Réapprendre l'amour

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Réapprendre l'amour Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(7.0 / 10)

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Réapprendre l'amour
J’exerce un drôle de métier à Lausanne, en Suisse. Il y a là bas un établissement ouvert aux handicapés. La plupart sont des hommes accidentés qui ne savent plus comment baiser ou simplement avoir du plaisir. Ma partie est de m’occuper des femmes qui comme que les hommes ont les mêmes difficultés: la seule différence est qu’elles n’osent pas en faire part.
Les différences de législations permettent aux seules citoyens suisses de calmer leurs besoins. Les candidates viennent l’après midi, jusqu’à 10 heures le soir. La plus part des femmes ont entre 18 et 35 ans, c’est-à-dire en pleine possession de leur capacité sexuelles. Quand je reçois une de ces femmes, je dois savoir quels sortes d’accident elles ont eus. La plus part du temps elles sont encore sous le choc, la séance commence par une bonne crise de pleur. Je les rassure toujours, et petit à petit je les rassurent. Je les laissent toujours exprimer leurs désirs et besoins. Je les rassure en leur caressant le visage. La plus part mettent à bas leur pudeur pour me dire franchement qu’elle était leur vie d’avant. La plus part me disent qu’elles sont ou mariées ou ont un petit amis (les jeunes surtout) et que ce qu’il leur manque est de jouir. Elles demandent ainsi de pouvoir et satisfaire leur désirs et surcout de satisfaire leur compagnons. Comme elles vivent dans un fauteuil roulant, évidemment qu’elles ont des doutes sur le capacité à jouir elle-même. Pour donner des orgasmes, elles savent toutes masturber leur conjoint, souvent celui-ci préfère se satisfaire seul: elle sont devenues maladroites.
Jugez de ma position, je dois souvent les baiser alors que bien souvent, physiquement elles ne me plaisent pas toutes, alors que certaines sont réellement jolies et certaine même encore sexy. Après tout c’est mon métier.
Je suis obligé de les coucher, de les déshabiller: là elles ont honte de se montrer. Je le embrasse toujours sur les joues pour commencer, souvent mes lèvres dérivent vers les leurs. L’instinct certainement leur fait accepter ma langue. Pour moi le principal est déjà atteint. Je sais qu’elles vont accepter la phase suivante: leur redonner les caresses sur les seins. C’est pour moi un réel plaisir de les pelloter. Je pense beaucoup de temps sur leur poitrine: je caresse l’ensemble des seins pour me focaliser sur les tétons. Je les pince légèrement, ensuite je les sucent. Quand je les sens durcir, la partie est gagnée: Leur facultés d’érotismes est intact. Je laisse ma bouche sur la poitrine, ma main descend ensuite vers le sexe, toujours mal entretenu. Je commence toujours par les endroit où je sais qu’elles sentent normalement. En principe le niveau le plus haut d’insensibilité est sous les fesses: tout ce qui est plus haut convient. Quelques rares fois, c’est au niveau des mi cuisse.
En tout les cas, je vérifie en commençant très bas: quand j’arrive vers les fesses, là je sais que je pourrais aller bien plus loin. Je cherche d’abord le clitoris, puis je descends vers l’anus, surtout si elles m’ont avoué qu’elle aimait la sodomie.
J’arrive à les faire jouir, pour la première fois depuis leur accident. J’aime leur donner ce plaisir rare comme le premier orgasme qu’elles ont pu avoir. Je n’arrête jamais à ce stade: je les doigte toujours pur les faine jouir: elles ne s’en lassent jamais. Bien sur elles ne peuvent manifester qu’avec leurs mots à elles : merci, je jouis, encore, bref presque toujours leur anciens mot d’amour physique.
Je ne commence à bander qu’à de moment là. Je me déshabille pour qu’enfin elle voient un homme nu et surtout une bite bandée. Certaine me demande de leur mettre ma bite dans la bouche: je refuse toujours à ce moment là de mon intervention.
J’écarte leurs pauvres jambes pour l’y mettre. La bout de ma bite touche maintenant leur féminité. Elle sentent enfin une queue sur leur chattes. Je ne les pénètre jamais aussitôt: je tiens ma bite avec la main pour la promener sur leurs lèvres. Je les fait languir un peu pour que leur désir soit au maximum. Elles me demande de la leur mettre, elles en ont toutes besoin.
Dès cet instant oubli leur handicap, elles sont des femmes comme les autres. Je les baisent toujours comme si elles étaient « normales ». Je sais que je vais prendre mon pied. Je sens autour de ma queue leur vagin bien vivant. Je sens surtout leur orgasme, bien réel. Je n’arrête pas de les baiser. Je sais que le jeune auquel elles sont astreinte depuis longtempsva le faire jouir plusieurs fois. Je le lime longtemps: j’aime sentir leurs jouissances autour de ma bite.
La plus part du temps quand je leur demande si elle veulent une sodomie, , elles acceptent. Je ne pensais jamais à mes début qu’autan de femmes aimaient se faire mettre pas le cul: je satisfait toujours ce besoin. Mon regret est que je ne peux jamais les prendre en levrette, ce qu’elle voudraient sans doute. Je me contente de passer d’un orifice à l’autre. Toutes celles que j’encule ont mal quand le la leur met: c’est normal, elle n’ont rien eu dans le cul depuis longtemps.
Je la leur met toujours à fond. Ce n’est que qu’en je commence à aller et venir, qu’elles commence à réagir: elle me disent de continuer, qu’elle jouissent.
Je ne jouis pas en les enculant, non pas que je n’ai as envie, mais je veux surtout les « finir » en beauté. Je pose ma langue sur le sexe et je lèche partout, surtout le clitoris. J’arrête à ce moment pour venir me mettre les jambes vers leurs épaules. Je leur donne ma pine pour qu’elle la suce: la plus part savent bien comment suer: elles me mèche partout où c’est possible. Je les prévient toujours avant que je jouisse: certaine aime le sperme dans la bouche alors que d’autre n’en veulent pas. Je reviens enfin les sucer pour qu’elles jouisse tune dernière fois. Je les rhabille ensuite: elle me demande toutes un dernier baiser.
Je suis satisfait quand je sais qu’elles ont retrouvé une vie sexuelle presque normale.

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