Quelques chose de bleu, d’emprunté et du stupre (2) - histoire érotique

Il lui fallut quelques secondes pour émerger. Il lui répondit tout en soulevant sa cagoule :

- Tu m’as reconnu ? Pourtant j’ai vraiment tout fait pour que cela n’arrive pas. En tout cas, effectivement tu sais être docile, ça va j’ai pas trop été brutal ? s’enquit-il auprès de sa future femme.

- Non ne t’inquiète pas tu as été parfait, j’aime bien aussi quand tu es un peu rude et puis j’ai bien aimé ce scénario, ça t’est venu comme ça ?

Alors tout en la raccompagnant dans son lit où ils s’installèrent tout les deux, il lui raconta sa soirée et elle la sienne. Effectivement Dana et Oleksandra étaient toujours aussi chiennes, par contre Jana et Inès n'étaient pas en reste. Esther, elle, aimait toujours autant la sodomie sans préparation. Et qu’apparemment les trois strip-teaseurs ne suffisaient pas à toutes ces femmes, c’est en petite tenues pour certaines qu’elles étaient venu récupérer les agents de sécu qui s'étaient bien relayés entre leurs bouches et entre leurs cuisses.

Un peu comme lui, Béa préférait être spectatrice plutôt et laisser les autres en profiter, elle lui posa donc une question existentielle :

- Chéri, tu crois que l’on change parce que l’on va se marier ?

Après quelques secondes de réflexion, il lui répondit :

- Non ! Je pense pas, on aime toujours autant faire l’amour ensemble mais aussi avec d’autres. Je ne pense pas que cela changera de sitôt, du moins je n’en ai pas l’impression, je pense qu’on aime aussi être voyeur, c’est comme ça que nous sommes. Et puis peut-être qu’on se préserve pour l’après-mariage ? Termina-t-il avec un clin d’œil.

Elle eu l’air satisfaite de sa réponse et enchaîna :

- Cela me rassure, tu as mis les bons mots sur ce que je ressentais. Oh oui j’ai tellement hâte d’y être mais avant je suis surtout pressée de devenir ta femme et puis avoir une nuit de noce avec un type qui a un python dans le pantalon qui rendrait jaloux Rocco cela doit valoir le coup d’œil, lui dit-elle tout en lui rendant son clin d’œil. Ah oui je sais pas si je dois te dire ça mais… c’est un peu délicat…

- Laisse moi deviner, ma mère a participé à l’orgie c’est ça ? Lui répondit-il en étant un peu blême. T’inquiète, j’ai eu une discussion très sérieuse à ce sujet avec papa et puis j’ai vu tonton Martin à l’œuvre, sans compter que papa le rejoignait quand je suis parti. Par contre, quel queutard c’est Parrain.

- Oui je sais lui répondit Béa à demi-mot tout en rougissant.

- Quoi !! Toi et Parrain ? Où ? Et Quand ?

- En fait cela date d’il y a près de quinze ans, c’était aussi avec ta marraine. On s’est rencontré fortuitement lors d’un voyage en Chine, ils ont été tellement charmant tous les deux.

- Petite cachottière ! Tu me l’avais pas dis et puis tu es totalement trempée, dit-il, tout en lui fourrant carrément quatre doigts dans la chatte.

Après quelques secondes, elle lui attrapa son manche de pioche bien dur.

- Die donc, toi aussi mon salaud, m’imaginer avec ton parrain, ça te met dans tout tes états on dirait.

Moins d’une minute plus tard il remettait le couvert pour une bonne partie de la nuit.

Mai et Juin furent bien chargés professionnellement car notre couple voulait que tout soit en ordre avant le mariage et surtout avant leurs deux semaines de voyage de noces prévues à cheval entre la fin juin et le début du mois de juillet. Ils mirent donc les bouchées double en négociation, en réunion et en déplacement professionnel, juste avant le mariage et remportèrent deux nouveaux contrats : l’un avec l’armée de l’air allemande en partenariat avec Siemens et l’autre avec un groupe d’aviation civile sud-coréenne.

Quelques jours avant le mariage, ils finalisèrent l’organisation du voyages de noces et surtout l’organisation de l’après-mariage : le 24 aurait lieu leur superbe fête (qui allait quelque peu dégénérer), puis dès le 25 ils passeraient deux jours avec les enfants (ils n'allaient pas les voir pendant une dizaine de jours donc ils voulaient en profiter un maximum). Ils s’envoleraient ensuite depuis Paris en direction du Caire où ils commenceraient leur voyage à étapes en Afrique. D’abord Nairobi au Kenya puis Kigali au Rwanda, Windhoek en Namibie, Luanda en Angola avant de remonter vers le nord en direction d’Accra au Ghana (où ils seraient accueillis par des proches de Franck) et enfin dernière étape Lungi en Sierra Leone. Cal y tenait notamment pour aller voir l’état d’avancée de son projet (Episode S). Ils passeraient les deux derniers jours à Séville où les enfants les rejoindraient en compagnie de Manon et Alex ainsi que Brad et Susan.

Enfin arriva la veille du mariage avec la répétition au château de Talspitze. L’organisateur avait vraiment bien fait les choses, le domaine était magnifique et la salle de réception décorée comme ils l’avaient imaginées.

Cal et Béa furent heureux d’accueillir leurs nombreux invités qui logeraient sur place et de revoir des personnes qu’ils n’avaient pas vu depuis longtemps. La répétition n’accueillait qu’une partie des invités, le gros du contingent viendrait le lendemain.

Tout se passa comme ils l’avaient imaginé et à la fin, tradition oblige Béa repartit avec ses parents à lui a Hunawihr tandis que lui restait sur place, mais Cal avait de la suite dans les idées.

Il avait quand même passé la soirée avec une bonne partie de ses amis au château de Talspitze, mais bon ils avaient été raisonnables, il y avait quand même le mariage demain.

C’était un plaisir de tous se retrouver même s’ils s’étaient divisés en deux groupes, afin que Béa ne passe pas la soirée toute seule non plus.

Vers une heure du matin, il reçut un message de Fabien qui était dans le groupe d’Hunawihr : ils reprenaient la route. Ni une, ni deux Cal qui s’était déjà retiré dans sa sa chambre fonça au garage ou l’attendait son chauffeur Miles. Ils prirent la route jusqu’à la maison de ses parents. Il dit à son chauffeur d’aller se poser au bar du coin qui était encore ouvert, il l’appellerait quand il repartirait.

Il se glissa dans la propriété et arriva juste en dessous de sa chambre qui était trois étages plus haut. Par chance la roseraie qu’il avait si souvent utilisée pour faire le mur à son adolescence était encore là. Il soupçonnait son père de ne jamais l’avoir retirée pour lui laisser vivre sa vie mais il avait bien amorti le sol en y plantant le jardinet sans compter toutes les prises que comptait justement la roseraie.

Il grimpa doucement mais sûrement pour arriver jusqu’à son ancienne chambre qui avait quand même une vraie fenêtre en plus des deux lucarnes situées au dessus. Bon pour la malédiction on repassera car il s’attendait à trouver sa promise en sous-vêtements et là sur le coup elle essayait sa robe de mariée qui était vraiment très belle. Le patron utilisé était un modèle qu’ils avaient déjà vu au salon du mariage il y a six mois de cela.

C’était un modèle Liliana de la collection Luxury Dreams de chez Oksana Mukha, composé de dentelle de Chantilly, de broderies de fleurs et de perles ainsi que d’un tulle en stretch. Béa avait vraiment une allure de reine d’autant que la couronne de fleurs dans ses cheveux donnait un petit côté mariage à la campagne.

Par contre, Stella avait ajouté sa sauce à cette création, de la broderie or avait été ajoutée ça et la sans parler des motifs qu’il voyait en surimpression : Un B et un C entrelacé (apparemment Angelo et Stella s’était concertés).

A un moment, Béa regarda sur le côté et apparemment vit son reflet dans le miroir. Elle se tourna légèrement et mit sa main sur sa bouche de surprise avant d’aller lui ouvrir et de lui dire :

- Tu es complètement fou mon chérie ! On est au deuxième étage, tu espérais te rompre le cou pour que je ne puisse pas te passer la corde au cou ? Et puis tes parents sont en dessous.

- Fou ! Fou de toi ma toute belle lui déclama-t-il, tu es magnifique dans cette robe tout en touchant les broderies. Et pour ce qui est de la corde tu sais qu’il n’y a pas qu’autour du cou que tu peux me la passer, ajouta-t-il avec un clin d’œil très suggestif.

- Tu es incorrigible mon amour, par contre tu sais que ça porte malheur de voir sa promise dans sa robe avant le mariage ?

- Oui je sais, on me l’a assez seriné pour que j’ai envie de faire une entorse aux traditions. Tu sais que j’aime être non conformiste et puis bon, on a répété la réception du mariage, le repas, les discours. J’ai aussi besoin de répéter ma nuit de noce enchaîna-t-il tout en l’embrassant dans le cou.

- Répétée ? Tu sais que tu n’as besoin d’aucune répétition pour ce que tu es en train de faire mon coquin lui susurra-t-elle à l’oreille alors qu’il lui caressait sa peau nue dans son dos.

- En fait ! A la base j’espérais te découvrir en lingerie fine mais la robe de mariée c’est du bonus.

- Ah c’est ça que tu voulais voir lui dit-elle tout en commençant à retirer sa robe sous son regard lubrique.

Il découvrit alors sa lingerie de mariage : le modèle Scarlett de chez Rittrati Milano avec soutien-gorge coque en dentelle et soie, slip brésilien et porte-jarretelless dans un blanc presque virginal (c’était loin d’être le cas de sa chère Béa). Le charme de cette lingerie résidait principalement dans les petits bijoux que l’on retrouvait à l’entre-seins et à la taille du porte-jarretelles.

- Tu es toujours aussi belle mon amour, cette lingerie me donne quelques idées lui glissa-t-il alors que sa main remontait du bas blanc vers sa peau nue.

- Tu es sérieux alors que tes parents dorment en dessous lui répondit-elle avec difficulté alors que sa main à lui commençait à tester la dentelle de son slip brésilien.

- Mais si, ma Béa dois-je te rappeler ce qui s’est passé au dernier nouvel an.

Il faisait référence au soir de la Saint-Sylvestre où ils s’étaient offert un super quickie entre les flageolets et la dinde aux marrons contre la porte de sa chambre. Cela sembla illuminer ses yeux à ce moment magique car elle n’hésita plus à aller chercher son membre bien rigide dans son pantalon.

Ce fut encore un moment extraordinaire entre eux deux et fort heureusement il sut être discret pour ne pas être entendu par ses parents.

Il repartit tard dans la nuit par la roseraie avec une Béa en état d’extase qui le regardait amoureusement par la fenêtre. II rejoignit Miles à la voiture après un dernier baiser envoyé à sa bien aimée. C’est tout heureux et excité en vue de la journée du lendemain qu’il s’endormît paisiblement.

Il y aurait tellement à dire sur les deux jours suivants, tellement de bons moments, tellement de tendresse dans chaque geste, dans chaque mot, c’était un moment figé pour l’éternité.

Le mariage avait été féerique, ils avaient une chance inouïe pour ce 23 juin, il faisait un temps magnifique, il ne faisait pas non plus trop chaud avec un bon vingt-six degrés avec un petit vent léger très plaisant, le soleil était au rendez-vous.
La petite ouverture au milieu du Colisée en ce début d’après-midi laissait donc filtrer un soleil qui illumina l’autel.

Il remonta l’allée au milieu du parterre de sièges de l’assemblée en compagnie de sa maman, qui était très émue aussi, jusqu’au pasteur et au maire de Sondernach qui célébreraient le mariage en même temps. Après avoir déposé sa mère sur un siège du premier rang, il s’installa à la place qui lui était dévolue et attendit la remontée des témoins et des demoiselles d’honneur.

D’abord Robbie et Diana (son meilleur ami faisait le dur mais là Cal sentait qu’il était heureux de ce moment) puis Franck et Astrid qui avait accouché il y a peine trois semaines d’un petit Willy (ils semblaient radieux et tellement heureux tous les deux, Cal n’était pas peu fier). En troisième Salma et Clément (ils montraient l’image d’un couple uni et harmonieux, c’était un exemple de stabilité pour eux tous) et enfin fermaient la marche Fabien et Agnès (qui avait aussi fait un travail formidable avec le repas de mariage).

Les robes dessinées par Stella étaient magnifiques, sur le même modèle que la robe de mariée de sa Béa, elles étaient de couleur crème tandis que les costumes dessinés par Angelo pour les témoins étaient une copie conforme du costume de Cal. La différence était liée aux chaussures : Cal tenait absolument à reporter le modèle de chez Church’s qu’il portait le premier soir avec Béa. Ses témoins portaient eux des Richelieu Scars en cuir de veau et d’alligator de chez Berluti. Les modèles féminins, eux, étaient de chez Jimmy Choo conçus avec des cristaux Swarovski, il s’agissait du modèle Ari.

Puis la pureté absolue apparut à son tour, sa Béa, la femme de sa vie dans sa robe de mariée au bras de son père à lui (son père à elle étant à l’heure actuelle en prison). Elle était belle et classe à la fois, la foule n’avait d’yeux que pour elle, mais Béa elle ne regarderait que lui.

Avant d'arriver à sa hauteur, Cal descendit de l’autel et après avoir échangé une franche accolade avec son papa, il regarda sa belle et sans un mot ils échangèrent un tendre baiser avant de regagner ensemble l’autel pour attendre les derniers venus sur l’allée.

En effet, juste après la mariée, Stella en plus d’avoir dessiné les costumes de la mariée, des demoiselles d’honneur et de certaines des invitées, remontait l’allée main dans la main avec Brittany d’un côté et Max de l’autre. Les enfants étaient chargés de porter les alliances. Béa et Cal étaient déjà émus à la vue de leurs deux enfants dans leurs beaux costumes.

Il y eut les discours successifs du maire puis du pasteur et enfin arriva le moment de l’échange des vœux où nos mariés avaient choisi de faire le choix des vœux croisés. Cal ouvrit le bal :

- Ma Béa, la femme de ma vie, mon âme-sœur, je pense que nous deux cela a toujours été une évidence pour tous le monde sauf pour toi et moi. On a toujours voulu bien faire les choses et cela a souvent été à notre détriment. C’était écrit je pense que je ce soit moi la première personne que tu aies rencontrée à ton arrivée à HEC, tu as su parfaitement t’intégrer à notre groupe et j’ai fais le choix de vouloir te considérer en amie et je pense devoir aujourd’hui m’excuser auprès de mes ex parce qu’être comparé à toi sans arrêt même inconsciemment de ma part, cela ne doit pas faire plaisir. Donc mesdames je profite de l’occasion pour m’excuser platement (son regard contrit vers Manon notamment fit sourire l’assistance et surtout son ex-femme).

- Mon amour, commença à lui répondre sa future femme, oui je pense que les excuses sont de rigueur, d’autant qu’une femme cela a beaucoup de mémoire et la rancune tenace. Tache de bien t’en souvenir, dit-elle avec un clin d’œil peu discret qui le fit encore beaucoup rire, mais je ne suis pas excusable pour autant moi-même, je me suis voilé la face, tu avais dès notre première rencontre tout de l’homme dont j’avais besoin dans ma vie : tu es beau, la tête bien pleine (les couilles aussi mais ça elle n’allait pas le dire), prévenant, tu penses toujours aux autres avant toi, tu es drôle et incroyablement travailleur. Oui on peut le dire, je suis née avec une cuillère d’argent dans la bouche et même si j’ai toujours tout fait pour me défaire de cette image, jamais je n’aurai ton mérite. Tu es parti de rien, tu n’avais pas mes facilités financières et tu t’es fais seul, je suis tellement fière de partager ta vie, tu es unique mon homme. Je t’aime plus que tout, mais je t’aime aussi parce qu’en toute circonstances tu as toujours été là. Ta famille m’a accueillie comme l’une des leurs dès la première fois où je t’ai accompagné en Alsace. Tu m’as offert ce qui manquait à ma vie depuis… depuis le décès de maman termina-t-elle alors que des larmes coulaient sur ses belles joues.

Cal se tourna alors vers sa bien aimée, lui prit les mains et ne s’adressa plus qu’à elle :

- Ma famille est la tienne car tu es ma famille. Tu as toujours considéré Max comme ton propre fils comme j’ai toujours considéré Brittany comme ma fille. Je serai toujours là pour toi, jusqu’à la fin des temps, jusqu’au bout du monde. Jusqu’au bout du monde ma Béa ne l’oublie jamais. J’ai du mérite mais tu en as tout autant, regarde le chemin que tu as parcouru. De l’étudiante qui se rêvait PDG de son propre groupe et qui a préparé minutieusement chaque étape pour monter au sommet, tu as su le faire et avec bravoure, toi qui a toujours placé le mérite et le travail au dessus de tout. Tu te l’es appliqué à toi-même et regarde la formidable femme que tu es devenue, ta maman serait si fière de toi mon amour ! Tu es une femme accomplie, passionnée et qui sait ce qu’il faut faire pour réussir.
Je te dois toute ma carrière, si j’en suis là aujourd’hui c’est parce que tu m’as fait confiance.
Je t’ai aimé hier, je t’aime aujourd’hui et je t’aimerai chaque jour et au delà de notre vie.

- Je suis à toi et tu es à moi déclama-t-elle.
- Ensemble rien ne peut nous arrêter, nous ne sommes qu’un lui répondit Cal.
- Aujourd’hui et jusqu’à la toute fin.
- Je te fais la promesse dans la joie comme dans la tristesse.
- Que nous soyons pauvres ou riches, ici ou ailleurs.
- De prendre soin de toi, de te seconder dans tous tes projets, de te sublimer et tout simplement de t’aimer.

Sous les applaudissements nourris des invités, ils échangèrent les yeux dans les yeux un intense regard comme si rien d’autre n’existait puis ils échangèrent un baiser passionné.

Puis vint le moment des acceptations ou ils se passèrent les alliances remises par leurs enfants respectifs avant d’échanger un nouveau baiser enflammé quand ils en reçurent l’autorisation.

Vint la réception qui fut un très bon moment aussi. Pour notre nouveau couple marié c’était important de faire le tour de toute les tables et de s’intéresser à l’évolution de la vie de chacun.

Ils virent beaucoup de monde : des invités un peu plus professionnels tels que de grands chefs d’entreprises, des sportifs et des artistes célèbres mais aussi trois ministres et quelques députés et sénateurs.

Mais il y avait aussi beaucoup d’invités personnels qu’ils avaient plaisir à retrouver : Cal revit avec plaisir le meilleur ami de Béa, l’ancien joueur de base-ball des New-York Giants, Marcus Ariza. C’était un grand gars de type hispanique et bien baraqué, il avait de sacrées épaules notamment. Cal le félicita pour les World Séries que son ancienne équipe venait de remporter et dont il était aujourd’hui l’un des dirigeants. Beaucoup de femmes de son entourage le trouvaient à leur goût dont une Hermosa toujours très affriolante dans sa robe en maille quasi transparente de chez Alaïa.

Ulla (Épisode U) que Cal n’avait pas revue depuis quelques temps donna des nouvelles de ses sœurs et leur apprit qu’elle était désormais chimiste dans le grand groupe pharmaceutique, Bayer AG, à Leverkusen mais aussi qu’elle était célibataire depuis quelques temps. Son style décalé n’échappa pas à Michaël, le plus jeune des frères de Fabien qui ayant travaillé longtemps en Allemagne commença a l’entretenir dans la langue de Goethe.

Ils apprirent aussi que Babacar et Jessica désormais en couple étaient en formation accélérée de japonais pour devenir assistant chef de cuisine et responsable de salle dans le restaurant « Au bon Morbier » de Tokyo.

Ils virent également Charlotte et Keisha en couple toutes les deux mais qui ne se privaient pas de s’accorder des relations hétérosexuelles. Ce qui bien sûr n’échappa pas aux oreilles des inséparables Benjamin Carter et Mike Brown.

Cal put aussi rencontrer le beau gosse brésilien Rodrigo Mendes Da Folha qu’Inès trouva très élégant dans son costume trois pièces (cela avait le don d’exciter la vendeuse en lingerie) et puis Cal comprit pourquoi on avait prêté une relation à Béa avec le prince héritier d’Oman (ce qui s’était finalement rectifié depuis). En effet, le prince Marwan était vraiment classe dans son costume traditionnel, son turban donnait un côté original à cette soirée. Il avait apparemment décidé de s’amuser ce soir si l’on en croyait les regards entendus qu’ils échangeait avec Flora puis avec Pauline.

En parlant de frère et sœur, cela semblait bien matcher entre Quinn, la sœur de Robbie, et Aurélien l’autre frère de Fabien.

L’un des autres temps forts de la soirée fut le discours très tendre et plein d’amour de la part de leurs témoins et demoiselles d’honneur. Eux aussi, comme Cal et Béa, avaient choisi le discours croisé. Le couple retint plusieurs passages marquants :

Robbie et Diana s’adressant aux tourtereaux : « Ce genre de discours peut parfois paraître désuet et vide de sens mais dans le cas de notre beau couple, on peut dire et moi le premier que ce sont des amis sur qui on pourra toujours compter ». Béa et Cal savaient qu’ils faisaient référence à la nuit avant la mort du parrain de Robbie (Episode V), ils furent donc très touchés.

Salma et Clément parlant des passions dans la vie : « On doit toujours vivre ses passions dans la vie peu importe le qu’en dira-t-on, soyons ce que l’on est fièrement et faisons corps pour donner de la profondeur à nos inspirations, mais soyons aussi ferme dans nos conviction profondes » dans un discours gorgé de sous-entendus. Le clin d’œil de Cal à Salma la fit fortement rougir.

Franck et Astrid parlant des opportunités qu’offraient leurs amis : « Parfois on ne demande rien, on ne montre rien mais seuls vos amis savent ce qui est bon pour vous sans que vous le sachiez vous-même. C’est ce genre d’amis que sont Béa et Cal, des amis qui font passer l’intérêt des autres avant le leur ». Et tout en regardant son épouse Astrid et son petit garçon Willy qui dormait dans son couffin, « je ne pourrai jamais assez vous remercier et surtout toi mon cher Cal ». Cal fut ému de voir son ami versait une petite larme, chose qu’il n’avait jamais vu. « On doit tous avoir des amis comme Béa et Cal dans sa vie » conclut-il.

Stella qui était venue en compagnie de Marjanna à la cérémonie s’adressa à eux le verre à la main, le visage déterminé : « Béa et Cal, des ami(e)s qui ne jugent jamais en toute circonstance, qui savent vous donner de l’importance et vous écouter. Qui sont là dans les moments de doute et d’échec et qui vous poussent encore et toujours à apprendre de vos erreurs pour faire mieux. Des ami(e)s qui sont la aussi quand vous remportez vos plus grandes victoires.Et comme l’a si bien dit Cal, Il n’y aurait pas de Béa sans Cal et pas de Cal sans Béa. Vous êtes iconique à votre façon comme Michelle et Barack, comme Beyonce et Jay-Z, mais aussi comme Ellen et Portia mais tout aussi mythique qu'Aladin et Jasmine, Ron et Hermione ainsi que Troy et Gabriella », termina-t-elle sous les rires de l’assistance.

Enfin les mots de Fabien et Agnès notamment sur les regrets et les remords : « Je pense que comme nous, beaucoup de personnes de l’assistance se sont demandé si on assisterait un jour à ce jour heureux. Merci tout les deux pour cette magnifique fête, mais bon vous nous avez aussi désespéré à cacher une relation que presque tous vos proches avaient découvert, vous êtes vraiment pas discrets (sous les rires et les têtes désespérées de l’assistance). On en a parlé Cal et je sais qu’Agnès en avait aussi parlé à Béa, mais il ne faut jamais accepter de vivre avec des remords. Une bataille n'est réellement perdue que si on ne fait rien. Je connais les raisons profondes de tes doutes Cal, mais tu as su les surmonter admirablement mon ami pour enfin unir à jamais ta vie à notre chère Béa qui je le sais t’aime plus que tout. Vous formez une magnifique famille et je sais que tout le monde n’a qu’une hâte c’est voir très vite une tête rousse avec des yeux verts naître de ce beau mariage d’amour, alors de notre part à tous et comme le disait Walt Disney, nous vous souhaitons de vivre heureux et d’avoir beaucoup d’enfants. »

La première danse fut aussi un moment très marquant. En effet Cal avait réservé une grosse surprise à sa femme et donc au moment où ils furent accueillis sur la piste de danse au nom de Monsieur et Madame Liénard, les premières notes de When a man love a woman retentirent. Béa leva la tête et fut sidérée de tomber sur le chanteur américain Michael Bolton accompagné par la chanteuse Elie Goulding sur l’estrade de leur salle de mariage.

- C’est pas vrai ! tu as fait ça c’est incroyable, merci mon chéri, cela me rappelle tant de souvenirs. Je t’aime mon chéri.

- Rien ne sera jamais trop beau pour toi et puis je tenais à ce qu’un maximum de détails de notre premier soir soit présent ce soir. Et puis Michael Bolton et Élie Goulding c’est mieux en vrai qu’à la radio non ?

- Un maximum de détails ? tu n’as pas fais transporter le vieux bureau Empire de mon père dans notre chambre à coucher j’espère ?

- Non t’inquiète ma puce, juste une tonne de vidéo surveillance certainement bien lubrique à visionner. Je pense que la nuit de noce va être très intéressante.

Cela eut le don d’enflammer quelque peu Béa mais pour l’heure cette première danse les attendait et ce fut un moment d’un grand romantisme et totalement hors du temps pour nos deux tourtereaux qui remarquèrent à peine que nos deux artistes avaient enchaîné sur Love you like you do de la chanteuse. Le baiser passionné partagé sur la piste de danse au milieu des convives fut un moment d’une allégresse pure pour nos amoureux. Le repas et le gâteau de mariage ravirent tous les invités, le travail de Marine, Agnès et Fabien était apprécié à sa juste valeur.

L’après-soirée comme promis par Cal à Béa fut des plus érotiques : couchés tout les deux dans leur lit immense, elle dans sa lingerie blanche et lui en boxer, ils s’enlaçaient tout en regardant sur leur écran plat les caméras de surveillance comme de sacrés voyeurs qu’ils étaient.

Leurs prévisions s’avèrent juste quand ils virent Marcus prendre violemment par le cul Hermosa sur le balcon de sa chambre, les gros seins de l’espagnole rebondissant par dessus la rambarde. Ulla et Michaël, eux, baisaient comme des forcenés face à face sur une des balancelles du parc, cela avait vraiment matché entre eux car malgré la violence du coït, il y avait quand même une certaine tendresse dans les gestes.

Par contre point de tendresse dans le foursome entre Keisha, Charlotte, Mike et Benjamin. Les deux gars enculaient en mode marteau piqueur les deux filles sur les tables de billard de l’une des ailes les plus éloignée de la salle de bal car vu les cris qu’elles poussaient, il n'y aurait pas beaucoup de personnes qui dormiraient.

Il n’avait pas les images de la chambre de Rodrigo mais vu comment ils étaient bras dessus bras dessous devant sa porte avec Inès, cela devait y aller. Pas plus d’images pour le prince Marwan avec Flora et Pauline. Mais Quinn et Aurélien avait choisi la bibliothèque (tiens encore une) pour leurs petites affaires et donc la vue du bon cul de Quinn montant et descendant sur le vit d’Aurelien fut très aphrodisiaque.

Par contre, preuve en était qu’ils n’avaient pas tout vu avec la bande de dépravés qu’ils avaient invité, certaines parties de jambe en l’air les surprirent. En effet, le Colisée semblait être devenu un vrai lupanar avec une orgie qu’ils virent quasiment en direct.

Francis était assis sur une des marches pendant qu’une Dana déchaînée lui suçait la queue tout en ayant une feuille de rose en bonne et due forme faite par Oleksandra. Non loin d’eux Jessica subissait les assauts de Franck qui s’agrippait fermement à son gros cul pendant qu’il la prenait en levrette. Astrid était juste à côté en amazone sur Pierre-Emile. Un peu plus bas au niveau de l’autel Babacar et Randall étaient debout en train de se faire sucer respectivement par Jana et Tamira. Un dernier attroupement de l’autre côté était composé de Gemma, Zayra et Marine qui se faisaient baiser a tour de rôle par quatre types : Andrea, Javier, Travis et Richard.

Il y avait sûrement d’autres groupe par ci par là mais Béa et Cal n’avaient pas pu finir leur visionnage de pervers étant déjà partis dans une baise endiablée.

Le lendemain, les mines étaient fatiguées mais radieuses pour beaucoup de convives. Béa et Cal avait organisé diverses activités jusqu’à la mi-journée puis la grande majorité des invités reprirent la route.

Cal garderait toujours en mémoire le regard légèrement réprobateur de sa mère mais avec un léger sourire au coin des lèvres, le sourire goguenard de son père et la mine boudeuse de son parrain qui était déçu de pas avoir été invité à la petite sauterie mais cela mettait un peu mal à l’aise notre alsacien qui devrait se faire pardonner. Il demanderait à certaines de ses amies les plus chaudes de lui rendre visite par la suite.

Les invités restants bénéficièrent de la fin d’après-midi pour se reposer ou pour se préparer.
II y aurait en début de soirée un repas léger avant la grosse sauterie.
L’avant soirée fut digne du tapis rouge du festival de Cannes avec beaucoup de grandes marques : Elie Saab, Chanel, Versace, YSL, Givenchy, Christian Dior ou encore maison Margiela du côté des femmes. Tandis que du côté des hommes, nous avions Michael Kors, Roberto Cavalli, Tom Ford, Hugo Boss ou encore Ralph Lauren.

Une fois que tout le monde fut réuni dans la grande salle, Béa et Cal montèrent sur l’estrade pour s’adresser à leurs invités, ce fut Béa qui commença :

- Merci à tous chers ami(e)s d’être resté pour cette after de notre mariage. Mon époux Cal, vraiment je ne me lasserai jamais de dire cette phrase, dit-elle sous les rires de l’assistance et le regard amoureux de son mari. Je disais donc mon époux Cal et moi-même sommes heureux que vous ayez accepté cette invitation à un jeu des plus divertissants et pervers.

- En effet et comme l’a très justement souligné mon épouse Béa, nous avons imaginé cette soirée comme l’Everest de notre mode de vie auquel vous adhérez ou y avez pris une part très active. Nous espérons que vous en garderez un souvenir impérissable et cela fera peut-être des émules qui sait ? Peut-être pourrions nous rééditer l’expérience par la suite enchaîna Cal.

- Mais avant toute chose, vous avez tous signé sans exception le protocole d’accord aux clauses de la soirée sur l’application cryptée MCMA, pour ceux qui l’aurait compris cela veut dire « Mon cul m’appartient », une nouvelle fois sous les rires du public. Je vous rappelle donc pour la forme que vous vous êtes engagés à d’une part ne rien divulguer de la soirée, des personnes présentes ainsi que de la nature de cette soirée, ensuite d’autre part à ne pas prendre de photos et de vidéos de cette soirée. A l’inverse, comme indiqué nous vous fournirons via l’application cryptée les photos et les vidéos de cette soirée car les équipes de la société B3K de Travis Bishop ont installé un matériel dernier cri pour immortaliser cette soirée. Applaudissons le bien fort.

Travis reçut donc l’ovation qu’il méritait de la part des invités.

- Enfin, reprit Cal, nous vous rappelons les règles du jeu : vous avez tous grâce à l’application sélectionné un item qui ce soir nous indiquera avec qui vous passerez la soirée et selon quelles compositions. Rassurez-vous et comme expliqué, les relations incestueuses ne seront pas possibles et les aspirations sexuelles des uns et des autres seront respectées. Honneur aux dames et place tout de suite aux choix de mon épouse Béa. Alors mon amour, quel item as-tu choisi ?

- Eh bien, j’ai choisi la dame aux camélias.
- Donc voyons voir sur l’écran plat au dessus de moi qui a choisi cet item, montra Cal à la façon d’un présentateur télé. Roulement de tambour, eh bien c’est… Francis. Béa et Francis je vous en prie, sur le canapé central. Place à l’item suivant...


Cal continua comme cela jusqu’à ce que tout les items sortent, le sien sortirait en dernier.
La répartition fut ceci après Béa et Francis :
- Astrid/Dana/Rory/André
- Charlotte/Randall/Rachid
- Marcus/Zayra/Yaël/Mike Power/Nicklas
- Franck/Quinn
- Stella/Dana/Hermosa
- Manon/Clement/Travis/Randy McEwen
- Keisha/Fabien/Pierre-Emile/ Gemma
- Alex/Flora
- Salma/Jessica/Oleksandra/Marwan/Rodrigo
- Babacar/Agnès/Jana
- Inès/Robbie/Yannick(le banquier)/Aurélien
- Esther/Andrea/Nils/Michaël
- Richard/Marjanna
- Léa/Pauline/Javier/Benjamin
- Ulla/Alban (le sex-friend de Xena)/Ayari Moriyatsu
- Marine/Wanda/Wes
- Nina/Rodrigue
- Sacha/Tamira/Mike Brown/Vera
- Xena/Jimmy (le serveur et sex-friend de Yaël)
- Rachel et Fabien
- Et enfin Cal avec la compagne de son meilleur ami, Diana et la femme de l’un de ses associés Fatima

Une fois la répartition faite, Cal regarda vers son épouse qui retira sa robe longue dos nu noir de chez Guess tout en regardant son mari qui appréciait tout particulièrement son ensemble de lingerie Rittrati Milano, modèle Bouquet composé d’un porte-jarretelles, d’un slip brésilien mais sans le soutien-gorge.

Elle se retrouva donc seins nus au milieu de cette grande pièce tandis que Francis pouvait à loisir observer son côté pile. Les hostilités commencèrent quand Béa à quatre pattes sur le canapé, la croupe bien tendue commença à sucer la bite que lui tendait Francis.

A partir de là ce ne fut que décadence et dépravation.
Au bout d’un petit moment, Cal qui avait droit à une double branlette espagnole entre les gros seins de Fatima et de Diana regarda ce qu’il se passait dans la salle.

Au fond à gauche, Astrid et Dana s’embrassait à pleine bouche face à face pendant que derrière elle André et Rory les prenaient sauvagement en levrette. Juste à côté d’eux Charlotte s’empalait en amazone inversée sur la bite de Randall pendant que debout sur le canapé Rachid se faisait sucer.

Cela y allait très fort à côté d’eux où Yaël décidément toujours aussi insatiable prenait une double de la part de Marcus dans sa chatte et Nicklas dans son cul, tandis que couchée à côté d’elle Zayra subissait les assauts énergiques de Mike Power le nez plongé dans ses gros obus.

Franck, lui, était debout à côté de son canapé et faisait rebondir la sœur de Robbie sur son vit. Quinn avait l’air de beaucoup apprécier sa queue de black au vu de ses cris. Une partie saphique se jouait à côté d’eux puisque Hermosa s’employait à laper la fente de Dana pendant que Stella lui enfonçait un gros gode en cristal dans la chatte qui devenait de plus en plus béante.

Dans le groupe suivant son ex-femme prenait très cher : elle était en amazone inversée sur la queue de Travis pendant que Clément lui faisait la chatte tout en tirant fortement sur ses seins. Randy, lui, n'y allait pas de main morte en lui mettant des bifles, des claques et des gorges profondes à répétition mais Manon en redemandait toujours plus.

A leur droite Keisha et Gemma se tenaient au haut du canapé pendant que Pierre-Emile et Fabien y allaient dans leurs culs. Alex et Flora était eux en amazone, l’agente immobilière montant et rebondissant à une telle vitesse, le mari de son ex, lui, savourait tout en tirant sur les pointes de ses seins ou en y mettant des claques pour les faire rougir.

Un cri attira son attention, apparemment Oleksandra en prenait de toutes parts prise en double par Rodrigo et Marwan tandis que Salma lui embrassait les seins et que Jessica lui faisait lécher ses gros obus, dans une partie de jambes en l’air très internationale.

Babacar lui était aux anges, sa patronne faisait rebondir son cul sur sa poutre de Bamako pendant que Jana lui donnait sa chatte et son cul à lécher, et apparemment il était très doué au vu des cris qu’elles poussaient. Robbie ne ratait rien de cette scène puisqu’il tenait Inès avec Aurélien et ils la prenaient en double debout pendant qu’elle embrassait et branlait énergiquement Yannick.

Esther n'était pas en reste dans son foursome puisqu’elle subissait en levrette extrême la sodomie d’Andrea tout en tentant de sucer en même temps les deux bites de Nils et Michaël. Sa bouche prenait aussi cher que son cul.

Richard, lui, savourait couché sur son canapé la fellation de Marjanna tout en lui triturant les deux trous avec déjà trois doigts dans sa chatte et deux dans son fion.

Le foursome suivant voyait Léa au dessus de la bite de Javier avec au dessus d’elle Pauline qui l’embrassait pendant que Benjamin s’employait dans sa chatte en levrette.

Ulla, elle, était à genoux et s’employait à sucer les deux queues qu’elle avait devant elle, la longue et épaisse tige de fer d’Alban et la tout aussi longue pine d’Ayari. Elle salivait énormément et tout cela coulait entre ses seins.

Wes, lui, s’employait en missionnaire dans le ventre de Marine pendant que le capitaine Wanda léchait tout ce qu’elle pouvait : bite, boule, fente ou encore l’anus de Marine qui feulait littéralement.

Rodrigue prenait avec plaisir la compagne de son patron par le cul. Nina, elle, était couchée sur le côté et avait ses jambes repliées contre elle. Elle adorait visiblement cette sodomie.

Mike Brown, lui, avait l’embarras du choix : Vera, Sacha et Tamira lui tournaient le dos tout en lui tendant la croupe dans lesquelles il y allait franchement passant d’un trou et d’une fille à l’autre. Le grand black semblait infatigable.

Les deux derniers canapés voyaient Jimmy et Fabien prendre en missionnaire respectivement Xena et Rachel quasiment côte à côte, elles se touchaient allègrement.

Cal, lui, avait eu une bonne branlette espagnole et de bonnes pipes. Diana et Fatima avaient des techniques très différentes. Diana faisait plus dans la tendresse avec du léchage dans les règles, des jeux de regards et une langue qui lui taquinait régulièrement le méat. Fatima était du genre plus rude avec un pompage sans les mains de sa teub sans parler du branlage énergique. Elle insistait aussi pour qu’il pose sa main sur son crâne et qu’il s’enfonce loin. Elles se mirent ensuite à quatre pattes sur le canapé de l’estrade et lui laissèrent les prendre à tout de rôle par le cul tout en regardant sa femme aussi prise par le cul mais en amazone inversée sur le pieu bien dur encore malgré son âge de Francis.

Tout ne fut que volupté jusqu’au feu d’artifice final où toutes les femmes, après avoir toutes eu de beaux orgasmes, se placèrent au centre en attendant la pluie de foutre. Parfois bien aidé par les mains, les bouches ou les langues, ce fut un torrent de sperme qui s’abattit sur elles.

La soirée avait été mémorable et l’après-soirée encore plus. Une fois que tout le monde fut reparti, alors qu’ils marchaient paisiblement dans le parc, Béa brisa le silence :

- Chéri j’ai quelque chose à te dire. Je voulais te faire un superbe cadeau de mariage, je sais que tu rêves de donner un petit frère ou une petite sœur à nos deux beaux enfants et à la base je voulais t’annoncer ce soir que je voulais qu’on essaie de concevoir un enfant mais il semblerait que mes plans se soient un peu bousculé car mon amour je suis enceinte et je te rassure tu es le père sans aucun doute, le seul avec qui j’ai un eu des rapports non protégés c’est toi. Alors félicitation papa.

Cal ne trouva rien d’autre à dire que de prendre sa belle dans ses bras pour lui exprimer son bonheur et son allégresse. Il avait rêvé sur une plage de la mer du Nord d’avoir des enfants avec sa Béa et ce soir sur les plaines d’Alsace, ce rêve se concrétisait.

Ils ne pouvaient pas être plus heureux, ils étaient prêt pour une nouvelle aventure ensemble.