Quelle soirée ! - histoire érotique

Nous sommes mardi et Alexandre doit rentrer vers 17h30. Une fois n'est pas coutume, la soumise que je suis a décidé de l'accueillir en position d'attente.

Me voici donc en bas et porte-jarretelle, sans culotte et sans soutien-gorge, m'installant sur le dossier du canapé, cuisses écartées sur la pointe des pieds, mains sur les genoux, paumes vers le haut et tête baissée je suis positionnée pile en face de la porte de la chambre.

Je l'entends qui ouvre la porte, j'aurais tellement aimé voir son visage lorsqu'il me découvre dans cette position qu'il chéri... Il dépose sa sacoche, ôte son écharpe et s'approche de moi. Il pose ses mains gelées sur mes seins, quelle sensation intense ! Le froid sur mes tétons me coupe le souffle, mais provoque une montée de chaleur intense en mon bas ventre, sa bouche prend la suite, aspire et lèche l'un après l'autre mes tétons gorgés de désir.

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J'ouvre la porte et n'ai pas à chercher où se trouve ma jolie fée. Elle m'a fait cette fois un joli cadeau en se présentant dans une position de Soumise que j'affectionne particulièrement. Je suis surpris qu'elle soit parfaitement alignée avec la porte. Si un autre client de l’hôtel passe, il aura certainement une jolie image dont il se souviendra...

En tout cas, j'imprime cette délicieuse image de ma soumise assise, offerte, dans une tenue qui me trouble, dans une position qui me trouble. J'ai peur un instant qu'elle chute en arrière et fait le tour du canapé pour m'assurer qu'elle ne puisse pas tomber et en profite pour passer mes mains froides autour d'elle et lui caresser les tétons de mes doigts encore glacés, tournant autour, à la lisière des aréoles, j'adore les faire se tendre... Je profite de l'instant pour tourner tout autour d'elle et me délecter de la voir ainsi sous tous les angles de vue.

Elle est assise sur le dossier, les fesses posées, sa fente visible... Je m'assois donc devant elle et me penche, la tête en arrière pour avoir une vue unique sur son sexe ouvert... Je cherche à poser mes lèvres sur les siennes. J'adore ce contact, ce baiser si intime, sans forcément sortir ma langue à la recherche de son clitoris. Juste un baiser pour la remercier de ce cadeau, de cette offrande d'elle-même. Je la sens soumise, et elle adore ça. Une soumise dont il faut prendre soin. Une soumise à qui je veux donner du plaisir, des sensations et que nous les découvrions ensemble... Je ne résiste finalement pas à titiller son clitoris de ma langue. Elle réagit... J'ai peur que dans l'instant, elle bascule dans le vide alors je la fais redescendre dans une position plus sécurisante.

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Il me fait ensuite redescendre du dossier pour m'assoir confortablement les fesses au bord du canapé, passes ses mains sous mes genoux et entreprends de m'embrasser l'intérieur des cuisses, se rapprochant doucement de ma fente qu'il m'embrasse doucement... Je tends les mains pour lui caresser le sexe à travers son pantalon...

- Tss tss ma soumise... Pas touche, c'est moi qui décide et toi qui te laisses faire.

Sa langue prend finalement possession de ma fente et joue délicieusement avec mon clitoris déjà en érection, je ne tiendrais pas longtemps, je le sais ! J'accompagne ses caresses par des mouvements de bassin qui accentuent le plaisir qu'il me donne, il le sait et connait par cœur l'intensité des gémissements qui annonce ma jouissance imminente et continue en accélérant légèrement. J'attrape sa tête entre mes mains, je me contracte et joui violemment, parcourue de tremblements... Il me prend doucement dans ses bras pour un moment de tendresse partagé...

Alexandre tout comme moi adorons les plats Thaïs et a décidé de m'emmener diner dans un restaurant tout près dont les avis sont excellents. Pour ce diner je décide de garder mes bas et porte-jarretelle, porter des dessous noirs, ma jupe noire fendue sur les côtés et un petit pull croisé en lainage fin.

Nous y allons à pied, le restaurant se situant à quelques centaines de mètres de l'hôtel. Une fois installé à notre table et pendant qu'il a le nez dans le menu, j'entreprends de retirer ma culotte (je sais que c'est une chose qu'il affectionne, mais que je n'ai encore jamais faite). Ce n'est pas pour rien que j'ai choisi la jupe fendue, elle me permet de pouvoir accéder en passant mes mains sur les côtés de façon discrète (le restaurant n'est pas désert et nous avons un voisin de table juste derrière !). Avec mes pouces, j'accroche les côtés de ma culotte en dentelle et la descends doucement... tout doucement, Alexandre ne se rend toujours compte de rien et en deux, trois mouvements des fesses pour le passage et le moment le plus délicat arrive... Glisser le tissu délicat le long des jambes sans se faire remarquer et passer la botte droite, puis la gauche.

Très fière de moi et absolument sans gêne, je lui demande de tendre son bras ce qu'il fait d'un air interrogateur qui se transforme en surprise puis en large sourire lorsqu'il s'aperçoit de ce que je lui ai tendu, il porte la main contenant la culotte près de son nez et prends une profonde inspiration (il aime infiniment sentir mes petites culottes, surtout lorsqu'elles sont maculées de cyprine après qu'il m’ai excité comme une petite salope). Il met le tissu dans sa poche et une fois la commande passée, nous nous mettons à parler de la soirée et des idées qui lui trottent dans la tête depuis des semaines, puis sur le petit carnet que nous utilisons pour se dire des cochonneries en toute discrétion au restaurant, au lieu de petites phrases coquines, je découvre un dessin pour la première fois : celui de moi suspendue à la poutre de la chambre...

Le repas ne va pas tarder et je veux l'exciter le plus possible... La diablesse en moi est très présente pour l'instant et je retire ma botte gauche. Le pied ganté de son bas je le glisse entre ses cuisses et lui caresse le sexe avec mes doigts de pieds...

- Petite salooope ! Tu veux m'exciter...

- Ohhhh Ouiiii c'est un fait !

Le repas fut excellent, mais nous ne nous attardons pas une fois terminer... Nous voulons prendre le dessert dans notre chambre...

De retour à l'hôtel nous entrons dans l'ascenseur dans lequel je subis un butinage en règle, sortis sur le palier il me plaque contre le mur de droite, son doigt sur mon clitoris, puis me penche en avant sur la table du palier, soulève ma jupe pour une petite fessée en règle... Il remet son doigt sur mon bourgeon en érection et me demande d'avancer sans quitter la position de son doigt, nous allons vers la chambre comme cela.

Une fois déchaussés, le Maître prend les choses en main et m'ordonne d'aller dans la salle de bain et de n'en sortir qu'avec uniquement les bas et le masque en dentelle qu'il me tend. J’obéis et quand je le rejoins m'aperçois qu'il a mis en place des sangles sur le haut de la porte de la salle de bain. S'approchant de moi, Monsieur me place les bracelets de poignet qu'il fixe aux sangles. Ainsi attachée, je ne peux que le regarder mettre en place la suite du programme...

Je le vois passer des cordes sur la poutre qui traverse la chambre, positionner sur le lit le wand, la barre d'écartement et d'autres cordes. Il vient ensuite me détacher sans me lâcher et me positionne entre les deux cordes qui descendent de la poutre, en fixe une à l'anneau du bracelet gauche puis la même chose avec le droit. S’accroupit pour fixer à mes chevilles les bracelets et la barre d'écartement. Ainsi, je suis totalement à sa merci et mon excitation en est exacerbée.

Voici que Monsieur se positionne entre mes cuisses maintenues ouvertes pour un léchage en règle de ma fente, sa douce langue joueuse vient aspirer, caresser, titiller mon clitoris entièrement sorti de son capuchon. Il se redresse, me laissant pantelante, attrape une corde et réalise un bondage magnifique. Il attrape mes seins à deux mains, les presse, les malaxe, les tète, je gémis de plus belle, je suis sensible des seins, un simple effleurement me met dans tous mes états alors quand sa bouche gourmande et autoritaire se pose dessus le plaisir est immense et je me mets à dégouliner de cyprine. Le wand collé sur ma vulve est mis en route !! Engin diabolique, inventé par Lucifer en personne à n'en pas douter !! Quel ustensile merveilleux... Les vibrations provoquent en moi un désir violent, je bouge le bassin afin d'accentuer le plaisir... J'ai déjà envie de jouir... Il l'a vu... Il stoppe tout.

Douce torture, mais torture tout de même, car à ce moment-là je ne rêvais que de jouir... De crier mon plaisir... le plaisir qu'il me donne. Il continue son bondage entre mes seins et de part et d'autre de ma fente. Tandis que pour la première fois il me fait un bondage particulier en enroulant une corde autour de chaque sein, mais il veille comme à son habitude de ne pas trop serrer. Monsieur se remet à me sucer et me lécher, arrête encore et utilise le martinet sur mes fesses... J'aime cela, car les lanières caressant ma peau sans douleur tout en donnant de délicieuses sensations c'est exactement ce que j'aime. Le paddle est testé également pour la toute première fois, je valide ! Le bruit est impressionnant, mais la sensation très agréable.

Le voici revenir à la charge avec le wand... Je veux qu'il me le laisse contre mon pubis... Je veux jouir... il essaye pour se libérer mes mains de le maintenir attaché avec une corde, mais les vibrations me donnent trop de plaisir et je bouge en cadence le bassin pour accentuer l'intensité des sensations.

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Je veux jouer avec son excitation, la faire monter encore et encore en lui refusant l'orgasme lorsqu'il approche, faire redescendre, mais pas trop, et maintenir un état d'excitation croissant associer à une frustration, frustration partagée parce que j'adore l'entendre gémir, l'entendre jouir, la voir se tendre, s'offrir, remuer son bassin, basculer la tête en arrière...


Ce sont des moments où je parle peu ou pas, à la fois concentré sur ma soumise et à l'écoute de ses gémissements, même des plus faibles. Faire attention au temps de suspension, aux cordes qui la maintiennent à ma merci. Je lui passe le collier autour du cou pour ajouter à la sensation d'abandon et de soumission. J'utilise d'autres cordes autour de sa taille et lui fait un shibari soutien-gorge, j'en passe aussi deux entre ses jambes et les immiscent entre ses lèvres. Je vérifie la tension de chacune d'elles. Il m'en reste encore d'autres et je m’essaie à enrouler sa généreuse poitrine avec une corde. Chaque sein est maintenu et compressé sans couper la circulation, juste passer un doigt. Elle est totalement bondée, offerte, légèrement suspendue.

J'utilise alors un martinet sur ses fesses, puis le paddle, j’essaie puis de plus en plus ferme... Ça claque bruyamment, mais sans laisser de marque. La dernière corde, je l'utilise pour maintenir le wand contre sa vulve. Pas si simple... Elle ondule en harmonie avec les vibrations. J'alterne entre poitrine, cunnilingus, wand, quelques fessées et caresses sur ses belles et généreuses fesses.

La position devient inconfortable... 40 minutes se sont écoulées, je descends les cordes des poignets et la détache, la libère aussi de la barre d'écartement et la guide vers le lit proche, pour continuer la recherche d'un plaisir que je veux maitriser, dont je veux définir le moment...

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Je commence à avoir mal aux bras et aux poignets et le lui dit, il me détache aussitôt de tout lien et me guide vers le lit qui se trouve juste à côté et m'y allonge en plein centre. Monsieur place un coussin sous mes fesses. A ce moment j'ai toujours les bracelets autour des poignets et des chevilles, il utilise les crochets pour relier les chevilles aux poignets. La vision de mon intimité offerte à lui à ce moment-là est totale, ma fente est grande ouverte de désir de se faire prendre et un spot tout juste bien situé éclaire juste au bon endroit pour offrir une vue détaillée.

Il observe un instant mon intimité avant de plonger entre mes cuisses pour un cunnilingus extraordinaire, me caressant en même temps les seins et l'entrée de mon anus, alterne avec le wand, je n'en peux plus...

- Je veux jouir... S'il vous plait Monsieur...

- Bientôt ma soumise... Très bientôt...

Je le vois s'éloigner de moi quelques instants pour revenir un gant sur la main droite et le flacon de lubrifiant... Je sais ce que cela signifie, nous en avons longuement parlé et nous étions convenus de mettre un gant pour le faire...

Il met un peu de lubrifiant sur ses doigts et commence ses caresses au niveau de mon clitoris pour faire remonter le désir tant recherché, petits cercles avec son pouce, délicat et délicieux, je me cambre, ondule en rythme. Son index se positionne à l'entrée de mon vagin coulant de miel tandis que dans le même temps son majeur est lui posé à l'entrée de la zone qui était encore interdite il y a quelques semaines...

Il caresse de son majeur sans arrêter de bouger ses deux autres doigts, je gémis, c'est bon, je me cambre pour recevoir, il le sent... Je suis prête... il s'enfonce légèrement, doucement, son doigt est en moi tout entier, son index fait de même et je suis sollicitée de toute part...

- Putain comme c'est bon, oh ouiii continu.

Pour la première fois, je ressens un réel plaisir anal, pas juste le fait des trois doigts, plaisir intense et agréable. Je bouge en cadence, à contre sens pour le prendre plus profondément en moi, il sent que je veux plus et plus vite, que ma jouissance est proche alors il augmente la vitesse et me pilonne les orifices profondément tandis que son pouce ne lâche pas mon clitoris.

- Ohhh c'est bon, ohh oui je vais jouir... Ouiii

- Oui jouis maintenant, je te l'ordonne, jouis

L'orgasme arrive dans un hurlement salvateur, je suis parcourue de tremblements violents, je sens mes orifices se contracter suite au violent orgasme que je viens d'avoir... Jamais je n'avais ressenti une jouissance aussi forte... Je suis trempée, mon cœur bat si fort que je crains qu'il ne s'arrête, ma respiration est difficile, je suis vidée, mais comblée comme jamais...

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Nous avions convenu d'utiliser des gants médicaux pour nos jeux donc après avoir léché son joli clitoris avec le bout de ma langue, le titillant ou tournant autour pour l'échauffer, le lubrifier, je prépare ma main droite avec le gant... Y dépose du lubrifiant que je sais froid, glacial, alors je le fais glisser entre mes doigts pour le réchauffer.

Mon pouce, index et majeur son lubrifiés et j'en dépose un peu en haut de sa vulve en accompagnant la caresse de mon pouce tout chaud, puis mon index plus bas cherche l'entrée de son vagin, glisse sur ses petites lèvres, lubrifie la zone, caresse, et enfin mon majeur descend plus bas, entre ses fesses et entre en contact avec son anus. Juste une pression, sans pénétration alors que mon pouce continue sa caresse clitoridienne...

Je peux pivoter et ma bouche glisse sur son sein droit. Ma langue tourne autour de son téton qui est tendu comme une verge. J'accentue la pression de mon majeur, une phalange passe, me permettant aussi de faire la même chose juste un peu plus haut. Puis doucement, mes doigts, de concert, s’engouffrent dans cette intimité offerte pour notre plaisir. Et enfin, ce dont je rêvais depuis quelques semaines est possible... Je fais aller et venir mes doigts simultanément dans ses orifices, tout en maintenant la caresse de son clitoris. Je prends un plaisir fou à l'entendre gémir. Oui, elle découvre cette caresse, et elle y prend du plaisir ! Les gémissements et mouvements s'intensifient, j'autorise sa jouissance qu'elle libère dans un cri puissant jusqu'à découvrir une forte chaleur autour de mon index, puis une humidité inhabituelle... Fontaine ! Sa vulve gémit de plaisir en inondant ma main... Fontaine.

Libérée de mon emprise digitale, je ne résiste pas à l'envie de boire ce jus de plaisir offert. Je lèche, enfonce ma bouche dans cette fente magique, chaude et me régale de tout ce qu'elle m'offre à ce moment, élixir de plaisir et de folie... Quel plaisir unique.

Sa respiration est forte, elle tremble encore de l'intensité de l'émotion et me pose sur elle pour la réchauffer... La fait se tourner sur le ventre et avec un pinceau très large de maquillage lui caresse le dos, les jambes, les fesses et chaque zone de son corps pour l'apaiser et lui apporter la douceur après ces instants d'une rare intensité, pour elle comme pour moi. Je sens son corps doucement s’apaiser. Elle pourrait s'endormir à ce moment-là, je le voudrai presque pour que ce plaisir l'emporte totalement dans le sommeil et les rêves...