Réalisation d'un fanstasme

- Par l'auteur HDS Clemy67 -
Récit érotique écrit par Clemy67 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Réalisation d'un fanstasme Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Réalisation d'un fanstasme
Voilà je me remets à écrire, mais cette fois c’est mon envie, et pas poussée par mon chéri. Mon homme, toujours par 4 chemins, oui rappelez-vous il est routier, a tendance à déserter la maison trop souvent. Enfin je suis lasse de le voir partir et de ne profiter de lui que les week-ends et les périodes de vacances.
Nous avons néanmoins, en toute complicité, conclut un accord de relation libre lors de nos absences. Rarement Marc s’éloigne plus d’une semaine, mais là pour de vagues raisons de disponibilité de son chargement, il reste dans les docks de Hanovre. Haute de mon autorisation de libertinage, je décide de rencontrer un couple avec qui j’avais déjà échangé quelques lignes via des sites plus ou moins coquins. Nous nous retrouvons dans un bar pour faire plus ample connaissance, discuter de nos envies, nos plaisirs et même nos jeux entre adultes. Laurent s’absente, de fil en aiguille nous avons cédé aux sirènes de la tentation. Sylvie me demande si je suis motivée pour une party. J’accepte. Nous quittons le bar, la route vers chez eux (du moins je pensais) était à mon goût trop court. Sylvie a pris place à côté de moi sur la banquette arrière de cette belle berline allemande et n’a pas hésité un moment, comme pour ne pas perdre une minute, à parcourir mes zones sensibles. Excitée, je me laisse faire. Je n’ai pas remarqué le manège, mais je me suis retrouvée sans culotte et un bandeau sur les yeux. Laurent a dû suivre la scène depuis le rétroviseur et me dit qu’ils vont réaliser le fantasme que j’ai relaté dans une de nos conversations à savoir être le centre d’une tournante dans une cave.
La voiture s’arrête, je sens toujours la présence de Sylvie mais Laurent a quitté la voiture quelques minutes. A son tour Sylvie quitte la voiture. Les secondes durent des heures.
La portière s’ouvre, sans ménagement une main forte me tire de la voiture, me plaque contre la voiture une main passe sous ma robe et fouille pour vérifier l’absence de dessous, remonte sur ma poitrine et libère mes seins de l’entrave de mon soutien-gorge sans le retirer. Je suis guidée vers une rampe descendante, deux coups sur une porte métallique nous permet d’entrer. La porte se ferme puis une autre s’ouvre et libère de la musique et un brouhaha.
Je rentre dans un local. Deux mains douces me dirigent vers un siège. Je m’assois, il est froid. Je sens des bracelets entourer mes poignets et mes chevilles. Une femme me pose un collier et une laisse. Je me remets debout. Ma robe glisse au sol, suivi de mon soutien-gorge. Impudique je suis nue, seuls mes bas et mes escarpins ont l’honneur de me vêtir.
Au fil de ma progression, tenue en laisse et masquée, je sens le brouhaha réduire en murmure. Combien sont-ils ? Où suis-je ? Que me réserve-t-on ? Où sont Sylvie et Laurent ?
Soudain une voix émerge et remercie Sylvie et Laurent pour leur jouet. J’angoisse, je ne suis pas rassurée mais je suis néanmoins excitée.
Deux mains passent sur mon corps, pressent mes seins vigoureusement, me pince les tétons et me bouscule. Paniquée, je retombe sur un matelas en poussant un cri de frayeur. Mais immédiatement je suis bâillonnée par un artifice qui me maintient la bouche grande ouverte puis allongée sur un matelas, je suis écartelée et ligotée. Le matelas dégage une odeur indescriptible. Ma tête est dans le vide et tombe en arrière. Je peux deviner aisément que ma bouche est offerte. Je n’ai pas le temps de réaliser que déjà, je sens un sexe humide passer sur mon visage, et que plusieurs mains tâtonnent mes formes.
Une bouche se pose sur mon sexe qui doit livrer déjà des secrétions très visibles. Cette bouche achève l’excitation qui m’envahit, je me tortille. Mon râle est étouffé par un sexe qui est venu se placer dans l’orifice de mon bâillon. Ma langue inspecte ce mât de chair bien dur, il me lime la bouche, seule ma langue caresse le gland qui vient frapper le fond de ma gorge. Il ne tarde pas à décharger son nectar. Je reconnais la voix de Sylvie qui me dit « Tu peux avaler en toute confiance ». Je me laisse donc aller. Sans sourciller j’avale son nectar. Déjà une nouvelle queue est en position pour bénéficier de ma bouche et de ma langue. La solution finale est la même.
J’entends un bruit de chaîne, ma bouche est occupée par un troisième membre, fin et long, avec fougue, frappe le fond de ma gorge et à chaque percussion manque de me faire vomir. Mes jambes sont libérées, mais sont immédiatement accrochées à ces chaînes qui avaient attiré mon attention.
Un bruit mécanique se fait entendre et mes jambes semblent se hisser vers le plafond. Ma bouche est toujours occupée. Je reçois des giclées de liquide chaud sur le visage et mes seins, deux mains douces étalent ce que je pense être du sperme sur les seins en prenant soin de pincer mes tétons très durs.
Une voix virile annonce que Sylvie va choisir le premier traitement à infliger à cette chienne de bourge.
Le silence est de rigueur, je décèle des pas, puis un courant d’air et immédiatement une vive douleur sur mon sexe, une lanière vient de s’abattre dessus une première fois et cela à 5 reprises, les larmes coulent, mais la douleur a inondé ma chatte. J’ai compris que mon rôle de bourge salope avait débuté. Mon deuxième supplice est annoncé, j’ai peur mais cela m’excite. Quelqu’un prend place sur le matelas et je sens très vite deux mains écarter mes fesses. Sans ménagement ce mât de chair pénètre mon anus. Cette pénétration irradie mon corps d’une sensation de douleur et d’excitation. Il me lime férocement puis jouit dans mon cul de salope. J’aime. Sylvie me demande si j’apprécie mon traitement. Je n’ose pas répondre. Impatiente elle me pince les tétons avec violence, je réponds oui d’un signe de la tête. Elle annonce à haute voix : « elle en veut encore cette salope de bourge… ».
Dans le calme et toujours les yeux bandés, je ressens une certaine agitation. La suspension des jambes et ma bouche entravée s’endolorissent. Je sens sur moi deux mains me caresser le ventre, les seins, les cuisses puis mon sexe. Une bouche douce vient sucer mes tétons. Cette bouche glisse sur mon ventre, cela me donne des frissons, puis se pose sur mon sexe, une langue habile agace mon clito, la bouche le suce et les dents deviennent plus mordantes. Je gémis de plus en plus fort. Cette bouche m’amène à l’orgasme et je sécrète ma cyprine que ma lécheuse (je suppose) récupère car elle n’a pas quitté un instant mon sexe.
On me redépose sur le matelas, et entrave mes chevilles, mes bras sont libérés. Je reçois un coup de martinet sur les seins avec pour ordre de me mettre à 4 pattes. L’impatience de « mon bourreau » se traduit par un deuxième coup. Ma lenteur de mouvement due à l’entrave des chevilles me vaut d’autres coups.
Me voilà en position. Mes poignets s’en retrouvent entravés et je sens des liens finir mon immobilisation. Avec grandeur, cette voix grave déjà entendue, invite les convives à m’utiliser à leur guise. On me retire le bâillon, mais j’ai à peine le temps de faire 2 à 3 mouvements qu’un sexe prend place et s’active en me tenant par les cheveux. Je me soumets à la tentative de pénétration anale que m’inflige un sexe de fort diamètre. Peine perdue il me burine la chatte avec férocité comme déçu par l’étroitesse de mon cul. Toujours la bouche violée, le jet de sperme claque dans ma gorge et je manque de m’étouffer. Pas le temps de reprendre mes esprits, je sens un gland glisser sur mon visage et entrer dans ma bouche. Je joue de la langue autour du gland, mon assaillant est plus doux. Et je me délecte de ce sexe. Il se retire et jouis sur mon visage. L’homme dans mon vagin jouit sur mon dos. L’orgasme est presque là, il s’est retiré trop tôt. Mais ces hommes ne cherchent pas mon plaisir mais le leur. Un homme m’enfourche et me doigte l’anus pour me préparer et une autre main assez douce glisse sur ma chatte. L’homme prend possession de mon cul de salope, très vite rejoins par un autre qui va tenter de me prendre par le vagin. Oui, je satisfais à une triple pénétration anale, buccale et vaginale. Bien besognée, j’obtiens l’orgasme, mon corps est pris de spasmes mais les 3 hommes ne me lâchent pas et continuent. Le premier à jouir est celui dans ma bouche, puis mon sodomisateur se retire et pose sa queue devant ma bouche et j’accepte, il jouit au fond de ma gorge. Tant dis que le dernier va occuper la place de mon sodomite et jouis dans mes entrailles. Toujours dans cette position de chienne, Sylvie s’approche de moi,me caresse les seins et agace mes tétons tendus par l’excitation. Je sens quelque chose se poser autour de mon cou, puis simultanément de pincement sur mes tétons, ce qui m’arrache un petit cri, les mains de Sylvie parcours mon corps, je la sens étirer mes lèvres, puis un pincement sur ces dernières. Alors que Sylvie caresse ma chatte et mon anus luisant de sperme, on me retire mon bandeau. J’ai du mal a réadapter ma vue mais je vois très vite 4 hommes dont Laurent et 2 femmes sans compter Sylvie. Laurent vient vers moi et me demande si la séance a été à la hauteur de mon fantasme. Gémissante sous les doigts de Sylvie, je réponds d’un oui de la tête et pars dans un râle de jouissance délivré par les caresses et la pénétration vaginale de la main de Sylvie dans mon sexe béant. Sylvie se positionne devant moi et tirant sur la laisse m’ordonne de la lécher, plaisir que je ne vais pas me refuser.
Sylvie me détache et me libère des bracelets mais je conserve les pinces sur mes seins et mes lèvres intimes. Je suis épuisée et je sens que mes orifices ont donné beaucoup de plaisir. Dans cette cave il ne reste plus grand monde. Un black qui est en train de se faire sucer par une brunette en talons hauts et jupette, et nous. Sylvie me guide vers la pièce où j’ai perdu mes vêtements. Laurent est allé récupéré la voiture et la mise à proximité de l’entrée. Sylvie et Laurent me proposent de venir finir la soirée chez eux et me refaire une beauté.
Nous avons passé une soirée calme après une bonne douche avec Sylvie, un plateau télé pizza champagne.
Merci à Sylvie et Laurent, ils se reconnaîtront certainement car nous nous voyons encore de temps en temps.

Bise et n’hésitez pas laisser vos commentaires.

Les avis des lecteurs

merci a tous , oui j'habite en Alsace.

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ha petite coquine qui prend du grand plaisir quand elle est en manque :) mais c est tres excitant

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Vraiment superbe histoire petite question ton pseudo c est parce que tu es d alsace??? Si oui j aimerai beaucoup d organiser un gang bang avec tes amis

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Récit très excitant qui donne envie d'être un de vos sodomisateur. bravo.



Texte coquin : Réalisation d'un fanstasme
Histoire sexe : Une rose rouge
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