sa tête près de la mienne.
-oui j'aime bien me donner à fond !
Et ses yeux sont venus se plonger dans les miens avec toujours son sourire aux lèvres.
Là j'étais un peu scotché! d'habitude c'est moi qui m'escrime pour draguer un mec, là il me faisait une réponse ambigüe.

Alors je me suis penché à son oreille.
-et tu te donnes à qui ?
Sans bouger la tête il répond :
-à celui qui me plait et qui en fait la demande!
Sa joue se colle à la mienne.
-et moi je te plais ?
-fais ta demande!
-t'as un beau petit cul qui attire ma bite.
-tu vas pas la sortir au bar quand même!
-ah ah non quand même pas, mais j'ai tellement envie qu'on s'en occupe.
-oh ça mec je crois que ça va être faisable. Si tu veux on va dans les alcôves au fond.
Et en même temps il me fait un bisou sur la joue, ses mains se posent sur mes cuisses, naturellement je lui rend son bisou. Il se frotte contre moi.
-allez viens on va voir si y a un coin de libre.

Car au fond de la boite il y a des alcôves réservées aux couples qui veulent s'isoler tranquillement et c'est pas facile de trouver une place.

On se lève de notre tabouret, il me prend par la main et je vois le regard du barman, un sourire aux lèvres.
Lorsqu'on est arrivé à la dernière alcôve un couple sortait juste, il s'est engouffré, m'a poussé sur le petit canapé, et est venu s'asseoir directement à califourchon sur mes genoux, ses mains autour de mon cou me tenant la tête, ses yeux ont plongé dans les miens et ses lèvres se sont posées sur les miennes.
Quelles lèvres douces, chaudes, humides, il m'a bouffé les miennes, les léchant puis a fait entrer sa langue dans ma bouche rejoindre la mienne et le ballet des langues est entré en action. J'adorais sa salive comme il devait aimer la mienne vu le nombre de fois qu'il suçait ma langue.

Je caressais son dos encore humide, passant avec difficulté mes mains sous son tee-shirt collé à sa peau. Une peau douce, chaude, tendre que j'ai caressé avec satisfaction.
Ses lèvres se sont mises à parcourir ma tête, il m'embrassait partout sur le visage descendant dans le cou pour descendre de mes genoux et se retrouver à genoux entre les miens. Il est venu frotter sa joue sur mon sexe prisonnier. Il sniffait mon sexe, a défait mon ceinturon, ouvrant le jean. J'ai allongé mes jambes, il a tiré sur le jean libérant mes fesses et ses mains sont venues caresser la bosse dans le boxer et c'était humide.

Il a approché ses lèvres j'ai senti qu'il prenait ma queue et la frottait par dessus le boxer, allant jusqu'au gland qui suintait en abondance puis il a enlevé le tissu, libérant ma belle queue et les couilles. En gourmand il a commencé par les couilles, les suçant, les léchant, les avalant une par une et les deux en même temps. Quel plaisir de les sentir nager dans la salive de sa bouche, de sa main il caressait ma queue.

Il s'est mis à la lécher de bas en haut et à chaque fois il m'embrassait le gland, donnant un coup de langue. Il a fait de ma queue ce qu'il voulait. Il s'est redressé pour pouvoir s'enfoncer la bouche dessus et l'a avalé d'un seul coup toute entière. Il ne semblait pas gêné d'avaler un tel morceau et s'est mis à me piper en me tenant les mains qu'il serrait dans les siennes.

Je sentais bien ses belles lèvres coulisser sur la hampe, sa langue agile l'entourer, la sucer, l'aspirer puis les va-et-vient sont devenus plus rapides. Je sentais déjà le jus monter dans ma queue. Je serrais ses mains. Il a du comprendre que j'allais jouir car il a mis son nez dans mes poils, je sentais juste sa langue jouer avec ma bite qui s'est durcie d'un seul coup avant de lâcher la première giclée, sa langue récupérait et il avalait et je l'ai nourri pendant un petit moment comme ça.

On se serrait les mains, j'avais la tête renversée en arrière et je fermais les yeux de bonheur.
-ah t'es là Alex! bon tu viens on rentre!
J'ai sursauté, pour le voir faire signe à la personne qui venait de parler, d'attendre. Il a fini de me lécher la queue et, comme moi a regardé celui qui nous avait dérangé. Un mec d'une quarantaine d'années, bien fait semblait il, mais pas du tout le genre de mec que je draguais.
-quoi dit le Alex déjà! mais il est pas tard.
-si! tu viens on part!
-tu fais chier ! dit Alex.
-si t'as pas fini avec ton nouveau pote ben amène le à la maison! je vous attends dans la voiture.
Et le mec fait demi-tour et s'en va.
-c'est qui ?demandais je.
Au lieu de me répondre il vient s'installer sur mes genoux, m'embrasse tendrement.
-tu viens passer la nuit avec moi ? je voudrais que tu me mettes ta belle queue dans mon petit cul gourmand.

Je souriais.
-j'en ai vraiment envie tu sais… allez ! dis oui s'il te plait!
J'ai accepté… tout en me demandant toujours qui était ce mec!
Il nous attendait dans la voiture, le trajet jusqu'au domicile fut assez rapide et le mec disparait dans la maison.

Alex m'emmène dans sa chambre, ferme la porte, me prend dans ses bras et m'embrasse tendrement en me déshabillant.
On ne met pas longtemps à se retrouver à poils et je peux enfin voir le petit mec! en fait il est presque blond, imberbe, musclé, un corps parfait, une belle bite qui bande bien et il se tourne sur lui même pour me faire admirer son magnifique petit cul, de belles fesses séparées par une raie, bien hautes, bien fermes. Ma queue reconnait ce qui est beau et elle bande déjà bien à fond.
Il revient dans mes bras, se frottant contre moi pour que nos queues fassent connaissance, une vraie ventouse le Alex. J'ai l'impression qu'il a une quantité de bras qui me caressent partout.

Il me pousse sur le lit et vient s'allonger sur moi, ses lèvres lèchent mes tétons. Il se met à califourchon sur moi, je sens ses petites fesses se poser sur ma bite.
Il me regarde.
-tu t'appelles comment ?
-Vincent.
-alors Vincent je vais te baiser avec mon cul, tu n'auras rien à faire mon petit trou va te vider les couilles comme ma bouche tout à l'heure.
Il avait un air vicieux et coquin en disant cela.
-tu veux pas que je te le prépare ton petit cul.
-t'en fait pas !dit Alex.

Il se met accroupi au dessus de moi, se penche en avant, saisi ma queue, la décalotte complètement et cherche l'entrée de son petit cul, il la passe dans la raie et ma queue reconnait la muqueuse douce et chaude, il s'arrête, pousse son petit cul.
Je sens son sphincter s'ouvrir lentement, enrobant mon gland de chaleur et de moiteur. Alex me fixe, pas une grimace. Je n'en reviens pas! d'habitude les mecs gueulent quand je les baise, lui se mord juste la lèvre et je sens ma queue être avalée par son cul.

Le gland glisse dans le boyau qui se serre contre lui, c'est doux, c'est chaud et il continue jusqu'à ce que ses fesses touchent mon pubis. En gros il est assis sur moi avec ma queue au fond de lui.
Et, c'est comme s'il caressait ma queue, je sens son boyau le serrer, se desserrer, l'envelopper plus fort, ma queue se raidit, je suis bien.

Il se penche légèrement en avant, pose ses mains sur mes tétons et commence des va-et-vient sur ma queue, montant et descendant son petit cul dessus et, en même temps il me triture les tétons.

Il me fixe en souriant, toujours ce regard coquin, vicieux de petite salope qui sait qu'il donne du plaisir.

Ses doigts s'agitent sur mes tétons de plus en plus fort, comme son cul de plus en plus vite sur ma bite. Je vois sa queue raide couler sur mon ventre. Le gland pas encore tout à fait décalotter laisse passer la mouille en abondance.
Il accélère encore et je ne peux m'empêcher de râler, de grogner car je sens que le plaisir monte de plus en plus. Je n'ai jamais joui dans un cul dans cette position et, pour une première c'est une première car quand la première giclée est arrivée je l'ai bien sentie inonder son conduit, m'enveloppant également la queue, me chauffant encore plus et les vannes sont restées ouvertes un bon moment.

Qu'est ce qu'il m'a fait gueuler le petit Alex avec son beau cul accueillant.
Il s'est relevé doucement pour se jeter sur ma queue et la lécher dans tous les recoins et venir se blottir dans mes bras disant simplement.
-merci Vincent !

On s'est embrassé en se caressant, je l'ai retourné sur le dos et je suis allé voir sa queue de plus près. Elle coulait de bonheur. Je me suis occupé de ses belles couilles, fait décalotter le gland luisant plein de mouille et le lécher comme une boule de glace et l'entendre gémir. Je l'ai sucé, sucé, avalé toute sa queue. oh il n'avait pas une très grosse queue mais je la trouvais bonne, bonne car on pouvait toute la prendre en bouche, sans tousser, cracher. Quand je sentais qu'elle se raidissait je la sortais de ma bouche pour jouer avec le prépuce. Il râlait de plus en plus fort et j'ai recommencé à le sucer pour le laisser venir dans ma bouche chaude et me donner tout son bon jus et il en avait du jus le bel Alex!

J'ai bien nettoyé cette belle queue et je l'ai repris dans mes bras pour lui donner ma langue à lécher.
-et toi ? tu veux pas gouter à mon cul ?
-on fera le 2ème round demain matin au réveil, t'as vu il est presque 4 heures dit il en riant. faut bien qu'on dorme un peu non ?
-tu as raison dis je en lui faisant un bisou.
On s'est emmêlé les jambes, collés l'un contre l'autre et le sommeil n'a pas mis longtemps à arriver.

Je ne sais pas qu'elle heure il était quand j'ai été réveillé par un corps collé à mon dos et quelque chose de dur passé entre mes jambes. J'ai souri en pensant que c'était Alex qui avait pris la position pour réagir d'un seul coup que je le tenais dans mes bras. J'ai voulu me relever mais un bras m'a retenu.
-t'es venu pour prendre de la bite et bien je vais t'en donner petit pédé! car c'est pas la petite bite d'Alex qui donne du plaisir!
J'ai reconnu la voix du mec d'hier. Il a réveillé Alex qui s'est redressé.
-papa! qu'est ce que tu fais là! tu peux pas nous laisser tranquille.

J'étais sidéré! il l'avait appelé papa! merde j'en revenais pas.

-non je vais pas vous laisser tranquille, je vais vous baiser tous les deux mes salopes, et tu vas me sucer Alex et préparer le cul de ton pote que je l'abime pas trop. Allez en position les salopes.
Alex s'était mis à quatre pattes. J'ai reçu une claque sur les fesses.
-et toi ? il te faut une invitation ?

J'ai fait comme Alex et il est venu me lécher les fesses, j'ai senti sa langue passer dans ma raie, il était doux, tendre et s'appliquait. Dire que ce devait être un plaisir de lui donner mon cul. Là c'était son père qui allait me baiser. Certes j'avais déjà pris des bites dans mon petit cul, et s'ouvrait bien en général aux assauts et la préparation d'Alex fut vraiment bandante, il m'a doigté avec tact, ouvrant bien le petit trou.

-ça suffit dit le père! viens me sucer maintenant, je sais que tu aimes ça me sucer! t'es vraiment une belle salope mon fils, allez!
J'ai tourné la tête pour regarder et quand j'ai vu le sexe du paternel, j'ai senti mon cul qui se refermait. Ce n'était pas le moment! putain quel morceau! c'est vrai que la bite d'Alex à côté de la sienne faisait vraiment ver de terre.

C'est Alex qui a dirigé la queue de son père vers mon trou, le positionnant. J'ai senti ses mains me saisir aux hanches, j'ai vu arriver Alex près de moi, me prendre la main, la serrer bien fort en me souriant. Il devait savoir ce que j'allais endurer.
Oh la douleur fut rapide! car ce bourrin de père s'est enfoncé en moi d'un seul coup, m'arrachant un hurlement, les lèvres d'Alex sont venues se poser sur les miennes, les larmes coulaient et sa queue est arrivée au fond. Il a quand même eu la décence d'attendre un peu que je m'habitue pour entamer ses va-et-vient.

Ah il ne regardait pas à la puissance le mec! à chaque coup de reins son pubis claquait sur mes fesses et sa queue m'ouvrait encore plus. Mais comme par miracle la douleur avait disparu, les bisous d'Alex faisaient des miracles.
Quand j'ai entendu des bruits de claques, j'ai vu Alex qui grimaçait, pendant qu'il m'enculait, son père fessait le fils.
-prépare ton petit cul d'enculé Alex, ça va être ton tour!

J'ai vu Alex passer ses mains pour bien ouvrir ses fesses, j'ai senti la queue sortir de mon cul sans ménagement et c'est le cul d'Alex qui s'est fait transpercé. Il n'a poussé qu'une seule plainte en fermant les yeux. Tant que son père l'a enculé, jamais il ne m'a regardé dans les yeux.

Il le pilonnait avec force donnant de grands coups de reins et Alex encaissait jusqu'à ce que son père se vide en lui en me claquant les fesses. Je l'entendais râler, grogner puis il est sorti rapidement.
-venez nettoyer les putes!
A nous deux ce fut rapide, putain de morceau qu'il avait! une belle bite quand même mais le mec devait être un con fini! on a bien fait le travail et il est sorti pisser en disant je reviens.
-fais voir ton cul dit Alex.
Il regarde
-ça va il t'a pas trop défoncé!
-fais voir le tien?
Et là son cul était bien éclaté, il était encore ouvert. Il devait se faire baiser souvent par son père. J'en restais sans voix.
-t'es fais pas dit Alex doucement j'ai l'habitude.
-mais pourquoi tu te laisses faire ?
-chut il revient!

Même s'il ne me plaisait pas, il fallait reconnaitre que son père était un bel homme.
-bon on va dormir un peu, je vais reprendre quelques forces et je vous encule après.
Il s'est allongé dans le lit nous a pris chacun dans un bras et dans la seconde il ronflait.
Je n'osais plus bouger et j'ai vu qu'Alex avait fermé les yeux et semblait dormir, moi j'ai essayé mais le sommeil ne venait pas.

J'ai entendu la porte de la chambre s'ouvrir, j'ai regardé à travers mes cils et putain j'ai vu entrer une femme à poil complètement qui nous a regardé dormir. Je l'ai vu venir toucher le sexe d'Alex, celui du père et venir caresser le mien. Je n'en menais pas large, putain c'était qui?
Elle est allée s'allonger contre Alex, le poussant un peu et disant :
-fais moi un peu de place mon fils, je veux être là quand vous allez recommencer à vous amuser.
Alex n'a pas répondu, je l'ai vu serrer le bras de sa mère et on n'entendait plus que le ronflement du père.

J'ai pris une décision rapide quand les souffles me semblaient réguliers. Je me suis levé le plus discrètement possible, j'ai récupéré mes affaires qui trainaient dans la chambre. Je me suis rhabillé dans l'entrée et je me suis sauvé comme un voleur!

Putain quelle famille!