Re découverte - histoire érotique

Je suis arrivée sur les coups de 20H. Je devais avoir une écharpe, je sonna et il me répondit, m’indiquant le étage. Une fois devant la porte je me bandais les yeux avec l’écharpe comme il venait de me le demander et sonnais. On avait bien discutés, sans quoi je n’aurait pas acceptée son délire mais entre internet et le réel il y a un pont d’angoisse et d’hésitation. Il ouvrit, m’attrapa pas le bras et m’entraina dans son domicile d’un ton posée, chaleureux mais ferme il me dit avec une pointe narquoise "Parfait ! Allons y. " Avant que j’ai pu répondre un mot et sans lâcher mon bras il me le mit dans le dos, attrapait l’autre et me ligotais en à peine quelques secondes le buste. Drôle de sensation que de se retrouver immobilisé en 5 secondes ou 10 je ne sais pas trop. Aussi surprenant qu’excitant je l’avoue. Et surtout j’appréciais inefficacité et la maitrise de monsieur ma seule grande crainte car dans le cas contraire je serais partis illico.
Je m’apprêtais à lui demander si il avait prévu notre soirée en détail ou non qu’il me fourra un tissu dans la bouche un peu manu militari tout en bloquant ma tête contre lui, avant de le verrouiller avec un autre morceau (deux foulards en fait). Je lâcha bêtement un cri un peu vain à ce moment là. Il me caressa les épaules en me demandant "si ça aller", j’hochais la tête pour dire oui. Il me fit me déplacer dans une pièce, la chambre comprendrais-je quand il m’assit sur le lit. J’étais debout le souffle un peu court, j’avais soudainement chaud et me poser milles questions. Toujours aussi calme, je l’entendis trifouillez dans une poche, un sac, soudain, il se figea devant moi, d’un coup souleva ma jupe, ligota mes cuisses, je ne pus m’empêcher de pousser un petit cri de surprise. Puis il la redescendit et me ligota les chevilles.
Je commençais à apprécier les sensation, il m’asseyais sur le lit avant de se glisser dans mon dos. Moi je commençais à tester un peu le ligotage et même à prendre un peu de plaisir. Il déposa un baiser sur ma nuque, puis commença à me caresser, me tripoter, je gigoter un peu plus, des sensations oubliées depuis longtemps me revenaient. C’était agréable ! Ensuite il descendit du lit de délia complètement les jambes avec la même délicatesse. Dézippa ma botte droite avant de l’enlever avec délicatesse encore, puis l’autre. Remonta sur le lit et me religota les jambes mais cette fois ci non collées l’une a l’autre mais repliées sur elles mêmes.
Enfin il me reposa accroupis toujours sur le lit. Son souffle devenait plus intense, Il s’accroupit derrière moi, il m’agrippa, me fit décoller et me colla un peu plus contre lui accroupis également. Puis déboutonna ma chemise à moitié, en sortit mes seins, je gesticulais complètement là. Une fois de plus il déposa un baiser sur ma nuque, avant, avec malice de me relever le menton en l’air pour me déposer cette fois ci un baiser dans le cou, coquin ! Puis il me posa et pris à pleine mains, avec ses mains froides mes seins pendant une minute sans rien faire. Les enleva, et tripota délicatement mes mamelons, les jugeas, les manipula les roulas me dira t-il plus tard, avant d’étendre progressivement ces palpations à ma poitrine toute entière. Je commençais vraiment à aimer ça, très sympa cet homme commençais à me dire.
Je me détendais alors sans même m’en rendre compte, je compris plus tard, avec les explications de monsieur, que les cordes m’avaient amenée à abandonner me permettant de mieux ressentir les attouchements de monsieur. Se rendant compte de mon état moins crispée disons. Il pris le temps de m’écarter les jambes petit à petit. Il s’arrêta et pris son temps pour bien me les caresser en me retripotant de temps en temps la poitrine et surtout en appréciant monter avec ses caresses de plus vers mon entre jambe. Là je me vengeais en quelques sortes, quand il se rendit compte que je portais un collant, affolé il se fit un peu brusque avant de se rendre compte que j’avais un collant fendu et sans culotte.

Il me lança un "coquine", avant de me relever le menton une fois de plus pour y laisser une nouvelle fois un baiser. Il repris avec se mains, une petite minute avant de descendre pour découvrir mon entrejambes avec ces doigts, quel plaisir ce fut ! C’est ma respiration qui se fit elle aussi de plus en plus forte. Alors il m’allongea, me relia les jambes à deux extrémité du lit avec de nouvelles cordes. J’étais bien à ce moment là, il avait tenu parole et notre accord comme quoi je pourrais rester habillée du début à la fin était ok. Je l’entendis ouvrir son pantalon, se munir d’un préservatif. Si ces doigts ne m’avaient pas trop déranger, il avait bien pris le soin sur mes indications de faire attention à ce niveau là comme je lui avait dis que je n’avais rien fait depuis quelques années.
Il inséra, un doigt, le frotta, me massa aussi, puis un second doigt, le tout avec délicatesse. Mais quand je sentis son gland se poser sur ma vulve je commença à me poser quelques question et à ressentir de nouveau l’angoisse. Il eu « l’intelligence de me dire pile à ce moment là « ne t’inquiète pas..ce ne sera peut être pas agréable au début mais en aucun cas ce ne sera douloureux. Puis il inséra son pénis, j’eus une vraie peur à cet instant ! Bien que je me mis à hurler un peu et à me débattre, ce fut certes pendant quelques minutes assez désagréable, presque nouveau comme sensations, volumineux et encombrant mais sans douleur réelles. Puis je retrouvais, grâce je dois le dire à la belle endurance de monsieur, un plaisir oublié. Lui aussi apprécia beaucoup ce moment. Je pense d’ailleurs que nous jouîmes ensembles. Après s’être retiré, il me détacha les jambes, du lit sans les relâcher pour autant. Puis m’assis sur lui me repénétrant au passage (on appel ça un missionnaire je crois), il me débaillonna à cet instant à m’embrassa, nous passâmes plusieurs minutes ainsi à faire du bouche à bouche langoureux et jouîmes dans un amour naissant. Et c’est ainsi qu’après il me détacha entièrement les jambes puis le buste et ôta mon bandeau. Je le découvris alors et commencions un belle discussion.