Rapports de bon voisinage 4
Récit érotique écrit par Aldebaran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2015 dans la catégorie Plus on est
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Rapports de bon voisinage 4
Julien prit les coordonnées du lieu de rendez-vous, et promit d’y être à 17 h. Ensuite, il téléphona à sa femme qui n’était pas encore partie déjeuner. Il lui dit qu’il l’aimait et qu’il la désirait. « Tu sais ce que j’ai fait ? lui dit Carole.
Non, quoi ?
J’ai profité d’une absence de Fabienne que j’ai envoyée à la banque. Je me suis doigté en pensant à la soirée de hier soir, tu as été génial.
Tu vas le refaire ?
Je n’aurais pas trop le temps cet après-midi.
Tu veux le refaire ? Là ?
Tu es seul dans ton bureau ?
Oui. Et toi ?
Aussi, Fabienne ne revient qu’à 2 h, le magasin est fermé.
Mets ta main sur le haut de ta cuisse à l’intérieur, là où ta chair est souple, tiède, bientôt moite.
Ok, je le fais.
Palpe doucement, remonte jusqu’à ta culotte, tu as mis une italienne ce matin je crois.
Oui.
Glisse ton majeur sous l’élastique, lisse ton clitoris.
Cochon !
Mais c’est comme ça que tu m’aimes.
C’est vrai, continue.
Ecarte bien tes cuisses de salope, tends tes seins, respire fort.
Humm.
Mords-toi les lèvres, et jette ta tête à droite et à gauche violemment comme si tu ne pouvais plus résister au désir.
…….
Tu jouis déjà.
Continue.
Baisse ta culotte avec le dos de ta main, mets ta main en cuillère sous ta chatte, écarte tes doigts en rateau.
Et puis ?
Remonte doucement en laissant tes doigts traîner dans tes creux, renouvelle cette caresse.
Hummmm, ouiiiiiiii.
Tu mouilles ?
Un peu.
Essuie tes doigts sur ton ventre à hauteur du nombril. Prends ton clitoris entre ton pouce et ton majeur.
Oui.
Pétris le comme si tu voulais obtenir une boulette de mie de pain.
Salaud ! tu sais y faire toi, je coule tu sais.
A la bonne heure, suce tes doigts après les avoir humés. Mets toi deux doigts dans la chatte, et pose ta paume sur ton pubis. Ça fait une pince.
Oui.
Masse ta muqueuse, tortille toi du cul, si tu es assise.
Oui, oh ouiii……….
Vas-y, lâche-toi.
……………….J’ai joui, mon chéri, et toi ?
Ne t’inquiète pas pour moi tu sais que je préfère le réel, mais je bande très fort. Tu vois si on avait des smartphones tu pourrais voir.
Une idée de cadeau alors. As-tu déjeuné ?
Non, il faut que j’y aille. Vivement ce soir que je sente le fond de ta culotte. Tu es ma pute, chérie.
Oui, et ça me plaît. Vivement ce soir mon amour.
Julien était étonné d’être aussi comblé. Il avait eu quelque remords à tromper Carole la veille. Mais ses scrupules s’étaient évanouis depuis que Jessica lui avait révélé qu’il ne savait pas tout. Carole et Martine étaient vraiment les partenaires idéales pour assouvir ses pulsions qui étaient grandes, mais qu’il savait faire partager. Il pensa tout à coup que sa belle-fille soupçonnait ses talents et qu’elle aussi voulait en profiter. Il écarta une nouvelle fois cette perspective, et fut satisfait d’avoir noué des relations avec Martine qui s’annonçaient intenses et qui auraient pour avantage de le détourner de Jessica.
Julien assura ses cours, quand il termina, il avait juste le temps de se rendre dans la résidence que lui avait indiquée Martine. Une étudiante voulait s’attarder seule avec lui sous un vague prétexte, il dut l’éconduire et devant son insistance il lui donna rendez-vous le lendemain dans son bureau. Arrivé devant le hall d’entrée de la résidence où habitait l’amie de Martine, il ne sut sur quel bouton appuyer, Martine avait oublié de préciser le nom de son amante. Il lui téléphona, et un déclic déclencha l’ouverture de la porte d’entrée. « C’est au 7e , lui avait précisé Martine, à gauche en sortant de l’ascenseur ». La porte était entrouverte quand il sortit de l’ascenseur, mais il sonna le plus discrètement possible. Martine l’attendait, dans son tailleur très strict, les jambes gaînées de bas qui appelaient le toucher, elle était superbe. Ils s’enlacèrent dans l’entrée, et Julien chercha tout de suite à atteindre sa chatte. Martine écartait docilement les jambes, et la main de Julien s’était plongée directement entre sa peau et la dentelle de sa petite culotte, elle pétrissait les deux bourrelets de son sexe ou bien faisait crisser les poils bruns de son pubis. Martine écrasait ses seins contre la poitrine de son partenaire. Elle fermait les yeux tout en abandonnant sa bouche à son nouveau partenaire. Elle déboutonna sa veste, et aida Julien à ôter la sienne. Elle lui prit la main et lui dit « Viens ! » Ils se dirigèrent vers la chambre d’ami, Julien hésita : « Mais tu ne crois qu’on abuse ! »
« Abuser ! mais Marie est mon amie et elle me doit beaucoup, d’ailleurs je compte lui parler de toi. Elle nous laissera venir quand nous voudrons. Tiens j’ai une photo d’elle sur mon portable, je vais te la montrer :
Mais elle n’est pas mal !
Ah tu vois, tu seras sûrement enchanté de faire sa connaissance le moment venu.
Ce qu’elle ne disait pas encore c’est que Marie était aussi son amante. Elles étaient si intimes que Martine fatiguée de l’obstination de son mari à ne pas recevoir le petit ami de Vanessa, elle avait demandé à sa collègue de faciliter les rencontres de sa fille. Marie avait spontanément offert l’hospitalité à Vanessa et son petit ami ; elle avait prêté une clef qui permettait aux deux jeunes gens de profiter surtout des après-midi du mercredi en l’absence de la propriétaire des lieux. Mais ce qu’ignorait Martine c’est qu’ un après-midi Marie rentra chez elle plus tôt que prévu. Et elle surprit les deux lycéens dans la chambre d’amis.
Loin d’être choquée par la situation qu’elle avait favorisée, Marie les encouragea à poursuivre leurs ébats.
Merci Marie, dit Vanessa, en tendant les bras pour l’embrasser.
Mais tu as une très jolie poitrine dit Martine.
C’est ce que me dit aussi Jérôme, dit Vanessa en souriant.
Il a bien de la chance de t’avoir.
Et nous de t’avoir pour amie, tu sais on ne sait pas quoi faire pour te remercier. Ton appart est vraiment sympa !
Oui, Madame, qu’est-ce qu’on peut faire ?
Martine qui les trouvait croquants, voulut les provoquer :
Vous avez fait à plusieurs ?
Non, oh non, dit Jérôme.
Moi j’aimerais bien, dit Vanessa.
Même avec quelqu’un de plus âgé ?
Je ne sais pas dit Jérôme qui ne comprenait pas aussi vite que sa petite amie.
Avec toi tu veux dire, dit Vanessa. Mais ce serait super ! Tu vas nous guider.
Marie se déshabilla lentement et une fois nue elle commanda à Jérôme de se lever , elle demanda à Vanessa de rester allongée, elle monta sur le lit et se mit en chienne, elle écarta les cuisses de la jeunes fille pour la lécher, et offrit sa chatte à Jérôme, elle passa sa main entre ses cuisses pour écarter les plis de sa vulve : « Viens, petit cochon, allez n’aie pas peur » Jérôme surpris par la situation avait du mal à bander, il dut se masturber pour faire honneur à la belle amie de sa petite amie. Vanessa, elle, était aux anges, certes elle avait déjà couché avec des amies pour ne pas paraître idiotes auprès des copines, mais c’était resté superficiel, elle avait seulement dormi nue enlacée avec deux ou trois camarades. Elle découvrait les joies du plaisir accordé par une femme qui devait certainement être experte, elle mouillait d’ailleurs très fort sous l’effet des coups de langue que lui prodiguait Marie. Oui, ça valait le coup de sacrifier Jérôme à cette nouvelle expérience qu’elle se promettait de connaître depuis longtemps et d’approfondir aussi. Elle frissonna autant sinon plus que lorsque Jérôme la conduisait à l’orgasme. Ce dernier avait enfin redonné à son sexe une dureté qui lui permit de pénétrer Marie, il était à genoux sur le pied du lit et lui donnait enfin les coups de boutoir que sa nouvelle partenaire espérait. Celle-ci était devenue gluante sous la double influence du plaisir qu’elle donnait à Vanessa et de celui que lui procurait un jeune mâle arraché un instant à l’étreinte de sa petite amie. Celle-ci se tortilla sous le coup de l’orgasme que provoqua le cunnilingus de l’amie de sa mère. Elle hurla de plaisir parvenue au maximum de la jouissance. Jérôme en fut stupéfait lui qui pensait avoir atteint avec Vanessa des moments intenses. Il pensa que Marie était une belle salope et il songea qu’il pourrait peut-être en profiter en continuant une relation à trois, qui admettrait toutes les combinaisons. Il songea déjà à solliciter Marie pour des rendez-vous à deux seulement, qui n’excluraient pas les autres. Pour l’instant, il avait giclé dans la vulve tiède et souple de la cougar. Marie après ce premier orgasme à peu près simultané, s’allongea sur le dos et demanda à Vanessa de la lécher à l’imitation de ce qu’elle lui avait fait, et elle exigea de Jérôme qu’il s’accroupisse sur son visage pour qu’elle lui fasse une fellation. Le jeune homme lui présenta son sexe enduit de foutre et de mouille, Marie ouvrit la bouche sut le durcir une nouvelle fois, pendant qu’elle caressait doucement le cuir chevelu les cheveux de Vanessa. Cette dernière imita point par point les délicates succions que Marie venait de lui apprendre. Parfois elle fouillait la chatte de l’adulte pour lisser les bourrelets humides qui palpitaient de désir. Elle se caressait les seins, le pubis, mettait deux doigts dans son propre sexe, pour accompagner le désir qui était né de nouveau. Marie retira un instant le sexe de Jérôme de sa bouche, pour dire : « Attends Chérie, j’ai oublié de te donner quelque chose ». Elle se leva rapidement courut dans sa chambre pour en ramener un godemiché vibrant qu’elle confia à Vanessa après une très rapide démonstration. Elle était très excitée à l’idée que ce gode offert par Martine, dont elles avaient usé abondamment depuis qu’elles avaient des rapports sexuel, pénétrait en cet instant la chatte de la fille de son amante. Jérôme lui demanda s’il pouvait gicler dans sa bouche :
Mais oui, gros balourd ! je ne suis pas une vierge, et elle eut tout juste le temps d’enfourner le gland qui en était à se troisième éjaculation de l’après-midi. La bouche pleine, Marie fit venir Vanessa à hauteur de ses lèvres et elles partagèrent en se l’échangeant le jus de leur amant commun. Tous les trois étendus nus sur la largeur du lit perdirent conscience quelque temps. Marie fut la première à reprendre ses esprits, elle demanda à ses deux partenaires s’ils souhaitaient prendre une collation. Mais voyant l’heure, ils dirent qu’ils se contenteraient d’une douche. Vanessa devait prendre le bus pour regagner la banlieue résidentielle où elle habitait, Jérôme devait rejoindre son groupe musical. Ce dernier voulait revoir Marie seule, il profita de la présence de Vanessa dans la salle de bain où elle s’attardait, pour demander à Marie si elle voulait le « voir » seul.
A condition que tu ne le dises pas à Vanessa, et que l’on continue à se « voir » à trois.
Ok, tu me donnes ton portable ?
Il enregistra le numéro que lui donnait Marie dans ses contacts, mais en prenant la précaution de lui donner un autre prénom.
Dans l’entrée, ils s’enlacèrent, heureux, comblés, Vanessa caressait les seins de Marie, toujours nue, quand elle embrassa sur la bouche Jérôme, longuement, et Jérôme caressa les fesses de Marie, quand elle embrassa sur la bouche Vanessa. « A bientôt, mes Chéris » ! Sitôt qu’ils furent partis, elle se dirigea vers la chambre d’amis où avaient eu lieu leurs ébats, elle s’allongea de nouveau sur le lit et s’empara du gode encore humide du plaisir de Vanessa, elle le lécha avec gourmandise, puis tout en se caressant un sein d’une main elle l’introduisit en elle actionna le vibreur et le fit aller et venir. Comme ses jeunes partenaires elle put aisément obtenir un troisième orgasme qui la combla. Elle s’enveloppa avec délices dans la couette où elle avait possédé Martine puis sa fille. Peut-être réussirait-elle à les convaincre de venir toutes les deux ensemble ? En tout cas elle était très heureuse des dispositions de Vanessa qui lui avait permis de connaître les plaisirs de la pluralité. Elle était surtout certaine de les renouveler avec ses jeunes amis qu’elle voulait vraiment chérir.
Or c’est dans le lit de cette chambre d’ami, que Martine était maintenant lascivement étendue, trois jours plus tôt elle avait collé les lèvres de son sexe contre celle de son amante, en tribade, et elles avaient beaucoup joui ainsi. Elle se rappelait cette étreinte en ce moment où elle palpait l’un de ses seins puisqu’elle avait enlevé son soutien-gorge , elle léchait le bout aussi puisque son tour de poitrine le lui permettait, elle découvrait enfin sa toison en écartant légèrement l’élastique de sa culotte italienne. Elle tirait sur les poils qui se découvraient. Julien la regardait, admirait son impudeur, la désirait, il finit par se déshabiller. Il s’approcha et lui enleva sa culotte avec les dents et une fois qu’elle fut dégagée de ses pieds, il ne put s’empêcher d’en sentir le fond de la culotte de Martine. Celle-ci sourit à ce fétichisme qui avait marqué la veille leur première étreinte, elle continuait à se doigter , ouvrait les lèvres ostensiblement pour que Julien remarque la percée de sa mouille qui allait perler la base de ses plis, elle passait sa langue sur ses lèvres qu’elle mordait également. Alors Julien entoura son sexe avec la jolie culotte de Martine, qui était identique à celle que sa femme avait mise ce matin. Rien d’étonnant à cette coïncidenc, puisque Martine se fournissait souvent dans le magasin de Carole. Il se branla avec, et il laissa son gland dépasser pour que sa partenaire puisse le lécher :
-Tu aimes les hot dogs ?
- La sauce surtout » répliqua-t-elle en riant, car elle aimait l’humour qui rend la sexualité franche, dépouillée de culpabilité Elle ne détestait pas non plus avec les hommes seulement, une certaine vulgarité de circonstance qui exprimait la violence des pulsions. Elle voulut encourager son partenaire dans cette voie :
- Je veux être ta salope.
Et elle se mit en chienne sur le lit. Julien la rejoignit, à genoux derrière elle, il coinça son gland dans la raie de Martine qui serra les fesses pour marquer sa soumission. Puis il mit son sexe entre ses lèvres, ses doigts effilés le guidèrent vers sa fente, il la laissait masser sa verge qu’elle dirigeait vers son vagin. Il lui pétrissait les seins en les soupesant, il mouillait ses doigts pour faire les essuyer sur les aréoles, puis il invita Martine à sucer ses doigts avant d’exciter ses boutons vermeils. Elle jetait sa tête à droite et à gauche sous le coup du plaisir qui se diffusait depuis son bassin, elle cria « Non », quand julien à dessein se retira. Dis « Nique moi »,
Oui nique moi !
Dis :je suis ta pute
Je suis ta pute.
Dis : J’aime ta bite.
J’aime ta bite, bourre moi, bordel.
Et d’un coup brutal il s’enfonça de nouveau sans grand mal car Martine était gluante, sa mouille abondante s’étalait sur le haut de ses cuisses. Il savait l’art de se retenir, et Martine l’encourageait à maintenir cette tension :
« Oh, oui c’est bon, continue. »
Mais vint le moment qui opéra une fusion suprême entre les deux êtres qui se seraient contentés du seul contentement de leurs corps. Ils s’écroulèrent ravagés par un sentiment de confort extrême. Martine aurait souhaité avoir au moins un autre orgasme, mais la durée inattendue de sa petite mort ne lui permit pas de l’obtenir. Au reste, elle sentait que Julien s’était attaché à elle et que très bientôt il la supplierait de le combler. Rapidement elle remit ses vêtements très chics sans prendre de douche car elle voulait sentir le foutre de son amant couler doucement et se déposer sur le fond de sa culotte, ce qui l’obligerait à croiser ses cuisses durant la réunion un peu formelle qu’elle devait tout à l’heure animer. Elle réveilla Julien et lui dit qu’elle filait, qu’il avait juste la porte d’entrée à tirer, elle lui déposa un baiser furtif sur la bouche. Julien grommela, ne fut pas long à s’éveiller et une fois habillé partit, heureux de cette étreinte qui avait approfondi ses liens avec Martine.
Non, quoi ?
J’ai profité d’une absence de Fabienne que j’ai envoyée à la banque. Je me suis doigté en pensant à la soirée de hier soir, tu as été génial.
Tu vas le refaire ?
Je n’aurais pas trop le temps cet après-midi.
Tu veux le refaire ? Là ?
Tu es seul dans ton bureau ?
Oui. Et toi ?
Aussi, Fabienne ne revient qu’à 2 h, le magasin est fermé.
Mets ta main sur le haut de ta cuisse à l’intérieur, là où ta chair est souple, tiède, bientôt moite.
Ok, je le fais.
Palpe doucement, remonte jusqu’à ta culotte, tu as mis une italienne ce matin je crois.
Oui.
Glisse ton majeur sous l’élastique, lisse ton clitoris.
Cochon !
Mais c’est comme ça que tu m’aimes.
C’est vrai, continue.
Ecarte bien tes cuisses de salope, tends tes seins, respire fort.
Humm.
Mords-toi les lèvres, et jette ta tête à droite et à gauche violemment comme si tu ne pouvais plus résister au désir.
…….
Tu jouis déjà.
Continue.
Baisse ta culotte avec le dos de ta main, mets ta main en cuillère sous ta chatte, écarte tes doigts en rateau.
Et puis ?
Remonte doucement en laissant tes doigts traîner dans tes creux, renouvelle cette caresse.
Hummmm, ouiiiiiiii.
Tu mouilles ?
Un peu.
Essuie tes doigts sur ton ventre à hauteur du nombril. Prends ton clitoris entre ton pouce et ton majeur.
Oui.
Pétris le comme si tu voulais obtenir une boulette de mie de pain.
Salaud ! tu sais y faire toi, je coule tu sais.
A la bonne heure, suce tes doigts après les avoir humés. Mets toi deux doigts dans la chatte, et pose ta paume sur ton pubis. Ça fait une pince.
Oui.
Masse ta muqueuse, tortille toi du cul, si tu es assise.
Oui, oh ouiii……….
Vas-y, lâche-toi.
……………….J’ai joui, mon chéri, et toi ?
Ne t’inquiète pas pour moi tu sais que je préfère le réel, mais je bande très fort. Tu vois si on avait des smartphones tu pourrais voir.
Une idée de cadeau alors. As-tu déjeuné ?
Non, il faut que j’y aille. Vivement ce soir que je sente le fond de ta culotte. Tu es ma pute, chérie.
Oui, et ça me plaît. Vivement ce soir mon amour.
Julien était étonné d’être aussi comblé. Il avait eu quelque remords à tromper Carole la veille. Mais ses scrupules s’étaient évanouis depuis que Jessica lui avait révélé qu’il ne savait pas tout. Carole et Martine étaient vraiment les partenaires idéales pour assouvir ses pulsions qui étaient grandes, mais qu’il savait faire partager. Il pensa tout à coup que sa belle-fille soupçonnait ses talents et qu’elle aussi voulait en profiter. Il écarta une nouvelle fois cette perspective, et fut satisfait d’avoir noué des relations avec Martine qui s’annonçaient intenses et qui auraient pour avantage de le détourner de Jessica.
Julien assura ses cours, quand il termina, il avait juste le temps de se rendre dans la résidence que lui avait indiquée Martine. Une étudiante voulait s’attarder seule avec lui sous un vague prétexte, il dut l’éconduire et devant son insistance il lui donna rendez-vous le lendemain dans son bureau. Arrivé devant le hall d’entrée de la résidence où habitait l’amie de Martine, il ne sut sur quel bouton appuyer, Martine avait oublié de préciser le nom de son amante. Il lui téléphona, et un déclic déclencha l’ouverture de la porte d’entrée. « C’est au 7e , lui avait précisé Martine, à gauche en sortant de l’ascenseur ». La porte était entrouverte quand il sortit de l’ascenseur, mais il sonna le plus discrètement possible. Martine l’attendait, dans son tailleur très strict, les jambes gaînées de bas qui appelaient le toucher, elle était superbe. Ils s’enlacèrent dans l’entrée, et Julien chercha tout de suite à atteindre sa chatte. Martine écartait docilement les jambes, et la main de Julien s’était plongée directement entre sa peau et la dentelle de sa petite culotte, elle pétrissait les deux bourrelets de son sexe ou bien faisait crisser les poils bruns de son pubis. Martine écrasait ses seins contre la poitrine de son partenaire. Elle fermait les yeux tout en abandonnant sa bouche à son nouveau partenaire. Elle déboutonna sa veste, et aida Julien à ôter la sienne. Elle lui prit la main et lui dit « Viens ! » Ils se dirigèrent vers la chambre d’ami, Julien hésita : « Mais tu ne crois qu’on abuse ! »
« Abuser ! mais Marie est mon amie et elle me doit beaucoup, d’ailleurs je compte lui parler de toi. Elle nous laissera venir quand nous voudrons. Tiens j’ai une photo d’elle sur mon portable, je vais te la montrer :
Mais elle n’est pas mal !
Ah tu vois, tu seras sûrement enchanté de faire sa connaissance le moment venu.
Ce qu’elle ne disait pas encore c’est que Marie était aussi son amante. Elles étaient si intimes que Martine fatiguée de l’obstination de son mari à ne pas recevoir le petit ami de Vanessa, elle avait demandé à sa collègue de faciliter les rencontres de sa fille. Marie avait spontanément offert l’hospitalité à Vanessa et son petit ami ; elle avait prêté une clef qui permettait aux deux jeunes gens de profiter surtout des après-midi du mercredi en l’absence de la propriétaire des lieux. Mais ce qu’ignorait Martine c’est qu’ un après-midi Marie rentra chez elle plus tôt que prévu. Et elle surprit les deux lycéens dans la chambre d’amis.
Loin d’être choquée par la situation qu’elle avait favorisée, Marie les encouragea à poursuivre leurs ébats.
Merci Marie, dit Vanessa, en tendant les bras pour l’embrasser.
Mais tu as une très jolie poitrine dit Martine.
C’est ce que me dit aussi Jérôme, dit Vanessa en souriant.
Il a bien de la chance de t’avoir.
Et nous de t’avoir pour amie, tu sais on ne sait pas quoi faire pour te remercier. Ton appart est vraiment sympa !
Oui, Madame, qu’est-ce qu’on peut faire ?
Martine qui les trouvait croquants, voulut les provoquer :
Vous avez fait à plusieurs ?
Non, oh non, dit Jérôme.
Moi j’aimerais bien, dit Vanessa.
Même avec quelqu’un de plus âgé ?
Je ne sais pas dit Jérôme qui ne comprenait pas aussi vite que sa petite amie.
Avec toi tu veux dire, dit Vanessa. Mais ce serait super ! Tu vas nous guider.
Marie se déshabilla lentement et une fois nue elle commanda à Jérôme de se lever , elle demanda à Vanessa de rester allongée, elle monta sur le lit et se mit en chienne, elle écarta les cuisses de la jeunes fille pour la lécher, et offrit sa chatte à Jérôme, elle passa sa main entre ses cuisses pour écarter les plis de sa vulve : « Viens, petit cochon, allez n’aie pas peur » Jérôme surpris par la situation avait du mal à bander, il dut se masturber pour faire honneur à la belle amie de sa petite amie. Vanessa, elle, était aux anges, certes elle avait déjà couché avec des amies pour ne pas paraître idiotes auprès des copines, mais c’était resté superficiel, elle avait seulement dormi nue enlacée avec deux ou trois camarades. Elle découvrait les joies du plaisir accordé par une femme qui devait certainement être experte, elle mouillait d’ailleurs très fort sous l’effet des coups de langue que lui prodiguait Marie. Oui, ça valait le coup de sacrifier Jérôme à cette nouvelle expérience qu’elle se promettait de connaître depuis longtemps et d’approfondir aussi. Elle frissonna autant sinon plus que lorsque Jérôme la conduisait à l’orgasme. Ce dernier avait enfin redonné à son sexe une dureté qui lui permit de pénétrer Marie, il était à genoux sur le pied du lit et lui donnait enfin les coups de boutoir que sa nouvelle partenaire espérait. Celle-ci était devenue gluante sous la double influence du plaisir qu’elle donnait à Vanessa et de celui que lui procurait un jeune mâle arraché un instant à l’étreinte de sa petite amie. Celle-ci se tortilla sous le coup de l’orgasme que provoqua le cunnilingus de l’amie de sa mère. Elle hurla de plaisir parvenue au maximum de la jouissance. Jérôme en fut stupéfait lui qui pensait avoir atteint avec Vanessa des moments intenses. Il pensa que Marie était une belle salope et il songea qu’il pourrait peut-être en profiter en continuant une relation à trois, qui admettrait toutes les combinaisons. Il songea déjà à solliciter Marie pour des rendez-vous à deux seulement, qui n’excluraient pas les autres. Pour l’instant, il avait giclé dans la vulve tiède et souple de la cougar. Marie après ce premier orgasme à peu près simultané, s’allongea sur le dos et demanda à Vanessa de la lécher à l’imitation de ce qu’elle lui avait fait, et elle exigea de Jérôme qu’il s’accroupisse sur son visage pour qu’elle lui fasse une fellation. Le jeune homme lui présenta son sexe enduit de foutre et de mouille, Marie ouvrit la bouche sut le durcir une nouvelle fois, pendant qu’elle caressait doucement le cuir chevelu les cheveux de Vanessa. Cette dernière imita point par point les délicates succions que Marie venait de lui apprendre. Parfois elle fouillait la chatte de l’adulte pour lisser les bourrelets humides qui palpitaient de désir. Elle se caressait les seins, le pubis, mettait deux doigts dans son propre sexe, pour accompagner le désir qui était né de nouveau. Marie retira un instant le sexe de Jérôme de sa bouche, pour dire : « Attends Chérie, j’ai oublié de te donner quelque chose ». Elle se leva rapidement courut dans sa chambre pour en ramener un godemiché vibrant qu’elle confia à Vanessa après une très rapide démonstration. Elle était très excitée à l’idée que ce gode offert par Martine, dont elles avaient usé abondamment depuis qu’elles avaient des rapports sexuel, pénétrait en cet instant la chatte de la fille de son amante. Jérôme lui demanda s’il pouvait gicler dans sa bouche :
Mais oui, gros balourd ! je ne suis pas une vierge, et elle eut tout juste le temps d’enfourner le gland qui en était à se troisième éjaculation de l’après-midi. La bouche pleine, Marie fit venir Vanessa à hauteur de ses lèvres et elles partagèrent en se l’échangeant le jus de leur amant commun. Tous les trois étendus nus sur la largeur du lit perdirent conscience quelque temps. Marie fut la première à reprendre ses esprits, elle demanda à ses deux partenaires s’ils souhaitaient prendre une collation. Mais voyant l’heure, ils dirent qu’ils se contenteraient d’une douche. Vanessa devait prendre le bus pour regagner la banlieue résidentielle où elle habitait, Jérôme devait rejoindre son groupe musical. Ce dernier voulait revoir Marie seule, il profita de la présence de Vanessa dans la salle de bain où elle s’attardait, pour demander à Marie si elle voulait le « voir » seul.
A condition que tu ne le dises pas à Vanessa, et que l’on continue à se « voir » à trois.
Ok, tu me donnes ton portable ?
Il enregistra le numéro que lui donnait Marie dans ses contacts, mais en prenant la précaution de lui donner un autre prénom.
Dans l’entrée, ils s’enlacèrent, heureux, comblés, Vanessa caressait les seins de Marie, toujours nue, quand elle embrassa sur la bouche Jérôme, longuement, et Jérôme caressa les fesses de Marie, quand elle embrassa sur la bouche Vanessa. « A bientôt, mes Chéris » ! Sitôt qu’ils furent partis, elle se dirigea vers la chambre d’amis où avaient eu lieu leurs ébats, elle s’allongea de nouveau sur le lit et s’empara du gode encore humide du plaisir de Vanessa, elle le lécha avec gourmandise, puis tout en se caressant un sein d’une main elle l’introduisit en elle actionna le vibreur et le fit aller et venir. Comme ses jeunes partenaires elle put aisément obtenir un troisième orgasme qui la combla. Elle s’enveloppa avec délices dans la couette où elle avait possédé Martine puis sa fille. Peut-être réussirait-elle à les convaincre de venir toutes les deux ensemble ? En tout cas elle était très heureuse des dispositions de Vanessa qui lui avait permis de connaître les plaisirs de la pluralité. Elle était surtout certaine de les renouveler avec ses jeunes amis qu’elle voulait vraiment chérir.
Or c’est dans le lit de cette chambre d’ami, que Martine était maintenant lascivement étendue, trois jours plus tôt elle avait collé les lèvres de son sexe contre celle de son amante, en tribade, et elles avaient beaucoup joui ainsi. Elle se rappelait cette étreinte en ce moment où elle palpait l’un de ses seins puisqu’elle avait enlevé son soutien-gorge , elle léchait le bout aussi puisque son tour de poitrine le lui permettait, elle découvrait enfin sa toison en écartant légèrement l’élastique de sa culotte italienne. Elle tirait sur les poils qui se découvraient. Julien la regardait, admirait son impudeur, la désirait, il finit par se déshabiller. Il s’approcha et lui enleva sa culotte avec les dents et une fois qu’elle fut dégagée de ses pieds, il ne put s’empêcher d’en sentir le fond de la culotte de Martine. Celle-ci sourit à ce fétichisme qui avait marqué la veille leur première étreinte, elle continuait à se doigter , ouvrait les lèvres ostensiblement pour que Julien remarque la percée de sa mouille qui allait perler la base de ses plis, elle passait sa langue sur ses lèvres qu’elle mordait également. Alors Julien entoura son sexe avec la jolie culotte de Martine, qui était identique à celle que sa femme avait mise ce matin. Rien d’étonnant à cette coïncidenc, puisque Martine se fournissait souvent dans le magasin de Carole. Il se branla avec, et il laissa son gland dépasser pour que sa partenaire puisse le lécher :
-Tu aimes les hot dogs ?
- La sauce surtout » répliqua-t-elle en riant, car elle aimait l’humour qui rend la sexualité franche, dépouillée de culpabilité Elle ne détestait pas non plus avec les hommes seulement, une certaine vulgarité de circonstance qui exprimait la violence des pulsions. Elle voulut encourager son partenaire dans cette voie :
- Je veux être ta salope.
Et elle se mit en chienne sur le lit. Julien la rejoignit, à genoux derrière elle, il coinça son gland dans la raie de Martine qui serra les fesses pour marquer sa soumission. Puis il mit son sexe entre ses lèvres, ses doigts effilés le guidèrent vers sa fente, il la laissait masser sa verge qu’elle dirigeait vers son vagin. Il lui pétrissait les seins en les soupesant, il mouillait ses doigts pour faire les essuyer sur les aréoles, puis il invita Martine à sucer ses doigts avant d’exciter ses boutons vermeils. Elle jetait sa tête à droite et à gauche sous le coup du plaisir qui se diffusait depuis son bassin, elle cria « Non », quand julien à dessein se retira. Dis « Nique moi »,
Oui nique moi !
Dis :je suis ta pute
Je suis ta pute.
Dis : J’aime ta bite.
J’aime ta bite, bourre moi, bordel.
Et d’un coup brutal il s’enfonça de nouveau sans grand mal car Martine était gluante, sa mouille abondante s’étalait sur le haut de ses cuisses. Il savait l’art de se retenir, et Martine l’encourageait à maintenir cette tension :
« Oh, oui c’est bon, continue. »
Mais vint le moment qui opéra une fusion suprême entre les deux êtres qui se seraient contentés du seul contentement de leurs corps. Ils s’écroulèrent ravagés par un sentiment de confort extrême. Martine aurait souhaité avoir au moins un autre orgasme, mais la durée inattendue de sa petite mort ne lui permit pas de l’obtenir. Au reste, elle sentait que Julien s’était attaché à elle et que très bientôt il la supplierait de le combler. Rapidement elle remit ses vêtements très chics sans prendre de douche car elle voulait sentir le foutre de son amant couler doucement et se déposer sur le fond de sa culotte, ce qui l’obligerait à croiser ses cuisses durant la réunion un peu formelle qu’elle devait tout à l’heure animer. Elle réveilla Julien et lui dit qu’elle filait, qu’il avait juste la porte d’entrée à tirer, elle lui déposa un baiser furtif sur la bouche. Julien grommela, ne fut pas long à s’éveiller et une fois habillé partit, heureux de cette étreinte qui avait approfondi ses liens avec Martine.
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