Réapprendre à jouir
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Réapprendre à jouir
Eliane, ingénieur en béton armé, travaillant surtout dans les grands travaux; à l'orée de la cinquantaine elle était souvent la seule femme dans les réunions de chantier. Elle avait pris l'habitude, pour s'imposer dans ce monde d'hommes, d'avoir des attitudes dominantes. Puis elle avait transféré cette façon d'être à sa vie de tous les jours; ainsi elle était aussi exigeante lorsqu'elle était au restaurant ou chez le coiffeur.
Ce qui fait qu'elle avait acquis une réputation déplorable, aussi lorsqu'elle garait sa voiture sur un chantier de travaux publics, de l'architecte au dernier des ouvriers, tout le monde était sur la défensive.
Ce chantier sur l'autoroute concernait ce que l'on appelle "un ouvrage d'art", et là, plus que d'habitude, elle était insupportable. Par ailleurs elle fréquentait un cercle philosophique, où, hélas elle transposait sa façon d'être. De ce fait elle était très isolée.
Elle portait un intérêt particulier sur un membre du cercle qui était intellectuellement très brillant et impressionnait tous les membres du cercle. Il était membre de plusieurs cercles philosophiques dans lesquels il bénéficiait de la même réputation.
Divorcée depuis des années, elle avait décidé de séduire cet homme, mais elle n'avait aucune compétence pour se mettre en valeur. Elle l'avait invité dans un salon de thé d'Aix en Provence pour tenter de le séduire.
Mais là, la situation s'inversa, elle se mit en situation de soumission, mais ne savait pas du tout comment se comporter. Assez vite il se rendit compte de la chose et lui dit: "Ne seriez vous pas en train d'essayer de me séduire?" Elle se mit à balbutier, mais avoua qu'effectivement c'était son but. Il la conduisit dans un hôtel à proximité, la fit se déshabiller alors qu'il restait intégralement vêtu, assis dans un fauteuil, il lui donna l'ordre de venir l'embrasser,ce qu'elle fit avec ardeur. Il la fit s'allonger sur le lit et lui prodigua un cunnilingus qui lui procura un premier orgasme. Elle était subjuguée, cela faisait des années qu'elle n'avait pas eu la moindre relation sexuelle; puis il la fit se mettre sur le ventre, lui massant les fesses, et progressivement lui caressant l'anus avec les doigts, puis l'intromission d'une phalange, puis de deux doigts, ceci facilité par une crème lubrifiante. Il la fit mettre à quatre pattes et elle reçut une double pénétration, le phallus dans le vagin et deux doigts dans l'anus. Elle eut un nouvel orgasme, encore plus important que le premier. Elle se retourna sur le dos, il s'allongea sur elle, l'embrassa à pleine bouche et l'informa qu'un employé de l'hôtel allait leur apporter une collation, et qu'elle ne devait pas bouger.
Elle eut le temps de dire "mais"; le regard qu'il lui jeta la fit taire. Et lorsque l'employé se présenta en prévenant "service!", elle resta étendue sur le lit, entièrement nue, les cuisses écartées. L'homme fit comme s'il n'avait rien vu, déposa son plateau et ressortit. Elle se mit à pleurer en disant "je suis morte de honte".
Il lui ordonna de venir lui faire une fellation, il s'était réinstallé dans le fauteuil, à quatre pattes elle lui prodigua une fellation, de façon un peu maladroite, même du temps de son mariage ce n'était pas une pratique habituelle. Néanmoins elle fut enchantée de sentir le sexe durcir et prendre du volume dans sa bouche. Et lorsqu'il lui posa une main sur la nuque, elle sut qu'il allait éjaculer et qu'elle n'avait pas d'autre option que d'avaler tout le sperme qu'il éjaculerait. Elle leva les yeux vers lui, voulu lui dire "je t'aime" mais il la fit taire en l'embrassant.
Il alla s'étendre sur le lit, sur le dos, en lui ordonnant de venir se mettre à califourchon au dessus de son visage; ce qu'elle fit, il en profita pour lui glisser deux doigts de la main droite dans le vagin et deux doigts de la main gauche dans l'anus. Elle vécu un nouvel orgasme, encore supérieur aux précédents.
Elle lui dit "tu me rends folle!" et il lui répondit "ce sont ces orgasmes qui te rendent folle, mais ce n'est qu'un début, tu vas me suivre sur les chemins du vice et de la débauche".
Et c'est ainsi que l'après midi même elle se fit faire une épilation intégrale dans un salon de beauté, qu'elle fit l'acquisition de vêtements et de lingerie qu'il choisit pour elle.
"Votre problème voyez vous, n'est qu'un manque d'humilité, je vais vous aider à devenir humble", c'était la seule phrase explicative qu'il lui avait donné, elle, de son côté n'avait qu'une obsession, de jouir à nouveau.
Dès leur retour dans la chambre d'hôtel il l'avait faite entièrement se déshabiller. Il l'avait baisée une première fois en levrette, elle avait eu un orgasme énorme; puis il l'avait faite s'allonger sur le dos, il s'était mis à genoux entre ses cuisses, lui avait demandé d'introduire elle même une partie de son phallus entre ses grandes lèvres, puis de s'assoir en le tenant par le cou, se faisant le sexe s'était entièrement introduit dans le vagin; follement excitée elle avait poursuivi la pénétration en se baisant elle-même en se tenant aux épaules de son partenaire, elle eut un orgasme crucial qui la fit hurler son plaisir. A la fin de ce cinquième orgasme son cerveau ne fonctionnait plus, elle n'était plus qu'une chose avide de plaisir et de sexe.
Il la fit se vêtir avec les vêtements achetés le jour même: une paire de bas coutures auto fixant, un soutien gorge seins nus, un chemisier noir quasi transparent, une jupe en simili cuir hyper moulante dotée d'une fermeture éclair sur l'intégralité de la face avant avec l'ouverture par le bas, et un petit boléro qui permettait le port du chemisier transparent en public.
Elle ne raisonnait plus, elle était cul nu sous cette jupe, ses mamelons et ses aréoles étaient visibles au dessus du soutien gorge, seuls les pans du boléro les dissimulaient par moment. Elle tenta de dire "je ne veux pas sortir comme ça", il la fit s'approcher, l'embrassa profondément en lui caressant les fesses, et lui dit "donnez moi accés à votre sexe!" Elle se pencha en avant et remonta le zip jusqu'au niveau de son sexe et écarta les pieds, il reprit son baiser et lui introduisit deux doigts dans le vagin et se mit à la masturber. Elle eut un bel orgasme, elle était incapable de penser.
Il la conduisit, ainsi vêtue, jusqu'à un sex-shop, elle se rendait compte que les regards des hommes étaient fixés sur ses fesses.
Arrêtés à un passage piéton en attendant le passage elle sentit qu'un homme lui caressait les fesses, normalement elle aurait dû se rebeller, mais là elle se contentait d'être excitée par la situation. Son sexe était trempé de cyprine. Arrivés dans le sex-shop il lui dit "votre sexe n'est pas accessible", docilement elle défit sa jupe jusqu'à son pubis. A chaque pas on voyait sa peau nue au-dessus de la lisière des bas.
Il lui pinça la pointe des seins, les faisant s'ériger et pointer sous le fin tissu du chemisier. Il l'embrassa de nouveau à pleine bouche et lui caressa le clitoris d'un doigt; elle s'attendait à un nouvel orgasme, il la laissa sur une phase plateau. Elle aurait voulu que n'importe qui la fasse jouir, elle était disponible pour tout évènement, avec n'importe qui.
Il la conduisit jusqu'au rayon des plugs, il lui indiqua la vitrine des petits plugs en forme de bijoux et il lui dit "choisissez la couleur, nous allons en prendre un", elle n'avait même pas l'intention de protester; elle choisit la couleur rouge, il fit signe au vendeur qui s'approcha, il lui dit "posez ce plug dans son anus, nous allons le prendre". Le vendeur hésita à comprendre, ce fut elle qui prit l'initiative en quittant sa jupe. Elle était donc cul nu au milieu de la pièce, deux clients la regardaient en se masturbant de façon visible.
Le vendeur nettoya le plug avec un produit désinfectant. Elle se pencha en avant en écartant les pieds, il enfonça le plug une fois, le retira, l'introduisit à nouveau, le retira, elle se mit à jouir très rapidement.
Les deux clients s'étaient rapprochés; il leur tendit des préservatifs, sans hésiter le plus proche s'équipa et la pénétra ainsi, elle s'appuyait des deux mains contre la vitrine, elle jouissait sans discontinuer. Les deux clients se succédèrent tandis qu'elle faisait une fellation au vendeur, penchée en avant.
Le vendeur éjacula dans sa bouche, elle recracha le sperme dans un mouchoir de papier.
Il la conduisit vers la salle de cinéma, c'est lui qui portait la jupe sur son bras, il la fit s'assoir à la première rangée, rapidement un des spectateurs vint à quatre pattes pour lui prodiguer un cunnilingus; elle poursuivait le même orgasme. Un nombre indéterminé de spectateurs se succédèrent entre ses cuisses pour lui sucer le clitoris.
Lorsqu'il lui tendit la jupe pour qu'elle la remette elle n'était plus qu'un automate.
Il la raccompagna chez elle; écroulée sur son lit elle n'avait plus le moindre désir, elle était une chose inerte.
Au petit matin un rayon de soleil pénétra dans sa chambre, elle glissa une main jusqu'à son pubis. Elle avait envie de jouir!
Ce qui fait qu'elle avait acquis une réputation déplorable, aussi lorsqu'elle garait sa voiture sur un chantier de travaux publics, de l'architecte au dernier des ouvriers, tout le monde était sur la défensive.
Ce chantier sur l'autoroute concernait ce que l'on appelle "un ouvrage d'art", et là, plus que d'habitude, elle était insupportable. Par ailleurs elle fréquentait un cercle philosophique, où, hélas elle transposait sa façon d'être. De ce fait elle était très isolée.
Elle portait un intérêt particulier sur un membre du cercle qui était intellectuellement très brillant et impressionnait tous les membres du cercle. Il était membre de plusieurs cercles philosophiques dans lesquels il bénéficiait de la même réputation.
Divorcée depuis des années, elle avait décidé de séduire cet homme, mais elle n'avait aucune compétence pour se mettre en valeur. Elle l'avait invité dans un salon de thé d'Aix en Provence pour tenter de le séduire.
Mais là, la situation s'inversa, elle se mit en situation de soumission, mais ne savait pas du tout comment se comporter. Assez vite il se rendit compte de la chose et lui dit: "Ne seriez vous pas en train d'essayer de me séduire?" Elle se mit à balbutier, mais avoua qu'effectivement c'était son but. Il la conduisit dans un hôtel à proximité, la fit se déshabiller alors qu'il restait intégralement vêtu, assis dans un fauteuil, il lui donna l'ordre de venir l'embrasser,ce qu'elle fit avec ardeur. Il la fit s'allonger sur le lit et lui prodigua un cunnilingus qui lui procura un premier orgasme. Elle était subjuguée, cela faisait des années qu'elle n'avait pas eu la moindre relation sexuelle; puis il la fit se mettre sur le ventre, lui massant les fesses, et progressivement lui caressant l'anus avec les doigts, puis l'intromission d'une phalange, puis de deux doigts, ceci facilité par une crème lubrifiante. Il la fit mettre à quatre pattes et elle reçut une double pénétration, le phallus dans le vagin et deux doigts dans l'anus. Elle eut un nouvel orgasme, encore plus important que le premier. Elle se retourna sur le dos, il s'allongea sur elle, l'embrassa à pleine bouche et l'informa qu'un employé de l'hôtel allait leur apporter une collation, et qu'elle ne devait pas bouger.
Elle eut le temps de dire "mais"; le regard qu'il lui jeta la fit taire. Et lorsque l'employé se présenta en prévenant "service!", elle resta étendue sur le lit, entièrement nue, les cuisses écartées. L'homme fit comme s'il n'avait rien vu, déposa son plateau et ressortit. Elle se mit à pleurer en disant "je suis morte de honte".
Il lui ordonna de venir lui faire une fellation, il s'était réinstallé dans le fauteuil, à quatre pattes elle lui prodigua une fellation, de façon un peu maladroite, même du temps de son mariage ce n'était pas une pratique habituelle. Néanmoins elle fut enchantée de sentir le sexe durcir et prendre du volume dans sa bouche. Et lorsqu'il lui posa une main sur la nuque, elle sut qu'il allait éjaculer et qu'elle n'avait pas d'autre option que d'avaler tout le sperme qu'il éjaculerait. Elle leva les yeux vers lui, voulu lui dire "je t'aime" mais il la fit taire en l'embrassant.
Il alla s'étendre sur le lit, sur le dos, en lui ordonnant de venir se mettre à califourchon au dessus de son visage; ce qu'elle fit, il en profita pour lui glisser deux doigts de la main droite dans le vagin et deux doigts de la main gauche dans l'anus. Elle vécu un nouvel orgasme, encore supérieur aux précédents.
Elle lui dit "tu me rends folle!" et il lui répondit "ce sont ces orgasmes qui te rendent folle, mais ce n'est qu'un début, tu vas me suivre sur les chemins du vice et de la débauche".
Et c'est ainsi que l'après midi même elle se fit faire une épilation intégrale dans un salon de beauté, qu'elle fit l'acquisition de vêtements et de lingerie qu'il choisit pour elle.
"Votre problème voyez vous, n'est qu'un manque d'humilité, je vais vous aider à devenir humble", c'était la seule phrase explicative qu'il lui avait donné, elle, de son côté n'avait qu'une obsession, de jouir à nouveau.
Dès leur retour dans la chambre d'hôtel il l'avait faite entièrement se déshabiller. Il l'avait baisée une première fois en levrette, elle avait eu un orgasme énorme; puis il l'avait faite s'allonger sur le dos, il s'était mis à genoux entre ses cuisses, lui avait demandé d'introduire elle même une partie de son phallus entre ses grandes lèvres, puis de s'assoir en le tenant par le cou, se faisant le sexe s'était entièrement introduit dans le vagin; follement excitée elle avait poursuivi la pénétration en se baisant elle-même en se tenant aux épaules de son partenaire, elle eut un orgasme crucial qui la fit hurler son plaisir. A la fin de ce cinquième orgasme son cerveau ne fonctionnait plus, elle n'était plus qu'une chose avide de plaisir et de sexe.
Il la fit se vêtir avec les vêtements achetés le jour même: une paire de bas coutures auto fixant, un soutien gorge seins nus, un chemisier noir quasi transparent, une jupe en simili cuir hyper moulante dotée d'une fermeture éclair sur l'intégralité de la face avant avec l'ouverture par le bas, et un petit boléro qui permettait le port du chemisier transparent en public.
Elle ne raisonnait plus, elle était cul nu sous cette jupe, ses mamelons et ses aréoles étaient visibles au dessus du soutien gorge, seuls les pans du boléro les dissimulaient par moment. Elle tenta de dire "je ne veux pas sortir comme ça", il la fit s'approcher, l'embrassa profondément en lui caressant les fesses, et lui dit "donnez moi accés à votre sexe!" Elle se pencha en avant et remonta le zip jusqu'au niveau de son sexe et écarta les pieds, il reprit son baiser et lui introduisit deux doigts dans le vagin et se mit à la masturber. Elle eut un bel orgasme, elle était incapable de penser.
Il la conduisit, ainsi vêtue, jusqu'à un sex-shop, elle se rendait compte que les regards des hommes étaient fixés sur ses fesses.
Arrêtés à un passage piéton en attendant le passage elle sentit qu'un homme lui caressait les fesses, normalement elle aurait dû se rebeller, mais là elle se contentait d'être excitée par la situation. Son sexe était trempé de cyprine. Arrivés dans le sex-shop il lui dit "votre sexe n'est pas accessible", docilement elle défit sa jupe jusqu'à son pubis. A chaque pas on voyait sa peau nue au-dessus de la lisière des bas.
Il lui pinça la pointe des seins, les faisant s'ériger et pointer sous le fin tissu du chemisier. Il l'embrassa de nouveau à pleine bouche et lui caressa le clitoris d'un doigt; elle s'attendait à un nouvel orgasme, il la laissa sur une phase plateau. Elle aurait voulu que n'importe qui la fasse jouir, elle était disponible pour tout évènement, avec n'importe qui.
Il la conduisit jusqu'au rayon des plugs, il lui indiqua la vitrine des petits plugs en forme de bijoux et il lui dit "choisissez la couleur, nous allons en prendre un", elle n'avait même pas l'intention de protester; elle choisit la couleur rouge, il fit signe au vendeur qui s'approcha, il lui dit "posez ce plug dans son anus, nous allons le prendre". Le vendeur hésita à comprendre, ce fut elle qui prit l'initiative en quittant sa jupe. Elle était donc cul nu au milieu de la pièce, deux clients la regardaient en se masturbant de façon visible.
Le vendeur nettoya le plug avec un produit désinfectant. Elle se pencha en avant en écartant les pieds, il enfonça le plug une fois, le retira, l'introduisit à nouveau, le retira, elle se mit à jouir très rapidement.
Les deux clients s'étaient rapprochés; il leur tendit des préservatifs, sans hésiter le plus proche s'équipa et la pénétra ainsi, elle s'appuyait des deux mains contre la vitrine, elle jouissait sans discontinuer. Les deux clients se succédèrent tandis qu'elle faisait une fellation au vendeur, penchée en avant.
Le vendeur éjacula dans sa bouche, elle recracha le sperme dans un mouchoir de papier.
Il la conduisit vers la salle de cinéma, c'est lui qui portait la jupe sur son bras, il la fit s'assoir à la première rangée, rapidement un des spectateurs vint à quatre pattes pour lui prodiguer un cunnilingus; elle poursuivait le même orgasme. Un nombre indéterminé de spectateurs se succédèrent entre ses cuisses pour lui sucer le clitoris.
Lorsqu'il lui tendit la jupe pour qu'elle la remette elle n'était plus qu'un automate.
Il la raccompagna chez elle; écroulée sur son lit elle n'avait plus le moindre désir, elle était une chose inerte.
Au petit matin un rayon de soleil pénétra dans sa chambre, elle glissa une main jusqu'à son pubis. Elle avait envie de jouir!
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