Quelques photos de toi
Récit érotique écrit par Raiku [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 9 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2020 dans la catégorie En solitaire
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Quelques photos de toi
Comme tous les soirs, Gérard rentra tard du travail, mais ce n’était pas grave parce que sa femme n’était pas là. Elle passait la soirée chez une amie. Il monta les quelques marches qui le menaient à la chambre et s’écroula sur le lit, avant d’envoyer un message à sa femme pour lui demander si tout allait bien.
La réponse ne tarda pas : un simple « oui ». Simple mais normal, Gérard ne s’inquiéta pas. Il ferma les yeux et s’endormi pendant quelques minutes.
La sonnerie annonçant un nouveau message tinta. C’était une image, une photo de sa femme comme elle avait l’habitude de lui envoyer. Elle était assise sur le bord de lit, en sous-vêtements sexy.
Gérard sourit tout en enlevant ses chaussures et en ouvrant les trois premiers boutons de sa chemise. Il demanda d’autres photos à sa femme.
La seconde photo ne se fit pas attendre longtemps : elle était allongée sur le lit, avait retiré son soutien-gorge, laissant voir ses seins magnifiques. Une de ses mains se trouvait sur son ventre. Gérard resta les yeux fixés sur la poitrine de sa femme jusqu’à ce qu’un autre message arrive tout de suite après : identique au premier sauf pour ce qui était de sa main qui avait disparu dans sa culotte.
Il baissa son pantalon et prit une photo de son pénis pour lui montrer que ses photos lui plaisaient.
Une quatrième photo arriva ensuite, sans qu’il ne demande rien. Elle était allongée sur le côté, éblouissante : le soleil l’éclairait sans en faire trop et se reflétait dans ses cheveux blonds. Une main dans les cheveux, l’autres sur la hanche, elle souriait à l’objectif.
Le regard de Gérard s’attarda sur ses seins puis sur son pubis. Il lui envoya un message qui disait qu’elle était magnifique, ce soir, avant de reprendre sa contemplation.
C’était magnifique, certes, mais une chose le chagrinait sans qu’il puisse dire quoi. Quand il y eut réfléchi, il réalisa qu’il ne savait pas comment la photo avait été prise : les deux mains de sa femme se trouvaient sur la photo et aucune ne tenait l’objectif. Bizarre.
La photo suivante arriva pendant qu’il réfléchissait : un simple texte en dessous, deux mots : je sais. La photo était magnifique, encore une fois le soleil inondait d’or le corps de sa femme. Ce n’était plus la totalité de son corps mais seulement ses seins. Elle les tenait à pleines mains, ce qui les rendait encore plus désirables.
Là encore, il resta ébahi devant le spectacle avant de se demander qui pouvait bien prendre les photos.
Une autre photo lui arriva sans qu’il l’eût demandée. Il y voyait sa femme, allongée complétement nue sur le lit. Aucun doute maintenant, il y avait bien quelqu’un qui prenait les photos. Elle avait une jambe tendue, l’autre repliée. Une de ses mains caressait son pubis tandis que l’autre se glissait dans sa bouche. Elle fixait l’objectif d’un œil provocateur et avait un sourire mutin, ce doigt entre ses lèvres.
Un texte, là encore, accompagnait la photo, quelques mots qui changèrent sa soirée. Il avait commencé à se branler doucement sur les autres photos et était déjà sur le point de jouir mais il s’arrêta, sous le choc. Il y avait bien quelqu’un avec sa femme ! Le message disait simplement : « Elle n’attend que moi. » Juste après, une autre photo suivit : c’était un selfie de l’amie de sa femme, très jolie, assise dans la même position que la première photo qu’il avait reçue. Elle était nue, les jambes légèrement entrouvertes et fixait l’objectif avec un air de défi. Assise derrière elle, il y avait sa femme dont Gérard ne voyait que la tête et les mains. Elle embrassait son amie dans le cou tandis qu’une de ses mains jouait entre ses jambes et l’autre caressait un sein.
Il resta bouche bée pendant quelques minutes. Puis il envoya des messages toute la nuit pour demander ce qu’il se passait, il l’appela une dizaine de fois mais personne ne répondit de la nuit.
La réponse ne tarda pas : un simple « oui ». Simple mais normal, Gérard ne s’inquiéta pas. Il ferma les yeux et s’endormi pendant quelques minutes.
La sonnerie annonçant un nouveau message tinta. C’était une image, une photo de sa femme comme elle avait l’habitude de lui envoyer. Elle était assise sur le bord de lit, en sous-vêtements sexy.
Gérard sourit tout en enlevant ses chaussures et en ouvrant les trois premiers boutons de sa chemise. Il demanda d’autres photos à sa femme.
La seconde photo ne se fit pas attendre longtemps : elle était allongée sur le lit, avait retiré son soutien-gorge, laissant voir ses seins magnifiques. Une de ses mains se trouvait sur son ventre. Gérard resta les yeux fixés sur la poitrine de sa femme jusqu’à ce qu’un autre message arrive tout de suite après : identique au premier sauf pour ce qui était de sa main qui avait disparu dans sa culotte.
Il baissa son pantalon et prit une photo de son pénis pour lui montrer que ses photos lui plaisaient.
Une quatrième photo arriva ensuite, sans qu’il ne demande rien. Elle était allongée sur le côté, éblouissante : le soleil l’éclairait sans en faire trop et se reflétait dans ses cheveux blonds. Une main dans les cheveux, l’autres sur la hanche, elle souriait à l’objectif.
Le regard de Gérard s’attarda sur ses seins puis sur son pubis. Il lui envoya un message qui disait qu’elle était magnifique, ce soir, avant de reprendre sa contemplation.
C’était magnifique, certes, mais une chose le chagrinait sans qu’il puisse dire quoi. Quand il y eut réfléchi, il réalisa qu’il ne savait pas comment la photo avait été prise : les deux mains de sa femme se trouvaient sur la photo et aucune ne tenait l’objectif. Bizarre.
La photo suivante arriva pendant qu’il réfléchissait : un simple texte en dessous, deux mots : je sais. La photo était magnifique, encore une fois le soleil inondait d’or le corps de sa femme. Ce n’était plus la totalité de son corps mais seulement ses seins. Elle les tenait à pleines mains, ce qui les rendait encore plus désirables.
Là encore, il resta ébahi devant le spectacle avant de se demander qui pouvait bien prendre les photos.
Une autre photo lui arriva sans qu’il l’eût demandée. Il y voyait sa femme, allongée complétement nue sur le lit. Aucun doute maintenant, il y avait bien quelqu’un qui prenait les photos. Elle avait une jambe tendue, l’autre repliée. Une de ses mains caressait son pubis tandis que l’autre se glissait dans sa bouche. Elle fixait l’objectif d’un œil provocateur et avait un sourire mutin, ce doigt entre ses lèvres.
Un texte, là encore, accompagnait la photo, quelques mots qui changèrent sa soirée. Il avait commencé à se branler doucement sur les autres photos et était déjà sur le point de jouir mais il s’arrêta, sous le choc. Il y avait bien quelqu’un avec sa femme ! Le message disait simplement : « Elle n’attend que moi. » Juste après, une autre photo suivit : c’était un selfie de l’amie de sa femme, très jolie, assise dans la même position que la première photo qu’il avait reçue. Elle était nue, les jambes légèrement entrouvertes et fixait l’objectif avec un air de défi. Assise derrière elle, il y avait sa femme dont Gérard ne voyait que la tête et les mains. Elle embrassait son amie dans le cou tandis qu’une de ses mains jouait entre ses jambes et l’autre caressait un sein.
Il resta bouche bée pendant quelques minutes. Puis il envoya des messages toute la nuit pour demander ce qu’il se passait, il l’appela une dizaine de fois mais personne ne répondit de la nuit.
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