Réalisation d'un fantasme de Nina : elle prend le contrôle !
Récit érotique écrit par Smilee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Réalisation d'un fantasme de Nina : elle prend le contrôle !
Cette année pour Noël nous nous somme faits un calendrier de l'avent un peu particulier avec Nina. Nous avons écrit sur un bout de papier pour chaque jour un petit cadeau. Dedans il y avait des moments pour soi (détente, temps pour soi, …), des moments à deux (resto, sortie…) et bien sûr des moments coquins (défilé lingerie, douche à deux, …). Dans ces moments coquins j’avais notamment écrit : « réaliser le fantasme de tes rêves ». En effet c'est globalement moi qui ai souvent pris les choses en main si ce n’est une ou deux demandes de sa part. En écrivant ce bon j’étais curieux de voir sur quoi elle pouvait fantasmer. Puis en organisant nos week-ends en ce début de mois d’avril, il se trouve que nous avons un week-end sans Alexandre pour les vacances scolaires. Nina me souffle donc qu’elle souhaiterait utiliser son bon à ce moment-là.
Je m’excite pendant tout le mois en tentant d’imaginer quel va être son fantasme. Puis nous partons déposer Alexandre chez les grands parents à deux heures de route. Sur le chemin du retour nous discutons de ce fameux fantasme et Nina me donne quelques indices :
- J’ai hâte d’être à demain, me dit elle
- Moi aussi. Je suis impatient de découvrir ce moment que tu nous as concocté. Je peux avoir un indice ?
- Ce n’est pas juste un moment mais une journée en fait
- Comment ça une journée ?
- En fait mon fantasme est de prendre le contrôle total pendant une journée. C’est toujours toi qui organises tout et là j’ai envie de le faire… autant que j’ai envie de te faire perdre le contrôle
- Qu’est-ce que tu appelles le contrôle total ?
- Tout de ce que nous faisons, mangeons, comment nous nous habillons bref je voudrais que tu fasses tout ce que je te dis pendant une journée
- D’accord je ne m’attendez pas à ça ! Et tu peux me donner un exemple ?
- Je te dis comment tu vas t’habiller, les activités que nous ferons et quand nous les ferons bref une journée où je prends toutes les décisions et toi aucune. Cela ne te plaît pas ?
- Je ne sais pas, vu que je ne sais pas de quoi tu parles. C’est l’inconnu.
- Justement c’est le but. Je peux juste te dire que j’ai acheté des vêtements et accessoires pour toi et pour moi
- OK dis-je d’un air dubitatif
- Tu as l’air perplexe. Détends-toi cela va bien se passer. Tu m’as dit le fantasme de mes rêves.
- C’est juste dur de lâcher mais tu as raison cela peut être une super expérience. Rien de trop… bizarre quand même ?
- Non ne t’inquiètes pas. Rien que nous n’avons pas déjà fait… mais pas forcément dans les mêmes conditions.
- Tu m’intrigues
- Et alors cela crée quoi comme autre sentiment ?
- Un mélange de peur, d’impatience et d’excitation
- Intéressant. Pour te rassurer…ou pas voici le début de la journée. Au réveil tu iras chercher des chocolatines à la boulangerie. Tu prépareras un plateau pour m’emmener le petit déj au lit avec un croissant, un café et une tranche de pain grillé avec du beurre et de la confiture. Tu me monteras le plateau mais pour se faire tu devras être nu. Et pendant que je prendrais mon petit déjeuner tu me feras un cunnilingus
- La bande annonce du film est attrayante en tout cas
- Je vois ça me dit-elle en regardant la bosse qui déforme mon pantalon.
- Effectivement je suis tout dur rien que d’y penser.
- Tiens en avant-première de la journée de demain déboutonne ton jean
- Pourquoi ?
- Qu’est-ce que je t’ai dit : pas de question !
Je déboutonne alors mon jean et le baisse. Nina me demande de baisser aussi le caleçon. Ce que je fais sans me faire prier. Elle attrape mon pénis et le caresse doucement. Cela fait une éternité qu’elle ne m’a pas touché en roulant. Elle passe sa main dessus sans le masturber. Il prend alors sa forme maximale sous le poids de ses caresses. Elle remonte aussi sa robe au niveau de la taille et écarte son string. Tout en continuant de faire courir ses doigts sur mon sexe elle en glisse un en elle. Puis je caresse sa poitrine par-dessus le tissu de sa robe. Je glisse ma main sous le bonnet de son soutien-gorge et titille son téton. Elle gémit et glisse un deuxième doigt en elle. Je fais tomber la bretelle de sa robe. Elle en fait de même pour la deuxième puis dégrafe son soutien-gorge. Sa robe tombe sur son ventre faisant comme une ceinture. Je tripote ses seins pendant que Nina continue de nous masturber.
Puis je remplace sa main afin qu’elle puisse se concentrer sur moi. Elle accélère petit à petit le rythme. Moi aussi. Puis elle enlève ma main et se positionne afin de venir poser sa bouche sur mon sexe. Ce n’est arrivé qu’une fois en vingt ans qu’elle me fasse une fellation dans la voiture et je crois que la deuxième fois va arriver. Elle commence des va et vient rapides. De la façon dont Nina est installée je vois ses fesses magnifiquement mises en valeur par son string. Quand je vois que nous rattrapons un camion je décide de jouer un peu. Je fais un appel de phare au camion pour attirer son attention. Au moment où je suis à sa hauteur je ralentis pour qu’il ait une belle vision de ma femme en train de me sucer. Vu de sa hauteur les fesses de Nina doivent paraître magnifiques. Je lui souris, sourire qu’il me rend et j’accélère avant que Nina ne remarque mon jeu.
Nina continue de lécher mon sexe tout en se masturbant. Elle accélère le rythme à la fois de sa bouche et de sa main. Je sens qu’elle se contracte et bientôt elle relève sa bouche afin de lâcher son cri d’orgasme. Sa jouissance combinée aux mouvements de sa main sur mon membre dressé fait que je vais éjaculer. Sentant mes spasmes Nina se jette sur mon pénis afin de récolter ma semence dans sa bouche. Elle avale tout puis nettoie mon gland avec sa langue. Elle se redresse sur son siège mais ne se rhabille pas. Elle reste juste vêtue de son string. La vision m’excite pendant toute la fin du voyage. Il y a encore quelques mois jamais elle n’aurait osé rester comme ça potentiellement à la vue de tous. Nous finissons par arriver à la maison. Nina reste dans cette tenue pour le repas et le film. J’en profite pour la caresser à ma guise. Puis à la fin du film nous partons tranquillement nous coucher, nus l’un contre l’autre, pour nous reposer avant la journée de demain.
Le lendemain je me réveille en premier. Je profite de ce moment de calme pour me coller contre Nina. Je la caresse et en profite pour prendre des photos de son corps nu magnifique. Je bande déjà à mort mais je préfère me préserver pour cette journée qui s’annonce excitante. Je finis par me lever, je m’habille et pars chercher les viennoiseries conformément à ses instructions. A mon retour je prépare le reste du petit déjeuner, le pose sur un plateau et le monte. Arrivé dans la chambre Nina dort encore. Je pose le plateau et me déshabille. Je m’allonge à côté de Nina et me colle à elle pour la réveiller en douceur. Mon sexe bien dur se loge parfaitement entre ses grosses fesses alors que mes mains caressent ses seins. Cela la réveille et elle se tourne sur le dos. Je prends son sein droit dans une main et lèche son mamelon. Son téton durcit doucement. Une fois complètement dur je passe au sein gauche et applique le même traitement pour les mêmes conséquences. Je sais qu’elle aime ce type de réveil tout en douceur et sensualité. Puis elle s’assoie en s’adossant au mur. Je me lève pour prendre le plateau petit déjeuner et le pose à côté d’elle.
Elle écarte grand les cuisses pour me rappeler la suite. Mais comment oublier ce moment qui m’excite depuis hier. Je me glisse entre ses cuisses pendant qu’elle attrape son croissant. Je ne me fais pas prier pour venir embrasser ses lèvres. Elles sont douces et légèrement humides. Je fais naviguer ma langue sur son clitoris. C’est agréable de goûter à ce vagin épilé pour l’occasion. Nina continue de prendre son petit déjeuner. C’est bizarre d’être en train d’essayer de lui faire du bien alors qu’elle est sur une autre occupation. Je redouble d’efforts afin de la faire craquer. J’alterne entre des coups de langue bien placés, insertion de doigts dans son vagin et même glissement sur son anus. Mais rien n’y fait elle reste stoïque en prenant son petit-déjeuner. Je descends ma main vers mon pénis mais j’ai droit à un rappel à l’ordre comme quoi aujourd’hui je ne dois faire que ce qu’elle dit.
Pendant un bon quart d’heure je donne le meilleur de moi mais elle se maîtrise très bien. Du moins en visuel car niveau corporel la cyprine coule à flot signe que je ne dois pas être si mauvais que ça. A la fin de son croissant elle me demande de m’allonger sur le lit. Je me dis que c’est bon nous allons pouvoir faire l’amour mais finalement elle s’assoie sur mon visage et attrape sa tartine. Je me retrouve avec alternativement son vagin ou son anus sur ma bouche ou mon nez. Je tente de donner des coups de langue autant que je peux mais je suis parfois étouffé par ses grosses fesses. Je sens la cyprine qui coule sur mon visage de mon menton à mon front comme si je m’étais pris une faciale. Des miettes de tartines tombent sur mon torse pendant que je m’affaire à son plaisir. Quelle sensation étrange de se retrouver presque étouffé par ce corps généreux mais autant excité. Mon sexe me fait mal tellement je bande fort. Je rêverai qu’elle plonge sa bouche dessus pour le soulager mais je ne crois pas que ce soit à l’ordre du jour. J’ai pas mal de difficultés à trouver mon souffle mais la situation est trop excitante pour que je rechigne à la tâche qui m’est confiée. Je ne sais pas combien de temps a duré ce facesitting mais quand Nina se relève je prends une profonde respiration.
Nina me regarde et sourit. Je regarde mon bas ventre et je le vois tout recouvert de liquide… et ce n'est pas Nina. J’ai abondamment bavé sur moi. Quand je me relève je vois mon visage dans la glace de la chambre et comprends pourquoi Nina a souri. Mon visage est couvert de cyprine comme jamais il l’a été. Je pars dans la salle de bain me passer un coup sur le visage. Quand je reviens Nina est allongée sur le lit. Je m’allonge à côté d’elle et lui fait un tendre câlin. Puis Nina me donne la suite du programme. Elle me demande d’aller allumer la cheminée et d’installer la table de massage devant. Elle veut donc que je la masse… Je me lève et attrape mon caleçon mais Nina me reprend :
- Je ne t’ai pas demandé de te rhabiller
- Attends la cheminée est juste devant la fenêtre qui donne sur la rue et on risque de me voir.
- Plusieurs fois nous avons fait l’amour dehors et qu’à chaque fois que je t’ai dit non car on risquait de nous voir ce que tu as répondu ?
- Que justement c’était excitant de prendre des risques. Mais là ce sont nos voisins !
- Et alors et la dernière fois quand tu m’as prise par derrière sur le chemin qui descend à la rivière tu ne crois pas que des voisins auraient pu nous voir ?
- Si mais ce n’est pas pareil
- Et pourquoi ? Car là c’est toi qui risques plus ?
Je me retrouve bloqué et dois accepter. Je descends donc, nu, et vais chercher du bois. Je regarde bien dehors avant de sortir pour être sûr que personne ne regarde. Je me dépêche de prendre ce dont j’ai besoin et rentre vite surtout qu’il fait un peu froid. Devant la cheminée je me baisse pour éviter que l’on me voie trop par la fenêtre. J’allume le feu puis vais chercher la table de massage dans le bureau et l’installe devant le feu. Voilà tout est prêt. J’entends Nina qui bouge à l’étage puis descend les escaliers.
Je l’attends en bas des escaliers. La descente m’offre une vision féerique. A chaque marche les mouvements se répercutent sur son magnifique corps. Ses seins et les bourrelets de son ventre rebondissent gracieusement. Ses énormes cuisses bougent tel un chef d’œuvre. Je bande devant cette sublime image. Elle passe à côté de moi et part se coucher sur la table de massage en dandinant de ses grosses fesses. Elle s’allonge sur le ventre, la tête vers la fenêtre et attend son massage. Je m’avance vers elle et enduis mes mains d’huile. Je commence par masser sa nuque en me positionnant derrière elle. Mes fesses sont directement à la vue de l’extérieur. Pourvu que personne ne passe par là ! Après la nuque je descends sur son dos. Puis je fais le tour et recommence par ses pieds. Je sais qu’elle particulièrement sensible à cet endroit donc j’insiste sur cette zone. D’ici la vue sur ses fesses est magnifique.
Je remonte lentement sur ses mollets que je palpe énergiquement puis j’arrive à ses merveilleuses cuisses. Mon érection repart de plus belle quand je masse cet endroit qui m’a toujours fasciné chez elle. Je m’attarde longuement dessus et effleure à plusieurs reprises le bas de ses fesses. Enfin je caresse allègrement ses monts voluptueux. De mon côté mes fesses sont chauffées par le feu de cheminée ce qui est plutôt agréable. Je glisse régulièrement dans le sillon de ses fesses sans jamais titiller sa rondelle rosée que j’espère bien visiter aujourd’hui. Je malaxe l’un puis l’autre de ses globes fessiers. Quel bonheur ! Je redescends sur le haut des cuisses. Nina écarte un peu les cuisses et je m’engouffre dans l’ouverture nouvellement créée. Je frôle son vagin avec le côté de mes doigts. Je sens Nina frémir à chaque incursion de mes mains entre ses cuisses. La connaissant elle n’attend qu’une chose c’est que je « glisse » accidentellement en elle. Mais je ne veux pas lui faire ce plaisir… enfin pas tout de suite.
Je demande à Nina de se retourner, ce qu’elle fait doucement. Je repars de ses pieds et reprends mon massage sensuel. Je remonte sur ses tibias puis ses cuisses. Sous le poids de mes mains, ses cuisses s’entrouvrent un peu plus. J’aperçois son vagin luisant. Elle semble apprécier mon massage. Je remonte sur son ventre puis sur son cou. Enfin je passe mes mains sur sa poitrine. Immédiatement ses seins réagissent et se durcissent. Ses tétons se rétractent et pointent fièrement. Je finis mon massage et couvre Nina afin qu’elle n’attrape pas froid. Finalement j’étais tellement plongé dans le massage que j’en ai oublié ma nudité potentiellement visible.
Nina prend cinq minutes pour se remettre après cette heure de massage puis me donne les instructions pour la suite : elle veut que j’aille lui faire couler un bain. Je monte dans la salle de bain et vois à ma grande surprise un objet inconnu sur le bord de la baignoire : un nouveau gode. C’est donc l’accessoire qu’elle a acheté. Il est plutôt de taille normale. Je suis surpris J’aurais pensé qu’elle en aurait pris un plus gros. Je fais couler l’eau chaude, rajouter un peu de sels de bain et un peu de bain moussant. J’allume aussi quelques bougies parfumées ainsi que le plafonnier qui change de couleurs. Il ne me reste plus qu’à mettre un peu de musique et tout est prêt pour qu’elle profite de ce moment de détente.
Nina monte, passe rapidement sous la douche pour enlever l’huile de massage puis se glisse dans la baignoire. Elle sourit de son bien-être. Puis son sourire change en sourire coquin. Elle me dit :
- Tu as vu mon achat
- Oui j’ai vu, je lui réponds sans pouvoir cacher le grand sourire qui illumine mon visage pendant que je l’imagine se masturber devant moi
- Et tu as vu à l’autre bout ?
- Non pourquoi il y a quoi ?
- Une ventouse pour le fixer sur la paroi de la douche
- Ah non je n’avais pas vu
- Peux-tu aller le fixer sur la paroi de la douche.
- Bien sûr. A quelle hauteur tu le veux ?
- C’est toi qui vois à quelle hauteur tu seras à l’aise ?
- Je ne comprends pas
- C’est toi qui vas l’utiliser pendant que je prends mon bain
- Pardon ?
- Oui cela fait partie de mon fantasme de te voir rebondir sur une queue pendant que je me masturberais en te regardant. Déjà je t’épargne que ce soit une vraie…
- Grand seigneur…
Je regarde de nouveau le gode et je ne le trouve plus si petit que ça maintenant. Je l’attrape et vais dans la douche. Je mouille la paroi puis le fixe à hauteur debout. Je reviens à côté de la baignoire. Nina frotte ses seins et commence à descendre sur son vagin. Je la regarde un peu puis elle me fait signe de la tête pour me dire d’y aller. Je me dirige de nouveau vers la douche et prends mon courage à deux mains. J’enduis cet objet de lubrifiant puis me retourne. Je le place contre mon anus et commence à reculer doucement. Je ressors et remets un peu plus de lubrifiant puis je renouvelle le mouvement. Je sens chaque cm de ce sexe en plastique qui s’enfonce en moi. Enfin mes fesses viennent se coller à la paroi de douche. Je commence alors des va et vient lents. C’est la première fois que je me baise tout seul. Mais ce n’est pas si désagréable. Je ferme les yeux et me concentre sur mes sensations. Je donne le rythme que mon corps semble demander. Maintenant mon cul s’empale allègrement sur ce gode. Le rythme devient soutenu et je me défonce tout seul.
Puis Nina me demande de mettre le gode par terre et de le chevaucher. J’interromps alors ma besogne et décolle la ventouse que je colle au sol. Je m’assoie dessus et à genoux commence à onduler dessus. Rapidement Nina m’interrompt de nouveau car elle veut que je lui fasse face afin qu’elle voie mon visage ainsi que mon sexe bouger. Je m’exécute et enfonce sans difficultés maintenant le jouet entre mes fesses. Je rebondis en la regardant droit dans les yeux. De son côté Nina a posé ses mollets sur les rebords de la baignoire. Elle caresse, son vagin en me regardant monter son cadeau. Elle finit par jouir dans un spasme bruyant. Il ne m’en faudrait pas beaucoup pour jouir aussi mais malheureusement cela n’est pas encore au programme. Nina me dit que je peux arrêter.
Je m’extrais donc et prends une douche rapide le temps que Nina reprenne ses esprits. Puis elle sort du bain et nous allons dans la chambre. Elle me dit que nous allons aller manger au restaurant. Je me dis que je vais pouvoir avoir un petit moment de répit… c’était sans compter sur l’esprit coquin de Nina. Elle a acheté des vêtements pour moi pour l’occasion. Il s’agit d’un pantalon en lin beige, très près du corps et très fin, à tel point qu’il en est presque transparent. Elle a également choisi un string blanc ainsi qu’un T-shirt bleu marine. Je déglutis difficilement en regardant ces vêtements plutôt voyants. J’enfile le string qui me rentre bien dans les fesses et les fait ressortir. Puis le pantalon qui est d’une texture plutôt agréable et enfin le T-shirt. Quand je me regarde dans la glace je scrute mes fesses. Déjà debout on voit un peu que j’ai un string alors il suffit que je me penche un tout petit peu pour qu’on ait l’impression que je n’ai pas de pantalon. Je me retourne vers Nina. Elle est allongée sur le lit et a un immense sourire aux lèvres. Moi beaucoup moins. Je lui dis :
- Je ne peux pas sortir comme ça
- Et pourquoi ?
- On voit bien que je porte un string
- Et alors ?
- Et alors ? Que tout le monde va le voir
- Et toutes les fois où tu as voulu que je sorte avec un vêtement moulant et un string car ça t’excitait de voir mes marques de sous vêtement ?
- Ce n’est pas pareil
- Et pourquoi ? Car je suis une femme ? Aujourd’hui c’est ma journée et j’ai envie de te mater pour une fois. Et encore je ne parle pas des sorties où on voyait bien que je ne portais pas de soutien-gorge.
Effectivement je dois bien reconnaître que son argumentation tient la route. J’ai toujours aimé qu’elle soit habillée de façon sexy et que les regards se portent sur ses courbes. Je lui dois bien ça. Je décide donc de lui faire ce plaisir. D’autant plus que j’ai de la chance vue qu’il ne fait pas chaud j’aurais un manteau pour dehors. Je ne serais donc à vue que dans le restaurant. De son côté Nina met un jean vert très moulant et un pull noir. Elle est superbe dans son ensemble. Je ne bande rien qu’à la regarder. Mais avec mes vêtements cela se voit tout de suite. Nina sourit, pose la main sur mon pénis et me dit qu’il va falloir que je me maîtrise si je ne veux pas encore plus attirer l’attention.
Nous partons ainsi au restaurant. La serveuse nous conduit à notre table. Il s’agit d’une belle femme d’une trentaine d’années plutôt bien en chair. Elle semble avoir une très grosse poitrine et un fessier imposant bien que peu mis en valeur par ses vêtements. Elle prend nos manteaux et nous nous asseyons. Nina se lève pour aller aux toilettes. En revenant elle me montre une photo juste prise de moi. On voit clairement la marque de mon string. Mais cela ne lui suffit pas. Elle fait tomber sa fourchette et me demande de la lui ramasser. Je m’exécute. Je me penche pour attraper l’objet au sol. Je sais qu’à ce moment mon cul est particulièrement visible. En me relevant je regarde autour de moi. La serveuse me sourit. Un couple un peu âgé assis à une table semble outré. Nina elle est tout sourire. On nous sert l’entrée que nous mangeons avec appétit. Puis nous discutons en attendant le plat. Nina passe son pied sur ma jambe ce qui ne manque pas de réveiller mon excitation. Puis le plat arrive et nous mangeons avec plaisir. Entre le plat et le dessert je me lève pour aller aux toilettes. Nina me demande un bisou avant d’y aller. Je fais le tour de la table pour le lui donner. Elle me glisse à l’oreille de bien dandiner des fesses pour qu’elle mate ce cul qu’elle va baiser en rentrant à la maison. Instantanément je bande comme un cheval. J’ai du mal à marcher avec cette trique d’enfer. J’ai l’impression que tout le monde me regarde. Et je ne suis pas sûr que ce ne soit qu’une impression. Quand je reviens mon érection s’est calmée mais je vois encore les regards se poser sur la partie basse de mon anatomie.
En m’asseyant je demande à Nina :
- Alors tu as bien pu profiter du spectacle
- Oh oui. J’en suis toute humide
- J’ai l’impression en revanche d’avoir monopolisé l’attention de l’assemblée
- Je te le confirme. La serveuse n’a pas quitté tes fesses des yeux. Et autour j’ai vu des visages indignés et d’autres amusés voire excités
- Et alors cela te fait quoi de savoir ton homme désiré
- Ça renforce mon envie de te prendre. Je comprends maintenant pourquoi tu as souvent tenu à ce que je m’habille sexy
- Et donc si je comprends bien la suite du programme c’est que c’est toi qui me prends ?
- Oui. J’ai envie que tu sois à moi et rien qu’à moi. À chaque fois que nous avons fait du pegging nous étions toujours accompagné. Là je veux te posséder à moi toute seule.
- Sacré programme. J’ai hâte de laisser mon corps entre tes mains
La serveuse nous amène le dessert à ce moment-là. Je pense qu’elle a entendu une partie de notre conversation. Peut-être qu’elle se caressera ce soir en pensant à nous. Une fois le café fini je me lève pour aller payer. Nina me suit et profite pour me mettre la main aux fesses. Elle souligne les contours de mon string ce qui ne manque pas de me faire bander encore. Puis le temps que je paye elle part prendre son manteau et elle discute avec notre serveuse. Je les rejoins et la serveuse attrape mon manteau. Elle me le tend pour que je l’enfile. Puis elle attrape le bas du manteau qui est resté coincé et en profite pour me mettre une pleine main aux fesses. Je reste interloqué mais elle fait comme si de rien n’était et dit à Nina qu’elle avait raison que ces fesses méritaient le détour. Je n’y crois pas c’est Nina qui lui a donné l’autorisation de me peloter. Puis nous partons du restaurant.
En arrivant à la maison Nina me demande si je peux relancer le feu. Je m’y attèle pendant qu’elle monte. Sachant ce qui m’attend je pense qu’elle est partie se préparer et attraper le gode dans la salle de bain. Quand elle revient j’ai pris les devants. J’ai tiré les rideaux pour pas qu’on nous voit, je me suis déshabillé entièrement et je l’attends les mains posées sur le haut de la cheminée. Elle arrive derrière moi caresse mes fesses et me chuchote à l’oreille :
- Humm je vois que tu as compris
- Tu as vu comme je t’écoute ?
- J’ai envie de ce petit cul. Tu m’as excité tout le repas avec ton string
- Heureux de toujours te faire de l’effet
- Oh oui tu m’en fais. Et cet après-midi tu vas prendre cher comme tu m’as souvent dit
- Je suis tout à toi
- Alors passons aux choses sérieuses
Nina écarte mes jambes et me caresse les fesses. Elle glisse sa langue le long de ma colonne vertébrale jusqu’à mes fesses. Elle la passe à l’intérieur et attrape chaque globe de ses deux mains. Puis elle lèche mon anus avant d’y introduire un doigt. Jusqu’à cette étape nous sommes dans des jeux que nous avons souvent pratiqués. Elle continue à me doigter l’anus avant de rajouter un deuxième doigt. Elle m’ouvre doucement par des mouvements sensuels. Puis je sens un objet froid se frayer un chemin en moi. Je reconnais le gode qui m’a baisé dans la douche tout à l’heure. Nina le fait pénétrer en moi lentement jusqu’à ce qu’il y soit en entier. Puis elle accélère le rythme tout en caressant mon dos et mes fesses.
Nina finit par le retirer. Elle pose ses mains sur mes hanches et je sens quelque chose de plus gros forcer ma rondelle. Je tourne la tête pour voir mais Nina me la maintien droite en me disant de me laisser faire. Vu qu’elle a ses mains sur moi je comprends qu’elle a acheté un gode-ceinture. Il semble nettement plus gros que le premier jouet. Elle saisit fermement mes hanches et entre de plus en plus. Je me sens rempli comme jamais. Je ressens un mélange de douleur et d’excitation. Puis petit à petit la douleur laisse place au plaisir. Au plaisir de se faire prendre sans préjugés par la femme qu’on aime comme je l’ai si souvent attrapé. Nina semble s’éclater à me prendre en levrette debout devant la cheminée.
Puis elle se retire. Je me retourne et vois l’engin avec lequel elle vient de me prendre. Heureusement que je ne l’ai pas vu avant car j’aurais refusé. Il est bien plus gros que ce que j’aurais pensé pouvoir absorber et bien plus gros que mon sexe. Elle m’embrasse ce qui ne manque pas de réveiller mon érection. Elle pose sa main sur mon membre dressé et me dirige vers le canapé. Elle s’allonge et m’invite à la chevaucher. Je m’empale lentement sur elle. Malgré la première pénétration l’insertion est difficile. Mais la douceur de ses mains sur mon corps m’aide à passer ce cap. Je m’enfonce entièrement sur ce phallus en plastique pour le plus grand bonheur de Nina. Elle attrape mes hanches pour me faire rebondir au rythme qu’elle a défini. J’aime bien cette position car je peux également caresser son corps et notamment ses seins ou encore nous embrasser. De plus j’aime voir son regard amoureux pendant que nous nous égarons à ces pratiques inhabituelles. Mon sexe reste en érection durant tout le temps de ma chevauchée et je rêverais d’éjaculer sur elle et la recouvrir de mon liquide chaud. Malheureusement elle caresse bien tout mon corps… sauf cette partie qui est en grand manque de caresses…
Puis elle me fait lever et me dirige vers la fenêtre. Elle me fait asseoir sur le rebord, attrape l’arrière de mes cuisses et entre ainsi dans mon cul grand ouvert. Mon sexe en érection valse à chaque coup de hanches. Pour la première fois de notre histoire je ne maîtrise plus rien. La petite Nina prude de nos débuts s’est transformée en tigresse qui sait ce qu’elle veut. Elle me prend contre cette fenêtre avec une intensité phénoménale. Je me retrouve ballotté littéralement sous ses coups de butoir. Son visage est radieux signe d’une situation qui lui plaît énormément. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés comme ça mais je sens une fatigue m’envahir.
Nina le ressent sans doute aussi et se recule. Je descends du rebord mais que je pensais en avoir fini Nina me prend par les hanches, me retourne avec une autorité que je ne lui connaissais pas et attrape ma jambe pour la poser sur le rebord. Elle entre d’un coup en moi et continue à me prendre dans cette position. Encore une fois cette position est une position dans laquelle j’ai souvent pris Nina que ce soit dans une pénétration vaginale ou anale. En cette journée elle ne fait que me faire vivre ce qu’elle a vécu pendant des années. Moi je me sens de plus en plus faible à me faire défoncer de la sorte. Nina elle semble au summum de son énergie. Dans sa domination actuelle Nina ouvre les rideaux de la fenêtre tout en continuant de me sodomiser. Je n’ai même plus l’énergie de rouspéter et je me laisse prendre ainsi alors que nous sommes potentiellement à la vue de tous. Je sens Nina se tendre dans mon dos et trembler. Je pense qu’elle a eu un orgasme (ce qu’elle me confirmera plus tard). Elle arrête ses mouvements et finit par se retirer. J’ai les jambes qui flanchent. Nina m’aide à aller sur le canapé. Elle enlève son attirail et nous nous allongeons l’un contre l’autre. Exténué par nos ébats je m’endors dans ses bras.
A mon réveil je suis seul sur le canapé. J’entends Nina qui est dans la cuisine. Posé sur le canapé je vois le gode ceinture que Nina a acheté. Il est noir, de taille imposante comme je l’avais bien senti. A vue d’œil je dirais qu’il fait dans les 20 centimètres de long et 5 de large. Je me demande encore comment ce truc est rentré entièrement en moi. De l’autre côté un petit sexe courbé est prévu pour entrer dans le vagin de sa propriétaire. Voilà pourquoi Nina a eu un orgasme tout à l’heure. Je me lève et rejoins Nina dans la cuisine. Elle est juste vêtue d’un string. La vision est toujours aussi éblouissante. Aussitôt mon sexe réagit à cette image de rêve. Je me colle derrière elle et lui attrape les seins. Elle se retourne et m’embrasse alors que je caresse ses fesses. Elle me dit alors :
- Bien dormi le beau au bois dormant ?
- Comme une souche.
- Ça fatigue de se faire prendre sauvagement.
- C’est clair. Toi au contraire tu as l’air en pleine forme
- Oh oui. J’avais toujours voulu savoir ce que ça faisait d’être un homme et je dois avouer que ça m’a plu. Ça va je ne t’ai pas trop fait mal ?
- J’ai un peu mal au cul mais ça ira. Quand je vois l’objet je me dis que ça pourrait être pire
- Je t’ai toujours dit qu’entre ta bouche à pipe et ton joli petit cul tu pourrais faire le bonheur de pleins de mecs
- Nous allons en rester à nos jeux
- Ce n’est pas ce que dit ton corps me dit-elle en touchant mon gland humide
- Après la journée que nous avons passé un documentaire animalier me ferait bander
- En tout cas je vois que tu as bien récupéré
- Oh oui j’avais besoin de dormir
- Tant mieux car je veux que tu sois en forme pour la suite
- Ah car il y a une suite ?
- Oui la journée n’est pas finie.
- Et c’est quoi alors la suite ?
- D'abord nous mangeons tranquillement et ensuite nous sortons
- Tu voudrais aller où ?
- Cela fait longtemps que nous ne sommes pas allés danser
- C’est vrai. Et tu voudrais aller où ?
- Nous sommes trop vieux maintenant pour aller au Moulin. Mais nous pourrions aller au Borsalino
- Je n’y suis jamais allé alors pourquoi pas.
Nous finissons de préparer à manger ensemble puis nous mangeons et regardons un film tranquillement. Enfin nous allons nous préparer. Nina continue de mener sa journée comme elle l’entend et décide de mes vêtements : elle reprend le même pantalon que dans la journée ainsi que le même string mais cette fois avec une chemise rouge un peu transparente et près du corps. Je suis hyper sexy dans cette tenue. Je m’attends à me faire draguer par des cougars en chaleur. De son côté Nina porte une robe très moulante rouge et noire qui s’arrête au-dessous des genoux. Elle a gardé le string noir qu’elle portait cet après-midi et ne met pas de soutien-gorge. Mais avec cette robe cela ne se voit pas trop.
Nous arrivons au bar / discothèque et nous trouvons une banquette pour nous installer. Assez rapidement nous finissons sur la piste de danse. Après tout c’est pour cela que nous sommes venus. Nous dansons tout en laissant traîner nos mains sur nos corps notamment nos fesses. En regardant autour de nous beaucoup de regards sont tournés vers nous. Je ne m’en soucis pas et nous continuons de danser. Puis nous prenons une pause et allons prendre un verre. Puis le DJ passe une musique que j’adore. Nina est un peu fatiguée et je pars donc seul sur le dancefloor. Au bout d’un moment je sens des mains sur mes fesses. Je me dis que Nina a finalement changé d’avis. Je me retourne et à ma grande surprise ce n’est pas Nina. C’est une jeune femme avec des formes très généreuses particulièrement mis en valeur dans un pantalon très serré et un débardeur très échancré. Son visage me dit quelque chose mais je n’arrive pas à remettre qui. Je lui dis :
- Excusez-moi c’est très flatteur mais je suis marié. Elle est juste là assise
- Je sais c’est elle qui m’a dit que je pouvais
- Pardon ?
- Oui elle m’a dit que je pouvais tout caresser sauf devant
- Ah bon ? Et nous nous connaissons ?
- Nous nous rencontrés ce midi au restaurant
- La serveuse qui m’a mis la main aux fesses !
- C’est moi !
- Désolé mais dans ces vêtements je ne vous avais pas reconnu
- Pas de soucis. Je m’appelle Caroline
- Lucas. Excusez-moi je reviens
Je me dirige vers Nina et passe devant un miroir. Je me regarde et vois que selon le jeu de lumière on voit parfois en transparence que je porte un string. Je comprends maintenant les nombreux regards en ma direction. Mais bon après tout nous sommes là pour s’amuser. Je me penche au-dessus de Nina et lui dit :
- Alors comme ça tu donnes l’autorisation de me caresser ?
- C’est vrai. Ne me dis pas qu’elle ne te plaît pas
- Si, elle a ce qu’il faut là où il faut
- Alors profite danse avec elle comme tu danserais avec moi. Mais s’il te plaît ne l’embrasse pas
- Ça t’excite de me voir entre les mains d’une autre personne ?
- Un peu. Surtout quand je sais qu’il ne se passera rien
- Tu peux me faire confiance. Tu es la seule qui compte pour moi et je ne ferais jamais rien derrière ton dos
- Je le sais. C’est pour ça que tu peux danser avec elle
Je retourne sur la piste de danse et bouge au rythme de la musique. Après un interlude années 80 le DJ enchaîne avec un zouk. Je regarde vers Nina qui me donne son approbation de la tête. Je prends Caroline par la taille et commence à onduler contre elle. Elle pose sa main sur mes fesses et caresse mon string à travers mon pantalon. Je pose également ma main sur le haut de ses fesses et sens distinctement les contours d’un string. Sa grosse poitrine est collée contre mon torse. Je vois ses seins prêts à jaillir de leur prison de tissu. Ça y est je bande. Caroline le sent et me sourit. Je finis la chanson tant bien que mal et nous allons nous asseoir avec Nina. J’embrasse Nina et elle pose sa main sur mon sexe. Moi je pose la mienne sur sa cuisse. Il me démange de remonter mais je me tiens sage. Nous discutons un peu puis je repars danser.
De nouveau je sens des mains sur mes fesses. Je me demande s’il s’agit de Nina ou de Caroline. Je colle mes fesses contre son bassin et sens quelque chose d’inhabituel. Je me retourne et en fait il s’agit d’un homme. Ce que j’ai senti était une érection. Je m’offusque et pars sans dire un mot. En marchant je regarde vers Nina qui est morte de rire. A peine j’arrive elle me dit :
- Alors on attire les beaux males ?
- Arrête ça ne me fait pas rire
- Pourtant ça l'est. Tu as dû lui plaire avec ton petit cul
- Sans doute vu l’érection qu’il avait
- Ah ouais ? dit Nina en éclatant encore plus de rire.
- Ce n’est pas drôle je t’ai dit
- Je t’ai toujours dit que tu devais plaire aux hommes. Nous en avons la preuve maintenant.
- C’est bon ça suffit nous rentrons
- Déjà ?
- Oui toi tu es fatiguée et moi vexé donc nous n’avons plus rien à faire ici
Nous disons au revoir à Caroline mais j’ai le sentiment que je la retrouverais bientôt dans notre lit. En effet vu la proximité complice avec Nina je ne serais pas surpris qu’elle soit intégrée dans nos jeux sexuels. Nous partons donc. Durant le trajet je suis fermé. Nina tente de me dérider :
- Allez c’est bon ce n’est pas grave
- Pour toi peut être. Mais j’ai eu un sexe en érection contre mes fesses
- Tu as bien eu plusieurs sexes dans tes fesses aujourd’hui et ça ne t’a pas déplu
- Ce n’est pas pareil c’était toi au bout
- Tu sais tu pourrais y prendre du plaisir. Il n’y a rien de mieux qu’un sexe en chair et en os. D’ailleurs moi cela m’a bien excitée cette situation me dit-elle en dirigeant ma main entre ses cuisses écartées
- En effet je vois ça lui dis-je en glissant un doigt dans sa fente inondée
- Moi j’ai passé une super soirée en tout cas. Et j’espère qu’elle n’est pas finie…
- Ah ça non lui dis-je en sortant mon pénis dressé de mon pantalon
Nina l’attrape d’une main et se caresse de l’autre. Nous arrivons à la maison. Je me gare et Nina se détache. Elle se met à quatre pattes sur le siège et engouffre mon sexe dans sa bouche. Enfin les premières douceurs de la journée. Je lui remonte sa robe sur son dos pour mater son cul puis finis carrément par lui enlever sa robe. La voici en string dans la voiture en train de me sucer. Elle a toujours une main sur la base de mon pénis et sur mes testicules et l’autre dans son string. Si quelqu’un passait à ce moment-là il serait instantanément excité par cette vision divine. Je n’en peux plus j’ai besoin de la prendre.
Je sors de la voiture tout en gardant sa robe et fais le tour pour lui ouvrir la portière. Elle sort et se retrouve juste vêtue d’un string dans la rue. Je la retourne et colle mon visage à ses fesses. Elle pose le pied sur le siège afin de me donner un meilleur accès et je plonge ma langue sur son vagin. Je rentre également deux doigts en elle mais rapidement je vois que Nina a froid en cette fraîche nuit d’avril. Je lui dis que nous rentrons et elle part vers la maison juste en string-talons. L’image est surréaliste.
Nous rentrons nous mettre au chaud et aussitôt arrivés Nina se met en levrette sur le canapé. Elle sait exactement ce qu’elle veut et ça tombe bien je veux la même chose. Je baisse mon pantalon, sors mon sexe de mon string et entre d’un coup sans plus de préparation. Elle gémit car elle s’attendait sans doute à quelques préliminaires. Mais trop excité par cette journée je veux la posséder immédiatement. Je donne immédiatement du rythme car je sais que je ne vais pas tenir longtemps. Ses fesses font des vagues hautement excitantes à chaque pénétration. Je ne me laisserais jamais de ce spectacle. Puis je vois le gode-ceinture posé sur le canapé à côté de nous. Je l’attrape tout en continuant de prendre Nina et l’enduit de lubrifiant. Je le présente devant l’anus de Nina et l’enfonce doucement. Elle proteste disant qu’il est trop gros mais j’insiste car si j’ai pu le faire entrer dans mon cul, elle le peut aussi. Je le rentre petit à petit puis le ressors pour rajouter du lubrifiant. Je reviens à la charge mais Nina me demande d’arrêter. Je décide alors de changer et c’est mon sexe que je mets dans son rectum et le gode dans son vagin. Dans ce sens-là tout rentre plus facilement. Mais dans ce conduit plus serré je sens que je ne tiens plus. J’arrête donc de bouger et ne fais des mouvements qu’avec le sexe en plastique tout en restant en elle. J’arrive ainsi à faire bien monter le plaisir en Nina. Quand je sens qu’elle est proche de l’orgasme je décide de changer de position.
Elle s’allonge sur le dos. Je la pénètre d’abord avec le gode. Une fois bien au fond je place mon sexe dans son petit trou. Nina attrape le jouet et se masturbe à son rythme. De mon côté je la sodomise tant que je peux. Je sens que je vais craquer. Je sors avant de jouir. Je me dresse au-dessus de Nina. Elle attrape mon sexe d’une main tout en continuant de se prendre de l’autre. Elle me branle énergiquement jusqu’à explosion. J’éjacule sur Nina par gros jets. Son ventre et ses seins sont recouverts de sperme. Un jet a même atteint son menton et son nez. Nina finit par jouir également.
Je me lève pour récupérer des mouchoirs et essuyer ma semence. Nina se remet de ses émotions. Je me couche à côté d’elle et l’embrasse. Elle a un goût de sperme mais cela ne me rebute pas. Je caresse son beau corps et dis :
- Quelle journée !
- C’est clair. Tu as pris du plaisir au moins ?
- Je pense que tu l’as bien vu… et reçu
- Oui il y en avait plus que d’habitude
- Après une journée d’excitation tu m’étonnes… Et toi la journée s’est déroulée comme tu l’espérais ?
- Encore mieux. J’ai mouillé toute la journée. Juste je n’ai pas trop aimé le gros gode dans le cul.
- Pourtant tu me l’as bien mis dans le mien
- Oui mais tu as peut-être plus un cul à bite que moi. En revanche j’ai aimé l’avoir dans le vagin.
- Nous pourrons refaire ça maintenant que nous sommes équipés
- Quand tu veux.
- Nous allons déjà se remettre de notre folie. Allons-nous coucher
- Tu as raison. Je passe à la douche et j’arrive…
J’attends que Nina revienne et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre…
Je m’excite pendant tout le mois en tentant d’imaginer quel va être son fantasme. Puis nous partons déposer Alexandre chez les grands parents à deux heures de route. Sur le chemin du retour nous discutons de ce fameux fantasme et Nina me donne quelques indices :
- J’ai hâte d’être à demain, me dit elle
- Moi aussi. Je suis impatient de découvrir ce moment que tu nous as concocté. Je peux avoir un indice ?
- Ce n’est pas juste un moment mais une journée en fait
- Comment ça une journée ?
- En fait mon fantasme est de prendre le contrôle total pendant une journée. C’est toujours toi qui organises tout et là j’ai envie de le faire… autant que j’ai envie de te faire perdre le contrôle
- Qu’est-ce que tu appelles le contrôle total ?
- Tout de ce que nous faisons, mangeons, comment nous nous habillons bref je voudrais que tu fasses tout ce que je te dis pendant une journée
- D’accord je ne m’attendez pas à ça ! Et tu peux me donner un exemple ?
- Je te dis comment tu vas t’habiller, les activités que nous ferons et quand nous les ferons bref une journée où je prends toutes les décisions et toi aucune. Cela ne te plaît pas ?
- Je ne sais pas, vu que je ne sais pas de quoi tu parles. C’est l’inconnu.
- Justement c’est le but. Je peux juste te dire que j’ai acheté des vêtements et accessoires pour toi et pour moi
- OK dis-je d’un air dubitatif
- Tu as l’air perplexe. Détends-toi cela va bien se passer. Tu m’as dit le fantasme de mes rêves.
- C’est juste dur de lâcher mais tu as raison cela peut être une super expérience. Rien de trop… bizarre quand même ?
- Non ne t’inquiètes pas. Rien que nous n’avons pas déjà fait… mais pas forcément dans les mêmes conditions.
- Tu m’intrigues
- Et alors cela crée quoi comme autre sentiment ?
- Un mélange de peur, d’impatience et d’excitation
- Intéressant. Pour te rassurer…ou pas voici le début de la journée. Au réveil tu iras chercher des chocolatines à la boulangerie. Tu prépareras un plateau pour m’emmener le petit déj au lit avec un croissant, un café et une tranche de pain grillé avec du beurre et de la confiture. Tu me monteras le plateau mais pour se faire tu devras être nu. Et pendant que je prendrais mon petit déjeuner tu me feras un cunnilingus
- La bande annonce du film est attrayante en tout cas
- Je vois ça me dit-elle en regardant la bosse qui déforme mon pantalon.
- Effectivement je suis tout dur rien que d’y penser.
- Tiens en avant-première de la journée de demain déboutonne ton jean
- Pourquoi ?
- Qu’est-ce que je t’ai dit : pas de question !
Je déboutonne alors mon jean et le baisse. Nina me demande de baisser aussi le caleçon. Ce que je fais sans me faire prier. Elle attrape mon pénis et le caresse doucement. Cela fait une éternité qu’elle ne m’a pas touché en roulant. Elle passe sa main dessus sans le masturber. Il prend alors sa forme maximale sous le poids de ses caresses. Elle remonte aussi sa robe au niveau de la taille et écarte son string. Tout en continuant de faire courir ses doigts sur mon sexe elle en glisse un en elle. Puis je caresse sa poitrine par-dessus le tissu de sa robe. Je glisse ma main sous le bonnet de son soutien-gorge et titille son téton. Elle gémit et glisse un deuxième doigt en elle. Je fais tomber la bretelle de sa robe. Elle en fait de même pour la deuxième puis dégrafe son soutien-gorge. Sa robe tombe sur son ventre faisant comme une ceinture. Je tripote ses seins pendant que Nina continue de nous masturber.
Puis je remplace sa main afin qu’elle puisse se concentrer sur moi. Elle accélère petit à petit le rythme. Moi aussi. Puis elle enlève ma main et se positionne afin de venir poser sa bouche sur mon sexe. Ce n’est arrivé qu’une fois en vingt ans qu’elle me fasse une fellation dans la voiture et je crois que la deuxième fois va arriver. Elle commence des va et vient rapides. De la façon dont Nina est installée je vois ses fesses magnifiquement mises en valeur par son string. Quand je vois que nous rattrapons un camion je décide de jouer un peu. Je fais un appel de phare au camion pour attirer son attention. Au moment où je suis à sa hauteur je ralentis pour qu’il ait une belle vision de ma femme en train de me sucer. Vu de sa hauteur les fesses de Nina doivent paraître magnifiques. Je lui souris, sourire qu’il me rend et j’accélère avant que Nina ne remarque mon jeu.
Nina continue de lécher mon sexe tout en se masturbant. Elle accélère le rythme à la fois de sa bouche et de sa main. Je sens qu’elle se contracte et bientôt elle relève sa bouche afin de lâcher son cri d’orgasme. Sa jouissance combinée aux mouvements de sa main sur mon membre dressé fait que je vais éjaculer. Sentant mes spasmes Nina se jette sur mon pénis afin de récolter ma semence dans sa bouche. Elle avale tout puis nettoie mon gland avec sa langue. Elle se redresse sur son siège mais ne se rhabille pas. Elle reste juste vêtue de son string. La vision m’excite pendant toute la fin du voyage. Il y a encore quelques mois jamais elle n’aurait osé rester comme ça potentiellement à la vue de tous. Nous finissons par arriver à la maison. Nina reste dans cette tenue pour le repas et le film. J’en profite pour la caresser à ma guise. Puis à la fin du film nous partons tranquillement nous coucher, nus l’un contre l’autre, pour nous reposer avant la journée de demain.
Le lendemain je me réveille en premier. Je profite de ce moment de calme pour me coller contre Nina. Je la caresse et en profite pour prendre des photos de son corps nu magnifique. Je bande déjà à mort mais je préfère me préserver pour cette journée qui s’annonce excitante. Je finis par me lever, je m’habille et pars chercher les viennoiseries conformément à ses instructions. A mon retour je prépare le reste du petit déjeuner, le pose sur un plateau et le monte. Arrivé dans la chambre Nina dort encore. Je pose le plateau et me déshabille. Je m’allonge à côté de Nina et me colle à elle pour la réveiller en douceur. Mon sexe bien dur se loge parfaitement entre ses grosses fesses alors que mes mains caressent ses seins. Cela la réveille et elle se tourne sur le dos. Je prends son sein droit dans une main et lèche son mamelon. Son téton durcit doucement. Une fois complètement dur je passe au sein gauche et applique le même traitement pour les mêmes conséquences. Je sais qu’elle aime ce type de réveil tout en douceur et sensualité. Puis elle s’assoie en s’adossant au mur. Je me lève pour prendre le plateau petit déjeuner et le pose à côté d’elle.
Elle écarte grand les cuisses pour me rappeler la suite. Mais comment oublier ce moment qui m’excite depuis hier. Je me glisse entre ses cuisses pendant qu’elle attrape son croissant. Je ne me fais pas prier pour venir embrasser ses lèvres. Elles sont douces et légèrement humides. Je fais naviguer ma langue sur son clitoris. C’est agréable de goûter à ce vagin épilé pour l’occasion. Nina continue de prendre son petit déjeuner. C’est bizarre d’être en train d’essayer de lui faire du bien alors qu’elle est sur une autre occupation. Je redouble d’efforts afin de la faire craquer. J’alterne entre des coups de langue bien placés, insertion de doigts dans son vagin et même glissement sur son anus. Mais rien n’y fait elle reste stoïque en prenant son petit-déjeuner. Je descends ma main vers mon pénis mais j’ai droit à un rappel à l’ordre comme quoi aujourd’hui je ne dois faire que ce qu’elle dit.
Pendant un bon quart d’heure je donne le meilleur de moi mais elle se maîtrise très bien. Du moins en visuel car niveau corporel la cyprine coule à flot signe que je ne dois pas être si mauvais que ça. A la fin de son croissant elle me demande de m’allonger sur le lit. Je me dis que c’est bon nous allons pouvoir faire l’amour mais finalement elle s’assoie sur mon visage et attrape sa tartine. Je me retrouve avec alternativement son vagin ou son anus sur ma bouche ou mon nez. Je tente de donner des coups de langue autant que je peux mais je suis parfois étouffé par ses grosses fesses. Je sens la cyprine qui coule sur mon visage de mon menton à mon front comme si je m’étais pris une faciale. Des miettes de tartines tombent sur mon torse pendant que je m’affaire à son plaisir. Quelle sensation étrange de se retrouver presque étouffé par ce corps généreux mais autant excité. Mon sexe me fait mal tellement je bande fort. Je rêverai qu’elle plonge sa bouche dessus pour le soulager mais je ne crois pas que ce soit à l’ordre du jour. J’ai pas mal de difficultés à trouver mon souffle mais la situation est trop excitante pour que je rechigne à la tâche qui m’est confiée. Je ne sais pas combien de temps a duré ce facesitting mais quand Nina se relève je prends une profonde respiration.
Nina me regarde et sourit. Je regarde mon bas ventre et je le vois tout recouvert de liquide… et ce n'est pas Nina. J’ai abondamment bavé sur moi. Quand je me relève je vois mon visage dans la glace de la chambre et comprends pourquoi Nina a souri. Mon visage est couvert de cyprine comme jamais il l’a été. Je pars dans la salle de bain me passer un coup sur le visage. Quand je reviens Nina est allongée sur le lit. Je m’allonge à côté d’elle et lui fait un tendre câlin. Puis Nina me donne la suite du programme. Elle me demande d’aller allumer la cheminée et d’installer la table de massage devant. Elle veut donc que je la masse… Je me lève et attrape mon caleçon mais Nina me reprend :
- Je ne t’ai pas demandé de te rhabiller
- Attends la cheminée est juste devant la fenêtre qui donne sur la rue et on risque de me voir.
- Plusieurs fois nous avons fait l’amour dehors et qu’à chaque fois que je t’ai dit non car on risquait de nous voir ce que tu as répondu ?
- Que justement c’était excitant de prendre des risques. Mais là ce sont nos voisins !
- Et alors et la dernière fois quand tu m’as prise par derrière sur le chemin qui descend à la rivière tu ne crois pas que des voisins auraient pu nous voir ?
- Si mais ce n’est pas pareil
- Et pourquoi ? Car là c’est toi qui risques plus ?
Je me retrouve bloqué et dois accepter. Je descends donc, nu, et vais chercher du bois. Je regarde bien dehors avant de sortir pour être sûr que personne ne regarde. Je me dépêche de prendre ce dont j’ai besoin et rentre vite surtout qu’il fait un peu froid. Devant la cheminée je me baisse pour éviter que l’on me voie trop par la fenêtre. J’allume le feu puis vais chercher la table de massage dans le bureau et l’installe devant le feu. Voilà tout est prêt. J’entends Nina qui bouge à l’étage puis descend les escaliers.
Je l’attends en bas des escaliers. La descente m’offre une vision féerique. A chaque marche les mouvements se répercutent sur son magnifique corps. Ses seins et les bourrelets de son ventre rebondissent gracieusement. Ses énormes cuisses bougent tel un chef d’œuvre. Je bande devant cette sublime image. Elle passe à côté de moi et part se coucher sur la table de massage en dandinant de ses grosses fesses. Elle s’allonge sur le ventre, la tête vers la fenêtre et attend son massage. Je m’avance vers elle et enduis mes mains d’huile. Je commence par masser sa nuque en me positionnant derrière elle. Mes fesses sont directement à la vue de l’extérieur. Pourvu que personne ne passe par là ! Après la nuque je descends sur son dos. Puis je fais le tour et recommence par ses pieds. Je sais qu’elle particulièrement sensible à cet endroit donc j’insiste sur cette zone. D’ici la vue sur ses fesses est magnifique.
Je remonte lentement sur ses mollets que je palpe énergiquement puis j’arrive à ses merveilleuses cuisses. Mon érection repart de plus belle quand je masse cet endroit qui m’a toujours fasciné chez elle. Je m’attarde longuement dessus et effleure à plusieurs reprises le bas de ses fesses. Enfin je caresse allègrement ses monts voluptueux. De mon côté mes fesses sont chauffées par le feu de cheminée ce qui est plutôt agréable. Je glisse régulièrement dans le sillon de ses fesses sans jamais titiller sa rondelle rosée que j’espère bien visiter aujourd’hui. Je malaxe l’un puis l’autre de ses globes fessiers. Quel bonheur ! Je redescends sur le haut des cuisses. Nina écarte un peu les cuisses et je m’engouffre dans l’ouverture nouvellement créée. Je frôle son vagin avec le côté de mes doigts. Je sens Nina frémir à chaque incursion de mes mains entre ses cuisses. La connaissant elle n’attend qu’une chose c’est que je « glisse » accidentellement en elle. Mais je ne veux pas lui faire ce plaisir… enfin pas tout de suite.
Je demande à Nina de se retourner, ce qu’elle fait doucement. Je repars de ses pieds et reprends mon massage sensuel. Je remonte sur ses tibias puis ses cuisses. Sous le poids de mes mains, ses cuisses s’entrouvrent un peu plus. J’aperçois son vagin luisant. Elle semble apprécier mon massage. Je remonte sur son ventre puis sur son cou. Enfin je passe mes mains sur sa poitrine. Immédiatement ses seins réagissent et se durcissent. Ses tétons se rétractent et pointent fièrement. Je finis mon massage et couvre Nina afin qu’elle n’attrape pas froid. Finalement j’étais tellement plongé dans le massage que j’en ai oublié ma nudité potentiellement visible.
Nina prend cinq minutes pour se remettre après cette heure de massage puis me donne les instructions pour la suite : elle veut que j’aille lui faire couler un bain. Je monte dans la salle de bain et vois à ma grande surprise un objet inconnu sur le bord de la baignoire : un nouveau gode. C’est donc l’accessoire qu’elle a acheté. Il est plutôt de taille normale. Je suis surpris J’aurais pensé qu’elle en aurait pris un plus gros. Je fais couler l’eau chaude, rajouter un peu de sels de bain et un peu de bain moussant. J’allume aussi quelques bougies parfumées ainsi que le plafonnier qui change de couleurs. Il ne me reste plus qu’à mettre un peu de musique et tout est prêt pour qu’elle profite de ce moment de détente.
Nina monte, passe rapidement sous la douche pour enlever l’huile de massage puis se glisse dans la baignoire. Elle sourit de son bien-être. Puis son sourire change en sourire coquin. Elle me dit :
- Tu as vu mon achat
- Oui j’ai vu, je lui réponds sans pouvoir cacher le grand sourire qui illumine mon visage pendant que je l’imagine se masturber devant moi
- Et tu as vu à l’autre bout ?
- Non pourquoi il y a quoi ?
- Une ventouse pour le fixer sur la paroi de la douche
- Ah non je n’avais pas vu
- Peux-tu aller le fixer sur la paroi de la douche.
- Bien sûr. A quelle hauteur tu le veux ?
- C’est toi qui vois à quelle hauteur tu seras à l’aise ?
- Je ne comprends pas
- C’est toi qui vas l’utiliser pendant que je prends mon bain
- Pardon ?
- Oui cela fait partie de mon fantasme de te voir rebondir sur une queue pendant que je me masturberais en te regardant. Déjà je t’épargne que ce soit une vraie…
- Grand seigneur…
Je regarde de nouveau le gode et je ne le trouve plus si petit que ça maintenant. Je l’attrape et vais dans la douche. Je mouille la paroi puis le fixe à hauteur debout. Je reviens à côté de la baignoire. Nina frotte ses seins et commence à descendre sur son vagin. Je la regarde un peu puis elle me fait signe de la tête pour me dire d’y aller. Je me dirige de nouveau vers la douche et prends mon courage à deux mains. J’enduis cet objet de lubrifiant puis me retourne. Je le place contre mon anus et commence à reculer doucement. Je ressors et remets un peu plus de lubrifiant puis je renouvelle le mouvement. Je sens chaque cm de ce sexe en plastique qui s’enfonce en moi. Enfin mes fesses viennent se coller à la paroi de douche. Je commence alors des va et vient lents. C’est la première fois que je me baise tout seul. Mais ce n’est pas si désagréable. Je ferme les yeux et me concentre sur mes sensations. Je donne le rythme que mon corps semble demander. Maintenant mon cul s’empale allègrement sur ce gode. Le rythme devient soutenu et je me défonce tout seul.
Puis Nina me demande de mettre le gode par terre et de le chevaucher. J’interromps alors ma besogne et décolle la ventouse que je colle au sol. Je m’assoie dessus et à genoux commence à onduler dessus. Rapidement Nina m’interrompt de nouveau car elle veut que je lui fasse face afin qu’elle voie mon visage ainsi que mon sexe bouger. Je m’exécute et enfonce sans difficultés maintenant le jouet entre mes fesses. Je rebondis en la regardant droit dans les yeux. De son côté Nina a posé ses mollets sur les rebords de la baignoire. Elle caresse, son vagin en me regardant monter son cadeau. Elle finit par jouir dans un spasme bruyant. Il ne m’en faudrait pas beaucoup pour jouir aussi mais malheureusement cela n’est pas encore au programme. Nina me dit que je peux arrêter.
Je m’extrais donc et prends une douche rapide le temps que Nina reprenne ses esprits. Puis elle sort du bain et nous allons dans la chambre. Elle me dit que nous allons aller manger au restaurant. Je me dis que je vais pouvoir avoir un petit moment de répit… c’était sans compter sur l’esprit coquin de Nina. Elle a acheté des vêtements pour moi pour l’occasion. Il s’agit d’un pantalon en lin beige, très près du corps et très fin, à tel point qu’il en est presque transparent. Elle a également choisi un string blanc ainsi qu’un T-shirt bleu marine. Je déglutis difficilement en regardant ces vêtements plutôt voyants. J’enfile le string qui me rentre bien dans les fesses et les fait ressortir. Puis le pantalon qui est d’une texture plutôt agréable et enfin le T-shirt. Quand je me regarde dans la glace je scrute mes fesses. Déjà debout on voit un peu que j’ai un string alors il suffit que je me penche un tout petit peu pour qu’on ait l’impression que je n’ai pas de pantalon. Je me retourne vers Nina. Elle est allongée sur le lit et a un immense sourire aux lèvres. Moi beaucoup moins. Je lui dis :
- Je ne peux pas sortir comme ça
- Et pourquoi ?
- On voit bien que je porte un string
- Et alors ?
- Et alors ? Que tout le monde va le voir
- Et toutes les fois où tu as voulu que je sorte avec un vêtement moulant et un string car ça t’excitait de voir mes marques de sous vêtement ?
- Ce n’est pas pareil
- Et pourquoi ? Car je suis une femme ? Aujourd’hui c’est ma journée et j’ai envie de te mater pour une fois. Et encore je ne parle pas des sorties où on voyait bien que je ne portais pas de soutien-gorge.
Effectivement je dois bien reconnaître que son argumentation tient la route. J’ai toujours aimé qu’elle soit habillée de façon sexy et que les regards se portent sur ses courbes. Je lui dois bien ça. Je décide donc de lui faire ce plaisir. D’autant plus que j’ai de la chance vue qu’il ne fait pas chaud j’aurais un manteau pour dehors. Je ne serais donc à vue que dans le restaurant. De son côté Nina met un jean vert très moulant et un pull noir. Elle est superbe dans son ensemble. Je ne bande rien qu’à la regarder. Mais avec mes vêtements cela se voit tout de suite. Nina sourit, pose la main sur mon pénis et me dit qu’il va falloir que je me maîtrise si je ne veux pas encore plus attirer l’attention.
Nous partons ainsi au restaurant. La serveuse nous conduit à notre table. Il s’agit d’une belle femme d’une trentaine d’années plutôt bien en chair. Elle semble avoir une très grosse poitrine et un fessier imposant bien que peu mis en valeur par ses vêtements. Elle prend nos manteaux et nous nous asseyons. Nina se lève pour aller aux toilettes. En revenant elle me montre une photo juste prise de moi. On voit clairement la marque de mon string. Mais cela ne lui suffit pas. Elle fait tomber sa fourchette et me demande de la lui ramasser. Je m’exécute. Je me penche pour attraper l’objet au sol. Je sais qu’à ce moment mon cul est particulièrement visible. En me relevant je regarde autour de moi. La serveuse me sourit. Un couple un peu âgé assis à une table semble outré. Nina elle est tout sourire. On nous sert l’entrée que nous mangeons avec appétit. Puis nous discutons en attendant le plat. Nina passe son pied sur ma jambe ce qui ne manque pas de réveiller mon excitation. Puis le plat arrive et nous mangeons avec plaisir. Entre le plat et le dessert je me lève pour aller aux toilettes. Nina me demande un bisou avant d’y aller. Je fais le tour de la table pour le lui donner. Elle me glisse à l’oreille de bien dandiner des fesses pour qu’elle mate ce cul qu’elle va baiser en rentrant à la maison. Instantanément je bande comme un cheval. J’ai du mal à marcher avec cette trique d’enfer. J’ai l’impression que tout le monde me regarde. Et je ne suis pas sûr que ce ne soit qu’une impression. Quand je reviens mon érection s’est calmée mais je vois encore les regards se poser sur la partie basse de mon anatomie.
En m’asseyant je demande à Nina :
- Alors tu as bien pu profiter du spectacle
- Oh oui. J’en suis toute humide
- J’ai l’impression en revanche d’avoir monopolisé l’attention de l’assemblée
- Je te le confirme. La serveuse n’a pas quitté tes fesses des yeux. Et autour j’ai vu des visages indignés et d’autres amusés voire excités
- Et alors cela te fait quoi de savoir ton homme désiré
- Ça renforce mon envie de te prendre. Je comprends maintenant pourquoi tu as souvent tenu à ce que je m’habille sexy
- Et donc si je comprends bien la suite du programme c’est que c’est toi qui me prends ?
- Oui. J’ai envie que tu sois à moi et rien qu’à moi. À chaque fois que nous avons fait du pegging nous étions toujours accompagné. Là je veux te posséder à moi toute seule.
- Sacré programme. J’ai hâte de laisser mon corps entre tes mains
La serveuse nous amène le dessert à ce moment-là. Je pense qu’elle a entendu une partie de notre conversation. Peut-être qu’elle se caressera ce soir en pensant à nous. Une fois le café fini je me lève pour aller payer. Nina me suit et profite pour me mettre la main aux fesses. Elle souligne les contours de mon string ce qui ne manque pas de me faire bander encore. Puis le temps que je paye elle part prendre son manteau et elle discute avec notre serveuse. Je les rejoins et la serveuse attrape mon manteau. Elle me le tend pour que je l’enfile. Puis elle attrape le bas du manteau qui est resté coincé et en profite pour me mettre une pleine main aux fesses. Je reste interloqué mais elle fait comme si de rien n’était et dit à Nina qu’elle avait raison que ces fesses méritaient le détour. Je n’y crois pas c’est Nina qui lui a donné l’autorisation de me peloter. Puis nous partons du restaurant.
En arrivant à la maison Nina me demande si je peux relancer le feu. Je m’y attèle pendant qu’elle monte. Sachant ce qui m’attend je pense qu’elle est partie se préparer et attraper le gode dans la salle de bain. Quand elle revient j’ai pris les devants. J’ai tiré les rideaux pour pas qu’on nous voit, je me suis déshabillé entièrement et je l’attends les mains posées sur le haut de la cheminée. Elle arrive derrière moi caresse mes fesses et me chuchote à l’oreille :
- Humm je vois que tu as compris
- Tu as vu comme je t’écoute ?
- J’ai envie de ce petit cul. Tu m’as excité tout le repas avec ton string
- Heureux de toujours te faire de l’effet
- Oh oui tu m’en fais. Et cet après-midi tu vas prendre cher comme tu m’as souvent dit
- Je suis tout à toi
- Alors passons aux choses sérieuses
Nina écarte mes jambes et me caresse les fesses. Elle glisse sa langue le long de ma colonne vertébrale jusqu’à mes fesses. Elle la passe à l’intérieur et attrape chaque globe de ses deux mains. Puis elle lèche mon anus avant d’y introduire un doigt. Jusqu’à cette étape nous sommes dans des jeux que nous avons souvent pratiqués. Elle continue à me doigter l’anus avant de rajouter un deuxième doigt. Elle m’ouvre doucement par des mouvements sensuels. Puis je sens un objet froid se frayer un chemin en moi. Je reconnais le gode qui m’a baisé dans la douche tout à l’heure. Nina le fait pénétrer en moi lentement jusqu’à ce qu’il y soit en entier. Puis elle accélère le rythme tout en caressant mon dos et mes fesses.
Nina finit par le retirer. Elle pose ses mains sur mes hanches et je sens quelque chose de plus gros forcer ma rondelle. Je tourne la tête pour voir mais Nina me la maintien droite en me disant de me laisser faire. Vu qu’elle a ses mains sur moi je comprends qu’elle a acheté un gode-ceinture. Il semble nettement plus gros que le premier jouet. Elle saisit fermement mes hanches et entre de plus en plus. Je me sens rempli comme jamais. Je ressens un mélange de douleur et d’excitation. Puis petit à petit la douleur laisse place au plaisir. Au plaisir de se faire prendre sans préjugés par la femme qu’on aime comme je l’ai si souvent attrapé. Nina semble s’éclater à me prendre en levrette debout devant la cheminée.
Puis elle se retire. Je me retourne et vois l’engin avec lequel elle vient de me prendre. Heureusement que je ne l’ai pas vu avant car j’aurais refusé. Il est bien plus gros que ce que j’aurais pensé pouvoir absorber et bien plus gros que mon sexe. Elle m’embrasse ce qui ne manque pas de réveiller mon érection. Elle pose sa main sur mon membre dressé et me dirige vers le canapé. Elle s’allonge et m’invite à la chevaucher. Je m’empale lentement sur elle. Malgré la première pénétration l’insertion est difficile. Mais la douceur de ses mains sur mon corps m’aide à passer ce cap. Je m’enfonce entièrement sur ce phallus en plastique pour le plus grand bonheur de Nina. Elle attrape mes hanches pour me faire rebondir au rythme qu’elle a défini. J’aime bien cette position car je peux également caresser son corps et notamment ses seins ou encore nous embrasser. De plus j’aime voir son regard amoureux pendant que nous nous égarons à ces pratiques inhabituelles. Mon sexe reste en érection durant tout le temps de ma chevauchée et je rêverais d’éjaculer sur elle et la recouvrir de mon liquide chaud. Malheureusement elle caresse bien tout mon corps… sauf cette partie qui est en grand manque de caresses…
Puis elle me fait lever et me dirige vers la fenêtre. Elle me fait asseoir sur le rebord, attrape l’arrière de mes cuisses et entre ainsi dans mon cul grand ouvert. Mon sexe en érection valse à chaque coup de hanches. Pour la première fois de notre histoire je ne maîtrise plus rien. La petite Nina prude de nos débuts s’est transformée en tigresse qui sait ce qu’elle veut. Elle me prend contre cette fenêtre avec une intensité phénoménale. Je me retrouve ballotté littéralement sous ses coups de butoir. Son visage est radieux signe d’une situation qui lui plaît énormément. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés comme ça mais je sens une fatigue m’envahir.
Nina le ressent sans doute aussi et se recule. Je descends du rebord mais que je pensais en avoir fini Nina me prend par les hanches, me retourne avec une autorité que je ne lui connaissais pas et attrape ma jambe pour la poser sur le rebord. Elle entre d’un coup en moi et continue à me prendre dans cette position. Encore une fois cette position est une position dans laquelle j’ai souvent pris Nina que ce soit dans une pénétration vaginale ou anale. En cette journée elle ne fait que me faire vivre ce qu’elle a vécu pendant des années. Moi je me sens de plus en plus faible à me faire défoncer de la sorte. Nina elle semble au summum de son énergie. Dans sa domination actuelle Nina ouvre les rideaux de la fenêtre tout en continuant de me sodomiser. Je n’ai même plus l’énergie de rouspéter et je me laisse prendre ainsi alors que nous sommes potentiellement à la vue de tous. Je sens Nina se tendre dans mon dos et trembler. Je pense qu’elle a eu un orgasme (ce qu’elle me confirmera plus tard). Elle arrête ses mouvements et finit par se retirer. J’ai les jambes qui flanchent. Nina m’aide à aller sur le canapé. Elle enlève son attirail et nous nous allongeons l’un contre l’autre. Exténué par nos ébats je m’endors dans ses bras.
A mon réveil je suis seul sur le canapé. J’entends Nina qui est dans la cuisine. Posé sur le canapé je vois le gode ceinture que Nina a acheté. Il est noir, de taille imposante comme je l’avais bien senti. A vue d’œil je dirais qu’il fait dans les 20 centimètres de long et 5 de large. Je me demande encore comment ce truc est rentré entièrement en moi. De l’autre côté un petit sexe courbé est prévu pour entrer dans le vagin de sa propriétaire. Voilà pourquoi Nina a eu un orgasme tout à l’heure. Je me lève et rejoins Nina dans la cuisine. Elle est juste vêtue d’un string. La vision est toujours aussi éblouissante. Aussitôt mon sexe réagit à cette image de rêve. Je me colle derrière elle et lui attrape les seins. Elle se retourne et m’embrasse alors que je caresse ses fesses. Elle me dit alors :
- Bien dormi le beau au bois dormant ?
- Comme une souche.
- Ça fatigue de se faire prendre sauvagement.
- C’est clair. Toi au contraire tu as l’air en pleine forme
- Oh oui. J’avais toujours voulu savoir ce que ça faisait d’être un homme et je dois avouer que ça m’a plu. Ça va je ne t’ai pas trop fait mal ?
- J’ai un peu mal au cul mais ça ira. Quand je vois l’objet je me dis que ça pourrait être pire
- Je t’ai toujours dit qu’entre ta bouche à pipe et ton joli petit cul tu pourrais faire le bonheur de pleins de mecs
- Nous allons en rester à nos jeux
- Ce n’est pas ce que dit ton corps me dit-elle en touchant mon gland humide
- Après la journée que nous avons passé un documentaire animalier me ferait bander
- En tout cas je vois que tu as bien récupéré
- Oh oui j’avais besoin de dormir
- Tant mieux car je veux que tu sois en forme pour la suite
- Ah car il y a une suite ?
- Oui la journée n’est pas finie.
- Et c’est quoi alors la suite ?
- D'abord nous mangeons tranquillement et ensuite nous sortons
- Tu voudrais aller où ?
- Cela fait longtemps que nous ne sommes pas allés danser
- C’est vrai. Et tu voudrais aller où ?
- Nous sommes trop vieux maintenant pour aller au Moulin. Mais nous pourrions aller au Borsalino
- Je n’y suis jamais allé alors pourquoi pas.
Nous finissons de préparer à manger ensemble puis nous mangeons et regardons un film tranquillement. Enfin nous allons nous préparer. Nina continue de mener sa journée comme elle l’entend et décide de mes vêtements : elle reprend le même pantalon que dans la journée ainsi que le même string mais cette fois avec une chemise rouge un peu transparente et près du corps. Je suis hyper sexy dans cette tenue. Je m’attends à me faire draguer par des cougars en chaleur. De son côté Nina porte une robe très moulante rouge et noire qui s’arrête au-dessous des genoux. Elle a gardé le string noir qu’elle portait cet après-midi et ne met pas de soutien-gorge. Mais avec cette robe cela ne se voit pas trop.
Nous arrivons au bar / discothèque et nous trouvons une banquette pour nous installer. Assez rapidement nous finissons sur la piste de danse. Après tout c’est pour cela que nous sommes venus. Nous dansons tout en laissant traîner nos mains sur nos corps notamment nos fesses. En regardant autour de nous beaucoup de regards sont tournés vers nous. Je ne m’en soucis pas et nous continuons de danser. Puis nous prenons une pause et allons prendre un verre. Puis le DJ passe une musique que j’adore. Nina est un peu fatiguée et je pars donc seul sur le dancefloor. Au bout d’un moment je sens des mains sur mes fesses. Je me dis que Nina a finalement changé d’avis. Je me retourne et à ma grande surprise ce n’est pas Nina. C’est une jeune femme avec des formes très généreuses particulièrement mis en valeur dans un pantalon très serré et un débardeur très échancré. Son visage me dit quelque chose mais je n’arrive pas à remettre qui. Je lui dis :
- Excusez-moi c’est très flatteur mais je suis marié. Elle est juste là assise
- Je sais c’est elle qui m’a dit que je pouvais
- Pardon ?
- Oui elle m’a dit que je pouvais tout caresser sauf devant
- Ah bon ? Et nous nous connaissons ?
- Nous nous rencontrés ce midi au restaurant
- La serveuse qui m’a mis la main aux fesses !
- C’est moi !
- Désolé mais dans ces vêtements je ne vous avais pas reconnu
- Pas de soucis. Je m’appelle Caroline
- Lucas. Excusez-moi je reviens
Je me dirige vers Nina et passe devant un miroir. Je me regarde et vois que selon le jeu de lumière on voit parfois en transparence que je porte un string. Je comprends maintenant les nombreux regards en ma direction. Mais bon après tout nous sommes là pour s’amuser. Je me penche au-dessus de Nina et lui dit :
- Alors comme ça tu donnes l’autorisation de me caresser ?
- C’est vrai. Ne me dis pas qu’elle ne te plaît pas
- Si, elle a ce qu’il faut là où il faut
- Alors profite danse avec elle comme tu danserais avec moi. Mais s’il te plaît ne l’embrasse pas
- Ça t’excite de me voir entre les mains d’une autre personne ?
- Un peu. Surtout quand je sais qu’il ne se passera rien
- Tu peux me faire confiance. Tu es la seule qui compte pour moi et je ne ferais jamais rien derrière ton dos
- Je le sais. C’est pour ça que tu peux danser avec elle
Je retourne sur la piste de danse et bouge au rythme de la musique. Après un interlude années 80 le DJ enchaîne avec un zouk. Je regarde vers Nina qui me donne son approbation de la tête. Je prends Caroline par la taille et commence à onduler contre elle. Elle pose sa main sur mes fesses et caresse mon string à travers mon pantalon. Je pose également ma main sur le haut de ses fesses et sens distinctement les contours d’un string. Sa grosse poitrine est collée contre mon torse. Je vois ses seins prêts à jaillir de leur prison de tissu. Ça y est je bande. Caroline le sent et me sourit. Je finis la chanson tant bien que mal et nous allons nous asseoir avec Nina. J’embrasse Nina et elle pose sa main sur mon sexe. Moi je pose la mienne sur sa cuisse. Il me démange de remonter mais je me tiens sage. Nous discutons un peu puis je repars danser.
De nouveau je sens des mains sur mes fesses. Je me demande s’il s’agit de Nina ou de Caroline. Je colle mes fesses contre son bassin et sens quelque chose d’inhabituel. Je me retourne et en fait il s’agit d’un homme. Ce que j’ai senti était une érection. Je m’offusque et pars sans dire un mot. En marchant je regarde vers Nina qui est morte de rire. A peine j’arrive elle me dit :
- Alors on attire les beaux males ?
- Arrête ça ne me fait pas rire
- Pourtant ça l'est. Tu as dû lui plaire avec ton petit cul
- Sans doute vu l’érection qu’il avait
- Ah ouais ? dit Nina en éclatant encore plus de rire.
- Ce n’est pas drôle je t’ai dit
- Je t’ai toujours dit que tu devais plaire aux hommes. Nous en avons la preuve maintenant.
- C’est bon ça suffit nous rentrons
- Déjà ?
- Oui toi tu es fatiguée et moi vexé donc nous n’avons plus rien à faire ici
Nous disons au revoir à Caroline mais j’ai le sentiment que je la retrouverais bientôt dans notre lit. En effet vu la proximité complice avec Nina je ne serais pas surpris qu’elle soit intégrée dans nos jeux sexuels. Nous partons donc. Durant le trajet je suis fermé. Nina tente de me dérider :
- Allez c’est bon ce n’est pas grave
- Pour toi peut être. Mais j’ai eu un sexe en érection contre mes fesses
- Tu as bien eu plusieurs sexes dans tes fesses aujourd’hui et ça ne t’a pas déplu
- Ce n’est pas pareil c’était toi au bout
- Tu sais tu pourrais y prendre du plaisir. Il n’y a rien de mieux qu’un sexe en chair et en os. D’ailleurs moi cela m’a bien excitée cette situation me dit-elle en dirigeant ma main entre ses cuisses écartées
- En effet je vois ça lui dis-je en glissant un doigt dans sa fente inondée
- Moi j’ai passé une super soirée en tout cas. Et j’espère qu’elle n’est pas finie…
- Ah ça non lui dis-je en sortant mon pénis dressé de mon pantalon
Nina l’attrape d’une main et se caresse de l’autre. Nous arrivons à la maison. Je me gare et Nina se détache. Elle se met à quatre pattes sur le siège et engouffre mon sexe dans sa bouche. Enfin les premières douceurs de la journée. Je lui remonte sa robe sur son dos pour mater son cul puis finis carrément par lui enlever sa robe. La voici en string dans la voiture en train de me sucer. Elle a toujours une main sur la base de mon pénis et sur mes testicules et l’autre dans son string. Si quelqu’un passait à ce moment-là il serait instantanément excité par cette vision divine. Je n’en peux plus j’ai besoin de la prendre.
Je sors de la voiture tout en gardant sa robe et fais le tour pour lui ouvrir la portière. Elle sort et se retrouve juste vêtue d’un string dans la rue. Je la retourne et colle mon visage à ses fesses. Elle pose le pied sur le siège afin de me donner un meilleur accès et je plonge ma langue sur son vagin. Je rentre également deux doigts en elle mais rapidement je vois que Nina a froid en cette fraîche nuit d’avril. Je lui dis que nous rentrons et elle part vers la maison juste en string-talons. L’image est surréaliste.
Nous rentrons nous mettre au chaud et aussitôt arrivés Nina se met en levrette sur le canapé. Elle sait exactement ce qu’elle veut et ça tombe bien je veux la même chose. Je baisse mon pantalon, sors mon sexe de mon string et entre d’un coup sans plus de préparation. Elle gémit car elle s’attendait sans doute à quelques préliminaires. Mais trop excité par cette journée je veux la posséder immédiatement. Je donne immédiatement du rythme car je sais que je ne vais pas tenir longtemps. Ses fesses font des vagues hautement excitantes à chaque pénétration. Je ne me laisserais jamais de ce spectacle. Puis je vois le gode-ceinture posé sur le canapé à côté de nous. Je l’attrape tout en continuant de prendre Nina et l’enduit de lubrifiant. Je le présente devant l’anus de Nina et l’enfonce doucement. Elle proteste disant qu’il est trop gros mais j’insiste car si j’ai pu le faire entrer dans mon cul, elle le peut aussi. Je le rentre petit à petit puis le ressors pour rajouter du lubrifiant. Je reviens à la charge mais Nina me demande d’arrêter. Je décide alors de changer et c’est mon sexe que je mets dans son rectum et le gode dans son vagin. Dans ce sens-là tout rentre plus facilement. Mais dans ce conduit plus serré je sens que je ne tiens plus. J’arrête donc de bouger et ne fais des mouvements qu’avec le sexe en plastique tout en restant en elle. J’arrive ainsi à faire bien monter le plaisir en Nina. Quand je sens qu’elle est proche de l’orgasme je décide de changer de position.
Elle s’allonge sur le dos. Je la pénètre d’abord avec le gode. Une fois bien au fond je place mon sexe dans son petit trou. Nina attrape le jouet et se masturbe à son rythme. De mon côté je la sodomise tant que je peux. Je sens que je vais craquer. Je sors avant de jouir. Je me dresse au-dessus de Nina. Elle attrape mon sexe d’une main tout en continuant de se prendre de l’autre. Elle me branle énergiquement jusqu’à explosion. J’éjacule sur Nina par gros jets. Son ventre et ses seins sont recouverts de sperme. Un jet a même atteint son menton et son nez. Nina finit par jouir également.
Je me lève pour récupérer des mouchoirs et essuyer ma semence. Nina se remet de ses émotions. Je me couche à côté d’elle et l’embrasse. Elle a un goût de sperme mais cela ne me rebute pas. Je caresse son beau corps et dis :
- Quelle journée !
- C’est clair. Tu as pris du plaisir au moins ?
- Je pense que tu l’as bien vu… et reçu
- Oui il y en avait plus que d’habitude
- Après une journée d’excitation tu m’étonnes… Et toi la journée s’est déroulée comme tu l’espérais ?
- Encore mieux. J’ai mouillé toute la journée. Juste je n’ai pas trop aimé le gros gode dans le cul.
- Pourtant tu me l’as bien mis dans le mien
- Oui mais tu as peut-être plus un cul à bite que moi. En revanche j’ai aimé l’avoir dans le vagin.
- Nous pourrons refaire ça maintenant que nous sommes équipés
- Quand tu veux.
- Nous allons déjà se remettre de notre folie. Allons-nous coucher
- Tu as raison. Je passe à la douche et j’arrive…
J’attends que Nina revienne et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très excitant. Comme tous tes récits. Bravo.
Sublime smilee enfin une femme prend le contrôle et l’homme nous fait part de son ressenti pour les différentes positions et son exposition aux éventuels voyeurs et prend du plaisir très beau texte