Recit d'une vie de nuit - chapître 3 - histoire érotique

Chapitre 3Nous donnons suite à l’invitation du couple et les rejoignons dans la campagne belge. Nous sommes accueillis dans un petit immeuble en début d’après-midi. L’ascenseur nous dépose sur le palier, nous sonnons et Sophie nous ouvre, dans une tenue stupéfiante. La robe est découpée et laisse jaillir ces seins, d’une seule pièce une demi-lune laisse voir la nudité de son sexe, et un cercle laisse accès à la nudité de ses fesses et sans oublier qu’elle est perchée sur des haut talons, en soumise elle portait un collier large de cuir et des bracelets au cheville et poignet. Michel quant à lui est tout de cuir vêtu. Je ne voulais pas être trop provocatrice et je suis venue en robe fuseau, bas et escarpin, et Friedrich dans un pantalon à pinces et une chemise. Nous échangeons et Michel nous confie que Sophie est rebaptisée Era dans son rôle de soumise, soumise Era et lui c’est Mr M ou Maître M. Nous apprenons petit à petit les codes. Le temps passe et nos hôtes nous propose de sortir et d’aller manger et découvrir ce monde. Michel et Sophie « Era », nous conduise dans une demeure un peu typé manoir. Michel fixe une laisse métallique au collier de Era.
Michel nous présente à la maitresse de maison et lui explique notre statut de « vanille » mais aussi propriétaire d’un établissement de luxure. Era se libère de son manteau et la voilà dans la tenue de l’après-midi. Cette femme, Blonde aux cheveux longs raides, dans une robe mi-cuisse laissant deviner des bas et chaussée assez haut, nous installe à la table réservée par Michel. Era s’installe à genou à coté de Michel. Sans attendre une serveuse en tenue de soubrette, les seins apparents, et tétons percés, nous apporte un plateau d’amuse-bouche. Michel détail la demeure, et nous invite à le suivre, et nous initie auprès du Maitre des lieux. Il nous rejoint à notre table. Era embrasse la main de l’homme, baisse la tête et elle se fait flatter telle une chienne. Une coupe de champagne est servi à l’homme. Nous parlons de notre établissement, de la rencontre avec Michel et Sophie devenu Era.
L’échange est riche d’instruction. Le Maitre de maison nous fait parvenir une autre tournée, nous finissons notre verre et Michel ordonne à Era remercier l’homme, tout en donnant la laisse au Maitre de maison. Il se dirige vers une tenture pourpre, et disparait. Sans inquiétude Michel continu, et nous explique que Era lui sert de ticket d’entrée dans ce manoir. Il nous guide ver une salle dans laquelle une dizaine de convive sont installées majoritairement des hommes. Au centre de la pièce une sorte de potence et dans le fond un chevalet. Une femme cagoulée est approchée de la potence des chaines aux poignet et aux chevilles. Très rapidement elle y est accrochée, en croix comme écartée, la poitrine menue semble avoir disparue, l’écartement des cuisses, laisse aux regards vicieux des hommes et intéressé des femmes, le sexe imberbe de cette soumise. La blonde de l’entrée entre en scène. Elle présente sa soumise et débute par un traitement sévère des ces tétons, pincé, tordue, les gémissements de la soumise traduisent que ce traitement n’est pas forcément agréable.
Michel nous explique que les gens sont pour la plupart des curieux et qui cherche de l’excitation autrement qu’en visionnant des vidéos pornos. Certains d’entre eux ont payé pour être acteur. La Dominatrice propose un homme d’âge mur de se joindre à elle, elle le guide dans les caresses et les actes de « tortures » offert à la soumise. Nous quittons la salle est allons rejoindre Era avec son Maître.
Michel nous invite à entrer, le Maitre de maison à installer Era sur un chevalet, poignet et chevilles fixés à l’accessoire. Ces fesses son offertes à votre regard. Le Maître malaxe énergiquement ce cul. IL prend un objet qu’il entre sans précaution particulière dans l’anus de Era, puis prend un martinet et généreusement rougit les femmes de Era qui remercie son dominant à chaque caresse. Il joue avec ces tétons, pose des pinces…. Le maître de maison fait jouir Era, il la détache, et lui propose de se rafraichir et de se revêtir. Era semble ravie, Le maitres de maison propose à Michel de le rejoindre et d’assister à une punition exemplaire d’une soumise infidèle. Michel nous met en garde que cela entre dans une correction punitive pour une soumise irrespectueuse. Nous hésitons mais acception. Dans un salon la soumise est trainée en cage, sur son front est inscrit « pute », sur son pubis trou à bite et sur ces fesses aussi. Le Maitre énumère les méfaits et la Maitresse de maison apporte deux chaudrons, un dans lequel se trouve des nombres et le second des sanctions.
La soumise tire une boule avec le chiffre 6, elle va subir 6 punitions. Elle semble déjà effrayée. Le maitre tire la première punition… 10 coups de badine… La soumise se prosterne, offre son postérieur, le Maitre débute la flagellation, à chaque coup la soumise les comptes. Les coups semblent rudes et marque les fesses de traces rouges. Michel nous explique que ce Maitre est reconnu parmi ces paires, juste mais qui exige de la droiture. N’accepte aucune rupture de contrat sans contrepartie. Les coups terminé la soumise remercient son Maitre. Le Maitre tire la seconde punition. Mitraillette de pince à linge. La soumise est relevée puis attachée en croix, le Maitre installe un chapelet de pince à linge remontant des cuisses, passant sur le puis, le ventre et pour finir sur le haut des seins. Les deux guirlandes sont attachées à des ficelles. Sans autre procès il tire sur les ficelles et arrache les pinces, la douleur laisse s’exprimer par un cri. Sans attendre le Maitre la gifle et lui pose un baillon semblable a un petit gode. La troisième punition arrive, pincement et étirement des tétons. La soumise subit dans pouvoir protester. La punition suivante arrive les mains sont liée et elle est soulevé du sol, alors que l’on tend une corde à travers la scène. Puis elle est mise à cheval sur celle-ci comme pour la fendre, ces jambes sont écartelées et ne touche presque pas le sol. La corde entre dans la fente de son sexe et régulièrement le maitre tend cette corde qui la cisaille. Cette séance nous semble interminable. La soumise est détachée. Consolé par son Maitre mais il lui reste encore deux punitions. Flagellation du puit de plaisir tête en bas. La soumise est ainsi suspendue cuisses ouvertes et tête à l’envers. La cravache passe en caresse sur le corps de la soumise, et 10 coups de cravache s’abattent sur le sexe de la pauvre. Le maitre constate l’excellence de son boulot, puis tire la dernière sentence, 20 gouttes de cire chaude sur chaque sein et sur son vagin. Le Maitre décide de la conserver dans cette position. L’assistante apporte des bougies que le maitre laisse couler la cire tout en prenant soin d’ouvrir sa chatte et ainsi viser les parties les plus sensibles. La douleur doit être terrible au vu des soubresauts de la soumise. Les punitions terminées, le Maitre la présente à l’assemblée, et nous remercie de notre attention et ils quittent la scène.
La soirée se passe Era, à coté de Michel, nous restons sage. Je dis a Friedrich que je ne tien plus je suis excitée. Friedrich me confirme que cela est pareil pour lui. Nous demandons à Friedrich s’il était possible de s’absenter, il mandate Era de nous guider. Elle nous amène dans une alcôve, et j’invite Era à rester. Era nous dit de patienter, elle revint avec l’autorisation de participer. Era s’occupe de moi et très vite je jouis alors que Friedrich besogne ma bouche. Je jouis mes râles étouffés par la queue de Friedrich. A peine mon excitation calmé par le savoir-faire d’Era que Friedrich jouis dans ma bouche. Michel nous rejoint avec un autre homme et offre Era. Sans préliminaire son sexe raide sodomise Era. et Michel enfonce sa queue dans bouche d’Era. Je mate les belles couilles de Michel que je m’empresse de caresser. Je m’approche et regarde Michel qui se retire d’Era et prend ma bouche comme un vagin. Je le suce et masse ces couilles jusqu’à ce qu’il libère son jus. Je m’empresse de le partager avec Era dans un baiser de salope.
La soirée prend fin nous regagnons la demeure de nos amis. Dans la voiture s’engage des échanges sur cette activité très particulière de ce lieu uniquement dédié à l’art du BDSM. L’intérêt est présent. L’envie d’offrir cela aussi. Le lendemain, nous quittons nos amis et le trajet fut animé par des discussion par les avantages et difficultés et évidemment quel public serait favorable à mobiliser une partie de l’établissement à cela….
Affaire à suivre...