Quelle journée de bricolage ! (3 sur 3)
Récit érotique écrit par Hervé_Thémis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Quelle journée de bricolage ! (3 sur 3)
Jean-Michel retire sa queue et lui dit de se mettre à quatre pattes, comme une chienne, qu’il lui dit. Puis il ajoute : çà sera plus facile comme çà. Elle me regarde un peu effrayée. On se rapproche tous du matelas et Karine prend un verre. Rapidement, Jean-Michel commence lui doigter la chatte. Ses doigts de travail manuel, sont gros et long, comme sa main. Tout est énorme chez lui. Il rentre facilement 3 doigts, car José est déjà passé par là. Il prend du gel, et s’en beurre plein des doigts puis enfourne 4 doigts, qu’il finit par rentrer jusqu’à la base de son pouce. Puis il annonce :
- Dis donc Hervé, ta femme elle n’a jamais éjaculé
Je réponds non que j’ai entendu parler des femmes fontaines mais pas d’éjaculation. Il explique que même sans être une femme fontaine, une femme peut, enfin certaines, éjaculer. Et il ajoute, on va tester Karine, d’accord ?
Je dis d’accord si Karine veut tester. Elle semble dubitative, puis accepte de tenter cette expérience. Elle n’a jamais entendu pareil chose alors…
Il la fait mettre sur le dos, on s’approche tous pour regarder. José et Rachid lui écarte bien les jambes, moi je lui tripote les seins, et Pascal lui caresse le clito : pour une fois que Pascal est calme. Puis Jean-Michel rentre à nouveau ses doigts et lui masse de haut du vagin : il cherche un recoin au fond du vagin, devant le col : d’abord doucement, son mouvement devient plus ferme. Ses doigts s’activent et augmentent la pression. On la sent onduler du bassin : José et Rachid la maintienne en place jambes écartées car elle a tendance à les refermer. Pascal s’excite à son tour, et maltraite son clito en le faisant rouler, en le pinçant et en tirant dessus. Les doigts de Jean-Michel secoue la chatte dans tous les sens, mais aussi dans un mouvement de vas et vient. Karine gueule littéralement : elle feule aussi.
Elle dit d’arrêter, puis de continuer, elle se contorsionne de plus en plus, et les collègues ont de plus en plus de mal à la maintenir en place. Jean-Michel aide Rachid et José à la maintenir en place en appuyant sur son ventre : ses doigts vont et viennent à folle allure dans sa chatte qui se fait labourer par cette énorme paluche de travailler manuel. On en sent Jean-Michel forcer la pression sur la paroi vaginale et nous prévient qu’elle va venir, qu’elle va éjaculer. Jean-Michel ordonne à Pascal de lui aplatir et de frotter à fond dans tous les sens son clitoris. Et là, il ne se gêne pas. Il exerce une forte pression tout en remuant la zone à fond : clito, lèvres, pubis, tout est secoué. Jean-Michel perle la sueur sur son front, tout comme Karine. La violence, la dureté, mais aussi la maîtrise de la technique sont incroyables. On entend le silence, malgré les bruits qui en découle. Cela en est presque religieux tellement on attend quelque chose. On a l’impression que les doigts de Jean-Michel attirent le vagin à lui. Maintenant, Karine est en transe : nous voyons ces deux mains qui s’activent et Karine qui semble aboutir, approcher de quelle chose.
Jean-Michel et Pascal, dans la folie de l’action, l’exhorte à éjaculer et jouir et la traite de tous les noms:
- Vas-y salope, on sent que ça vient. Lâche prise. Détend toi. Laisses la éjaculer ta grosse chatte défoncée. T’aimes ça, grosse salope hein ???? Oui vas-y, ça vient, sent bien !!!!! Sent comment on te ramone et comment tu vas prendre ton pied….. !!!!!!!!!
Karine s’agite. On ressent tous que quelque chose arrive. Elle remue encore plus, on la maintient bien en place. Pascal transpire à force lui massacrer le clito, qui est gonflé, rouge, ressorti, boursoufflé, et il continue encore à la malmener dans tous les sens. Il le pince, l’étire, l’écrase, le fait tournailler… Karine râle encore plus, gémit, puis gueule à pleins poumons :
- Ah ouiiiiiiiii, ca vient, ouiiiiiiiii continue, ahhhhhhhhhh c’est bonnnnnnnnn !!!!!
Et là, on voit un flot de cyprine sortir de la chatte : plusieurs jets arrivent et mouillent tous devant. C’est impressionnant. Entre un demi et un verre d’eau entier est sorti. Les jets étaient puissants comme notre sperme quand il sort.
Nous nous remettons tous de nos émotions. Karine semble dans les vapes, mais elle est hyper détendue, heureuse, comme nous les mecs quand on a balancé la sauce. Je paie un verre à Jean-Michel et à Pascal : ils l’ont bien mérité. Ils sont en sueur. Nous aussi on l’a mérité car il fallait la tenir, enfin la maintenir pour y arriver. Et surtout, Karine qui l’a mérité son verre.
Elle s’essuie la chatte et trinque avec nous. Jean-Michel lui dit que maintenant elle va bien apprécier sa grosse bite. Je croyais qu’elle en aurait eu assez, mais elle a repris ses esprits assez vite, et elle veut sans doute remercier son bienfaiteur. Je ne savais pas que Jean-Michel était aussi doué et avait autant de connaissance.
Jean-Michel lui demande de se mettre à quatre pattes. Il enfile deux préservatifs. Il est à genoux derrière elle. Il se tient la queue, et nous regardons Karine ainsi soumise. L’entrée de la chatte résiste un peu, Jean-Michel fait tournoyer son gland, puis l’entrée cède, pas étonnant avec le doigté de tout à l’heure. Puis l’engin s’enfonce rapidement jusqu’au trois quart. Mais vu la longueur, il reste encore de nombreux centimètres dehors. Alors, il commence à tournoyer son bassin pour sans doute détendre le fond de la chatte. A cet instant, je me dis, ce n’est pas le vagin qu’il va baiser, mais l’utérus. Il nous demande de nous mettre devant pour ne pas qu’elle glisse et qu’elle n’avance. On s’exécute. Et on la tripote tout doucement. Jean-Michel écarte bien ses fesses et fait signe que ça va finir par tout rentrer. Karine a commencé à repomper les queues qui sont devant elle. On les fait alterner. Karine dit que tout ne pourra pas rentrer : je suis de son avis. Jean-Michel me dit que s’il n’y arrive pas, il me paie une bouteille de champagne : j’accepte le pari. Pascal s’est mis en soixante-neuf et bouffe le clito de Karine et respire sans doute la queue et les couilles humides de Jean-Michel qui est juste au-dessus. Karine semble apprécier. Jean-Michel dis à Pascal de continuer. Je dis qu’il triche, mais on n’avait pas interdit cette règle avant. Cela fait déjà 5 bonnes minutes qui tournoie au fond de la chatte, sans sortir et à un moment, il met ses mains sur les épaules de Karine et nous fait signe de la maintenir aux épaules aussi. Il pousse grave d’un coup. Karine râle. Jean-Michel écarte à nouveau les fesses de Karine et là je m’avance, et je vois la queue complètement rentrée jusqu’à la garde et Michel confirme qu’ils bouffent les couilles de Jean-Michel qui sont arrivées à l’entrée de la chatte. Je dis ok, ton pari est gagné. Il continue à remuer ainsi du bassin dans sortir, sans doute pour bien détendre le fond et le préparer aux coups de butoirs, puis il commence les vas et vient. D’abord lentement, sans trop ressortir, il accélère le mouvement, et ressort de plus en plus. Karine recommence à gueuler. Jean-Michel choppe Karine par les fesses qu’il maintient écartées : ses larges mains lui permettent de maintenir les fesses écartées et de contrôler en même temps le bassin de Karine. Maintenant, il rentre et ressors presque entièrement : seul le gland reste dans la chatte. Et il rerentre à fond arrachant des cris de plaisir à Karine. Maintenant il accélère doucement le mouvement et fait ressortir sa queue. Michel prend plein de cyprine sur le visage. La chatte reste béante et pète. C’est excitant d’entendre cette chatte littéralement péter puis faire un bruit bouillie qu’on touille. Maintenant, il accélère et s’en donne à cœur joie. Karine semble apprécier :
- Oui Jean-Michel, baises moi bien. Défonces moi la chatte. Regardes comment elle s’ouvre pour toi. Fais-moi jouir, je suis ta chienne. C’est trop bon.
Il lui répond :
- Oui t’es une vraie chienne. T’es un super coup. Mon pote a de la chance d’avoir une bonne garce comme toi. C’est tous les mecs d’un chantier qu’il te faudrait à toi hein ????
Sa bite prend un rythme effrénée : il sort et rentre dans la chatte à toute vitesse et jusqu’aux couilles. Il se met à lui claquer le cul violement. Ses fesses finissent par devenir rose. Il claque ses fesses dans tous les sens, les empoigne fortement, les écarte, les lâche, les frappe vers le haut, puis à un moment il la chope pas le bassin, et l’empale à fond, et la maintient ainsi et jouit en hurlant. Sa jouissance dure de longues secondes. Il relâche sa proie qui s’affale au sol et sa queue sort de la chatte dans un bruit impressionnant. Le préservatif a une quantité de sperme énorme : vu la taille des couilles, pas étonnant.
Il se fait tard, et on décide de tous jouir aussi. Jean-Michel va à la douche. En 10 minutes, nous la prenons tous à tour de rôle et lui jouissons tous dans la chatte avec un préservatif, sauf moi.
Quelle heure est-il exactement ? Est-ce la bonne fin, la vraie ? Mystère…
- Dis donc Hervé, ta femme elle n’a jamais éjaculé
Je réponds non que j’ai entendu parler des femmes fontaines mais pas d’éjaculation. Il explique que même sans être une femme fontaine, une femme peut, enfin certaines, éjaculer. Et il ajoute, on va tester Karine, d’accord ?
Je dis d’accord si Karine veut tester. Elle semble dubitative, puis accepte de tenter cette expérience. Elle n’a jamais entendu pareil chose alors…
Il la fait mettre sur le dos, on s’approche tous pour regarder. José et Rachid lui écarte bien les jambes, moi je lui tripote les seins, et Pascal lui caresse le clito : pour une fois que Pascal est calme. Puis Jean-Michel rentre à nouveau ses doigts et lui masse de haut du vagin : il cherche un recoin au fond du vagin, devant le col : d’abord doucement, son mouvement devient plus ferme. Ses doigts s’activent et augmentent la pression. On la sent onduler du bassin : José et Rachid la maintienne en place jambes écartées car elle a tendance à les refermer. Pascal s’excite à son tour, et maltraite son clito en le faisant rouler, en le pinçant et en tirant dessus. Les doigts de Jean-Michel secoue la chatte dans tous les sens, mais aussi dans un mouvement de vas et vient. Karine gueule littéralement : elle feule aussi.
Elle dit d’arrêter, puis de continuer, elle se contorsionne de plus en plus, et les collègues ont de plus en plus de mal à la maintenir en place. Jean-Michel aide Rachid et José à la maintenir en place en appuyant sur son ventre : ses doigts vont et viennent à folle allure dans sa chatte qui se fait labourer par cette énorme paluche de travailler manuel. On en sent Jean-Michel forcer la pression sur la paroi vaginale et nous prévient qu’elle va venir, qu’elle va éjaculer. Jean-Michel ordonne à Pascal de lui aplatir et de frotter à fond dans tous les sens son clitoris. Et là, il ne se gêne pas. Il exerce une forte pression tout en remuant la zone à fond : clito, lèvres, pubis, tout est secoué. Jean-Michel perle la sueur sur son front, tout comme Karine. La violence, la dureté, mais aussi la maîtrise de la technique sont incroyables. On entend le silence, malgré les bruits qui en découle. Cela en est presque religieux tellement on attend quelque chose. On a l’impression que les doigts de Jean-Michel attirent le vagin à lui. Maintenant, Karine est en transe : nous voyons ces deux mains qui s’activent et Karine qui semble aboutir, approcher de quelle chose.
Jean-Michel et Pascal, dans la folie de l’action, l’exhorte à éjaculer et jouir et la traite de tous les noms:
- Vas-y salope, on sent que ça vient. Lâche prise. Détend toi. Laisses la éjaculer ta grosse chatte défoncée. T’aimes ça, grosse salope hein ???? Oui vas-y, ça vient, sent bien !!!!! Sent comment on te ramone et comment tu vas prendre ton pied….. !!!!!!!!!
Karine s’agite. On ressent tous que quelque chose arrive. Elle remue encore plus, on la maintient bien en place. Pascal transpire à force lui massacrer le clito, qui est gonflé, rouge, ressorti, boursoufflé, et il continue encore à la malmener dans tous les sens. Il le pince, l’étire, l’écrase, le fait tournailler… Karine râle encore plus, gémit, puis gueule à pleins poumons :
- Ah ouiiiiiiiii, ca vient, ouiiiiiiiii continue, ahhhhhhhhhh c’est bonnnnnnnnn !!!!!
Et là, on voit un flot de cyprine sortir de la chatte : plusieurs jets arrivent et mouillent tous devant. C’est impressionnant. Entre un demi et un verre d’eau entier est sorti. Les jets étaient puissants comme notre sperme quand il sort.
Nous nous remettons tous de nos émotions. Karine semble dans les vapes, mais elle est hyper détendue, heureuse, comme nous les mecs quand on a balancé la sauce. Je paie un verre à Jean-Michel et à Pascal : ils l’ont bien mérité. Ils sont en sueur. Nous aussi on l’a mérité car il fallait la tenir, enfin la maintenir pour y arriver. Et surtout, Karine qui l’a mérité son verre.
Elle s’essuie la chatte et trinque avec nous. Jean-Michel lui dit que maintenant elle va bien apprécier sa grosse bite. Je croyais qu’elle en aurait eu assez, mais elle a repris ses esprits assez vite, et elle veut sans doute remercier son bienfaiteur. Je ne savais pas que Jean-Michel était aussi doué et avait autant de connaissance.
Jean-Michel lui demande de se mettre à quatre pattes. Il enfile deux préservatifs. Il est à genoux derrière elle. Il se tient la queue, et nous regardons Karine ainsi soumise. L’entrée de la chatte résiste un peu, Jean-Michel fait tournoyer son gland, puis l’entrée cède, pas étonnant avec le doigté de tout à l’heure. Puis l’engin s’enfonce rapidement jusqu’au trois quart. Mais vu la longueur, il reste encore de nombreux centimètres dehors. Alors, il commence à tournoyer son bassin pour sans doute détendre le fond de la chatte. A cet instant, je me dis, ce n’est pas le vagin qu’il va baiser, mais l’utérus. Il nous demande de nous mettre devant pour ne pas qu’elle glisse et qu’elle n’avance. On s’exécute. Et on la tripote tout doucement. Jean-Michel écarte bien ses fesses et fait signe que ça va finir par tout rentrer. Karine a commencé à repomper les queues qui sont devant elle. On les fait alterner. Karine dit que tout ne pourra pas rentrer : je suis de son avis. Jean-Michel me dit que s’il n’y arrive pas, il me paie une bouteille de champagne : j’accepte le pari. Pascal s’est mis en soixante-neuf et bouffe le clito de Karine et respire sans doute la queue et les couilles humides de Jean-Michel qui est juste au-dessus. Karine semble apprécier. Jean-Michel dis à Pascal de continuer. Je dis qu’il triche, mais on n’avait pas interdit cette règle avant. Cela fait déjà 5 bonnes minutes qui tournoie au fond de la chatte, sans sortir et à un moment, il met ses mains sur les épaules de Karine et nous fait signe de la maintenir aux épaules aussi. Il pousse grave d’un coup. Karine râle. Jean-Michel écarte à nouveau les fesses de Karine et là je m’avance, et je vois la queue complètement rentrée jusqu’à la garde et Michel confirme qu’ils bouffent les couilles de Jean-Michel qui sont arrivées à l’entrée de la chatte. Je dis ok, ton pari est gagné. Il continue à remuer ainsi du bassin dans sortir, sans doute pour bien détendre le fond et le préparer aux coups de butoirs, puis il commence les vas et vient. D’abord lentement, sans trop ressortir, il accélère le mouvement, et ressort de plus en plus. Karine recommence à gueuler. Jean-Michel choppe Karine par les fesses qu’il maintient écartées : ses larges mains lui permettent de maintenir les fesses écartées et de contrôler en même temps le bassin de Karine. Maintenant, il rentre et ressors presque entièrement : seul le gland reste dans la chatte. Et il rerentre à fond arrachant des cris de plaisir à Karine. Maintenant il accélère doucement le mouvement et fait ressortir sa queue. Michel prend plein de cyprine sur le visage. La chatte reste béante et pète. C’est excitant d’entendre cette chatte littéralement péter puis faire un bruit bouillie qu’on touille. Maintenant, il accélère et s’en donne à cœur joie. Karine semble apprécier :
- Oui Jean-Michel, baises moi bien. Défonces moi la chatte. Regardes comment elle s’ouvre pour toi. Fais-moi jouir, je suis ta chienne. C’est trop bon.
Il lui répond :
- Oui t’es une vraie chienne. T’es un super coup. Mon pote a de la chance d’avoir une bonne garce comme toi. C’est tous les mecs d’un chantier qu’il te faudrait à toi hein ????
Sa bite prend un rythme effrénée : il sort et rentre dans la chatte à toute vitesse et jusqu’aux couilles. Il se met à lui claquer le cul violement. Ses fesses finissent par devenir rose. Il claque ses fesses dans tous les sens, les empoigne fortement, les écarte, les lâche, les frappe vers le haut, puis à un moment il la chope pas le bassin, et l’empale à fond, et la maintient ainsi et jouit en hurlant. Sa jouissance dure de longues secondes. Il relâche sa proie qui s’affale au sol et sa queue sort de la chatte dans un bruit impressionnant. Le préservatif a une quantité de sperme énorme : vu la taille des couilles, pas étonnant.
Il se fait tard, et on décide de tous jouir aussi. Jean-Michel va à la douche. En 10 minutes, nous la prenons tous à tour de rôle et lui jouissons tous dans la chatte avec un préservatif, sauf moi.
Quelle heure est-il exactement ? Est-ce la bonne fin, la vraie ? Mystère…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
hummm exquis... il en faut encore...
il faut une suite