Récit d'une vie de nuit - Chapitre 9
Récit érotique écrit par Mathy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 14 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.1 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.2
- • L'ensemble des récits érotiques de Mathy ont reçu un total de 45 362 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 2 341 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Récit d'une vie de nuit - Chapitre 9
3 journées, se sont écoulés. Dès qu’un moment le lui permet il me lance un SMS. Nous ne sommes plus dans la réserve. En une rencontre j’ai osé me donner entière. Evelyne est en copie des miens mails reçoit également des SMS. Jeudi à 10 h Éric me téléphone, et me dit : » Soyez chez toi cet après-midi, mon entretien se termine plus tôt, nous devons parler. »
Evelyne ne pourra pas se joindre à nous immédiatement, elle dispense un cours à la Fac. Je téléphone à Maryse pour un rendez-vous en urgence et parfaire mon épilation. Elle se propose de passer chez moi car ses salons sont complets et ces deux employées seront tenir la boutique en son absence. Le temps de prendre la douche l’interphone annonce son arrivée. Dans mon peignoir, je lui ouvre la porte. Elle me demande que vaut cette urgence. Je lui résume la situation rapidement tout en m’installant sur la table du salon, transformer pour l’occasion en banc de supplice pour mon épilation. Maryse a son tour le traite de salope en constatant l’humidité de mon vagin… Je sens sa langue remonter sur ma fente, puis elle débute son travail. Comme à notre habitude je la laisse contrôler son travail et me donne du plaisir. Aujourd’hui je ne lui rendrais pas la pareil car elle manque de temps.
Je prends un moment pour moi, et me glisse dans mon jacuzzi bien aimé après m’être préparé un thé. Un rayon de soleil transperce la véranda, et caresse mon corps. La trentaine de degrés du jacuzzi m’emporte dans un moment de zenitude, je ferme les yeux. Le réveil est brutal, l’interphone me rappelle à la réalité de la vie. C’est Éric, paniqué je ne suis pas maquillée, je file mettre la robe en cuir ultra courte, qui laisse les côtés et le dos ajouré, que seul un lacet habille, bien évidemment, sans dessous, je chausse mes talons aiguilles, tant pis pour ma coiffure. La sonnette a déjà retenti deux fois. J’ouvre, je m’excuse de l’avoir fait attendre, il me tend un bouquet de rose et kidnappe mes lèvres dans un long baiser. Éric me félicite sur ma tenue qui souligne bien mon état de libertine. Je l’averti qu’Evelyne ne sera là qu’en début qu’en fin d’après-midi.
Je lui propose un verre, le soleil baigne encore la terrasse, je l’invite à s’installer. Je sors une bouteille de champagne, je porte le seau à champagne, 3 coupes sur la table, je me penche et le laisse admirer mes fesses dénudées. Je le sers et je m’excuse car je dois descendre à la cave refaire le complément ma cave à vin. Je lui propose de se mettre à l’aise et que la salle de bain est à sa disposition.
Je prends l’ascenseur, je ne prends pas soin de me vêtir plus, l’ascenseur s’arrête un étage plus bas. La porte s’ouvre et je vois un de mes étudiant, figé au point que les porte se referme. Je l’invite à entrer. Déjà rouge, je me tourne pour qu’il découvre mon cul de salope. Je me relève et constate qu’il est écarlate. Je prends un peu de temps dans ma cave, car outre le champagne, je cherchais une bouteille d’un excellent whisky, que je réserve à des hôtes particuliers. Car bien que mes amis soient bien élevés, ce breuvage se déguste et ne se mélange pas ni avec des glaçons et encore moins avec du soda ou autre niaiserie.
Je remonte, cette fois pas de rencontre fortuite. Je rentre dans mon appartement, Éric est installé dans le fauteuil du petit salon. Il a revêtu un peignoir mit à disposition près du jacuzzi. Le champagne est débouché 2 coupes sont servies. Il me tend une coupe, nous trinquons. Nous abordons notre rencontre, sa maladresse, voir sa manière de rustre. J’ai tout oublié et pour moi je ne retiens que le restaurant, et l’après incident. Je lui dis aussi que d’avoir su garder le contact avec Evelyne et moi m’a beaucoup touché.
Éric qu’il n’avait jamais osé franchir le pas de d’adultère, que notre croisement sur ce site fût un merveilleux hasard. Qu’il avait ciblé le lointain, juste pour échanger, se redonner l’envie de faire l’amour à sa femme. Car elle est assez prude, elle a du mal à lui gratifier d’une bonne pipe, Chose qu’elle accepte volontiers c’est de se faire lécher car elle aussi ne laisse aucun poil la gêner. C’est également une très belle femme tout à fait dans la lignée de Eike et Katarina. Un cran au-dessus d’Evelyne. Mais peu importe. La bouteille se vide peu à peu. Je commence à avoir chaud. Son langage devient cru, je constate que le peignoir a du mal à masquer son érection et mes yeux attisé par le feu de mon bas ventre y sont attirés. Nous nous retenons.
Alors que je vais chercher, une seconde bouteille, Evelyne rentre de sa conférence. Elle me félicite sur ma tenue dans un « j’aime te voir en salope », cela déclenche un frisson, et me prend la bouche dans un tendre baiser. Je lui annonce qu’Éric est au salon. Elle pose sa veste de tailleur, dans une démarche chaloupée que ces hauts talons accentuent, elle m’accompagne pour saluer Éric. Il se lève. Le pan du peignoir s’ouvre, Evelyne est aux premières loges pour sentir le pieux d’Éric. Après un baiser, Evelyne me dit « tu ne vas pas le laisser ainsi, je vais me prendre une douche et j’arrive. ». Je me colle à Éric, le fixe et ma main glisse sur son sexe. Je le caresse, je vise ces couilles, je les prends en main je masse sous pèse. Je m’accroupi, je lèche sa queue, du gland vers les boules. Je les gobe. Je joue avec et lui donne des réactions électrisantes. J’aspire ces boules, elles occupent beaucoup de place et ma langue les caresses. Éric est appuyé contre le dossier du canapé. Des mots crus sont lancés, cela m’excite. Le remonte vers son gland et englouti sa pine. Je progresse doucement, elle m’empêche de jouer avec ma langue. Je pose ma main sur ma chatte, ma robe et relevée, mes doigts alternent entre la caresse mon clito et la pénétration au plus loin dans ma chatte. Ma tête fait des va et vient, il libère une salve de sperme au de ma gorge, une seconde vient se rependre sur mon visage et une troisième sur mes seins. « Putain quelle salope ! » lâche-t-il. A croire qu’il a fait des réserves depuis lundi. A peine relevé qu’Evelyne et me félicite pour mon masque de beauté. Elle s’empresse de lécher mes joues, mon front et mon décolleté.
Moins tendu, Éric reprend sa place, dans le fauteuil. Evelyne, a revêtu une nuisette blanche très transparente. La seconde bouteille a pris le chemin de la première. Je propose le jacuzzi, car j’adore. Je retire ma rode de salope, Evelyne suit. Éric est à côté de moi, Evelyne en face. Éric caresse mes seins et pince mes tétons, tandis que Evelyne de son pied au ongles peints, masse sa queue, et maltraite certainement ces boules car il tressaute de temps à autres et ses pincements sont plus forts. Son sexe montre le bout de son gland par-dessus les bulles, plus les caresses d’Evelyne dure, plus je le sens glisser. Je prends son manche et le branle et Evelyne joue du pied sur son sac. Evelyne me fait comprendre que « elle aussi veut sa part de crème ». Je la laisse à ce plaisir Éric sort le bassin de l’eau et Evelyne en experte le pompe. Je me caresse en profitant du spectacle. Je ne tarde pas à jouir, imité par Éric. Il délivre encore une belle quantité de semence et la partage avec moi.
Pas envie de faire de repas, enfin plutôt Evelyne qui cuisine ultra bien. Nous commandons des pizzas, une bouteille de lambrusco. Nous avons frôlé l’incident. Evelyne répond à l’interphone, remet sa nuisette. Lorsque Evelyne ouvre la porte, le jeune livreur laisse échapper, la bouteille qui par chance pour nous, moins pour le livreur, tombe sur son pied et ne casse pas. Evelyne, s’excuse donne un baiser sur la bouche du livreur, paye laisse un pourboire et prend congé. Le pauvre.
Nous passons à table, le lambrusco est vide, je suis pompette. Je file dans la chambre. Et me pose sur le lit, puis c’est le trou. Ils ont rejoint la chambre, je ne me rends compte de leur présence qu’a mon réveil. La tête dans le brouillard je prends mon petit-déjeuner et réalise qu’Éric ne nous a pas annoncer ce qu’il devait nous dire.
Evelyne se réveille, s’avance dans une démarche qui en dit long. Elle m’embrasse, se sert un thé, dans un regard complice, elle me dit « voilà nous lui avons ouvert toutes nos portes. » Je lui souris et l’embrasse. Evelyne se prépare. Evelyne est prête et sort du dressing, croise Éric, l’embrasse, lui sourit, s’accroupi et embrasse le gland décalotté d’Éric. Quitte l’appartement en lançant un « Bonne matinée, amusez-vous bien. ». Éric s’approche et me pose un baiser, et me glisse « avec vous je suis au paradis, je n’ai jamais autant joui et j’en ai mal à la queue. Vous êtes deux sacrées salopes. ». Amusée j’envoie un SMS à Evelyne…
Evelyne ne pourra pas se joindre à nous immédiatement, elle dispense un cours à la Fac. Je téléphone à Maryse pour un rendez-vous en urgence et parfaire mon épilation. Elle se propose de passer chez moi car ses salons sont complets et ces deux employées seront tenir la boutique en son absence. Le temps de prendre la douche l’interphone annonce son arrivée. Dans mon peignoir, je lui ouvre la porte. Elle me demande que vaut cette urgence. Je lui résume la situation rapidement tout en m’installant sur la table du salon, transformer pour l’occasion en banc de supplice pour mon épilation. Maryse a son tour le traite de salope en constatant l’humidité de mon vagin… Je sens sa langue remonter sur ma fente, puis elle débute son travail. Comme à notre habitude je la laisse contrôler son travail et me donne du plaisir. Aujourd’hui je ne lui rendrais pas la pareil car elle manque de temps.
Je prends un moment pour moi, et me glisse dans mon jacuzzi bien aimé après m’être préparé un thé. Un rayon de soleil transperce la véranda, et caresse mon corps. La trentaine de degrés du jacuzzi m’emporte dans un moment de zenitude, je ferme les yeux. Le réveil est brutal, l’interphone me rappelle à la réalité de la vie. C’est Éric, paniqué je ne suis pas maquillée, je file mettre la robe en cuir ultra courte, qui laisse les côtés et le dos ajouré, que seul un lacet habille, bien évidemment, sans dessous, je chausse mes talons aiguilles, tant pis pour ma coiffure. La sonnette a déjà retenti deux fois. J’ouvre, je m’excuse de l’avoir fait attendre, il me tend un bouquet de rose et kidnappe mes lèvres dans un long baiser. Éric me félicite sur ma tenue qui souligne bien mon état de libertine. Je l’averti qu’Evelyne ne sera là qu’en début qu’en fin d’après-midi.
Je lui propose un verre, le soleil baigne encore la terrasse, je l’invite à s’installer. Je sors une bouteille de champagne, je porte le seau à champagne, 3 coupes sur la table, je me penche et le laisse admirer mes fesses dénudées. Je le sers et je m’excuse car je dois descendre à la cave refaire le complément ma cave à vin. Je lui propose de se mettre à l’aise et que la salle de bain est à sa disposition.
Je prends l’ascenseur, je ne prends pas soin de me vêtir plus, l’ascenseur s’arrête un étage plus bas. La porte s’ouvre et je vois un de mes étudiant, figé au point que les porte se referme. Je l’invite à entrer. Déjà rouge, je me tourne pour qu’il découvre mon cul de salope. Je me relève et constate qu’il est écarlate. Je prends un peu de temps dans ma cave, car outre le champagne, je cherchais une bouteille d’un excellent whisky, que je réserve à des hôtes particuliers. Car bien que mes amis soient bien élevés, ce breuvage se déguste et ne se mélange pas ni avec des glaçons et encore moins avec du soda ou autre niaiserie.
Je remonte, cette fois pas de rencontre fortuite. Je rentre dans mon appartement, Éric est installé dans le fauteuil du petit salon. Il a revêtu un peignoir mit à disposition près du jacuzzi. Le champagne est débouché 2 coupes sont servies. Il me tend une coupe, nous trinquons. Nous abordons notre rencontre, sa maladresse, voir sa manière de rustre. J’ai tout oublié et pour moi je ne retiens que le restaurant, et l’après incident. Je lui dis aussi que d’avoir su garder le contact avec Evelyne et moi m’a beaucoup touché.
Éric qu’il n’avait jamais osé franchir le pas de d’adultère, que notre croisement sur ce site fût un merveilleux hasard. Qu’il avait ciblé le lointain, juste pour échanger, se redonner l’envie de faire l’amour à sa femme. Car elle est assez prude, elle a du mal à lui gratifier d’une bonne pipe, Chose qu’elle accepte volontiers c’est de se faire lécher car elle aussi ne laisse aucun poil la gêner. C’est également une très belle femme tout à fait dans la lignée de Eike et Katarina. Un cran au-dessus d’Evelyne. Mais peu importe. La bouteille se vide peu à peu. Je commence à avoir chaud. Son langage devient cru, je constate que le peignoir a du mal à masquer son érection et mes yeux attisé par le feu de mon bas ventre y sont attirés. Nous nous retenons.
Alors que je vais chercher, une seconde bouteille, Evelyne rentre de sa conférence. Elle me félicite sur ma tenue dans un « j’aime te voir en salope », cela déclenche un frisson, et me prend la bouche dans un tendre baiser. Je lui annonce qu’Éric est au salon. Elle pose sa veste de tailleur, dans une démarche chaloupée que ces hauts talons accentuent, elle m’accompagne pour saluer Éric. Il se lève. Le pan du peignoir s’ouvre, Evelyne est aux premières loges pour sentir le pieux d’Éric. Après un baiser, Evelyne me dit « tu ne vas pas le laisser ainsi, je vais me prendre une douche et j’arrive. ». Je me colle à Éric, le fixe et ma main glisse sur son sexe. Je le caresse, je vise ces couilles, je les prends en main je masse sous pèse. Je m’accroupi, je lèche sa queue, du gland vers les boules. Je les gobe. Je joue avec et lui donne des réactions électrisantes. J’aspire ces boules, elles occupent beaucoup de place et ma langue les caresses. Éric est appuyé contre le dossier du canapé. Des mots crus sont lancés, cela m’excite. Le remonte vers son gland et englouti sa pine. Je progresse doucement, elle m’empêche de jouer avec ma langue. Je pose ma main sur ma chatte, ma robe et relevée, mes doigts alternent entre la caresse mon clito et la pénétration au plus loin dans ma chatte. Ma tête fait des va et vient, il libère une salve de sperme au de ma gorge, une seconde vient se rependre sur mon visage et une troisième sur mes seins. « Putain quelle salope ! » lâche-t-il. A croire qu’il a fait des réserves depuis lundi. A peine relevé qu’Evelyne et me félicite pour mon masque de beauté. Elle s’empresse de lécher mes joues, mon front et mon décolleté.
Moins tendu, Éric reprend sa place, dans le fauteuil. Evelyne, a revêtu une nuisette blanche très transparente. La seconde bouteille a pris le chemin de la première. Je propose le jacuzzi, car j’adore. Je retire ma rode de salope, Evelyne suit. Éric est à côté de moi, Evelyne en face. Éric caresse mes seins et pince mes tétons, tandis que Evelyne de son pied au ongles peints, masse sa queue, et maltraite certainement ces boules car il tressaute de temps à autres et ses pincements sont plus forts. Son sexe montre le bout de son gland par-dessus les bulles, plus les caresses d’Evelyne dure, plus je le sens glisser. Je prends son manche et le branle et Evelyne joue du pied sur son sac. Evelyne me fait comprendre que « elle aussi veut sa part de crème ». Je la laisse à ce plaisir Éric sort le bassin de l’eau et Evelyne en experte le pompe. Je me caresse en profitant du spectacle. Je ne tarde pas à jouir, imité par Éric. Il délivre encore une belle quantité de semence et la partage avec moi.
Pas envie de faire de repas, enfin plutôt Evelyne qui cuisine ultra bien. Nous commandons des pizzas, une bouteille de lambrusco. Nous avons frôlé l’incident. Evelyne répond à l’interphone, remet sa nuisette. Lorsque Evelyne ouvre la porte, le jeune livreur laisse échapper, la bouteille qui par chance pour nous, moins pour le livreur, tombe sur son pied et ne casse pas. Evelyne, s’excuse donne un baiser sur la bouche du livreur, paye laisse un pourboire et prend congé. Le pauvre.
Nous passons à table, le lambrusco est vide, je suis pompette. Je file dans la chambre. Et me pose sur le lit, puis c’est le trou. Ils ont rejoint la chambre, je ne me rends compte de leur présence qu’a mon réveil. La tête dans le brouillard je prends mon petit-déjeuner et réalise qu’Éric ne nous a pas annoncer ce qu’il devait nous dire.
Evelyne se réveille, s’avance dans une démarche qui en dit long. Elle m’embrasse, se sert un thé, dans un regard complice, elle me dit « voilà nous lui avons ouvert toutes nos portes. » Je lui souris et l’embrasse. Evelyne se prépare. Evelyne est prête et sort du dressing, croise Éric, l’embrasse, lui sourit, s’accroupi et embrasse le gland décalotté d’Éric. Quitte l’appartement en lançant un « Bonne matinée, amusez-vous bien. ». Éric s’approche et me pose un baiser, et me glisse « avec vous je suis au paradis, je n’ai jamais autant joui et j’en ai mal à la queue. Vous êtes deux sacrées salopes. ». Amusée j’envoie un SMS à Evelyne…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mathy
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...