Récit d'une vie de nuit - Chapitre 12
Récit érotique écrit par Mathy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 14 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.1 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.2
- • L'ensemble des récits érotiques de Mathy ont reçu un total de 45 383 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 4 633 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Récit d'une vie de nuit - Chapitre 12
Je me réveille, le lit est vide. Je pense qu’Éric est parti. Je me lève et quitte la chambre d’ami. C’est en me dirigeant vers les toilettes. Que j’entends des gémissements intenses. Curieuse je m’avance et je vois Evelyne son tailleur retroussé, le cul à l’air, sous les assauts vigoureux d’Éric. Cette vision m’excite. Je me dirige vers les toilettes car la nuit à remplis ma vessie. A mon retour dans le salon, Evelyne à disparue. Cette salope est parti dans son cabinet, la chatte mouillée et pleine de sperme.
Éric m’embrasse, et me dit « comment as-tu trouvé notre soirée ? ». Je reste pensive, pleins de sensation, surprise, amusée, excitée, mais pas de dégoût, l’envie de poursuivre… A mon énumération je lis un sourire sur ces lèvres. « Alors si tu veux poursuivre, met-toi à genou, Evelyne n’a pas eu le temps de me nettoyer la bite. » sans hésiter je m’exécute et lui nettoie sa bite devenue molle et vidée de son nectar.
Je prépare le café, alors qu’il prend sa douche et se prépare. Il petit-déjeune rapidement et prend la route vers son chantier puis dans la soirée repartir vers chez lui et sa petite famille. Evelyne vient manger à midi. Je lui résume ma soirée, ma frustration de ce matin, tout comme l’excitation d’avoir maté leur baise sur la table en verre du salon. J’avoue à Evelyne avoir joui de mon expérience de la veille. L’envie de le vivre. Evelyne est un peu plus mesurée, l’échangisme, le pluralisme modéré, les jeux de liens dans l’ambiance de nos soirées lui convienne. Elle me reparle de notre soirée dans les Vosges ou elle ne consacrerait plus une soirée entière au BDSM. Mais à aucun moment elle ne me décourage. Le WE se passe, de rare SMS d’Éric m’arrive, pas de demande particulière. Evelyne, Marc et moi passons un dimanche agréable entre amis, détente, tranquille, Maryse est passer faire un coucou et profité du jacuzzi. Un nouveau couple de locataire se sont installé au second, et on pendu la crémaillère.
2 longues semaines se sont écoulées, je me suis investis depuis quelques temps dans une associations de maintien en forme des personnes âgées. Je passe du temps régulièrement dans les maisons de retraite, ou des fois je rends des visites à des personnes pour le tenir compagnie. Les journées me paraissent moins longue. J’imaginais qu’Éric prenais des distances, mais je reçois un SMS au petit matin, « RDV chez Vincent ce soir 20h00, Carole a reçu une commande pour toi que tu porteras ce soir. Fait-moi honneur salope. ». J’informe Evelyne que je me rends avec Éric a un RDV. Je passe chez Carole. Avec un grand sourire, elle me donne la commande.Je l’essaye, une guêpière vinyl aux bonnets ouvert, j’y fixe mes bas, rechausse mes escarpins. J’invite Carole a constaté ma tenue, a peine ai-je ouvert le rideau, le flash du téléphone immortalise ma tenue. Je complète ma tenue de la mini jupe zippée devant et derrière, second flash. Éric est le destinataire des images.
Message « Parfait, n’oublie pas ton plug et ton œuf. Tu ne porteras qu’un manteau par-dessus, tu ne porteras pas de culotte non plus.». Carole me souhaite une bonne soirée avec un sourire entendu.
Je quitte la boutique rejoins le parking et prend ma voiture et roule vers mon RDV. Arrivée a destination, discrètement je m’enfonce mon plug dans mon cul et l’œuf dans ma chatte déjà humide. Je sonne, Hélène m’invite à entrer. Elle me propose de prendre mon manteau et mon sac à main. Je récupère la commande que je glisse dans mon bas. Hélène dans parler dézippe l’avant et l’arrière de ma jupe. Hélène est nue, seuls accessoires, son collier de soumise, ses bracelets, et le tout harmonieusement relié par une chainette entre les bracelets, tétons, lèvres intimes et collier. C’est donc seins nus,soutenus par le corset, ma mini jupe vinyl mes bas et mes escarpins que je fais mon entrée. Vincent trone en maître, entre une femme stricte dans mes âges, deux jeunes mâles d’une trentaine d’années, et Hélène venue reprendre sa place a ses pieds.
Vincent m’invite à me présenter. « Entre Martine, Éric n’avait pas menti, tu es vraiment la salope que j’espérais et demandant à Éric de te faire venir. » « Merci, Monsieur » « J’ai demandé à Éric, l’autorisation de t’avoir ce soir, car tu m’avais impressionnée en réussissant ou peu de mes partenaires on réussit. Mes amis présents veulent assister a un match entre ma salope et toi. Éric arrivera plus tard il est retenu par une réunion»
Vincent attache la laisse à ces lèvres, la femme à ces côtés vient m’inspecter, récupère la commande de l’œuf. Elle me pose les bracelets au poignet, m’impose de levé la jambe droite sur le tabouret de bar. Ce qui a pour effet de laisse mon sexe à la vue de tout le monde, je m’exécute pour la gauche également. Nous passons dans l’antre du plaisir de Vincent. La femme me guide à califourchon sur un tabouret, Hélène également. Fanny, prend soin de fixer sur les tabourets des godes que je reconnais. Pose dessus un préservatif et du lubrifiant. Fanny nous baillonne, attache nos mains dans le dos et nos chevilles au tabouret. Vincent se lève donne un fiole à Fanny. Simultanément il plaque la fiole sur nos narines et impose a un prendre une énorme inspiration. Mon cerveau s’embrume, sensation étrange, de perdition. « Mes dames la première qui reposera son cul de salope sur le tabouret et relèvera les jambes remportera le défi, et sera récompensée. A vos marques, partez. »
Dans un acte éclair, je pose mon cul sur le gode et sans autre réflexion inhibé par ma respiration je me pose et englouti le gode dans mon cul. Hélène malheureusement pour elle échoue, mais contrairement à notre première rencontre elle a absorbé le jouet en y laissant quelques larmes. Vincent se lève, et gifle Hélène en la traitant de truie indigne. Ces mots ont claqué comme un coup de canon dans mon cerveau. Il la bascule au sol, le tabouret suit, le plug reste en elle. La vision est terrible. La sonnette retentit, Éric fait son apparition. Je suis rassurée. Fanny accueille Éric, il discute, alors que Hélène est puni de coup de paddle sur ces fesses rondes qui prennent déjà un couleur fortement rouge. Ces cris son étouffés par le bâillon boule. Quant à moi je suis toujours empalé sur le plug qui ouvre mon anus comme rarement. Éric approche, retire mon bâillon, m’embrasse et me félicite. Il pend ma tête et la pose sur la bosse qui déforme son pantalon. « Je suis fière de ma Salope » lance t’il a Fanny. Éric me detache, je retire le plug qui m’a dechiré la rondelle. Vincent retourne Hélène, sur le dos, le baillon est remplacé par un entonnoir, Fanny invite les deux mâles a acquité leur pari et les autorise à se soulager. Il ne se font pas prier, je vois transiter environ 500€ puis Fanny prend a tour de rôle les sexe dans sa bouche et ouvre les pans de sa robe et leur offre sa fente. Fanny branle les deux jeunes mâles et dirige le jet de sperme dans l’entonnoir. Hélène n’a pas le choix que d’avaler. Fanny, m’attache au portique, indéscente, et offerte. Elle retire ces vetements, et s’installe sur le matelas, et invite Éric a la rejoindre. Éric ne me prèter plus d’attention, retire lui aussi ces vêtements et baise Fanny. Vincent offre la possibilite aux deux male de me caresser, me fouiller, mon cul dilaté est très sensible, l’un des jeunes gens, déclenche une jet de plaisir, et me donne ces doigts inonder à lecher. Vincent approche un recipient et le maintient entre mes cuisses, le jeune poursuit ces penetrations et mon jus coule dans le recipient. Une fois soulagé, la cuvette prend la direction de l’entonnoir et Vincent la vide, Hélène boit. Fanny a le chibre d’Éric à pleine bouche, plusieurs doigts sont au fond dans la chatte frippée de Fanny.
Vincent attire Fanny pres du rebord du lit, et sans autre procès s’enfonce dans l’anus de cette salope. Les jeunes mâles, on repris de la vigeur, Éric se branle en se dirigeant vers Hélène et lache son jus. Les jeunes mâles sont invité par Fanny, Vincent aussi après avoir longement sodomisée Fanny, se vide dans l’entonnoir, puis libère Hélène de ces contraintes mais l’attache à la croix. Fanny jouis et avale le sperme des deux jeunes hommes.
Vincent est parti chercher de quoi nous désaltérer. Nous sommes tous réunis autour de la table basse Hélène fait le service, nos buvons à ce moment extrème. Aux vainqueurs et au vaincus. Les jeunes gens prennent congés. Fanny donne 300€ à Éric, et garde le reste.
Vincent nous invite à une démonstration particulière. Fanny endosse le rôle de soumise. Vincent attache les chevilles et l’ecartèle, les mains dans le dos. Vincent obstrue l’anus de Fanny. Il installe une poulie par laquelle passe une corde et un nœud coulant. La corde passe au tour du cou de Fanny. Petit à petit il tourne la manivelle qui tire sur la corde. La corde est tendue, le corps de Fanny est étiré modérément, Vincent la doigte elle mouille, il remonte encore, elle est sur pointe. Hélène est prié de se coucher sur sol entre les cuisses de Fanny. Fanny est prise de tremblement, et ces fluides la quittent et arrosent Hélène. Fanny s’est évanouie une courte seconde. Vincent décroche Fanny qui reprend ces esprits. Hélène est une fois de plus humiliée et souillée. Éric et moi sommes stupéfait. Mais Éric bande, et moi je suis mouillée. Vincent nous explique que Fanny a subit un lavement complet avant de se jouindre au jeu afin d’éviter le scato.
Je suis excitée mais la soirée prend fin. Éric m’abandonne car il reste sur place au regard de l’heure tardive. Je laisse un SMS à Evelyne pour lui signaler mon retour seul. Assise dans ma voiture, mon rosebud pourtant de belle taille, ne me fait pas d’effet. J’ouvre l’appartement, Evelyne m’attend. Je retire mon manteau, et elle découvre ma tenue. Elle me complimente dans des termes assez crus. Elle me dit « tu pourrais te faire du fric ainsi sur un morceau de trottoir… Mais là tu vas t’occuper de moi ». Sans me changer je prends la bouche d’Evelyne, je caresse sa poitrine et son sexe déjà humide. A genoux entre ces cuisses je la lèche jusqu’à l’extase qui n’est pas long à venir. Nous prenons notre douche et nous allons nous couche.
Il midi, je suis encore au lit quand Evelyne arrive. Allongé sur le ventre mes fesses à l’air, je sens une caresse entre mes fesses, je ressens une sorte de douleur électrique au passage de ces doigts sur mon anus, malgré mon entrainement à la sodomie, je me refuse à cette douceur. Evelyne poursuit mon réveil. Une fois les yeux ouvert Evelyne me demande lui exhiber mes fesses à la suite de mon refus. Evelyne me commente sa vision de la chose, dans une remarque du style « même Eric ne nous a jamais explosé ainsi, il va te falloir du repos anal ».
14 heures, Evelyne retourne à son cabinet. Je suis allongée dans mon jacuzzi quand mon téléphone me signal l’arrivée d’un SMS. « Bonjour ma Salope, hier a été une soirée extraordinaire pour moi et instructive pour toi j’espère. Tu ne m’as pas déçue je suis fière de la soumise naissante. J’ai réservé pour nous trois à l’auberge à 20h, Prévient Evelyne. ». Je réponds sobrement, je lance un SMS à Evelyne qui s’en réjouit. Que nous réserve Éric.
Éric m’embrasse, et me dit « comment as-tu trouvé notre soirée ? ». Je reste pensive, pleins de sensation, surprise, amusée, excitée, mais pas de dégoût, l’envie de poursuivre… A mon énumération je lis un sourire sur ces lèvres. « Alors si tu veux poursuivre, met-toi à genou, Evelyne n’a pas eu le temps de me nettoyer la bite. » sans hésiter je m’exécute et lui nettoie sa bite devenue molle et vidée de son nectar.
Je prépare le café, alors qu’il prend sa douche et se prépare. Il petit-déjeune rapidement et prend la route vers son chantier puis dans la soirée repartir vers chez lui et sa petite famille. Evelyne vient manger à midi. Je lui résume ma soirée, ma frustration de ce matin, tout comme l’excitation d’avoir maté leur baise sur la table en verre du salon. J’avoue à Evelyne avoir joui de mon expérience de la veille. L’envie de le vivre. Evelyne est un peu plus mesurée, l’échangisme, le pluralisme modéré, les jeux de liens dans l’ambiance de nos soirées lui convienne. Elle me reparle de notre soirée dans les Vosges ou elle ne consacrerait plus une soirée entière au BDSM. Mais à aucun moment elle ne me décourage. Le WE se passe, de rare SMS d’Éric m’arrive, pas de demande particulière. Evelyne, Marc et moi passons un dimanche agréable entre amis, détente, tranquille, Maryse est passer faire un coucou et profité du jacuzzi. Un nouveau couple de locataire se sont installé au second, et on pendu la crémaillère.
2 longues semaines se sont écoulées, je me suis investis depuis quelques temps dans une associations de maintien en forme des personnes âgées. Je passe du temps régulièrement dans les maisons de retraite, ou des fois je rends des visites à des personnes pour le tenir compagnie. Les journées me paraissent moins longue. J’imaginais qu’Éric prenais des distances, mais je reçois un SMS au petit matin, « RDV chez Vincent ce soir 20h00, Carole a reçu une commande pour toi que tu porteras ce soir. Fait-moi honneur salope. ». J’informe Evelyne que je me rends avec Éric a un RDV. Je passe chez Carole. Avec un grand sourire, elle me donne la commande.Je l’essaye, une guêpière vinyl aux bonnets ouvert, j’y fixe mes bas, rechausse mes escarpins. J’invite Carole a constaté ma tenue, a peine ai-je ouvert le rideau, le flash du téléphone immortalise ma tenue. Je complète ma tenue de la mini jupe zippée devant et derrière, second flash. Éric est le destinataire des images.
Message « Parfait, n’oublie pas ton plug et ton œuf. Tu ne porteras qu’un manteau par-dessus, tu ne porteras pas de culotte non plus.». Carole me souhaite une bonne soirée avec un sourire entendu.
Je quitte la boutique rejoins le parking et prend ma voiture et roule vers mon RDV. Arrivée a destination, discrètement je m’enfonce mon plug dans mon cul et l’œuf dans ma chatte déjà humide. Je sonne, Hélène m’invite à entrer. Elle me propose de prendre mon manteau et mon sac à main. Je récupère la commande que je glisse dans mon bas. Hélène dans parler dézippe l’avant et l’arrière de ma jupe. Hélène est nue, seuls accessoires, son collier de soumise, ses bracelets, et le tout harmonieusement relié par une chainette entre les bracelets, tétons, lèvres intimes et collier. C’est donc seins nus,soutenus par le corset, ma mini jupe vinyl mes bas et mes escarpins que je fais mon entrée. Vincent trone en maître, entre une femme stricte dans mes âges, deux jeunes mâles d’une trentaine d’années, et Hélène venue reprendre sa place a ses pieds.
Vincent m’invite à me présenter. « Entre Martine, Éric n’avait pas menti, tu es vraiment la salope que j’espérais et demandant à Éric de te faire venir. » « Merci, Monsieur » « J’ai demandé à Éric, l’autorisation de t’avoir ce soir, car tu m’avais impressionnée en réussissant ou peu de mes partenaires on réussit. Mes amis présents veulent assister a un match entre ma salope et toi. Éric arrivera plus tard il est retenu par une réunion»
Vincent attache la laisse à ces lèvres, la femme à ces côtés vient m’inspecter, récupère la commande de l’œuf. Elle me pose les bracelets au poignet, m’impose de levé la jambe droite sur le tabouret de bar. Ce qui a pour effet de laisse mon sexe à la vue de tout le monde, je m’exécute pour la gauche également. Nous passons dans l’antre du plaisir de Vincent. La femme me guide à califourchon sur un tabouret, Hélène également. Fanny, prend soin de fixer sur les tabourets des godes que je reconnais. Pose dessus un préservatif et du lubrifiant. Fanny nous baillonne, attache nos mains dans le dos et nos chevilles au tabouret. Vincent se lève donne un fiole à Fanny. Simultanément il plaque la fiole sur nos narines et impose a un prendre une énorme inspiration. Mon cerveau s’embrume, sensation étrange, de perdition. « Mes dames la première qui reposera son cul de salope sur le tabouret et relèvera les jambes remportera le défi, et sera récompensée. A vos marques, partez. »
Dans un acte éclair, je pose mon cul sur le gode et sans autre réflexion inhibé par ma respiration je me pose et englouti le gode dans mon cul. Hélène malheureusement pour elle échoue, mais contrairement à notre première rencontre elle a absorbé le jouet en y laissant quelques larmes. Vincent se lève, et gifle Hélène en la traitant de truie indigne. Ces mots ont claqué comme un coup de canon dans mon cerveau. Il la bascule au sol, le tabouret suit, le plug reste en elle. La vision est terrible. La sonnette retentit, Éric fait son apparition. Je suis rassurée. Fanny accueille Éric, il discute, alors que Hélène est puni de coup de paddle sur ces fesses rondes qui prennent déjà un couleur fortement rouge. Ces cris son étouffés par le bâillon boule. Quant à moi je suis toujours empalé sur le plug qui ouvre mon anus comme rarement. Éric approche, retire mon bâillon, m’embrasse et me félicite. Il pend ma tête et la pose sur la bosse qui déforme son pantalon. « Je suis fière de ma Salope » lance t’il a Fanny. Éric me detache, je retire le plug qui m’a dechiré la rondelle. Vincent retourne Hélène, sur le dos, le baillon est remplacé par un entonnoir, Fanny invite les deux mâles a acquité leur pari et les autorise à se soulager. Il ne se font pas prier, je vois transiter environ 500€ puis Fanny prend a tour de rôle les sexe dans sa bouche et ouvre les pans de sa robe et leur offre sa fente. Fanny branle les deux jeunes mâles et dirige le jet de sperme dans l’entonnoir. Hélène n’a pas le choix que d’avaler. Fanny, m’attache au portique, indéscente, et offerte. Elle retire ces vetements, et s’installe sur le matelas, et invite Éric a la rejoindre. Éric ne me prèter plus d’attention, retire lui aussi ces vêtements et baise Fanny. Vincent offre la possibilite aux deux male de me caresser, me fouiller, mon cul dilaté est très sensible, l’un des jeunes gens, déclenche une jet de plaisir, et me donne ces doigts inonder à lecher. Vincent approche un recipient et le maintient entre mes cuisses, le jeune poursuit ces penetrations et mon jus coule dans le recipient. Une fois soulagé, la cuvette prend la direction de l’entonnoir et Vincent la vide, Hélène boit. Fanny a le chibre d’Éric à pleine bouche, plusieurs doigts sont au fond dans la chatte frippée de Fanny.
Vincent attire Fanny pres du rebord du lit, et sans autre procès s’enfonce dans l’anus de cette salope. Les jeunes mâles, on repris de la vigeur, Éric se branle en se dirigeant vers Hélène et lache son jus. Les jeunes mâles sont invité par Fanny, Vincent aussi après avoir longement sodomisée Fanny, se vide dans l’entonnoir, puis libère Hélène de ces contraintes mais l’attache à la croix. Fanny jouis et avale le sperme des deux jeunes hommes.
Vincent est parti chercher de quoi nous désaltérer. Nous sommes tous réunis autour de la table basse Hélène fait le service, nos buvons à ce moment extrème. Aux vainqueurs et au vaincus. Les jeunes gens prennent congés. Fanny donne 300€ à Éric, et garde le reste.
Vincent nous invite à une démonstration particulière. Fanny endosse le rôle de soumise. Vincent attache les chevilles et l’ecartèle, les mains dans le dos. Vincent obstrue l’anus de Fanny. Il installe une poulie par laquelle passe une corde et un nœud coulant. La corde passe au tour du cou de Fanny. Petit à petit il tourne la manivelle qui tire sur la corde. La corde est tendue, le corps de Fanny est étiré modérément, Vincent la doigte elle mouille, il remonte encore, elle est sur pointe. Hélène est prié de se coucher sur sol entre les cuisses de Fanny. Fanny est prise de tremblement, et ces fluides la quittent et arrosent Hélène. Fanny s’est évanouie une courte seconde. Vincent décroche Fanny qui reprend ces esprits. Hélène est une fois de plus humiliée et souillée. Éric et moi sommes stupéfait. Mais Éric bande, et moi je suis mouillée. Vincent nous explique que Fanny a subit un lavement complet avant de se jouindre au jeu afin d’éviter le scato.
Je suis excitée mais la soirée prend fin. Éric m’abandonne car il reste sur place au regard de l’heure tardive. Je laisse un SMS à Evelyne pour lui signaler mon retour seul. Assise dans ma voiture, mon rosebud pourtant de belle taille, ne me fait pas d’effet. J’ouvre l’appartement, Evelyne m’attend. Je retire mon manteau, et elle découvre ma tenue. Elle me complimente dans des termes assez crus. Elle me dit « tu pourrais te faire du fric ainsi sur un morceau de trottoir… Mais là tu vas t’occuper de moi ». Sans me changer je prends la bouche d’Evelyne, je caresse sa poitrine et son sexe déjà humide. A genoux entre ces cuisses je la lèche jusqu’à l’extase qui n’est pas long à venir. Nous prenons notre douche et nous allons nous couche.
Il midi, je suis encore au lit quand Evelyne arrive. Allongé sur le ventre mes fesses à l’air, je sens une caresse entre mes fesses, je ressens une sorte de douleur électrique au passage de ces doigts sur mon anus, malgré mon entrainement à la sodomie, je me refuse à cette douceur. Evelyne poursuit mon réveil. Une fois les yeux ouvert Evelyne me demande lui exhiber mes fesses à la suite de mon refus. Evelyne me commente sa vision de la chose, dans une remarque du style « même Eric ne nous a jamais explosé ainsi, il va te falloir du repos anal ».
14 heures, Evelyne retourne à son cabinet. Je suis allongée dans mon jacuzzi quand mon téléphone me signal l’arrivée d’un SMS. « Bonjour ma Salope, hier a été une soirée extraordinaire pour moi et instructive pour toi j’espère. Tu ne m’as pas déçue je suis fière de la soumise naissante. J’ai réservé pour nous trois à l’auberge à 20h, Prévient Evelyne. ». Je réponds sobrement, je lance un SMS à Evelyne qui s’en réjouit. Que nous réserve Éric.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mathy
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...