Qui l'eût cru!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Qui l'eût cru!
Le lendemain que fut ma surprise en entrant du lycée, t’entendre de la bouche de ma mère une invitation à me rendre chez Barbara.
-Elle t’a dit ce qu’elle désirait.
-Elle m’a seulement dit la même chose que hier. Que tu comprendras !
-Je vois !
-C’est-à-dire ? Fait ma mère.
-Un problème avec sa sache d’eau.
-Je te connaissais pas bricoleur mon fils.
-Tu vas le laisser un peu tranquille, laisse tomber mon père.
-Je voulais seulement jouer la curieuse.
-Oui c’est ça ton problème, ajoute mon père.
Et c’est après cette épisode que je prends le chemin me menant jusqu’à l’appartement de Barbara. Après m’avoir accueillit, elle me guide jusqu’à sa chambre. Et très vite je fus interdit de la voir se placer en levrette sur son lit. Elle retrousse sa jupette sur ses reins dévoilant par ce geste un cul nu. La tête sur l’oreiller, m’offrant par cette position, ses orifices, elle me lance :
- T’en fais pas, cela reste entre nous, je te donne ma parole. Pas d’histoire. Montre-moi ce que tu sais faire. Lèche-moi. J’ai de drôle d’envies avec toi.
Sans attendre, sachant très bien que les minutes nous sont comptées, je m’installe à genoux derrière la coquine et lui donne quelques baisers sur la croupe. Elle dégage en ce milieu de journée, une odeur forte qui est un véritable délice pour mes narines. Je rive mon regard sur son anus qu’elle m’offre comme une don. L’anneau ne parait guère ouvert mais je sais que ça ne signifie rien. Doucement je m’aventure sur le haut des fesses puis prends la petite voie qui m’est tracé par la raie et s’arrête au niveau du petit trou. La cochonne se cabre davantage comme pour m’offrir ce quelle a de plus intime. Je m’applique à lui lécher bien le pourtour de l’anus et tente à plusieurs reprises de forcer l’entrer du bout de ma langue, qui m‘électrise.
-Je ne te connaissais pas aussi cochon !
-Vous ne savais pas tout de moi !
-Je vois ça !
Et je me mets à lécher son oignon. Barbara, dans la même position, halète et lâche des :
- Ooooh ! OUUuuuiiii !
Pousser par ses plaintes, j’enfonce ma langue dans la fente béante de la coquine. Elle se tortille sur le lit. J’ai vraiment de la chance, cette femme est une vraie bombe sexuelle. Elle devient très vite folle sous mes coups de langue. J’éprouve une émotion violente.
-Prends-moi, tu m’entends Alain !
Je prends alors la position adéquate. Barbara pousse un petit cri de triomphe ravi de sentir ma queue contre sa fente. Elle se hausse le plus possible pour frotter, contre mon sexe, sa vulve avide. Je plis un peu les genoux et m’enfonce d’un seul coup en elle, avec une rudesse virile qui la faisait rugir de plaisir.
Souple comme une acrobate de cirque, elle se déhanche, contractant son ventre pour mieux m’emprisonner, se secouant sur ma queue, se frottant pour stimuler son clitoris, se poignardant elle-même avec une ardeur, un acharnement qui la fient se tordre, râler et bredouiller des mots obscènes. Malgré ma vigueur, j’ai du mal à supporter ses assauts.
-Vas-y…bourre moi la chatte ! Je veux jouir !
J’accentues mon rythme. Pour le plus grand plaisir de Barbara qui laisse échapper un feulement continu. Brusquement elle crie.
-OOOOuuuuiii ! Continue ! Oooooh ! Fit-elle.
La coquine râle et en demande plus. C’est fabuleusement bon. Barbara experte bouge avec adresse, augmentant mes sensations. Elle respire de plus en plus fort et balbutie toujours des choses incompréhensibles.
-Oui… halète-t-elle. Oui… plus fort…
Le temps n’existe plus. Il n’y a que cette extase, ce plaisir inouï. Soudain, Barbara se cabre et gémit.
- Je vais jouir… Oui, je jooouuuuiiiis !
Avec un grognement sourd, serrant plus durement les hanches de Barbara, je lâche ma semence au fond de ses reins. De longs jaillissements tumultueux qui la font hurler plus fort. Hors d’haleine, je desserre mon étreinte. La Coquine se laisse aller, toute secouée, la bouche meurtrie et les yeux cernés de bistre. Elle s’étend sur le lit, et me murmure:
- Salaud ! J’aime ceux que tu me fais…
Puis elle pose sur moi des yeux où brille la lueur du désir. Je sens immédiatement un picotement traverser mon bas-ventre.
Ça fait longtemps que je cherche l’être d’exception, ajoute-t-elle, et je pense l’avoir trouvé en toi !
Nos deux têtes se rapprochent, se figent un instant puis s’accolent dans un élan brutal et irrépressible. Nous bouches s’entrouvrent, nos langues se cherchent maladroitement et s’enroulent.
- Viens donc t’allonger près de moi. Tu l’as bien mérité.
Je prends place à ses côtés et fermer les yeux, le temps de récupérer.
Un jour qu’elle ‘avait fait de nouveau venir chez elle, elle m’accueillit avec un petit tablier blanc sur une guêpière rouge. Un cadeau de son mari ! Cela lui donne l’allure d’une femme de ménage perverse, comme celles qu’on voit dans les films pornos. Elle se courbe en me tournant le dos. Son petit slip assorti à la guêpière se tend à craquer tandis que ses fesses débordent de chaque côté. Elles sont laiteuses, comme la chair des cuisses au-dessus des bas gris.
Je tends la main, pour les pétrir. Je glisse un doigt sous le fond de la culotte. La raie est chaude, moite de sueur. Je tripote l’anus puis je descends plus bas. Barbara se cambre. Son mont de Vénus forme une bosse très proéminente sous son ventre. Les lèvres de son sexe sont inondées de mouille, cela clapote sous mon index.
Ne tenant plus, la coquine se redresse et baisse sa culotte. Suite à ça elle se prosterne sur le divan. Elle expose toute sa raie des fesses luisante de sueur, ainsi que son sexe aux lèvres largement écartées. Au milieu de sa vulve étalée, ses petites lèvres ressemblent à une corolle de fleur. Des gouttes de mouille s’en détachent. Elle glisse une main sous elle pour titiller son bourgeon. Je distingue nettement son doigt s’agiter autour du bouton dressé. Des spasmes crispent sa vulve.
-Tu me rends folle ! Je ne me reconnais pas ! Dis-moi que toi aussi tu penses tout le temps à moi, que tu as toujours envie de m’enfoncer ta queue.
Prenant appui sur ses genoux, elle tend son derrière vers moi. Je la soulève par les hanches, et fais disparaître ma queue d’un seul coup dans sa chatte. Elle se contorsionne pour m’agripper les reins avec ses talons.
- Ne bouge plus, attends ! C’est trop excitant.
Nos restons un long moment soudés en ne faisant que d’imperceptibles mouvements pour faire durer notre plaisir. Elle contracte ses muscles pour masser ma queue. Puis elle se secoue.
- Vas-y défonce-moi ! Laboure-moi la chatte.
Alors je me fais plaisir. Alternant les coups de reins violents et les trêves. Elle me supplie d’aller plus vite, plus fort, comme je savais lui donner. Parfois elle m’insulte même.
- Bourre-moi, bourre-moi ! Je veux que tu me fasses jouir !
Nous avons joui en même temps avec violence. J’ai revu Barbara. Elle comme moi n’arrivons pas à garder nos distances. Elle s’étale chaque fois plus créative, comme pour mieux me faire revenir.
- Jure-moi que tu ne me quitteras jamais, me dit-elle.
-Je ne peux jurer ce genre de promesse.
-Tu pourras me demander tout ce que tu veux, je le ferai ! Ajoute-elle.
-Je ne vous en demande pas temps !
-Je suis complètement folle de toi ! Je mange toi, je dors toi, je vis pour toi !
Quand elle ma vue m’approcher d’elle, Barbara comprend tout de suite. Elle s’accroupie sur le divan en écartant ses fesses avec les mains. Son anus est déjà très souple. J’y enfonce sans mal deux doigts enduit de ma propre salive. Barbara gesticule, excitée.
- Comme tu es cochon ! Tu me tripotes le cul comme on me la jamais fait.
Elle me fait bander avec ses mots crus. Je lui masse l’intérieur de l’anus avec mes doigts. Ses muscles s’assouplissent davantage. Je constate qu’elle mouille aussi de ce côté-là. J’enfonce mon gland sans difficulté dans l’anus. Barbara respire plus vite. Centimètre après centimètre mon outil de plaisir pénètre le lieu. La chair des fesses se plisse. Elle se cambre le plus possible pour faciliter la pénétration. Ses fesses rebondies, dressées presque à la verticale, s’évasent autour de ma queue. Juste au-dessous, les lèvres du sexe s’épanouissent, laissant voir l’intérieur rouge et humide de la vulve.
Elle remut ses fesses. J’oscille ma queue de droite à gauche, entre les rondeurs joufflues de son derrière. Ses muscles intimes se crispent, enserrant ma bite dans un fourreau chaud et gluant. Je l’encule de plus en plus vite. Elle a joui en criant très fort.
C’est à ce moment là, que sa fille la plus jeune a ouvert la porte à la volée.
- Mais qu’est-ce qui t’arrive maman ?
Elle reste figée quelques secondes avant de quitter la pièce. Elle a refermé la porte aussi brutalement qu’elle la ouverte. Je rencontrais fréquemment sa fille dans le quartier. A chacun de nos regards, je vois une expression d’interrogation dans ses yeux. Un jour je pousse le vise à lui parler. Et je reste ahuri par ses paroles. Elle m’avoue alors de ce que fait ou non sa mère, qu’elle a parfaitement raison, que son père est un vieux con !
Il m’en faut pas plus pour reprendre mes relations avec sa mère, Barbara
-Elle t’a dit ce qu’elle désirait.
-Elle m’a seulement dit la même chose que hier. Que tu comprendras !
-Je vois !
-C’est-à-dire ? Fait ma mère.
-Un problème avec sa sache d’eau.
-Je te connaissais pas bricoleur mon fils.
-Tu vas le laisser un peu tranquille, laisse tomber mon père.
-Je voulais seulement jouer la curieuse.
-Oui c’est ça ton problème, ajoute mon père.
Et c’est après cette épisode que je prends le chemin me menant jusqu’à l’appartement de Barbara. Après m’avoir accueillit, elle me guide jusqu’à sa chambre. Et très vite je fus interdit de la voir se placer en levrette sur son lit. Elle retrousse sa jupette sur ses reins dévoilant par ce geste un cul nu. La tête sur l’oreiller, m’offrant par cette position, ses orifices, elle me lance :
- T’en fais pas, cela reste entre nous, je te donne ma parole. Pas d’histoire. Montre-moi ce que tu sais faire. Lèche-moi. J’ai de drôle d’envies avec toi.
Sans attendre, sachant très bien que les minutes nous sont comptées, je m’installe à genoux derrière la coquine et lui donne quelques baisers sur la croupe. Elle dégage en ce milieu de journée, une odeur forte qui est un véritable délice pour mes narines. Je rive mon regard sur son anus qu’elle m’offre comme une don. L’anneau ne parait guère ouvert mais je sais que ça ne signifie rien. Doucement je m’aventure sur le haut des fesses puis prends la petite voie qui m’est tracé par la raie et s’arrête au niveau du petit trou. La cochonne se cabre davantage comme pour m’offrir ce quelle a de plus intime. Je m’applique à lui lécher bien le pourtour de l’anus et tente à plusieurs reprises de forcer l’entrer du bout de ma langue, qui m‘électrise.
-Je ne te connaissais pas aussi cochon !
-Vous ne savais pas tout de moi !
-Je vois ça !
Et je me mets à lécher son oignon. Barbara, dans la même position, halète et lâche des :
- Ooooh ! OUUuuuiiii !
Pousser par ses plaintes, j’enfonce ma langue dans la fente béante de la coquine. Elle se tortille sur le lit. J’ai vraiment de la chance, cette femme est une vraie bombe sexuelle. Elle devient très vite folle sous mes coups de langue. J’éprouve une émotion violente.
-Prends-moi, tu m’entends Alain !
Je prends alors la position adéquate. Barbara pousse un petit cri de triomphe ravi de sentir ma queue contre sa fente. Elle se hausse le plus possible pour frotter, contre mon sexe, sa vulve avide. Je plis un peu les genoux et m’enfonce d’un seul coup en elle, avec une rudesse virile qui la faisait rugir de plaisir.
Souple comme une acrobate de cirque, elle se déhanche, contractant son ventre pour mieux m’emprisonner, se secouant sur ma queue, se frottant pour stimuler son clitoris, se poignardant elle-même avec une ardeur, un acharnement qui la fient se tordre, râler et bredouiller des mots obscènes. Malgré ma vigueur, j’ai du mal à supporter ses assauts.
-Vas-y…bourre moi la chatte ! Je veux jouir !
J’accentues mon rythme. Pour le plus grand plaisir de Barbara qui laisse échapper un feulement continu. Brusquement elle crie.
-OOOOuuuuiii ! Continue ! Oooooh ! Fit-elle.
La coquine râle et en demande plus. C’est fabuleusement bon. Barbara experte bouge avec adresse, augmentant mes sensations. Elle respire de plus en plus fort et balbutie toujours des choses incompréhensibles.
-Oui… halète-t-elle. Oui… plus fort…
Le temps n’existe plus. Il n’y a que cette extase, ce plaisir inouï. Soudain, Barbara se cabre et gémit.
- Je vais jouir… Oui, je jooouuuuiiiis !
Avec un grognement sourd, serrant plus durement les hanches de Barbara, je lâche ma semence au fond de ses reins. De longs jaillissements tumultueux qui la font hurler plus fort. Hors d’haleine, je desserre mon étreinte. La Coquine se laisse aller, toute secouée, la bouche meurtrie et les yeux cernés de bistre. Elle s’étend sur le lit, et me murmure:
- Salaud ! J’aime ceux que tu me fais…
Puis elle pose sur moi des yeux où brille la lueur du désir. Je sens immédiatement un picotement traverser mon bas-ventre.
Ça fait longtemps que je cherche l’être d’exception, ajoute-t-elle, et je pense l’avoir trouvé en toi !
Nos deux têtes se rapprochent, se figent un instant puis s’accolent dans un élan brutal et irrépressible. Nous bouches s’entrouvrent, nos langues se cherchent maladroitement et s’enroulent.
- Viens donc t’allonger près de moi. Tu l’as bien mérité.
Je prends place à ses côtés et fermer les yeux, le temps de récupérer.
Un jour qu’elle ‘avait fait de nouveau venir chez elle, elle m’accueillit avec un petit tablier blanc sur une guêpière rouge. Un cadeau de son mari ! Cela lui donne l’allure d’une femme de ménage perverse, comme celles qu’on voit dans les films pornos. Elle se courbe en me tournant le dos. Son petit slip assorti à la guêpière se tend à craquer tandis que ses fesses débordent de chaque côté. Elles sont laiteuses, comme la chair des cuisses au-dessus des bas gris.
Je tends la main, pour les pétrir. Je glisse un doigt sous le fond de la culotte. La raie est chaude, moite de sueur. Je tripote l’anus puis je descends plus bas. Barbara se cambre. Son mont de Vénus forme une bosse très proéminente sous son ventre. Les lèvres de son sexe sont inondées de mouille, cela clapote sous mon index.
Ne tenant plus, la coquine se redresse et baisse sa culotte. Suite à ça elle se prosterne sur le divan. Elle expose toute sa raie des fesses luisante de sueur, ainsi que son sexe aux lèvres largement écartées. Au milieu de sa vulve étalée, ses petites lèvres ressemblent à une corolle de fleur. Des gouttes de mouille s’en détachent. Elle glisse une main sous elle pour titiller son bourgeon. Je distingue nettement son doigt s’agiter autour du bouton dressé. Des spasmes crispent sa vulve.
-Tu me rends folle ! Je ne me reconnais pas ! Dis-moi que toi aussi tu penses tout le temps à moi, que tu as toujours envie de m’enfoncer ta queue.
Prenant appui sur ses genoux, elle tend son derrière vers moi. Je la soulève par les hanches, et fais disparaître ma queue d’un seul coup dans sa chatte. Elle se contorsionne pour m’agripper les reins avec ses talons.
- Ne bouge plus, attends ! C’est trop excitant.
Nos restons un long moment soudés en ne faisant que d’imperceptibles mouvements pour faire durer notre plaisir. Elle contracte ses muscles pour masser ma queue. Puis elle se secoue.
- Vas-y défonce-moi ! Laboure-moi la chatte.
Alors je me fais plaisir. Alternant les coups de reins violents et les trêves. Elle me supplie d’aller plus vite, plus fort, comme je savais lui donner. Parfois elle m’insulte même.
- Bourre-moi, bourre-moi ! Je veux que tu me fasses jouir !
Nous avons joui en même temps avec violence. J’ai revu Barbara. Elle comme moi n’arrivons pas à garder nos distances. Elle s’étale chaque fois plus créative, comme pour mieux me faire revenir.
- Jure-moi que tu ne me quitteras jamais, me dit-elle.
-Je ne peux jurer ce genre de promesse.
-Tu pourras me demander tout ce que tu veux, je le ferai ! Ajoute-elle.
-Je ne vous en demande pas temps !
-Je suis complètement folle de toi ! Je mange toi, je dors toi, je vis pour toi !
Quand elle ma vue m’approcher d’elle, Barbara comprend tout de suite. Elle s’accroupie sur le divan en écartant ses fesses avec les mains. Son anus est déjà très souple. J’y enfonce sans mal deux doigts enduit de ma propre salive. Barbara gesticule, excitée.
- Comme tu es cochon ! Tu me tripotes le cul comme on me la jamais fait.
Elle me fait bander avec ses mots crus. Je lui masse l’intérieur de l’anus avec mes doigts. Ses muscles s’assouplissent davantage. Je constate qu’elle mouille aussi de ce côté-là. J’enfonce mon gland sans difficulté dans l’anus. Barbara respire plus vite. Centimètre après centimètre mon outil de plaisir pénètre le lieu. La chair des fesses se plisse. Elle se cambre le plus possible pour faciliter la pénétration. Ses fesses rebondies, dressées presque à la verticale, s’évasent autour de ma queue. Juste au-dessous, les lèvres du sexe s’épanouissent, laissant voir l’intérieur rouge et humide de la vulve.
Elle remut ses fesses. J’oscille ma queue de droite à gauche, entre les rondeurs joufflues de son derrière. Ses muscles intimes se crispent, enserrant ma bite dans un fourreau chaud et gluant. Je l’encule de plus en plus vite. Elle a joui en criant très fort.
C’est à ce moment là, que sa fille la plus jeune a ouvert la porte à la volée.
- Mais qu’est-ce qui t’arrive maman ?
Elle reste figée quelques secondes avant de quitter la pièce. Elle a refermé la porte aussi brutalement qu’elle la ouverte. Je rencontrais fréquemment sa fille dans le quartier. A chacun de nos regards, je vois une expression d’interrogation dans ses yeux. Un jour je pousse le vise à lui parler. Et je reste ahuri par ses paroles. Elle m’avoue alors de ce que fait ou non sa mère, qu’elle a parfaitement raison, que son père est un vieux con !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ce serait tellement mieux en français, avec un bon Bécherelle et une construction maîtrisée! C’est dommage car l’histoire pourrait être sympa…