Quentin
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Quentin
A notre retour de cette semaine au ski, ni Quentin, ni Nathalie n’avaient été malade.
Après qu’elle m’ait racontée ce qu’elle avait fait avec lui pendant notre séjour, je lui ai demandé si elle avait déjà eu une relation avec, avant cela.
« Non pas du tout, je l’avais aperçu quelques fois au travail, je l’avais trouvé pas mal mais nous n’avions pas les mêmes horaires et en plus il était marié, donc je pense que je ne l’intéressais pas. »
« Vous comptez vous revoir ? »
« Oui on en a parlé, en tout cas si ça se fait ce sera occasionnel et comme je suis mariée, je lui ai bien fait comprendre que ce n’est que pour le sexe. »
Je ne doutais aucunement de la véracité des propos de ma femme, depuis que nous sommes ensemble elle a couché avec beaucoup d’hommes et celui-là ne serait certainement pas le dernier.
Il lui envoyait de temps en temps des sms, pour prendre de nos nouvelles, en sous-entendant à chaque fois qu’il aimerait bien la revoir seule.
Elle voulait le faire attendre un peu, par jeu. Elle a mis presque deux mois avant de le revoir.
Il travaillait en équipe de l’après-midi cette semaine-là et était disponible jusqu’à midi.
A cause de son divorce il avait été obligé de se séparer de sa voiture et en attendant de s’en acheter une autre moins couteuse, c’était un de ses collègues qui passait le prendre tous les jours.
Nathalie lui avait dit qu’elle viendrait dans la matinée le mardi car elle ne travaillait pas.
Elle avait pas mal de choses à faire ce jour-là et n’est arrivé chez lui que vers onze-heures-quarante.
« J’ai cru que tu n’allais plus venir » lui a-t-il dit en ouvrant la porte avec un grand sourire.
« J’ai failli, tu commences à quel heure ? »
« Treize heures mais Jonathan, mon collègue passe me prendre vers douze-heures-quinze »
« Ah oui en effet, ça nous laisse peu de temps, c’est un nouveau Jonathan ? Je le connais ? »
« Non, c’est un jeune de vingt-cinq ans qui est arrivé après ton départ »
Puis la prenant dans ses bras et avant de l’embrasser, il lui dit :
« J’ai envie de toi »
Ils se sont caressés et embrassés longuement jusqu’à ce qu’elle l’entraine vers le canapé.
A genoux devant lui, elle a baissé son pantalon et son slip et l’a fait s’assoir pour aller engloutir son membre déjà bien raide.
« Attends, dit-il, j’ai envie de te voir nue »
Elle a enlevé son chemisier et sa mini-jupe avant de reprendre la fellation qu’elle avait commencé.
« Laisse-toi aller, on n’a pas assez de temps pour autre chose » lui dit-elle entre deux coups de langue.
Elle engloutissait sa verge en le branlant, lui léchait la hampe en descendant jusqu’aux couilles qu’elle gobait à leur tour, puis remontait doucement vers le gland qu’elle prenait entre ses lèvres pour l’aspirer et le titiller.
Parfois il lui prenait la tête pour lui baiser la bouche puis la relâcher pour qu’elle recommence à le lécher partout.
Du liquide séminal s’écoulait de son gland tellement il était excité, sa bite était bien dure et bien raide.
« Oh putain tu vas me faire jouir, j’adore ta bouche de salope, tu es trop douée, ahhhhhhh…ahhhhhhhhhhh oui c’est bon… »
Pendant qu’il lui bloquait la tête, ma femme avalait goulument tous les jets de sperme qu’il lui envoyait au fond de la gorge.
Ding dong.
« Mince c’est déjà Jonathan » dit-il, alors qu’elle lui pressait la queue pour aspirer les dernières gouttes de son jus.
« J’arrive, deux minutes » cria-t-il en se relevant et en remontant son slip et son pantalon.
Quand il a ouvert à son collègues, il était à peine rhabillé et Nathalie finissait d’attacher les boutons de son chemisier.
« Désolé je n’ai pas vu l’heure, je ne suis pas tout à fait prêt. »
« T’inquiète, on n’est pas à la minute » a répondu Jonathan avec un grand sourire et en regardant ma femme.
Il avait certainement compris ce qu’il venait de se passer et n’allait sans doute pas manquer de questionner Quentin, qui semblait un peu gêné.
Lorsqu’ils se voyaient, c’était souvent chez lui et rapide, elle le suçait dans le canapé ou il la prenait sur la table de la cuisine, en levrette sur un fauteuil ou encore à quatre pattes sur le tapis du salon.
A chaque fois, ils prenaient ensemble beaucoup de plaisir, Nathalie aimait beaucoup sa queue qui la remplissait bien et qui la faisait jouir plusieurs fois de suite.
Un jour il lui dit :
« J’aimerais bien vous inviter à manger un soir, mais j’ai en peu peur d’être intimidé par ton mari et d’être un peu gêné quand il sera face à moi. »
« Pourquoi ? Il n’est pas au courant de notre relation et quand on était au ski ça ne te dérangeait pas de me baiser alors qu’il était en bas »
En souriant, il lui a répondu :
« Oui c’est vrai, mais là-bas il était malade et j’avais l’impression qu’il ne pouvait pas s’en rendre compte, d’ailleurs il ne s’est pas inquiété de nous savoir tous les deux dans la chambre à l’étage ? »
« Non ne t’inquiète pas, je pense même que l’idée qu’on ait pu baiser ensemble ne lui est même pas venu à l’esprit. »
« Bon ok, dit moi quand vous pouvais être dispo, moi je suis libre tous les week-end »
« J’en parlerai avec lui et je te dirais, en plus je suis sûr qu’il sera content de te revoir »
Elle était sur le seuil de la porte et allait partir quand il lui a dit :
« Au fait, Jonathan n’arrête pas de me parler de toi depuis qu’il t’a aperçu ici, je crois qu’il a flasher sur toi, je l’enverrais bien se faire voir mais c’est quand même lui qui me prend et me ramène du taf tous les jours. »
Alors avant de sortir, elle lui un fait un gros bisous sur la bouche en lui disant :
« Propose-lui un trio »
Quinze jours plus tard nous allions manger chez Quentin.
J’aime ce genre de situation où l’homme ne sait pas que je sais qu’il baise ma femme, qu’elle me raconte tous les détails après chaque rendez-vous et où il pense que je suis cocu (je le suis mais je le sais) et qu’il est plus gêné que moi.
Certains le sont moins que d’autres, mais dans tous les cas, cette situation m’excite beaucoup.
Il avait demandé à Nathalie de ne pas s’habiller trop sexy car il craignait que ça le fasse bander au cours de la soirée et il en serait mal à l’aise.
Il y a des choses comme ça qu’il ne faut pas dire à ma femme, elle a une fâcheuse tendance à désobéir.
Ding dong.
Quand il a ouvert la porte Nathalie était devant moi et portait un imperméable qui descendait au-dessous du genoux.
L’endroit où il habitait pouvait être moins fréquentable parfois le soir.
Quand elle l’a ôté, j’ai vue dans le regard de Quentin des étincelles mais aussi une gêne.
Elle portait un tee-shirt ultra moulant qui ressortait sa poitrine opulente dont les tétons pointaient, sans doute à cause du frottement de l’imperméable, une jupe très courte et des cuissardes en velours, qui montaient au-dessus du genoux, presque à mi-cuisses mais moins haut que la jupette. Bien sûr, comme souvent, elle n’avait aucun dessous.
Pour l’apéro, nous nous sommes installés, Nathalie et moi dans le canapé et Quentin dans un fauteuil à ma droite, légèrement en biais par rapport à nous.
Elle croisait et décroisait régulièrement ses jambes lui permettant certainement, quand il la regardait furtivement, d’apercevoir qu’elle ne portait rien dessous.
Quand nous nous sommes levés pour aller à table et alors que j’étais dos à elle, j’ai vue dans le reflet de la télé qu’elle a largement ouvert ses cuisses avant de se mettre debout, il en a presque rougi.
Plusieurs fois au cours de la soirée elle lui a offert la vision de son entre-cuisses, j’avais l’impression que ça l’excitait de le mettre mal à l’aise, mais elle le faisait toujours discrètement.
Avant de le quitter, je suis allé aux toilettes, pendant ce temps, elle s’est approchée de lui pour poser la main sur son sexe et le caresser par-dessus son Jeans, ils se sont embrassés puis lui a carrément enfoncé deux doigts dans la chatte en lui murmurant à l’oreille :
« Tu n’es qu’une salope, tu vas me le payer »
« Hummm, j’espère bien » lui a-t-elle répondue en passant lentement la langue sur ses lèvres.
Sur la route du retour, alors que je conduisais, elle a pris ma main pour la mettre entre ses cuisses en me disant :
« Touche, je suis trempée de l’avoir allumé, en plus il m’a doigté le temps que tu étais aux WC »
« J’ai aperçu plusieurs fois que tu l’excitais, je crois même avoir vu une fois qu’il bandait »
« Pas qu’une fois, je pense qu’il a bandé une bonne partie de la soirée, car moi je ne me gênais pas pour mater » m’a-t-elle répondue.
« Salope. »
« Je sais, mais t’aime ça. »
« C’est vrai. »
Elle est retournée le voir quelques jours après, en rentrant du boulot.
A peine entrée, il l’a plaquée contre la porte pour l’embrasser puis s’est écarté d’elle et en la forçant à s’agenouillé, il lui a dit :
« Suce-moi la bite, t’es qu’une chienne, tu m’as mis mal à l’aise toute la soirée de samedi »
Bien sûr malgré les mots crus, ce n’était que de l’excitation et en aucun cas de la violence.
Avant de le prendre en bouche, elle lui a dit :
« J’espère au moins que tu t’es branlé en pensant à moi cette nuit-là. »
Il lui a repris la tête pour y enfoncer sa queue en lui disant :
« Tu n’es vraiment qu’une salope, mais j’adore ça. »
Elle l’a sucé goulument pendant cinq bonnes minutes puis il l’a relevé en lui disant :
« Viens j’ai envie de ta baiser sur le fauteuil. »
Le Jeans, le string et les basket sur le sol, elle n’avait plus que ses petites socquettes blanche, face au fauteuil, un genoux sur chaque accoudoir, elle l’attendait les fesses bien en arrière pour qu’il la prenne.
Agrippé à ses hanches, il avait enfoncé sa queue bien au fond d’elle et la pilonnait maintenant presque bestialement, des grands va et vient rapide et profond qui la faisait gémir de plaisir à chaque coup de rein.
L’un comme l’autre était très excités et se donnaient complétement.
Nathalie a joui une première fois très rapidement, il a continué à la démonter avec fougue et vigueur sans s’arrêter, ce qui fait qu’elle a de nouveau pris son pied quelques minutes plus tard.
Il a ensuite un peu ralenti la cadence et a commencé à lui claquer les fesses en la traitant.
Voyant qu’elle semblait aimer et qu’elle ne s’offusquait pas de ses mots crus il s’est lâché sur les claques et sur les mots :
« Oh putain tu l’aime ma bite sale petite pute, elle est bonne ma queue, vas-y dit le moi. »
« Ouiiii j’adore ta grosse queue quand tu me défonce comme une chienne, continu j’adore ça salaud, c’est trop bon. »
Pendant plusieurs minutes ils ont parlé ainsi, cette débauche de plaisir leur provoquant une extrême excitation, il lui faisait presque mal tellement il la serrait fort aux hanches, ses fesses étaient rougies par les claques mais elle aimait ça.
Alors ne tenant plus ni l’un ni l’autre, ils se sont laissé aller et ont joui simultanément, criant leur orgasme réciproque avant qu’il ne s’écroule sur elle pour lui tourner la tête et l’embrasser langoureusement.
« Salaud, tu m’as détruit les fesses et les hanches, en plus maintenant j’ai les jambes toutes molles tellement j’ai bien joui …, …, tu peux recommencer quand tu veux c’était trop bon et si intense que j’aie cru que je ne m’arrêterais jamais de jouir, je crois que ton fauteuil est trempé hihi »
C’était toujours elle qui décidait quand ils allaient baiser ensemble, malgré les demandes régulières qu’il lui faisait, elle ne voulait pas accepter à chaque fois et pouvez rester parfois plusieurs semaines sans retourner le voir.
De temps en temps il venait manger à la maison, toujours sans voiture il se déplaçait à vélo, lorsqu’il pleuvait j’allais le chercher et c’était souvent Nathalie qui le ramenait chez lui.
Bien évidemment le trajet retour était toujours plus long que celui de l’aller.
Parfois ils s’arrêtaient en chemin, il y avait un petit parking, ombragé et à l’abri des regards, au bout de notre rue et qui était quasiment désert la nuit et d’où ils ne repartaient que lorsqu’il s’était vidé au fond de la gorge de ma femme.
Parfois elle l’accompagnait jusqu’à son appart pour qu’il la prenne sur le lit, dans un fauteuil ou dans le canapé.
Leurs accouplements pouvaient durer jusqu’à deux heures de suite, puis elle revenait à la maison pour m’embrasser afin que je sente l’odeur de sexe qu’elle avait dans la bouche et me sucer en me racontant ce qu’elle venait de faire.
Un soir ou il est venu diner avec nous et que le repas avait été assez arrosé, sans raison spécifique mais nous avons bu plusieurs apéro, du vin et quelques digestifs, ni Nathalie ni moi n’étions en état de conduire pour le ramener chez lui, nous n’étions pas ivres mais suffisamment alcoolisé pour ne pas prendre le volant.
Nous avons donc décidé qu’il dormirait ici, dans le canapé et qu’on le déposerait chez lui le lendemain matin.
Quand je me suis levé de table, je titubais un peu et leur ai dit que j’allais me coucher, j’ai donc monté l’escalier pour accéder à notre chambre.
Nathalie, qui était aussi fatiguée, voulait venir me rejoindre.
Ne me voyant plus, Quentin lui a attrapé le bras avant qu’elle ne monte à l’étage elle aussi en lui disant à voix basse :
« Reste un peu avec moi, j’ai envie de toi »
« Non pas ce soir, je suis trop naze pour des galipettes »
« Allez, s’il te plait, regarde je bande déjà »
« Pffffff t’es chiant…, bon, juste une pipe mais tu ne traine pas, laisse-toi aller »
Le canapé était dans le prolongement de l’escalier, avant qu’il ne tourne d’un quart pour accéder à la salle à manger et donc de l’étage je pouvais regarder, sans qu’on me voie, quand ma femme s’amusait avec un mec pendant que j’étais soi-disant dans la chambre.
J’ai donc pu ce soir-là, regarder sa bouche gourmande s’occuper du gros membre de Quentin.
Le jogging et le slip en bas des pieds, les jambes bien écartées, il caressait la tête de Nathalie qui, à genoux entre ses cuisses, le branlait et léchait sa hampe bien dressée.
Elle aspirait son gland entre ses lèvres pour jouer avec de sa langue qu’elle enroulait autour.
Elle lui caressait les couilles et faisait aller et venir son pieux dans sa bouche sans cesser de le masturber.
Il semblait être aux anges, la tête en arrière, il accompagnait de ses mains, toujours sur la tête de ma femme, le mouvement qu’elle faisait pour le sucer.
Elle le prenait le plus loin possible, puis le ressortait pour continuer à la branler et à titillait son gland.
Au bout d’un quart d’heure, il a bloqué sa tête sur sa queue, puis en grognant de plaisir, a éjaculé dans sa bouche.
Il devait y avoir une bonne dose car je voyais ma femme déglutir difficilement la semence qui lui envoyer par jets au fond de la gorge.
« Salaud, il y avait le paquet, j’ai eu du mal à tout avaler » lui dit-elle après avoir bien nettoyer son gourdin.
L’air un peu hébété, il reprenait tranquillement ses esprits.
« T’es vraiment la meilleure suceuse que j’ai rencontrée » puis il a enchainé en disant :
« Au fait, Il est ok »
« Qui et ok pour quoi ? »
« Bein Jonathan, pour le trio »
« Six mois après il se réveille celui-là »
« Non c’est ma faute, je ne savais pas si je pourrais te partager avec un autre »
D’un ton un peu plus sec, elle lui a répondu :
« Je te rassure, je ne t’appartiens pas, ce n’est pas toi qui me partages, c’est moi toute seule et si je veux baiser avec plusieurs mecs, c’est moi qui choisis de le faire, je n’ai besoin de l’accord de personne »
Voyant qu’elle avait assez mal pris sa remarque, il a essayé de se rattraper :
« Excuse-moi ce n’est pas ce que je voulais dire, en fait c’est moi qui ne savais pas si je serai capable de faire ça à trois, je ne l’ai jamais fait alors j’ai hésité longuement avant lui proposer »
Elle s’est radoucit puis lui a dit :
« Ne t’inquiète pas, moi j’en ai fait plusieurs, je vous guiderais, bon allez, je vais me coucher »
Sa bouche avait l’odeur et le gout du sperme de son amant quand elle est venue me rejoindre dans le lit.
« Alors tu as tout vu ? »
« Hummm oui, j’ai adoré te regarder, c’est à mon tour de me faire sucer maintenant »
« Pfff putain les mecs vous êtes chiant »
Dix minutes plus tard, à mon tour j’éjaculais copieusement dans sa bouche.
Pour organiser le trio entre Nathalie, Quentin et Jonathan, il fallait :
- Faire ça à la maison, c’était plus pratique pour le bruit avec les voisins.
- Que je ne sois pas là, car ça risquait de durer assez longtemps.
- Que Nathalie ne travaille pas le lendemain, c’était mieux si ça durait longtemps.
- Que Jonathan puisse découcher car il avait une copine.
- Que personne ne passe à l’improviste ce soir-là.
Ca faisait bien évidemment beaucoup de critères à gérer.
Plusieurs semaines plus tard, je suis parti en déplacement une semaine à l’étranger, du dimanche soir au samedi après-midi suivant.
Il fallait maintenant cocher les autres cases.
Nathalie a décidé sans laisser le choix aux deux autres :
« Ce sera vendredi soir ou rien du tout, à vous de vous arranger »
Nous avions bien fait passer le message auprès de nos amis pour dire que nous ne serions pas à la maison ce soir-là.
Jonathan avait la dernière carte en main pour que cela se fasse ou pas.
Le mardi matin, petit sms de Quentin à Nathalie :
« On est ok pour vendredi, Jonathan a réussi à trouver un alibi pour découcher, on sera chez toi vers vingt heures, bises »
Vingt heures pile, dringggg dringggg.
Les deux compères étaient devant la porte.
Nathalie leur a ouvert la porte.
Haut talon, bas noir, string rouge, peignoir en dentelle rouge et noir, ultra court et rien d’autre.
La bouche grande ouverte, les yeux exorbités, ils ne savaient quoi dire tellement la vision qu’elle leur offrait ainsi vêtue les avaient déstabilisés.
« Whaaaaaaaaa, magnifique » a dit Jonathan en premier.
« Bon rentrez, vous n’allait pas rester planté là toute la soirée. »
« Tu es vraiment très belle comme ça. » lui dit à son tour Quentin.
Une fois installés dans le canapé, elle est allée chercher des boissons en leur disant :
« Mettez-vous à l’aise, enfin à poil ce sera mieux, pendant que je ramène le champagne »
Quand elle est revenue avec trois coupes et une bouteille à la main, ils étaient tous les deux assis complètement nu et presque gêné de leur tenue mais avaient quand même apporté deux boites de préservatifs.
« Je crois qu’on va passer une bonne soirée, allez, faites-moi une place entre vous deux » puis se tournant vers Jonathan elle a ajouté :
« Viens là que je vois comment tu embrasses »
Pendant que Quentin servait les bulles, les deux autres se roulaient une bonne pelle bien baveuse et langoureuse.
Elle avait posé la main sur sa bite qui très vite à durcit, pendant que, après lui avoir ouvert le peignoir en dentelle, il lui caressait les seins.
« On trinque avant de passer aux choses sérieuses » dit Quentin qui se sentait un peu délaissé.
« Tchinnnnn dit Nathalie, j’espère que vous êtes en forme, car moi j’ai des grosses envies ce soir et vous voir la bite en l’air comme ça dès le départ, ça m’excite »
Ils ont bu quelques gorgées puis ont posés leur verre sur la table du salon.
Elle a pris une queue dans chaque main pour les masturber doucement pendant qu’eux lui caressaient les cuisses et les seins.
Petit à petit leurs visages se sont rapprochés d’elle pour l’embrasser dans le cou.
Elle tournait la tête vers l’un, puis vers l’autre pour mélanger sa langue à la leur.
Malgré une petite gêne au départ du fait de l’embrasser chacun leur tour, ils se sont très vite débridés et leurs mains se sont faites plus entreprenantes et leurs baisers plus enflammés.
Après plusieurs minutes, elle s’est levée pour les attirer à l’étage dans la chambre, elle s’est agenouillée au milieu en leur faisant signe de s’approcher, puis a attrapé les deux queues qui se trouvaient devant son visage pour passer sa langue sur leur gland.
Tour à tour, elle les prenait dans sa bouche tout en continuant à les branler, elle en engloutissait une pour enrouler sa langue dessus en l’aspirant, puis la ressortait pour passer à l’autre et lui faire subir le même sort.
Parfois elle collait leur gland l’un à l’autre, pour pouvoir les prendre tous les deux en même temps.
Elle les frottait contre son visage, leur léchait la hampe, puis allait gober leurs couilles, puis remontait aspirer un gland, puis l’autre, puis les deux en ouvrant bien grand la bouche.
Alors qu’une petite goutte de liquide séminale commençait à perler sur le sexe de Jonathan, il lui dit :
« Viens, j’ai envie de te bouffer la chatte »
Allongée maintenant sur le lit, les jambes bien ouverte, elle se faisait dévorer par un petit jeune de sept ans son cadet et qui malgré son jeune âge était relativement doué, car elle sentait qu’il allait bientôt la faire crier de jouissance.
Elle gémissait lorsqu’il enfonçait sa langue bien loin et haletait quand il jouait avec son clito.
Elle mouillait beaucoup, ce qui semblait encore plus stimuler Jonathan qui faisait virevolter sa langue depuis l’anus jusqu’au plus profond de son vagin, avant de remonter vers le clito et tout en lui enfonçant deux doigts pour la masturber en même temps.
Quentin n’était pas en reste et s’était agenouillé près du visage de ma femme pour se faire sucer.
Entre deux gémissement elle engloutissait avec passion son gourdin.
Assez rapidement elle a joui très fort, inondant le visage de son plus jeune amant dont elle avait bloqué la tête entre ses cuisses pour qu’il continu de la bouffer pendant son orgasme.
Quentin s’est allongé sur le dos et a enfilé une capote, Nathalie qui avait bien compris l’invitation, est venue le chevaucher et s’empaler sur son pieux.
« Oh putain elle est toujours aussi bonne ta bite salaud »
Jonathan s’était placé debout à côté d’elle pour se faire sucer.
Une queue dans la bouche, une autre dans la chatte sur laquelle elle ondulait du bassin, Nathalie était aux anges, elle savait qu’elle allait prendre énormément de plaisir ce soir.
Quentin a placé ses mains sous ses fesses pour la faire monter et descendre sur son braquemart.
Jonathan en profitait pour caresser sa lourde poitrine pendant qu’elle l’engloutissait.
Sa bouche gourmande le prenait presque entièrement, son sexe était moins gros et moins long que celui de son collègue, mais il n’avait pas à rougir car il était de bonne taille quand même et surtout bien raide.
Au bout d’une dizaine de minutes, elle a eu un nouvel orgasme, Quentin qui commençait à bien la connaitre, savait qu’elle pouvait jouir des dizaines de fois dans la nuit, il a donc cédé sa place à son coéquipier pour qu’il la baise à son tour.
A chacune de ses jouissances, ils changeaient de place et de position en la faisant crier de plaisir à maintes reprises, elle se donnait complétement à eux, elle était leur jouet, leur objet sexuelle de la nuit.
Quand il la prenait en levrette, Quentin n’hésitait pas à lui claquer les fesses en la traitant de salope, en lui disant qu’elle était leur pute et qu’ils allaient la démonter toute la nuit, puis Jonathan en a fait de même et n’était pas le dernier non plus avec les mots crus.
« Salope, t’es à nous cette nuit, on va même prendre ton cul de chienne, tu va nous supplier pour qu’on continu à te baiser…, Oh putain je vais jouir donne-moi ta bouche pour y mettre mon foutre »
Il est sorti d’elle, a retiré son préservatif pour lui présenter sa queue, Quentin, qui était aussi sur le point de jouir, l’a rejoint et ils ont éjaculé presque ensemble sur le visage et dans la bouche de ma femme.
Elle a avalé tout ce qu’elle a pu, puis et venu les lécher pour aspirer les dernières gouttes de sperme.
Pendant la pause qui a suivi, ils lui ont demandé si les claques sur les fesses et les mots crus ne l’avait pas gêné et si ça ne lui avait pas fait mal.
« Non au contraire j’adore ça, mais pas plus fort les claques, en revanche pour m’enculer c’est moins sûr » en disant ça, elle savait que s’ils avaient insisté alors qu’elle était hyper excitée, il y aurait pu y avoir de grande chance pour qu’au moins un des deux la sodomise, mais ça elle ne voulait pas leur dire.
Ils sont allés prendre une douche à tour de rôle, puis sont retourné dans la chambre.
Jonathan était de nouveau entre ses cuisses quand Quentin est revenu de la douche, elle gémissait de plus en plus fort sous les coups de langue agile de son partenaire jusqu’à ce qu’elle lui explose au visage.
Maintenant à quatre pattes, Quentin s’est aussitôt placé derrière elle pendant que Jonathan s’était allongé pour qu’installée entre ses cuisses, elle puisse le sucer.
L’assaillant qui la pilonnait ne chômait pas, il la tenait fermement par les hanches pour s’enfonçait le plus loin possible en elle, la faisant tressaillir à chaque coup de rein.
Il ralentissait le rythme parfois pour qu’un de ses doigts progresse doucement vers son anus qu’il titillait et massait doucement avant de le pénétrer, puis il ressortait pour la démonter encore plus fort.
Jonathan qui avait bien compris le but, en faisait de même lorsque c’était son tour de levrette.
Ils l’ont prise pendant presque deux heures dans toutes les positions, la faisant jouir un grand nombre de fois, jusqu’au moment où, alors qu’elle était sur Quentin et qu’elle avait sa queue bien au fond, il lui a fait relever légèrement les fesses tout en continuant à la baiser, mais doucement cette fois-ci, elle a senti derrière elle, Jonathan se placer pour présenter sa bite devant ses fesses.
Il s’est d’abord frotté contre son anus, qui était dilaté à force de recevoir les doigts de ses deux amants et il s’est enfoncé tout doucement dans son fondement.
Quentin s’était arrêté le temps que son collègue la pénètre complétement, une fois chose faite, ils ont commencé à se synchroniser pour la baiser et l’enculer en même temps.
Après quelques dizaines de secondes ils ont trouvé leur rythme et l’ont prise ainsi.
Les yeux révulsés, elle les sentait bien en elle, elle avait des picotements partout dans le ventre tellement elle prenait du plaisir à se sentir remplie, elle a joui très rapidement, longtemps et très fort, presque à en pleurer.
Elle s’est écroulée sur Quentin et a mis quelques minutes à retrouver ses esprits.
Ils se sont retirés d’elle et alors qu’eux n’avaient pas joui, sans un mot, ils ont changé de capote et de place.
Comprenant ce qu’ils allaient faire elle dit à Quentin :
« Vas-y doucement et si je dis stop tu arrêtes »
« Ne t’inquiète pas je serai très doux »
Empalé sur le plus jeune, elle s’apprêtait à prendre maintenant le barreau de son amant des sports d’hiver dans son cul.
Doucement il s’est enfoncé entre ses fesses, déjà bien dilaté par une bite un peu moins grosse, la pénétration s’est faite sans douleurs.
« Oh putain elle est grosse quand même »
Ils ont trouvé leur vitesse de croisière très vite et l’ont pistonné ainsi un bon quart d’heure.
Quand Nathalie a joui, elle a criée très fort, des larmes de plaisir coulaient sur son visage, Jonathan n’a pu se retenir et s’est vidé au fond de son ventre en la serrant très fort dans ses bras, Quentin a éjaculé dans son cul quelques secondes après.
Essoufflé, vidé, ils se sont relevés heureux du plaisir qu’ils venaient de prendre tous les trois.
« Je t’avais dit qu’on allait prendre ton cul de chienne » lui a dit Jonathan avant de retourner prendre une douche.
« Bande de salauds, vous m’avez bien eu » répondit-elle avec un grand sourire.
L’histoire ne s’arrête pas là, il y a une suite si ça vous dit.
Après qu’elle m’ait racontée ce qu’elle avait fait avec lui pendant notre séjour, je lui ai demandé si elle avait déjà eu une relation avec, avant cela.
« Non pas du tout, je l’avais aperçu quelques fois au travail, je l’avais trouvé pas mal mais nous n’avions pas les mêmes horaires et en plus il était marié, donc je pense que je ne l’intéressais pas. »
« Vous comptez vous revoir ? »
« Oui on en a parlé, en tout cas si ça se fait ce sera occasionnel et comme je suis mariée, je lui ai bien fait comprendre que ce n’est que pour le sexe. »
Je ne doutais aucunement de la véracité des propos de ma femme, depuis que nous sommes ensemble elle a couché avec beaucoup d’hommes et celui-là ne serait certainement pas le dernier.
Il lui envoyait de temps en temps des sms, pour prendre de nos nouvelles, en sous-entendant à chaque fois qu’il aimerait bien la revoir seule.
Elle voulait le faire attendre un peu, par jeu. Elle a mis presque deux mois avant de le revoir.
Il travaillait en équipe de l’après-midi cette semaine-là et était disponible jusqu’à midi.
A cause de son divorce il avait été obligé de se séparer de sa voiture et en attendant de s’en acheter une autre moins couteuse, c’était un de ses collègues qui passait le prendre tous les jours.
Nathalie lui avait dit qu’elle viendrait dans la matinée le mardi car elle ne travaillait pas.
Elle avait pas mal de choses à faire ce jour-là et n’est arrivé chez lui que vers onze-heures-quarante.
« J’ai cru que tu n’allais plus venir » lui a-t-il dit en ouvrant la porte avec un grand sourire.
« J’ai failli, tu commences à quel heure ? »
« Treize heures mais Jonathan, mon collègue passe me prendre vers douze-heures-quinze »
« Ah oui en effet, ça nous laisse peu de temps, c’est un nouveau Jonathan ? Je le connais ? »
« Non, c’est un jeune de vingt-cinq ans qui est arrivé après ton départ »
Puis la prenant dans ses bras et avant de l’embrasser, il lui dit :
« J’ai envie de toi »
Ils se sont caressés et embrassés longuement jusqu’à ce qu’elle l’entraine vers le canapé.
A genoux devant lui, elle a baissé son pantalon et son slip et l’a fait s’assoir pour aller engloutir son membre déjà bien raide.
« Attends, dit-il, j’ai envie de te voir nue »
Elle a enlevé son chemisier et sa mini-jupe avant de reprendre la fellation qu’elle avait commencé.
« Laisse-toi aller, on n’a pas assez de temps pour autre chose » lui dit-elle entre deux coups de langue.
Elle engloutissait sa verge en le branlant, lui léchait la hampe en descendant jusqu’aux couilles qu’elle gobait à leur tour, puis remontait doucement vers le gland qu’elle prenait entre ses lèvres pour l’aspirer et le titiller.
Parfois il lui prenait la tête pour lui baiser la bouche puis la relâcher pour qu’elle recommence à le lécher partout.
Du liquide séminal s’écoulait de son gland tellement il était excité, sa bite était bien dure et bien raide.
« Oh putain tu vas me faire jouir, j’adore ta bouche de salope, tu es trop douée, ahhhhhhh…ahhhhhhhhhhh oui c’est bon… »
Pendant qu’il lui bloquait la tête, ma femme avalait goulument tous les jets de sperme qu’il lui envoyait au fond de la gorge.
Ding dong.
« Mince c’est déjà Jonathan » dit-il, alors qu’elle lui pressait la queue pour aspirer les dernières gouttes de son jus.
« J’arrive, deux minutes » cria-t-il en se relevant et en remontant son slip et son pantalon.
Quand il a ouvert à son collègues, il était à peine rhabillé et Nathalie finissait d’attacher les boutons de son chemisier.
« Désolé je n’ai pas vu l’heure, je ne suis pas tout à fait prêt. »
« T’inquiète, on n’est pas à la minute » a répondu Jonathan avec un grand sourire et en regardant ma femme.
Il avait certainement compris ce qu’il venait de se passer et n’allait sans doute pas manquer de questionner Quentin, qui semblait un peu gêné.
Lorsqu’ils se voyaient, c’était souvent chez lui et rapide, elle le suçait dans le canapé ou il la prenait sur la table de la cuisine, en levrette sur un fauteuil ou encore à quatre pattes sur le tapis du salon.
A chaque fois, ils prenaient ensemble beaucoup de plaisir, Nathalie aimait beaucoup sa queue qui la remplissait bien et qui la faisait jouir plusieurs fois de suite.
Un jour il lui dit :
« J’aimerais bien vous inviter à manger un soir, mais j’ai en peu peur d’être intimidé par ton mari et d’être un peu gêné quand il sera face à moi. »
« Pourquoi ? Il n’est pas au courant de notre relation et quand on était au ski ça ne te dérangeait pas de me baiser alors qu’il était en bas »
En souriant, il lui a répondu :
« Oui c’est vrai, mais là-bas il était malade et j’avais l’impression qu’il ne pouvait pas s’en rendre compte, d’ailleurs il ne s’est pas inquiété de nous savoir tous les deux dans la chambre à l’étage ? »
« Non ne t’inquiète pas, je pense même que l’idée qu’on ait pu baiser ensemble ne lui est même pas venu à l’esprit. »
« Bon ok, dit moi quand vous pouvais être dispo, moi je suis libre tous les week-end »
« J’en parlerai avec lui et je te dirais, en plus je suis sûr qu’il sera content de te revoir »
Elle était sur le seuil de la porte et allait partir quand il lui a dit :
« Au fait, Jonathan n’arrête pas de me parler de toi depuis qu’il t’a aperçu ici, je crois qu’il a flasher sur toi, je l’enverrais bien se faire voir mais c’est quand même lui qui me prend et me ramène du taf tous les jours. »
Alors avant de sortir, elle lui un fait un gros bisous sur la bouche en lui disant :
« Propose-lui un trio »
Quinze jours plus tard nous allions manger chez Quentin.
J’aime ce genre de situation où l’homme ne sait pas que je sais qu’il baise ma femme, qu’elle me raconte tous les détails après chaque rendez-vous et où il pense que je suis cocu (je le suis mais je le sais) et qu’il est plus gêné que moi.
Certains le sont moins que d’autres, mais dans tous les cas, cette situation m’excite beaucoup.
Il avait demandé à Nathalie de ne pas s’habiller trop sexy car il craignait que ça le fasse bander au cours de la soirée et il en serait mal à l’aise.
Il y a des choses comme ça qu’il ne faut pas dire à ma femme, elle a une fâcheuse tendance à désobéir.
Ding dong.
Quand il a ouvert la porte Nathalie était devant moi et portait un imperméable qui descendait au-dessous du genoux.
L’endroit où il habitait pouvait être moins fréquentable parfois le soir.
Quand elle l’a ôté, j’ai vue dans le regard de Quentin des étincelles mais aussi une gêne.
Elle portait un tee-shirt ultra moulant qui ressortait sa poitrine opulente dont les tétons pointaient, sans doute à cause du frottement de l’imperméable, une jupe très courte et des cuissardes en velours, qui montaient au-dessus du genoux, presque à mi-cuisses mais moins haut que la jupette. Bien sûr, comme souvent, elle n’avait aucun dessous.
Pour l’apéro, nous nous sommes installés, Nathalie et moi dans le canapé et Quentin dans un fauteuil à ma droite, légèrement en biais par rapport à nous.
Elle croisait et décroisait régulièrement ses jambes lui permettant certainement, quand il la regardait furtivement, d’apercevoir qu’elle ne portait rien dessous.
Quand nous nous sommes levés pour aller à table et alors que j’étais dos à elle, j’ai vue dans le reflet de la télé qu’elle a largement ouvert ses cuisses avant de se mettre debout, il en a presque rougi.
Plusieurs fois au cours de la soirée elle lui a offert la vision de son entre-cuisses, j’avais l’impression que ça l’excitait de le mettre mal à l’aise, mais elle le faisait toujours discrètement.
Avant de le quitter, je suis allé aux toilettes, pendant ce temps, elle s’est approchée de lui pour poser la main sur son sexe et le caresser par-dessus son Jeans, ils se sont embrassés puis lui a carrément enfoncé deux doigts dans la chatte en lui murmurant à l’oreille :
« Tu n’es qu’une salope, tu vas me le payer »
« Hummm, j’espère bien » lui a-t-elle répondue en passant lentement la langue sur ses lèvres.
Sur la route du retour, alors que je conduisais, elle a pris ma main pour la mettre entre ses cuisses en me disant :
« Touche, je suis trempée de l’avoir allumé, en plus il m’a doigté le temps que tu étais aux WC »
« J’ai aperçu plusieurs fois que tu l’excitais, je crois même avoir vu une fois qu’il bandait »
« Pas qu’une fois, je pense qu’il a bandé une bonne partie de la soirée, car moi je ne me gênais pas pour mater » m’a-t-elle répondue.
« Salope. »
« Je sais, mais t’aime ça. »
« C’est vrai. »
Elle est retournée le voir quelques jours après, en rentrant du boulot.
A peine entrée, il l’a plaquée contre la porte pour l’embrasser puis s’est écarté d’elle et en la forçant à s’agenouillé, il lui a dit :
« Suce-moi la bite, t’es qu’une chienne, tu m’as mis mal à l’aise toute la soirée de samedi »
Bien sûr malgré les mots crus, ce n’était que de l’excitation et en aucun cas de la violence.
Avant de le prendre en bouche, elle lui a dit :
« J’espère au moins que tu t’es branlé en pensant à moi cette nuit-là. »
Il lui a repris la tête pour y enfoncer sa queue en lui disant :
« Tu n’es vraiment qu’une salope, mais j’adore ça. »
Elle l’a sucé goulument pendant cinq bonnes minutes puis il l’a relevé en lui disant :
« Viens j’ai envie de ta baiser sur le fauteuil. »
Le Jeans, le string et les basket sur le sol, elle n’avait plus que ses petites socquettes blanche, face au fauteuil, un genoux sur chaque accoudoir, elle l’attendait les fesses bien en arrière pour qu’il la prenne.
Agrippé à ses hanches, il avait enfoncé sa queue bien au fond d’elle et la pilonnait maintenant presque bestialement, des grands va et vient rapide et profond qui la faisait gémir de plaisir à chaque coup de rein.
L’un comme l’autre était très excités et se donnaient complétement.
Nathalie a joui une première fois très rapidement, il a continué à la démonter avec fougue et vigueur sans s’arrêter, ce qui fait qu’elle a de nouveau pris son pied quelques minutes plus tard.
Il a ensuite un peu ralenti la cadence et a commencé à lui claquer les fesses en la traitant.
Voyant qu’elle semblait aimer et qu’elle ne s’offusquait pas de ses mots crus il s’est lâché sur les claques et sur les mots :
« Oh putain tu l’aime ma bite sale petite pute, elle est bonne ma queue, vas-y dit le moi. »
« Ouiiii j’adore ta grosse queue quand tu me défonce comme une chienne, continu j’adore ça salaud, c’est trop bon. »
Pendant plusieurs minutes ils ont parlé ainsi, cette débauche de plaisir leur provoquant une extrême excitation, il lui faisait presque mal tellement il la serrait fort aux hanches, ses fesses étaient rougies par les claques mais elle aimait ça.
Alors ne tenant plus ni l’un ni l’autre, ils se sont laissé aller et ont joui simultanément, criant leur orgasme réciproque avant qu’il ne s’écroule sur elle pour lui tourner la tête et l’embrasser langoureusement.
« Salaud, tu m’as détruit les fesses et les hanches, en plus maintenant j’ai les jambes toutes molles tellement j’ai bien joui …, …, tu peux recommencer quand tu veux c’était trop bon et si intense que j’aie cru que je ne m’arrêterais jamais de jouir, je crois que ton fauteuil est trempé hihi »
C’était toujours elle qui décidait quand ils allaient baiser ensemble, malgré les demandes régulières qu’il lui faisait, elle ne voulait pas accepter à chaque fois et pouvez rester parfois plusieurs semaines sans retourner le voir.
De temps en temps il venait manger à la maison, toujours sans voiture il se déplaçait à vélo, lorsqu’il pleuvait j’allais le chercher et c’était souvent Nathalie qui le ramenait chez lui.
Bien évidemment le trajet retour était toujours plus long que celui de l’aller.
Parfois ils s’arrêtaient en chemin, il y avait un petit parking, ombragé et à l’abri des regards, au bout de notre rue et qui était quasiment désert la nuit et d’où ils ne repartaient que lorsqu’il s’était vidé au fond de la gorge de ma femme.
Parfois elle l’accompagnait jusqu’à son appart pour qu’il la prenne sur le lit, dans un fauteuil ou dans le canapé.
Leurs accouplements pouvaient durer jusqu’à deux heures de suite, puis elle revenait à la maison pour m’embrasser afin que je sente l’odeur de sexe qu’elle avait dans la bouche et me sucer en me racontant ce qu’elle venait de faire.
Un soir ou il est venu diner avec nous et que le repas avait été assez arrosé, sans raison spécifique mais nous avons bu plusieurs apéro, du vin et quelques digestifs, ni Nathalie ni moi n’étions en état de conduire pour le ramener chez lui, nous n’étions pas ivres mais suffisamment alcoolisé pour ne pas prendre le volant.
Nous avons donc décidé qu’il dormirait ici, dans le canapé et qu’on le déposerait chez lui le lendemain matin.
Quand je me suis levé de table, je titubais un peu et leur ai dit que j’allais me coucher, j’ai donc monté l’escalier pour accéder à notre chambre.
Nathalie, qui était aussi fatiguée, voulait venir me rejoindre.
Ne me voyant plus, Quentin lui a attrapé le bras avant qu’elle ne monte à l’étage elle aussi en lui disant à voix basse :
« Reste un peu avec moi, j’ai envie de toi »
« Non pas ce soir, je suis trop naze pour des galipettes »
« Allez, s’il te plait, regarde je bande déjà »
« Pffffff t’es chiant…, bon, juste une pipe mais tu ne traine pas, laisse-toi aller »
Le canapé était dans le prolongement de l’escalier, avant qu’il ne tourne d’un quart pour accéder à la salle à manger et donc de l’étage je pouvais regarder, sans qu’on me voie, quand ma femme s’amusait avec un mec pendant que j’étais soi-disant dans la chambre.
J’ai donc pu ce soir-là, regarder sa bouche gourmande s’occuper du gros membre de Quentin.
Le jogging et le slip en bas des pieds, les jambes bien écartées, il caressait la tête de Nathalie qui, à genoux entre ses cuisses, le branlait et léchait sa hampe bien dressée.
Elle aspirait son gland entre ses lèvres pour jouer avec de sa langue qu’elle enroulait autour.
Elle lui caressait les couilles et faisait aller et venir son pieux dans sa bouche sans cesser de le masturber.
Il semblait être aux anges, la tête en arrière, il accompagnait de ses mains, toujours sur la tête de ma femme, le mouvement qu’elle faisait pour le sucer.
Elle le prenait le plus loin possible, puis le ressortait pour continuer à la branler et à titillait son gland.
Au bout d’un quart d’heure, il a bloqué sa tête sur sa queue, puis en grognant de plaisir, a éjaculé dans sa bouche.
Il devait y avoir une bonne dose car je voyais ma femme déglutir difficilement la semence qui lui envoyer par jets au fond de la gorge.
« Salaud, il y avait le paquet, j’ai eu du mal à tout avaler » lui dit-elle après avoir bien nettoyer son gourdin.
L’air un peu hébété, il reprenait tranquillement ses esprits.
« T’es vraiment la meilleure suceuse que j’ai rencontrée » puis il a enchainé en disant :
« Au fait, Il est ok »
« Qui et ok pour quoi ? »
« Bein Jonathan, pour le trio »
« Six mois après il se réveille celui-là »
« Non c’est ma faute, je ne savais pas si je pourrais te partager avec un autre »
D’un ton un peu plus sec, elle lui a répondu :
« Je te rassure, je ne t’appartiens pas, ce n’est pas toi qui me partages, c’est moi toute seule et si je veux baiser avec plusieurs mecs, c’est moi qui choisis de le faire, je n’ai besoin de l’accord de personne »
Voyant qu’elle avait assez mal pris sa remarque, il a essayé de se rattraper :
« Excuse-moi ce n’est pas ce que je voulais dire, en fait c’est moi qui ne savais pas si je serai capable de faire ça à trois, je ne l’ai jamais fait alors j’ai hésité longuement avant lui proposer »
Elle s’est radoucit puis lui a dit :
« Ne t’inquiète pas, moi j’en ai fait plusieurs, je vous guiderais, bon allez, je vais me coucher »
Sa bouche avait l’odeur et le gout du sperme de son amant quand elle est venue me rejoindre dans le lit.
« Alors tu as tout vu ? »
« Hummm oui, j’ai adoré te regarder, c’est à mon tour de me faire sucer maintenant »
« Pfff putain les mecs vous êtes chiant »
Dix minutes plus tard, à mon tour j’éjaculais copieusement dans sa bouche.
Pour organiser le trio entre Nathalie, Quentin et Jonathan, il fallait :
- Faire ça à la maison, c’était plus pratique pour le bruit avec les voisins.
- Que je ne sois pas là, car ça risquait de durer assez longtemps.
- Que Nathalie ne travaille pas le lendemain, c’était mieux si ça durait longtemps.
- Que Jonathan puisse découcher car il avait une copine.
- Que personne ne passe à l’improviste ce soir-là.
Ca faisait bien évidemment beaucoup de critères à gérer.
Plusieurs semaines plus tard, je suis parti en déplacement une semaine à l’étranger, du dimanche soir au samedi après-midi suivant.
Il fallait maintenant cocher les autres cases.
Nathalie a décidé sans laisser le choix aux deux autres :
« Ce sera vendredi soir ou rien du tout, à vous de vous arranger »
Nous avions bien fait passer le message auprès de nos amis pour dire que nous ne serions pas à la maison ce soir-là.
Jonathan avait la dernière carte en main pour que cela se fasse ou pas.
Le mardi matin, petit sms de Quentin à Nathalie :
« On est ok pour vendredi, Jonathan a réussi à trouver un alibi pour découcher, on sera chez toi vers vingt heures, bises »
Vingt heures pile, dringggg dringggg.
Les deux compères étaient devant la porte.
Nathalie leur a ouvert la porte.
Haut talon, bas noir, string rouge, peignoir en dentelle rouge et noir, ultra court et rien d’autre.
La bouche grande ouverte, les yeux exorbités, ils ne savaient quoi dire tellement la vision qu’elle leur offrait ainsi vêtue les avaient déstabilisés.
« Whaaaaaaaaa, magnifique » a dit Jonathan en premier.
« Bon rentrez, vous n’allait pas rester planté là toute la soirée. »
« Tu es vraiment très belle comme ça. » lui dit à son tour Quentin.
Une fois installés dans le canapé, elle est allée chercher des boissons en leur disant :
« Mettez-vous à l’aise, enfin à poil ce sera mieux, pendant que je ramène le champagne »
Quand elle est revenue avec trois coupes et une bouteille à la main, ils étaient tous les deux assis complètement nu et presque gêné de leur tenue mais avaient quand même apporté deux boites de préservatifs.
« Je crois qu’on va passer une bonne soirée, allez, faites-moi une place entre vous deux » puis se tournant vers Jonathan elle a ajouté :
« Viens là que je vois comment tu embrasses »
Pendant que Quentin servait les bulles, les deux autres se roulaient une bonne pelle bien baveuse et langoureuse.
Elle avait posé la main sur sa bite qui très vite à durcit, pendant que, après lui avoir ouvert le peignoir en dentelle, il lui caressait les seins.
« On trinque avant de passer aux choses sérieuses » dit Quentin qui se sentait un peu délaissé.
« Tchinnnnn dit Nathalie, j’espère que vous êtes en forme, car moi j’ai des grosses envies ce soir et vous voir la bite en l’air comme ça dès le départ, ça m’excite »
Ils ont bu quelques gorgées puis ont posés leur verre sur la table du salon.
Elle a pris une queue dans chaque main pour les masturber doucement pendant qu’eux lui caressaient les cuisses et les seins.
Petit à petit leurs visages se sont rapprochés d’elle pour l’embrasser dans le cou.
Elle tournait la tête vers l’un, puis vers l’autre pour mélanger sa langue à la leur.
Malgré une petite gêne au départ du fait de l’embrasser chacun leur tour, ils se sont très vite débridés et leurs mains se sont faites plus entreprenantes et leurs baisers plus enflammés.
Après plusieurs minutes, elle s’est levée pour les attirer à l’étage dans la chambre, elle s’est agenouillée au milieu en leur faisant signe de s’approcher, puis a attrapé les deux queues qui se trouvaient devant son visage pour passer sa langue sur leur gland.
Tour à tour, elle les prenait dans sa bouche tout en continuant à les branler, elle en engloutissait une pour enrouler sa langue dessus en l’aspirant, puis la ressortait pour passer à l’autre et lui faire subir le même sort.
Parfois elle collait leur gland l’un à l’autre, pour pouvoir les prendre tous les deux en même temps.
Elle les frottait contre son visage, leur léchait la hampe, puis allait gober leurs couilles, puis remontait aspirer un gland, puis l’autre, puis les deux en ouvrant bien grand la bouche.
Alors qu’une petite goutte de liquide séminale commençait à perler sur le sexe de Jonathan, il lui dit :
« Viens, j’ai envie de te bouffer la chatte »
Allongée maintenant sur le lit, les jambes bien ouverte, elle se faisait dévorer par un petit jeune de sept ans son cadet et qui malgré son jeune âge était relativement doué, car elle sentait qu’il allait bientôt la faire crier de jouissance.
Elle gémissait lorsqu’il enfonçait sa langue bien loin et haletait quand il jouait avec son clito.
Elle mouillait beaucoup, ce qui semblait encore plus stimuler Jonathan qui faisait virevolter sa langue depuis l’anus jusqu’au plus profond de son vagin, avant de remonter vers le clito et tout en lui enfonçant deux doigts pour la masturber en même temps.
Quentin n’était pas en reste et s’était agenouillé près du visage de ma femme pour se faire sucer.
Entre deux gémissement elle engloutissait avec passion son gourdin.
Assez rapidement elle a joui très fort, inondant le visage de son plus jeune amant dont elle avait bloqué la tête entre ses cuisses pour qu’il continu de la bouffer pendant son orgasme.
Quentin s’est allongé sur le dos et a enfilé une capote, Nathalie qui avait bien compris l’invitation, est venue le chevaucher et s’empaler sur son pieux.
« Oh putain elle est toujours aussi bonne ta bite salaud »
Jonathan s’était placé debout à côté d’elle pour se faire sucer.
Une queue dans la bouche, une autre dans la chatte sur laquelle elle ondulait du bassin, Nathalie était aux anges, elle savait qu’elle allait prendre énormément de plaisir ce soir.
Quentin a placé ses mains sous ses fesses pour la faire monter et descendre sur son braquemart.
Jonathan en profitait pour caresser sa lourde poitrine pendant qu’elle l’engloutissait.
Sa bouche gourmande le prenait presque entièrement, son sexe était moins gros et moins long que celui de son collègue, mais il n’avait pas à rougir car il était de bonne taille quand même et surtout bien raide.
Au bout d’une dizaine de minutes, elle a eu un nouvel orgasme, Quentin qui commençait à bien la connaitre, savait qu’elle pouvait jouir des dizaines de fois dans la nuit, il a donc cédé sa place à son coéquipier pour qu’il la baise à son tour.
A chacune de ses jouissances, ils changeaient de place et de position en la faisant crier de plaisir à maintes reprises, elle se donnait complétement à eux, elle était leur jouet, leur objet sexuelle de la nuit.
Quand il la prenait en levrette, Quentin n’hésitait pas à lui claquer les fesses en la traitant de salope, en lui disant qu’elle était leur pute et qu’ils allaient la démonter toute la nuit, puis Jonathan en a fait de même et n’était pas le dernier non plus avec les mots crus.
« Salope, t’es à nous cette nuit, on va même prendre ton cul de chienne, tu va nous supplier pour qu’on continu à te baiser…, Oh putain je vais jouir donne-moi ta bouche pour y mettre mon foutre »
Il est sorti d’elle, a retiré son préservatif pour lui présenter sa queue, Quentin, qui était aussi sur le point de jouir, l’a rejoint et ils ont éjaculé presque ensemble sur le visage et dans la bouche de ma femme.
Elle a avalé tout ce qu’elle a pu, puis et venu les lécher pour aspirer les dernières gouttes de sperme.
Pendant la pause qui a suivi, ils lui ont demandé si les claques sur les fesses et les mots crus ne l’avait pas gêné et si ça ne lui avait pas fait mal.
« Non au contraire j’adore ça, mais pas plus fort les claques, en revanche pour m’enculer c’est moins sûr » en disant ça, elle savait que s’ils avaient insisté alors qu’elle était hyper excitée, il y aurait pu y avoir de grande chance pour qu’au moins un des deux la sodomise, mais ça elle ne voulait pas leur dire.
Ils sont allés prendre une douche à tour de rôle, puis sont retourné dans la chambre.
Jonathan était de nouveau entre ses cuisses quand Quentin est revenu de la douche, elle gémissait de plus en plus fort sous les coups de langue agile de son partenaire jusqu’à ce qu’elle lui explose au visage.
Maintenant à quatre pattes, Quentin s’est aussitôt placé derrière elle pendant que Jonathan s’était allongé pour qu’installée entre ses cuisses, elle puisse le sucer.
L’assaillant qui la pilonnait ne chômait pas, il la tenait fermement par les hanches pour s’enfonçait le plus loin possible en elle, la faisant tressaillir à chaque coup de rein.
Il ralentissait le rythme parfois pour qu’un de ses doigts progresse doucement vers son anus qu’il titillait et massait doucement avant de le pénétrer, puis il ressortait pour la démonter encore plus fort.
Jonathan qui avait bien compris le but, en faisait de même lorsque c’était son tour de levrette.
Ils l’ont prise pendant presque deux heures dans toutes les positions, la faisant jouir un grand nombre de fois, jusqu’au moment où, alors qu’elle était sur Quentin et qu’elle avait sa queue bien au fond, il lui a fait relever légèrement les fesses tout en continuant à la baiser, mais doucement cette fois-ci, elle a senti derrière elle, Jonathan se placer pour présenter sa bite devant ses fesses.
Il s’est d’abord frotté contre son anus, qui était dilaté à force de recevoir les doigts de ses deux amants et il s’est enfoncé tout doucement dans son fondement.
Quentin s’était arrêté le temps que son collègue la pénètre complétement, une fois chose faite, ils ont commencé à se synchroniser pour la baiser et l’enculer en même temps.
Après quelques dizaines de secondes ils ont trouvé leur rythme et l’ont prise ainsi.
Les yeux révulsés, elle les sentait bien en elle, elle avait des picotements partout dans le ventre tellement elle prenait du plaisir à se sentir remplie, elle a joui très rapidement, longtemps et très fort, presque à en pleurer.
Elle s’est écroulée sur Quentin et a mis quelques minutes à retrouver ses esprits.
Ils se sont retirés d’elle et alors qu’eux n’avaient pas joui, sans un mot, ils ont changé de capote et de place.
Comprenant ce qu’ils allaient faire elle dit à Quentin :
« Vas-y doucement et si je dis stop tu arrêtes »
« Ne t’inquiète pas je serai très doux »
Empalé sur le plus jeune, elle s’apprêtait à prendre maintenant le barreau de son amant des sports d’hiver dans son cul.
Doucement il s’est enfoncé entre ses fesses, déjà bien dilaté par une bite un peu moins grosse, la pénétration s’est faite sans douleurs.
« Oh putain elle est grosse quand même »
Ils ont trouvé leur vitesse de croisière très vite et l’ont pistonné ainsi un bon quart d’heure.
Quand Nathalie a joui, elle a criée très fort, des larmes de plaisir coulaient sur son visage, Jonathan n’a pu se retenir et s’est vidé au fond de son ventre en la serrant très fort dans ses bras, Quentin a éjaculé dans son cul quelques secondes après.
Essoufflé, vidé, ils se sont relevés heureux du plaisir qu’ils venaient de prendre tous les trois.
« Je t’avais dit qu’on allait prendre ton cul de chienne » lui a dit Jonathan avant de retourner prendre une douche.
« Bande de salauds, vous m’avez bien eu » répondit-elle avec un grand sourire.
L’histoire ne s’arrête pas là, il y a une suite si ça vous dit.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle délicieuse histoire bien excitante de ce couple qui se connaît bien assez pour s'amuser...
Cyrille
Cyrille
Le mari n’était pas consentant vu qu’il se vidait des 2 cotés.
Elle a profité du fait qu’il était malade pour coucher ailleurs. 🤷♀️
Effectivement elle n’a pas de figures.
Elle a profité du fait qu’il était malade pour coucher ailleurs. 🤷♀️
Effectivement elle n’a pas de figures.
Effectivement.
Nathalie et son mari sont adultes consentants, donc rien à dire, s'ils aiment ça
Donc le mec trompe sa copine et se fait sucer sans capotes comme ça.
Tant mieux si ils n’ont pas été malade. Mais ce n’est pas le respect qui les aurait étouffer non plus.
Comme dit le proverbe votre femme n’a pas de figures
Espérons qu’ils aient eu la décence de niquer dans la chambre d’ami.
Tant mieux si ils n’ont pas été malade. Mais ce n’est pas le respect qui les aurait étouffer non plus.
Comme dit le proverbe votre femme n’a pas de figures
Espérons qu’ils aient eu la décence de niquer dans la chambre d’ami.