Quelques outrages excitants supplémentaires
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Quelques outrages excitants supplémentaires
Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°489 - Quelques outrages excitants supplémentaires -
La nuit avait été courte et difficile pour soumis compelled MDE, l’étroitesse de la cage dans laquelle il avait été placée, l’avait contraint à rester sans bouger ou presque et toujours en position fœtale. Il ne fut pas mécontent, à peine le jour levé, de voir arriver Alberto. Il le sortit d’ici, sans grand ménagement, sans tenir compte de ses contractures musculaires puis le retourna et plaqua son ventre contre le haut de la cage.
- Ecarte ton cul !
Alors soumis compelled MDE empoigna son fessier, écarta les cuisses et dégagea sa raie. Il resta ainsi exposé, jusqu’à l’arrivée de Monsieur le Comte et du Maître.
- Alors Mon chien, est-ce que ton cul a absorbé cette saine nourriture qu’on lui a généreusement donnée hier au soir ? Questionna le Maître.
Soumis compelled était bien incapable de répondre à cette vicieuse et humiliante question. Le Maitre insista dans ce registre :
- Veux-tu que nous vérifions ?
- Vous seul pouvez décider, Maître Vénéré.
Alors le Maître glissa deux doigts dans ce cul ouvert, soumis compelled MDE sursauta, son anus était quelque peu sensible. Le Maître s’enfonça doucement, précautionneusement mais profondément, puis retira ses doigts et les mit devant le visage du soumis MDE.
- Regarde et renifle chien !
Les doigts étaient quelque peu souillés. Etait-ce des traces de sperme ou simplement des restes de lubrifiant ?
- Estime-toi heureux que je ne t’ordonne pas de lécher tout ça… Allez file te doucher, lave-toi le cul correctement et dépêche-toi, nous partons d’ici une heure.
A son retour, soumis compelled MDE trouva les Maîtres assis dans le patio, ils prenaient leur petit déjeuner. L’esclave MDE approcha et se campa devant eux en posture d’attente. Il remarqua un petit paquet posé près du bol de Monsieur le Comte.
- Avance et tiens, ça c’est pour toi, un petit souvenir de ton passage ici. Lui dit-il.
Avant même d’ouvrir le paquet, l’esclave se positionna à genoux mit son visage à terre et remercia le Noble Espagnol.
- Redresse-toi et ouvre !
Il s’agissait d’un boxer en latex, quelque peu particulier, sur lequel, à l’intérieur, était fixé un petit gode. L’esclave MDE demanda l’autorisation pour le passer, il l’obtint juste après qu’on lui ait ôté sa cage de chasteté. Le Maître lui dit d’ailleurs qu’il voyagerait ainsi… Belle sensation ce latex, il eut l’impression d’une seconde peau. Très ajusté, son service trois pièces fut mis en valeur, un zip devant permettait de sortir son sexe et de le laisser bien en vue, le petit gode le pénétrait et ne risquait pas de glisser. soumis compelled MDE remercia encore Monsieur le Comte, puis il put prendre son petit déjeuner rapidement dans sa gamelle… L’heure avait sonné, le Majordome avait avancé la voiture, l’esclave après avoir déposé les bagages dans le coffre sur ordre s’installa à l’arrière uniquement du véhicule, vêtu de son simple latex. Monsieur le Marquis congratula et remercia chaleureusement son très Cher Ami Monsieur le Comte.
- Revenez quand vous voulez, la porte est ouverte…- A très bientôt et merci encore… Et sachez aussi, Mon Cher Ami que celles de Mon Château ancestral en Beaujolais vous sont également grandes ouvertes, vous serez toujours le bienvenu !
Après de multiples accolades d’amitié et de congratulations, les deux hommes se quittèrent… La route fut longue enfermé dans le coffre pour l’esclave MDE qui s’endormit peu après avoir quitté l’hacienda de Monsieur le Comte et ce n’est qu’aux abords de Madrid que le Maître s’arrêta dans un endroit discret, ouvrit le coffre, le réveilla, lui exigeant de passer un tee-shirt, un short et une paire d’espadrille aux pieds et de venir s’installer sur un siège de la voiture…. Ainsi, arrivés à l’aéroport, ce fut l’enregistrement des bagages, l’attente en salle d’embarquement puis le vol direct pour Lyon Saint-Exupéry. Assis près du hublot, le Maître à ses côtés lisant les 50 nuances de Grey, lesquels avaient l’air de l’ennuyer ! soumis compelled MDE resta plongé dans ses souvenirs, ses émotions, ses moments intenses… Il se rappela chaque séquence vécue avec émotion… Arrivés à Lyon St Exupéry, il fut chargé de récupérer les bagages, puis de rejoindre le Maître dans le hall de l’aéroport. Il le retrouva non sans mal, assis sur une chaise haute, devant un café, dialoguant avec Monsieur Walter debout qui était venu à leur rencontre avec la Rolls-Royce.
- Bonjour Monsieur le Majordome- Bonjour salope ! lui répondit-il sans même le regarder, assez fort, tellement fort que soumis compelled MDE eut craint que les personnes à proximité l’entendent.
Mais Walter n’en resta pas là… il poursuivit l’humiliation, allant jusqu’à palper l’entrejambe du soumis MDE à la vue de tous. L’esclave se décomposa, il sentit rougir de honte ses joues.
- Il va vite falloir lui reposer sa cage de chasteté, ne croyez-vous pas Monsieur le Marquis ?
- J’y pensais effectivement. Lui répondit-il
Là encore, soumis compelled MDE sentit son cœur palpiter et s’emballer. Ils n’allaient tout de même pas faire ça ici ? Non, ils ne le firent pas, ils regagnèrent le parking en sous-sol, et retrouvèrent la Rolls-Royce garée entre deux autres voitures. L’esclave MDE reçu l’ordre de poser les bagages dans le coffre puis Walter l’attrapa par un bras, le poussa dos contre la portière avant droite du véhicule, lui ordonna de mettre les mains sur la tête et brusquement lui baissa son short jusqu’aux chevilles. Sa main droite se plaqua contre le bas ventre du soumis MDE, palpa sa bite et ses couilles au travers du boxer en latex, puis fit descendre le zip du boxer, attrapa la nouille et les couilles du soumis MDE pour les extraire de ce sous vêtement. soumis compelled MDE sursauta, non pas qu’il eut mal, mais parce qu’il vit descendre la vitre tentée de la grosse et luxueuse BMW garée tout à côté.
- Si je crois ce que je vois, vous avez affaire à une belle salope, Messieurs !
Ni Monsieur le Marquis d’Evans, ni Walter ne parurent embarrassés par la situation. Toutefois, Le Maître prit immédiatement la parole.
- Vous voyez juste cher Monsieur, non seulement c’est une belle salope, comme vous dites, mais c’est aussi Mon esclave !
- Oh grand Dieu, votre esclave !
- Oui, oui Mon esclave, Mon sujet, Mon objet parfaitement docile et obéissant.
Le bras de l’homme était sorti de la portière et se tendait vers l’intimité de soumis compelled MDE
- Votre esclave ? Intéressant ça ! ….Je peux toucher ?
- Avance chien, fais-toi palper.
Terriblement honteux, l’esclave MDE fit deux pas en avant en gardant les mains sur la tête et le regard bas… L’homme lui attrapa les couilles, fit rouler entre ses doigts ses boules, puis caressa d’un revers de main, la bite flasque du chien, alors que Walter soulevait son tee-shirt, constatait les marques encore bien présentes des lanières de fouets sur son corps, tout en lui pressant les tétons… La main de l’homme caressait encore soumis compelled MDE, glissait entre ses cuisses, remontait vers sa raie, pelotait son fessier…
- Très bandant tout ça, dommage je n’ai plus guère de temps, merci Messieurs, bonne journée à vous, amusez-vous bien !
- Bonne journée à vous, au revoir Monsieur.
La vitre remonta, la grosse voiture démarra puis s’en alla en trombe en faisant couiner les pneus. Walter sembla tout de même soulagé, il poussa un ouf de soulagement, puis se hâta à fixer la cage de chasteté sur la nouille du chien.
- Je pense que c’était un gros obsédé sexuel, sans plus ! ? dit Walter- Oui, j’ai tout de suite remarqué son petit sourire pervers et j’ai vite compris qu’on aurait aucun souci, il voulait juste se rincer l’œil et tâter un peu ! … (Puis s’adressant à l’esclave) Remonte ton short salope, et assieds-toi sur la banquette arrière ! Lui ordonna le Maître.
soumis compelled MDE s’installa assis à l’arrière, l’esprit vagabond… Il était content de retrouver bientôt son cachot n°4 au Château, content de revoir bien vite ses frères et soeurs de soumission. A bien des reprises, au cours de son séjour espagnol, il avait pensé à eux, et plus particulièrement à ses deux sœurs soumises Phryné et Laïs MDE, à son frère e6934. Bien vite, il allait les revoir… Perdu dans ses pensées, il dressa l’oreille lorsqu’il entendit le Maître rouspéter quelque peu :
- Mais pourquoi mon cher Walter, as-tu accepté ce déjeuner chez Annick et Jean-Michel ?
- Je n’ai pu faire autrement, Monsieur le Marquis, croyez-moi !
- Arhh… ! Je rentre tout juste d’un déplacement agréable et me voilà immédiatement accaparé… Sais-tu au moins où ils habitent ?
- Oui Monsieur le Marquis, ils sont à Lyon, boulevard de Belges dans le 6ème arrondissement.
- Tu les as prévenu de notre arrivée un peu tardive ? Regarde il est déjà 13 heures et nous ne serons pas chez eux avant 13 heures 45 voire 14 heures, s’il y a un peu de circulation !
- Ils sont au courant, Monsieur le Marquis… - Et le chien, qu’en fait-on ?
- Ils veulent le voir.
- Bon soit.., il faut que nous trouvions une pâtisserie, pour ne pas arriver les mains vides- Je l’ai prévu Monsieur le Marquis.
- Bon alors parfait, comme d’habitude Walter tu penses à tout ! Je me demande parfois, ce que je ferai sans toi et Marie ! … Aller maintenant, roulons ! …
(A suivre…)
La nuit avait été courte et difficile pour soumis compelled MDE, l’étroitesse de la cage dans laquelle il avait été placée, l’avait contraint à rester sans bouger ou presque et toujours en position fœtale. Il ne fut pas mécontent, à peine le jour levé, de voir arriver Alberto. Il le sortit d’ici, sans grand ménagement, sans tenir compte de ses contractures musculaires puis le retourna et plaqua son ventre contre le haut de la cage.
- Ecarte ton cul !
Alors soumis compelled MDE empoigna son fessier, écarta les cuisses et dégagea sa raie. Il resta ainsi exposé, jusqu’à l’arrivée de Monsieur le Comte et du Maître.
- Alors Mon chien, est-ce que ton cul a absorbé cette saine nourriture qu’on lui a généreusement donnée hier au soir ? Questionna le Maître.
Soumis compelled était bien incapable de répondre à cette vicieuse et humiliante question. Le Maitre insista dans ce registre :
- Veux-tu que nous vérifions ?
- Vous seul pouvez décider, Maître Vénéré.
Alors le Maître glissa deux doigts dans ce cul ouvert, soumis compelled MDE sursauta, son anus était quelque peu sensible. Le Maître s’enfonça doucement, précautionneusement mais profondément, puis retira ses doigts et les mit devant le visage du soumis MDE.
- Regarde et renifle chien !
Les doigts étaient quelque peu souillés. Etait-ce des traces de sperme ou simplement des restes de lubrifiant ?
- Estime-toi heureux que je ne t’ordonne pas de lécher tout ça… Allez file te doucher, lave-toi le cul correctement et dépêche-toi, nous partons d’ici une heure.
A son retour, soumis compelled MDE trouva les Maîtres assis dans le patio, ils prenaient leur petit déjeuner. L’esclave MDE approcha et se campa devant eux en posture d’attente. Il remarqua un petit paquet posé près du bol de Monsieur le Comte.
- Avance et tiens, ça c’est pour toi, un petit souvenir de ton passage ici. Lui dit-il.
Avant même d’ouvrir le paquet, l’esclave se positionna à genoux mit son visage à terre et remercia le Noble Espagnol.
- Redresse-toi et ouvre !
Il s’agissait d’un boxer en latex, quelque peu particulier, sur lequel, à l’intérieur, était fixé un petit gode. L’esclave MDE demanda l’autorisation pour le passer, il l’obtint juste après qu’on lui ait ôté sa cage de chasteté. Le Maître lui dit d’ailleurs qu’il voyagerait ainsi… Belle sensation ce latex, il eut l’impression d’une seconde peau. Très ajusté, son service trois pièces fut mis en valeur, un zip devant permettait de sortir son sexe et de le laisser bien en vue, le petit gode le pénétrait et ne risquait pas de glisser. soumis compelled MDE remercia encore Monsieur le Comte, puis il put prendre son petit déjeuner rapidement dans sa gamelle… L’heure avait sonné, le Majordome avait avancé la voiture, l’esclave après avoir déposé les bagages dans le coffre sur ordre s’installa à l’arrière uniquement du véhicule, vêtu de son simple latex. Monsieur le Marquis congratula et remercia chaleureusement son très Cher Ami Monsieur le Comte.
- Revenez quand vous voulez, la porte est ouverte…- A très bientôt et merci encore… Et sachez aussi, Mon Cher Ami que celles de Mon Château ancestral en Beaujolais vous sont également grandes ouvertes, vous serez toujours le bienvenu !
Après de multiples accolades d’amitié et de congratulations, les deux hommes se quittèrent… La route fut longue enfermé dans le coffre pour l’esclave MDE qui s’endormit peu après avoir quitté l’hacienda de Monsieur le Comte et ce n’est qu’aux abords de Madrid que le Maître s’arrêta dans un endroit discret, ouvrit le coffre, le réveilla, lui exigeant de passer un tee-shirt, un short et une paire d’espadrille aux pieds et de venir s’installer sur un siège de la voiture…. Ainsi, arrivés à l’aéroport, ce fut l’enregistrement des bagages, l’attente en salle d’embarquement puis le vol direct pour Lyon Saint-Exupéry. Assis près du hublot, le Maître à ses côtés lisant les 50 nuances de Grey, lesquels avaient l’air de l’ennuyer ! soumis compelled MDE resta plongé dans ses souvenirs, ses émotions, ses moments intenses… Il se rappela chaque séquence vécue avec émotion… Arrivés à Lyon St Exupéry, il fut chargé de récupérer les bagages, puis de rejoindre le Maître dans le hall de l’aéroport. Il le retrouva non sans mal, assis sur une chaise haute, devant un café, dialoguant avec Monsieur Walter debout qui était venu à leur rencontre avec la Rolls-Royce.
- Bonjour Monsieur le Majordome- Bonjour salope ! lui répondit-il sans même le regarder, assez fort, tellement fort que soumis compelled MDE eut craint que les personnes à proximité l’entendent.
Mais Walter n’en resta pas là… il poursuivit l’humiliation, allant jusqu’à palper l’entrejambe du soumis MDE à la vue de tous. L’esclave se décomposa, il sentit rougir de honte ses joues.
- Il va vite falloir lui reposer sa cage de chasteté, ne croyez-vous pas Monsieur le Marquis ?
- J’y pensais effectivement. Lui répondit-il
Là encore, soumis compelled MDE sentit son cœur palpiter et s’emballer. Ils n’allaient tout de même pas faire ça ici ? Non, ils ne le firent pas, ils regagnèrent le parking en sous-sol, et retrouvèrent la Rolls-Royce garée entre deux autres voitures. L’esclave MDE reçu l’ordre de poser les bagages dans le coffre puis Walter l’attrapa par un bras, le poussa dos contre la portière avant droite du véhicule, lui ordonna de mettre les mains sur la tête et brusquement lui baissa son short jusqu’aux chevilles. Sa main droite se plaqua contre le bas ventre du soumis MDE, palpa sa bite et ses couilles au travers du boxer en latex, puis fit descendre le zip du boxer, attrapa la nouille et les couilles du soumis MDE pour les extraire de ce sous vêtement. soumis compelled MDE sursauta, non pas qu’il eut mal, mais parce qu’il vit descendre la vitre tentée de la grosse et luxueuse BMW garée tout à côté.
- Si je crois ce que je vois, vous avez affaire à une belle salope, Messieurs !
Ni Monsieur le Marquis d’Evans, ni Walter ne parurent embarrassés par la situation. Toutefois, Le Maître prit immédiatement la parole.
- Vous voyez juste cher Monsieur, non seulement c’est une belle salope, comme vous dites, mais c’est aussi Mon esclave !
- Oh grand Dieu, votre esclave !
- Oui, oui Mon esclave, Mon sujet, Mon objet parfaitement docile et obéissant.
Le bras de l’homme était sorti de la portière et se tendait vers l’intimité de soumis compelled MDE
- Votre esclave ? Intéressant ça ! ….Je peux toucher ?
- Avance chien, fais-toi palper.
Terriblement honteux, l’esclave MDE fit deux pas en avant en gardant les mains sur la tête et le regard bas… L’homme lui attrapa les couilles, fit rouler entre ses doigts ses boules, puis caressa d’un revers de main, la bite flasque du chien, alors que Walter soulevait son tee-shirt, constatait les marques encore bien présentes des lanières de fouets sur son corps, tout en lui pressant les tétons… La main de l’homme caressait encore soumis compelled MDE, glissait entre ses cuisses, remontait vers sa raie, pelotait son fessier…
- Très bandant tout ça, dommage je n’ai plus guère de temps, merci Messieurs, bonne journée à vous, amusez-vous bien !
- Bonne journée à vous, au revoir Monsieur.
La vitre remonta, la grosse voiture démarra puis s’en alla en trombe en faisant couiner les pneus. Walter sembla tout de même soulagé, il poussa un ouf de soulagement, puis se hâta à fixer la cage de chasteté sur la nouille du chien.
- Je pense que c’était un gros obsédé sexuel, sans plus ! ? dit Walter- Oui, j’ai tout de suite remarqué son petit sourire pervers et j’ai vite compris qu’on aurait aucun souci, il voulait juste se rincer l’œil et tâter un peu ! … (Puis s’adressant à l’esclave) Remonte ton short salope, et assieds-toi sur la banquette arrière ! Lui ordonna le Maître.
soumis compelled MDE s’installa assis à l’arrière, l’esprit vagabond… Il était content de retrouver bientôt son cachot n°4 au Château, content de revoir bien vite ses frères et soeurs de soumission. A bien des reprises, au cours de son séjour espagnol, il avait pensé à eux, et plus particulièrement à ses deux sœurs soumises Phryné et Laïs MDE, à son frère e6934. Bien vite, il allait les revoir… Perdu dans ses pensées, il dressa l’oreille lorsqu’il entendit le Maître rouspéter quelque peu :
- Mais pourquoi mon cher Walter, as-tu accepté ce déjeuner chez Annick et Jean-Michel ?
- Je n’ai pu faire autrement, Monsieur le Marquis, croyez-moi !
- Arhh… ! Je rentre tout juste d’un déplacement agréable et me voilà immédiatement accaparé… Sais-tu au moins où ils habitent ?
- Oui Monsieur le Marquis, ils sont à Lyon, boulevard de Belges dans le 6ème arrondissement.
- Tu les as prévenu de notre arrivée un peu tardive ? Regarde il est déjà 13 heures et nous ne serons pas chez eux avant 13 heures 45 voire 14 heures, s’il y a un peu de circulation !
- Ils sont au courant, Monsieur le Marquis… - Et le chien, qu’en fait-on ?
- Ils veulent le voir.
- Bon soit.., il faut que nous trouvions une pâtisserie, pour ne pas arriver les mains vides- Je l’ai prévu Monsieur le Marquis.
- Bon alors parfait, comme d’habitude Walter tu penses à tout ! Je me demande parfois, ce que je ferai sans toi et Marie ! … Aller maintenant, roulons ! …
(A suivre…)
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