Recadrage
Récit érotique écrit par Patricia2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Recadrage
Lorsque je retournais chez Pierre, un accueil glacial m’y attendait :
- J’ai appris que tu te caches les seins et la chatte lorsque tu es mise nue, et aussi qu’il faut te menacer de représailles pour que tu suces correctement. (je compris tout de suite a quoi Pierre faisait allusion)
Je te confie à des hommes pour ton bien ton plaisir et tu fais la mijaurée, lorsque des hommes te font l’honneur de te laisser les sucer, tu t’appliques
Il me gifla, retira ou plutôt déchira mon chemisier en faisant sauter les boutons, m’ordonna de retirer ma jupe, ce que je fis rapidement, me pris par le collier, et, avec brutalité m’emmena dans la chambre
- Mets toi a quatre pattes sur le lit, la chatte en l’air et la tête en bas, cuisses écartées et bien cambrée
Je ne me fis pas prier, j’entendis le fouet, puis la ou plutôt sentis les douleurs, il me fouettait de bon cœur, ce n’était pas pour mon plaisir, mais pour mon dressage.
Le fouet cessa, ce fut la cravache qui prit le relais
Je me voyais comme si j’étais sortie de mon corps, Patricia la bourge sophistiquée, la croupe en l’air, les mains derrière le dos, pas attachée et qui acceptait la cravache, mon corps tressautait a chaque coup, je remerciais mon tortionnaire de m’éduquer, je me cambrais le plus possible pour offrir ma croupe à la cravache et a Pierre, les brûlures étaient atroces. Mais, Pierre ne me faisait t’il pas vivre ce dont j’avais longtemps rêvé, désiré ?
je reconnaissais la pudeur mal placée dont j’avais fait preuve et mon manque d’application à la fellation.
Je comprenait alors pourquoi une femme soumise devait remercier celui qui la dressait des sévices qu’il lui infligeait, j’avais donc encore beaucoup de choses a apprendre, a découvrir, et Pierre était mon guide, celui qui savait ce qui était bon pour moi.
Il n’était pas mon maître, j’ai horreur de ce mot, je suis esclave de mes sens, de mes pulsions, et de rien d’autre ni de personne, si je me soumets, c’est parce que je le veux bien.
Pierre obtint mes larmes, la cravache cessa
Il m’appuyât sur les reins pour faire bien ressortir ma croupe et ainsi offrir ma chatte, et me pénétra d’une seule poussée
Il me prenait sans ménagement, en même temps me claquait une fesse d’une main avec vigueur (mes fesses déjà cuisantes), comme pour encourager une jument pendant la course, en me faisant la leçon
- une bourge comme toi ça obéi, ça se doit de donner satisfaction, ça s’abandonne, ça s’ouvre, offerte aux copains, comme une cochonne, car tu es une salope, reconnais le
- oui Pierre, je suis une salope, une cochonne j’aime que tu me prêtes, que tu me diriges (cela me fit penser qu’au début de notre rencontre Pierre m’avait dit que je devrais m’appeler Peguy la cochonne)
Le plaisir montait de plus en plus, prise de force, fessée en même temps me plaisait beaucoup, je sentais ma chatte s’ouvrir, s’ouvrir, je m’abandonnais mes doigts griffaient les draps, je hurlais dans un orgasme en remerciant Pierre.
Il me retourna, me mit son sexe dans la bouche, me tenant la tête il se servait de ma bouche comme d’un vagin, il explosa en moi, j’avalais et le remerciais.
Je ne puis que constater qu’après être fouettée, cravachée, mon plaisir était beaucoup plus intense à l’orgasme, je me donnais beaucoup plus, m’abandonnais sans retenues
Qui eu dit que peu de temps avoir été « contrainte » m’être mise dans les mains de Pierre, j’en étais arrivée là, j’éprouvais une addiction a me soumettre, je sais mon caractère, mes envies longtemps contenues m’y prédisposaient.
J’essaye de ne pas faire part seulement aux lecteurs de mon vécu sexuel, mais aussi de mes ressentis ; j’espère que cela de vous n’ennuiera pas.
Nous passâmes une partie de la journée, ensemble, Pierre m’a prise à nouveau, mais avec beaucoup de tendresse, me disant que ce soir Nadine allait venir pour tenir sa promesse : être fouettée entre les jambes, me disant que j’allais souffrir et me dit aussi que j’allais avoir une seconde chance de me racheter, il allait une nouvelle fois me prêter à des relations a lui et que cette fois, je devrais être parfaite
Ce qui me surpris : Nadine me manquait, je n’avait jamais éprouvé ce style de sentiments pour une femme, de plus une jeune femme. J’aimais qu’elle me martyrise, j’aimais souffrir pour elle comme pour Pierre, j’aimais qu’il et elle soit fière de moi par ma soumission, mon abandon, mon obéissance.
J’avais besoin de ses caresses, de sa façon de m’embrasser
Le soir arriva, Pierre m’installa nue à plat dos sur le lit, les membres solidement attachés aux montants du lit, les cuisses bien ouvertes et relevées avec un coussin sous les fesses, la chatte bien offerte. Il m’encourageât, me disant que je devais connaître cela, que je pourrais hurler tant que je voudrai et pleurer, mais tu verras, ensuite nous te dorloterons
Nadine arriva, j’étais impatiente et inquiète de la voir, elle dit bonjour a Pierre, pénétra dans la chambre :
- alors, prête la bourge ?
- Oui Nadine
- Tu vas bientôt me maudire
- Tu n’es pas obligée
- Non, vous n’êtes pas obligée
- Excusez moi Nadine vous n’êtes pas obligée
- Mais si, voyons, je dois tenir mes promesses, et je te promets qu’ensuite je prendrai soin de toi, tu es indécente Patricia dans cette position
Nadine qui pourrait être ma fille et qui allait me corriger, que je suis obligée de vouvoyer et elle qui me tutoie. Nadine qui me voit les cuisses ouvertes et qui me fait des réflexions, c’est humiliant
Je la vois aller prendre le fouet à un seul brin, très efficace spécial pour le dressage de femmes comme moi, je me raidis, elle me caresse avec lle manche du fouet puis décide de me mettre un bandeau, je vois Pierre en spectateur, puis le noir, je sens la fouet ou je devine caresser mon entre jambe, ma chatte, l’intérieur de mes cuisses, puis le sifflement et la douleur à l’intérieur de mes cuisses, elle prend bien soin de fouetter chaque cuisse en remontant vers ma chatte offerte
La douleur est intense, puis la chatte, c’est horrible, je hurle, j’essaie de bouger pour échapper aux brûlures, impossible, un second coup, puis un autre, je pleure, je sanglote, Nadine poursuit son œuvre
Elle s’arrête enfin, pose son instrument de torture, s’allonge près de moi, m’embrasse sur la bouche tout en me caressant le visage, la poitrine, puis me dit à l’oreille :
- Pierre m’a demandé de te punir de la sorte chaque fois que tu ne donneras pas satisfaction, en plus de la punition qu’il te donnera. Je t’avais aussi promis que tu aurais le droit de me donner un gage : veux tu que pierre me cravache aussi ?
- Non Nadine, j’aimerai plutôt que vous vous occupiez de moi
Nadine se déshabilla, me passait de la pommade sur mes cuisses, ma chatte, c’était bon cela étouffait le feu, elle me caressa longuement, Pierre s’était aussi déshabillé, il me caressait les seins, m’embrassait, Nadine s’occupait de mon clitoris, et dieu sait si elle savait y faire, je me cambrais j’étais toujours attachée je jouissais
La suite de la soirée a été de douceurs, ils ont pris soin de moi, Pierre a pris possession de Nadine, je n’étais pas jalouse, je ne puis expliquer le pourquoi, c’est la première fois que j’entendis Nadine « chanter » de plaisir
- J’ai appris que tu te caches les seins et la chatte lorsque tu es mise nue, et aussi qu’il faut te menacer de représailles pour que tu suces correctement. (je compris tout de suite a quoi Pierre faisait allusion)
Je te confie à des hommes pour ton bien ton plaisir et tu fais la mijaurée, lorsque des hommes te font l’honneur de te laisser les sucer, tu t’appliques
Il me gifla, retira ou plutôt déchira mon chemisier en faisant sauter les boutons, m’ordonna de retirer ma jupe, ce que je fis rapidement, me pris par le collier, et, avec brutalité m’emmena dans la chambre
- Mets toi a quatre pattes sur le lit, la chatte en l’air et la tête en bas, cuisses écartées et bien cambrée
Je ne me fis pas prier, j’entendis le fouet, puis la ou plutôt sentis les douleurs, il me fouettait de bon cœur, ce n’était pas pour mon plaisir, mais pour mon dressage.
Le fouet cessa, ce fut la cravache qui prit le relais
Je me voyais comme si j’étais sortie de mon corps, Patricia la bourge sophistiquée, la croupe en l’air, les mains derrière le dos, pas attachée et qui acceptait la cravache, mon corps tressautait a chaque coup, je remerciais mon tortionnaire de m’éduquer, je me cambrais le plus possible pour offrir ma croupe à la cravache et a Pierre, les brûlures étaient atroces. Mais, Pierre ne me faisait t’il pas vivre ce dont j’avais longtemps rêvé, désiré ?
je reconnaissais la pudeur mal placée dont j’avais fait preuve et mon manque d’application à la fellation.
Je comprenait alors pourquoi une femme soumise devait remercier celui qui la dressait des sévices qu’il lui infligeait, j’avais donc encore beaucoup de choses a apprendre, a découvrir, et Pierre était mon guide, celui qui savait ce qui était bon pour moi.
Il n’était pas mon maître, j’ai horreur de ce mot, je suis esclave de mes sens, de mes pulsions, et de rien d’autre ni de personne, si je me soumets, c’est parce que je le veux bien.
Pierre obtint mes larmes, la cravache cessa
Il m’appuyât sur les reins pour faire bien ressortir ma croupe et ainsi offrir ma chatte, et me pénétra d’une seule poussée
Il me prenait sans ménagement, en même temps me claquait une fesse d’une main avec vigueur (mes fesses déjà cuisantes), comme pour encourager une jument pendant la course, en me faisant la leçon
- une bourge comme toi ça obéi, ça se doit de donner satisfaction, ça s’abandonne, ça s’ouvre, offerte aux copains, comme une cochonne, car tu es une salope, reconnais le
- oui Pierre, je suis une salope, une cochonne j’aime que tu me prêtes, que tu me diriges (cela me fit penser qu’au début de notre rencontre Pierre m’avait dit que je devrais m’appeler Peguy la cochonne)
Le plaisir montait de plus en plus, prise de force, fessée en même temps me plaisait beaucoup, je sentais ma chatte s’ouvrir, s’ouvrir, je m’abandonnais mes doigts griffaient les draps, je hurlais dans un orgasme en remerciant Pierre.
Il me retourna, me mit son sexe dans la bouche, me tenant la tête il se servait de ma bouche comme d’un vagin, il explosa en moi, j’avalais et le remerciais.
Je ne puis que constater qu’après être fouettée, cravachée, mon plaisir était beaucoup plus intense à l’orgasme, je me donnais beaucoup plus, m’abandonnais sans retenues
Qui eu dit que peu de temps avoir été « contrainte » m’être mise dans les mains de Pierre, j’en étais arrivée là, j’éprouvais une addiction a me soumettre, je sais mon caractère, mes envies longtemps contenues m’y prédisposaient.
J’essaye de ne pas faire part seulement aux lecteurs de mon vécu sexuel, mais aussi de mes ressentis ; j’espère que cela de vous n’ennuiera pas.
Nous passâmes une partie de la journée, ensemble, Pierre m’a prise à nouveau, mais avec beaucoup de tendresse, me disant que ce soir Nadine allait venir pour tenir sa promesse : être fouettée entre les jambes, me disant que j’allais souffrir et me dit aussi que j’allais avoir une seconde chance de me racheter, il allait une nouvelle fois me prêter à des relations a lui et que cette fois, je devrais être parfaite
Ce qui me surpris : Nadine me manquait, je n’avait jamais éprouvé ce style de sentiments pour une femme, de plus une jeune femme. J’aimais qu’elle me martyrise, j’aimais souffrir pour elle comme pour Pierre, j’aimais qu’il et elle soit fière de moi par ma soumission, mon abandon, mon obéissance.
J’avais besoin de ses caresses, de sa façon de m’embrasser
Le soir arriva, Pierre m’installa nue à plat dos sur le lit, les membres solidement attachés aux montants du lit, les cuisses bien ouvertes et relevées avec un coussin sous les fesses, la chatte bien offerte. Il m’encourageât, me disant que je devais connaître cela, que je pourrais hurler tant que je voudrai et pleurer, mais tu verras, ensuite nous te dorloterons
Nadine arriva, j’étais impatiente et inquiète de la voir, elle dit bonjour a Pierre, pénétra dans la chambre :
- alors, prête la bourge ?
- Oui Nadine
- Tu vas bientôt me maudire
- Tu n’es pas obligée
- Non, vous n’êtes pas obligée
- Excusez moi Nadine vous n’êtes pas obligée
- Mais si, voyons, je dois tenir mes promesses, et je te promets qu’ensuite je prendrai soin de toi, tu es indécente Patricia dans cette position
Nadine qui pourrait être ma fille et qui allait me corriger, que je suis obligée de vouvoyer et elle qui me tutoie. Nadine qui me voit les cuisses ouvertes et qui me fait des réflexions, c’est humiliant
Je la vois aller prendre le fouet à un seul brin, très efficace spécial pour le dressage de femmes comme moi, je me raidis, elle me caresse avec lle manche du fouet puis décide de me mettre un bandeau, je vois Pierre en spectateur, puis le noir, je sens la fouet ou je devine caresser mon entre jambe, ma chatte, l’intérieur de mes cuisses, puis le sifflement et la douleur à l’intérieur de mes cuisses, elle prend bien soin de fouetter chaque cuisse en remontant vers ma chatte offerte
La douleur est intense, puis la chatte, c’est horrible, je hurle, j’essaie de bouger pour échapper aux brûlures, impossible, un second coup, puis un autre, je pleure, je sanglote, Nadine poursuit son œuvre
Elle s’arrête enfin, pose son instrument de torture, s’allonge près de moi, m’embrasse sur la bouche tout en me caressant le visage, la poitrine, puis me dit à l’oreille :
- Pierre m’a demandé de te punir de la sorte chaque fois que tu ne donneras pas satisfaction, en plus de la punition qu’il te donnera. Je t’avais aussi promis que tu aurais le droit de me donner un gage : veux tu que pierre me cravache aussi ?
- Non Nadine, j’aimerai plutôt que vous vous occupiez de moi
Nadine se déshabilla, me passait de la pommade sur mes cuisses, ma chatte, c’était bon cela étouffait le feu, elle me caressa longuement, Pierre s’était aussi déshabillé, il me caressait les seins, m’embrassait, Nadine s’occupait de mon clitoris, et dieu sait si elle savait y faire, je me cambrais j’étais toujours attachée je jouissais
La suite de la soirée a été de douceurs, ils ont pris soin de moi, Pierre a pris possession de Nadine, je n’étais pas jalouse, je ne puis expliquer le pourquoi, c’est la première fois que j’entendis Nadine « chanter » de plaisir
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