Récit libertin de Jean - Au sauna
Récit érotique écrit par Elyiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2019 dans la catégorie Plus on est
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Récit libertin de Jean - Au sauna
Nous entrons tous les cinq à la suite de Chiara dans un des petits salons qui bordent le corridor. La salle est suffisamment grande pour trois couples et il y a un miroir en face de la porte. Le matelas qui tient la majeure partie de l’espace disponible est attaché à même le sol, il est en similicuir de couleur rouge. Il y a un petit bol avec des préservatifs mais Hélias en dispose quelques-uns de meilleure qualité sur le matelas. Chiara me prend par la main et se laisse glisser sur le matelas. Hélias fait de même et les filles s’installent en tailleur dans un coin.
Nous discutons un peu en nous caressant les uns les autres :
« C’est la première fois que vous sortez, n’est-ce pas, demande Hélias ?
- Oui ! Ca se voit tant que ça, demande Cécile ?
- Un peu. Et puis le couple Martin est celui par qui tous les couples passent pour visiter l’établissement. On ne vient pas forcément souvent mais chaque fois que nous venons, ils sont là. Le père Martin était le professeur de Chiara au lycée ! »
Les filles s’abstiennent de dire qu’il est leur professeur alors que la belle Chiara, malgré son éducation, s’adonne sur moi à des caresses sans doute réprouvées par le livre.
Je sens qu’elle me désire et elle me le fait savoir avec ses mains et sa bouche qui parcourent mon corps. Je caresse Cécile pour lui montrer que je ne l’oublie pas mais elle semble s’en moquer et s’installe sous Capucine pour faire un soixante-neuf comme elles aiment souvent s’y adonner. Hélias a déjà enfilé un préservatif et je comprends qu’il compte bien pénétrer l’une ou l’autre des filles avec qui je suis arrivé. Tout d’un coup, je sens comme un stress d’avoir à pénétrer Chiara et malgré ses caresses, je perds mon érection.
Elle m’allonge sur le dos et s’assoit littéralement sur mon visage pour que je la lèche. Je m’y adonne autant que faire se peut et en ne pensant plus à la compétition. Mon sexe reprend les proportions suffisantes au plaisir de Chiara qui enfile un préservatif dessus et fait glisser son corps jusqu’à ce que mon sexe glisse dans le sien. Elle bouge frénétiquement et j’entends des petits cris du côté de Capucine qui est prise en levrette par Hélias alors que Cécile la lèche. Le rythme et la puissance qu’impose Hélias semble prendre Capucine de court mais elle tente quand même de se concentrer sur le sexe de Cécile. De mon côté, le rythme est également très soutenu mais je pense pouvoir tenir suffisamment longtemps pour apporter du plaisir à la jolie jeune femme qui me chevauche. Je m’occupe de son clitoris et d’un de ses seins. Il est lourd et beaucoup plus gros que ceux de Cécile ou Capucine. J’ai presque du mal à savoir comment m’en occuper décemment. Elle accélère encore la cadence et elle commence à crier à pleine voix. Sur le moment, j’ai peur qu’on nous surprenne mais je me rends vite compte que ce type de cris ne choquent personne et Capucine semble le comprendre aussi car elle se lâche complètement.
La pièce est emplie de nos cris, ceux de Chiara et Capucine dominent mais Hélias et moi donnons de la voix également. Pour être honnête, je surjoue un peu pour profiter du plaisir de pouvoir exulter sans peur d’ameuter les voisins. Cécile est beaucoup plus calme. Il faut dire que Capucine a du mal à se concentrer sur elle alors qu’elle subit les assauts répétés du mâle derrière elle et que Cécile doit s’appliquer à lui lécher correctement la chatte. Hélias se retire et se présente devant Chiara, lui éjacule de longs traits sur le visage, les seins et le ventre. Quelques gouttes perlent jusqu’à mon corps mais Chiara les récupère du doigt et les porte à sa bouche. Elle me demande de la prendre en levrette car elle n’en peut plus. Je la prends face au miroir en essayant de donner le rythme auquel elle doit être habituée avec son homme. Force est de constater que je ne suis pas aussi fort et endurant que lui. Je reviens à une cadence que je peux tenir et elle me demande de la fesser pendant que je la pénètre. Je donne des petites fessées mais elle me demande d’y mettre plus de force. Je frappe de plus en plus fort pendant qu’Hélias s’est positionné pour lécher Cécile et que Capucine est allongée à moitié endormie et qu’elle nous regarde. Cécile ne tarde pas à jouir tout ce qu’elle peut. Je ne l’ai jamais entendue comme ça et ça me fait un peu peur. J’ai peur qu’elle me trouve nul après cet homme qui semble être une bête de sexe.
Je sens les doigts de Chiara s’agiter contre son clitoris et quand mes boules tapent contre le dos de sa main, ça déclenche en moi de bonnes ondes. Je fais des mouvements plus amples pour sentir mes testicules taper fort contre sa main et ce va-et-vient ne tarde pas à me faire jouir. Cécile jouit à son tour alors que Capucine lui caresse les seins et lui lèche le lobe d’une oreille. Je jette mon préservatif et Hélias nettoie les traces de sperme.
« Alors ? Ca vous a plu ?
- Putain ! Oui ! Tu lèches comme un dieu, faudra que tu donnes deux trois conseils à Jean »
Je me sens touché dans mon amour propre et Cécile le voit mais c’est Chiara qui récupère la conversation :
« Tu ne peux pas en savoir autant qu’Hélias alors qu’on baise deux fois par jour en moyenne depuis plus de dix ans. Ce n’est pas une insulte, c’est une demande. Tu te débrouilles bien pour un petit jeune. Tu as dû avoir quelques expériences avec des vieilles avant elles.
- Ca ne fait que quelques mois que j’ai perdu ma virginité et c’était avec une femme un peu plus vieille en effet.
- Vous êtes jeunes et beaux et j’ai adoré te chevaucher. Ca fait plaisir de venir en club et de trouver un peu de viande fraîche. Alors Capucine, comment tu te sens ?
- J’ai un peu perdu mes esprits mais c’était bon. Je crois que j’ai besoin de boire quelque chose de sucré. Je ne suis pas trop habituée aux hommes !
- Vous avez quel âge ?
- J’ai 21 ans.
- Capucine et moi, on vient d’avoir 18 ans. Monsieur Martin est toujours notre prof d’histoire… »
Ils sont surpris autant l’un que l’autre mais ne font pas de commentaires. Hélias propose d’aller prendre la boisson sucrée dont Capucine a tant besoin. Un couple attend que nous sortions pour prendre possession des lieux et Hélias prend vers la droite et la grande salle au lieu de la gauche et les escaliers qui mènent au bar. De suite, il prend la porte suivante et s’engouffre dans un couloir qui semble faire le tour de la salle dans laquelle nous étions. Les trois filles le suivent et je ferme la marche. Il y a en fait une petite salle dans laquelle sont installés deux couples sur un canapé et qui regarde quelque chose sur le mur. Hélias et Chiara font une révérence avant que je ne m’aperçoive que le miroir était sans teint et que ces couples nous ont certainement vus. Capucine et Cécile font également une révérence en riant et je suis le mouvement. Une des femmes déclare :
« Merci pour ce moment »
Nous faisons demi-tour et prenons les escaliers en direction du bar. Pendant que nous avançons, je vois que le club s’est encore rempli et des cris de jouissance s’élèvent d’un peu partout. Des milliers de pensées se bousculent dans ma tête. Je me demande si j’ai vraiment été à la hauteur et si des « cours » avec Elise ou Jade ne pourraient pas être bénéfiques. J’en viens à penser que ça fait quelques temps que j’ai envie d’Elise mais que je n’ose pas lui dire. Nous nous installons au bar et Chiara nous dit que si nous voulons boire de l’alcool, nous pouvons dormir chez eux et qu’elle ne boira pas.
« Je suis le seul à avoir le permis et je pense qu’il est mieux que Capucine et Cécile soient rentrées demain matin.
- Ah bon ? Pourquoi ? me répond Cécile. Pour aller à l’église ?
- Je pensais que vous aviez du travail pour préparer le bac.
- Vu ce à quoi ça sert, vous pouvez rester vous amuser avec nous ou avec d’autres. Si vous n’avez pas bosser avant, vous ne l’aurez pas et de toute façon, les écoles ont déjà fait leur choix sur votre dossier, intervient Chiara !
- Perso, je m’en fous, je peux rentrer demain. Comme ça, Hélias pourra me donner des cours de léchage, dis-je pour amuser les autres et cela semble marcher »
La discussion est légère et les verres s’enchaînent. Capucine et Cécile sont complètement désinhibées. Elles se caressent les seins l’une de l’autre en se faisant des bisous comme un couple devant les regards lubriques des couples plus ou moins vieux qui peuplent le bar. Je n’ose pas imaginer la prochaine leçon d’histoire vu que Jacques fait partie des spectateurs. A leur droite, Hélias les regarde avec envie pendant que Chiara frotte ses jambes de la même manière que Capucine dans la matinée. Elles rigolent en regardant les couples dont certains se masturbent autour d’elles. Elles font leur spectacle et elles sont fières. Je ne distingue pas ce qu’elles se disent à cause de la musique et du brouhaha mais j’imagine qu’elles s’encouragent l’une l’autre et se disent des mots doux car je vois leurs lèvres bouger.
Soudain, elles se mettent toutes les deux à genoux à même le sol et se succède pour sucer le sexe d’Hélias qui a repris du volume. Je discute d’échangisme avec Chiara pendant ce temps. Elle me raconte ses aventures et je raconte les quelques miennes. Elle a du mal à comprendre qu’on est commencé aussi vite, que ce soit moi ou les filles et elle me dit que ça leur a pris presque six ans avant de franchir le pas. Du coin de l’œil, j’observe les filles qui maintenant sucent à deux en se faisant des bisous de temps à autre. Capucine est à sa troisième tequila sunrise alors que Cécile doit avoir bu quatre ou cinq mojitos ? Je bois du cuba libre mais un peu moins vite pour pouvoir garder la tête claire. Cela doit faire une quinzaine de minutes maintenant que les filles s’affairent à essayer de faire jouir Hélias mais n’y arrivent pas. Il est plutôt endurant si je crois ce que j’ai pu voir dans le petit salon. Je suis en train de parler d’une soirée chez Jade et je commence à avoir une belle érection en me rappelant ce moment quand j’entends :
« J’ai gagné »
C’est la voix de Capucine qui se retourne vers nous avec les lèvres maculées de sperme. Je comprends vite qu’elles faisaient un petit concours pour voir qui ferait jouir Hélias. Cécile est un peu furieuse et elle propose :
« On monte dans la salle avec les trous et on va voir qui en fait jouir le plus »
Je suis interloqué. Elle l’a dit suffisamment fort pour que qu’une partie de la salle l’entende. Je me dis que ça doit être l’alcool mais avant que j’aie le temps de les mettre en garde contre quelque chose qu’elles pourraient regretter, elles sont déjà en route. Chiara sourit et dit qu’elle va participer aussi. Hélias a besoin d’un peu de temps pour se remettre et je finis tranquillement mon verre. Cela fait bien cinq minutes qu’elles sont parties quand nous nous levons pour voir ce qu’il se passe.
Il y a cinq hommes collés contre la paroi trouée et j’imagine les filles en train de s’affairer derrière. Je ne sais pas si elles ne sont que trois mais tous les hommes semblent profiter du moment. Un premier s’éloigne avec un sexe qui témoigne d’une éjaculation récente et je me demande qui a bien pu réussir en première. Au même moment, j’entends Cécile dire :
« Deux pour moi aussi »
Un autre homme s’éloigne et ça veut dire qu’il y en a au moins quatre qui ont déjà joui. Ils ont dû passer le mot en bas car beaucoup d’hommes arrivent. Certains avec leurs femmes, d’autres, sans. Pendant que les hommes se font sucer, les femmes s’installent sur l’immense lit et une orgie lesbienne commence. Les corps de plus en plus nombreux de femmes s’entremêlent et mon érection est à son comble. J’aimerais m’immiscer mais je sens que ce n’est pas le moment. J’admire les femmes entre elles en me masturbant légèrement. Hélias m’invite à aller me faire sucer aussi. En me dirigeant vers la file qui s’est formée pour accéder aux trous qui se libèrent, je me demande si j’arriverai à reconnaître celle qui va me sucer.
Il y a cinq à six trous accessibles et ceux de gauche semblent aller plus vite que ceux du centre ou de la droite. Je me dis que c’est peut-être Chiara. Depuis l’éclat de voix de Cécile, on n’entend plus venir de l’autre côté de la paroi que des bruits de succions. Mon imagination part au galop. Il y a déjà eu autour de quinze éjaculations et soit elles ont les bouches pleines, soit elles sont couvertes de sperme. La file avance mais ne grossit plus. Mon tour arrive et je place mon sexe dans un des trous libres. Il est pris en main mais pas encore sucé. La main me caresse les boules et fait des va-et-vient par alternance. L’homme a ma droite se retire, aussitôt remplacé par un autre et la bouche rejoint la main pour me faire jouir. J’ai la certitude qu’il s’agit de Cécile. Je crois que je la reconnaîtrais entre mille. Je n’avais pas réussi à la soirée chez Jade mais cette fois, j’en suis sûr. On sent un peu de fatigue dans la façon de faire mais aussi le désir de gagner. J’essaye de jouir le plus vite possible pour lui permettre de passer à un autre et gagner un point rapidement. Elle carbure de siphon et elle m’astique le sexe rapidement pour me faire jouir. Du coin de l’œil, je mate l’enchevêtrement de femmes duquel s’élèvent des cris de jouissance de plus en plus prononcés. Je concentre mon regard vers un espèce de soixante-neuf en triangle et je ne tarde pas sentir le sperme venir. Quand elle sent les testicules se contracter, elle se recule et j’éjacule dans le vide. Sans doute sur ses seins ou sur ses genoux. Elle m’a reconnu également et m’invite à rentrer.
Je franchis la porte et dans la pénombre de cette petite salle, l’odeur du sperme est prenante et la lumière noire fait ressortir les traces blanches sur les trois filles. Je dirais que c’est Capucine qui en est le moins recouverte. Entre Chiara et Cécile, difficile de voir. Elles enchaînent chacune deux ou trois sexes de plus avant que Chiara annonce fièrement qu’elle est la première à dix. Les deux autres s’arrêtent également et Cécile est arrivée à huit alors que Capucine n’est qu’à six. L’expérience semble être l’élément départageant. Cécile se lève et étire ses genoux. Chiara lui demande de l’aide pour se relever et une fois debout, elle vient se frotter à elle. Elles sont toutes les deux couvertes de sperme et elles rigolent en se l’étalant l’une sur l’autre. Capucine qui avait l’air un peu déçue d’avoir perdu les rejoint vite dans leur jeu et elles se retrouvent toutes les trois badigeonner de sperme. Je les laisse jouer et je rejoins Hélias qui s’est assis sur un fauteuil et entourés d’autres hommes, il profite de l’orgie lesbienne.
Nous discutons un peu en nous caressant les uns les autres :
« C’est la première fois que vous sortez, n’est-ce pas, demande Hélias ?
- Oui ! Ca se voit tant que ça, demande Cécile ?
- Un peu. Et puis le couple Martin est celui par qui tous les couples passent pour visiter l’établissement. On ne vient pas forcément souvent mais chaque fois que nous venons, ils sont là. Le père Martin était le professeur de Chiara au lycée ! »
Les filles s’abstiennent de dire qu’il est leur professeur alors que la belle Chiara, malgré son éducation, s’adonne sur moi à des caresses sans doute réprouvées par le livre.
Je sens qu’elle me désire et elle me le fait savoir avec ses mains et sa bouche qui parcourent mon corps. Je caresse Cécile pour lui montrer que je ne l’oublie pas mais elle semble s’en moquer et s’installe sous Capucine pour faire un soixante-neuf comme elles aiment souvent s’y adonner. Hélias a déjà enfilé un préservatif et je comprends qu’il compte bien pénétrer l’une ou l’autre des filles avec qui je suis arrivé. Tout d’un coup, je sens comme un stress d’avoir à pénétrer Chiara et malgré ses caresses, je perds mon érection.
Elle m’allonge sur le dos et s’assoit littéralement sur mon visage pour que je la lèche. Je m’y adonne autant que faire se peut et en ne pensant plus à la compétition. Mon sexe reprend les proportions suffisantes au plaisir de Chiara qui enfile un préservatif dessus et fait glisser son corps jusqu’à ce que mon sexe glisse dans le sien. Elle bouge frénétiquement et j’entends des petits cris du côté de Capucine qui est prise en levrette par Hélias alors que Cécile la lèche. Le rythme et la puissance qu’impose Hélias semble prendre Capucine de court mais elle tente quand même de se concentrer sur le sexe de Cécile. De mon côté, le rythme est également très soutenu mais je pense pouvoir tenir suffisamment longtemps pour apporter du plaisir à la jolie jeune femme qui me chevauche. Je m’occupe de son clitoris et d’un de ses seins. Il est lourd et beaucoup plus gros que ceux de Cécile ou Capucine. J’ai presque du mal à savoir comment m’en occuper décemment. Elle accélère encore la cadence et elle commence à crier à pleine voix. Sur le moment, j’ai peur qu’on nous surprenne mais je me rends vite compte que ce type de cris ne choquent personne et Capucine semble le comprendre aussi car elle se lâche complètement.
La pièce est emplie de nos cris, ceux de Chiara et Capucine dominent mais Hélias et moi donnons de la voix également. Pour être honnête, je surjoue un peu pour profiter du plaisir de pouvoir exulter sans peur d’ameuter les voisins. Cécile est beaucoup plus calme. Il faut dire que Capucine a du mal à se concentrer sur elle alors qu’elle subit les assauts répétés du mâle derrière elle et que Cécile doit s’appliquer à lui lécher correctement la chatte. Hélias se retire et se présente devant Chiara, lui éjacule de longs traits sur le visage, les seins et le ventre. Quelques gouttes perlent jusqu’à mon corps mais Chiara les récupère du doigt et les porte à sa bouche. Elle me demande de la prendre en levrette car elle n’en peut plus. Je la prends face au miroir en essayant de donner le rythme auquel elle doit être habituée avec son homme. Force est de constater que je ne suis pas aussi fort et endurant que lui. Je reviens à une cadence que je peux tenir et elle me demande de la fesser pendant que je la pénètre. Je donne des petites fessées mais elle me demande d’y mettre plus de force. Je frappe de plus en plus fort pendant qu’Hélias s’est positionné pour lécher Cécile et que Capucine est allongée à moitié endormie et qu’elle nous regarde. Cécile ne tarde pas à jouir tout ce qu’elle peut. Je ne l’ai jamais entendue comme ça et ça me fait un peu peur. J’ai peur qu’elle me trouve nul après cet homme qui semble être une bête de sexe.
Je sens les doigts de Chiara s’agiter contre son clitoris et quand mes boules tapent contre le dos de sa main, ça déclenche en moi de bonnes ondes. Je fais des mouvements plus amples pour sentir mes testicules taper fort contre sa main et ce va-et-vient ne tarde pas à me faire jouir. Cécile jouit à son tour alors que Capucine lui caresse les seins et lui lèche le lobe d’une oreille. Je jette mon préservatif et Hélias nettoie les traces de sperme.
« Alors ? Ca vous a plu ?
- Putain ! Oui ! Tu lèches comme un dieu, faudra que tu donnes deux trois conseils à Jean »
Je me sens touché dans mon amour propre et Cécile le voit mais c’est Chiara qui récupère la conversation :
« Tu ne peux pas en savoir autant qu’Hélias alors qu’on baise deux fois par jour en moyenne depuis plus de dix ans. Ce n’est pas une insulte, c’est une demande. Tu te débrouilles bien pour un petit jeune. Tu as dû avoir quelques expériences avec des vieilles avant elles.
- Ca ne fait que quelques mois que j’ai perdu ma virginité et c’était avec une femme un peu plus vieille en effet.
- Vous êtes jeunes et beaux et j’ai adoré te chevaucher. Ca fait plaisir de venir en club et de trouver un peu de viande fraîche. Alors Capucine, comment tu te sens ?
- J’ai un peu perdu mes esprits mais c’était bon. Je crois que j’ai besoin de boire quelque chose de sucré. Je ne suis pas trop habituée aux hommes !
- Vous avez quel âge ?
- J’ai 21 ans.
- Capucine et moi, on vient d’avoir 18 ans. Monsieur Martin est toujours notre prof d’histoire… »
Ils sont surpris autant l’un que l’autre mais ne font pas de commentaires. Hélias propose d’aller prendre la boisson sucrée dont Capucine a tant besoin. Un couple attend que nous sortions pour prendre possession des lieux et Hélias prend vers la droite et la grande salle au lieu de la gauche et les escaliers qui mènent au bar. De suite, il prend la porte suivante et s’engouffre dans un couloir qui semble faire le tour de la salle dans laquelle nous étions. Les trois filles le suivent et je ferme la marche. Il y a en fait une petite salle dans laquelle sont installés deux couples sur un canapé et qui regarde quelque chose sur le mur. Hélias et Chiara font une révérence avant que je ne m’aperçoive que le miroir était sans teint et que ces couples nous ont certainement vus. Capucine et Cécile font également une révérence en riant et je suis le mouvement. Une des femmes déclare :
« Merci pour ce moment »
Nous faisons demi-tour et prenons les escaliers en direction du bar. Pendant que nous avançons, je vois que le club s’est encore rempli et des cris de jouissance s’élèvent d’un peu partout. Des milliers de pensées se bousculent dans ma tête. Je me demande si j’ai vraiment été à la hauteur et si des « cours » avec Elise ou Jade ne pourraient pas être bénéfiques. J’en viens à penser que ça fait quelques temps que j’ai envie d’Elise mais que je n’ose pas lui dire. Nous nous installons au bar et Chiara nous dit que si nous voulons boire de l’alcool, nous pouvons dormir chez eux et qu’elle ne boira pas.
« Je suis le seul à avoir le permis et je pense qu’il est mieux que Capucine et Cécile soient rentrées demain matin.
- Ah bon ? Pourquoi ? me répond Cécile. Pour aller à l’église ?
- Je pensais que vous aviez du travail pour préparer le bac.
- Vu ce à quoi ça sert, vous pouvez rester vous amuser avec nous ou avec d’autres. Si vous n’avez pas bosser avant, vous ne l’aurez pas et de toute façon, les écoles ont déjà fait leur choix sur votre dossier, intervient Chiara !
- Perso, je m’en fous, je peux rentrer demain. Comme ça, Hélias pourra me donner des cours de léchage, dis-je pour amuser les autres et cela semble marcher »
La discussion est légère et les verres s’enchaînent. Capucine et Cécile sont complètement désinhibées. Elles se caressent les seins l’une de l’autre en se faisant des bisous comme un couple devant les regards lubriques des couples plus ou moins vieux qui peuplent le bar. Je n’ose pas imaginer la prochaine leçon d’histoire vu que Jacques fait partie des spectateurs. A leur droite, Hélias les regarde avec envie pendant que Chiara frotte ses jambes de la même manière que Capucine dans la matinée. Elles rigolent en regardant les couples dont certains se masturbent autour d’elles. Elles font leur spectacle et elles sont fières. Je ne distingue pas ce qu’elles se disent à cause de la musique et du brouhaha mais j’imagine qu’elles s’encouragent l’une l’autre et se disent des mots doux car je vois leurs lèvres bouger.
Soudain, elles se mettent toutes les deux à genoux à même le sol et se succède pour sucer le sexe d’Hélias qui a repris du volume. Je discute d’échangisme avec Chiara pendant ce temps. Elle me raconte ses aventures et je raconte les quelques miennes. Elle a du mal à comprendre qu’on est commencé aussi vite, que ce soit moi ou les filles et elle me dit que ça leur a pris presque six ans avant de franchir le pas. Du coin de l’œil, j’observe les filles qui maintenant sucent à deux en se faisant des bisous de temps à autre. Capucine est à sa troisième tequila sunrise alors que Cécile doit avoir bu quatre ou cinq mojitos ? Je bois du cuba libre mais un peu moins vite pour pouvoir garder la tête claire. Cela doit faire une quinzaine de minutes maintenant que les filles s’affairent à essayer de faire jouir Hélias mais n’y arrivent pas. Il est plutôt endurant si je crois ce que j’ai pu voir dans le petit salon. Je suis en train de parler d’une soirée chez Jade et je commence à avoir une belle érection en me rappelant ce moment quand j’entends :
« J’ai gagné »
C’est la voix de Capucine qui se retourne vers nous avec les lèvres maculées de sperme. Je comprends vite qu’elles faisaient un petit concours pour voir qui ferait jouir Hélias. Cécile est un peu furieuse et elle propose :
« On monte dans la salle avec les trous et on va voir qui en fait jouir le plus »
Je suis interloqué. Elle l’a dit suffisamment fort pour que qu’une partie de la salle l’entende. Je me dis que ça doit être l’alcool mais avant que j’aie le temps de les mettre en garde contre quelque chose qu’elles pourraient regretter, elles sont déjà en route. Chiara sourit et dit qu’elle va participer aussi. Hélias a besoin d’un peu de temps pour se remettre et je finis tranquillement mon verre. Cela fait bien cinq minutes qu’elles sont parties quand nous nous levons pour voir ce qu’il se passe.
Il y a cinq hommes collés contre la paroi trouée et j’imagine les filles en train de s’affairer derrière. Je ne sais pas si elles ne sont que trois mais tous les hommes semblent profiter du moment. Un premier s’éloigne avec un sexe qui témoigne d’une éjaculation récente et je me demande qui a bien pu réussir en première. Au même moment, j’entends Cécile dire :
« Deux pour moi aussi »
Un autre homme s’éloigne et ça veut dire qu’il y en a au moins quatre qui ont déjà joui. Ils ont dû passer le mot en bas car beaucoup d’hommes arrivent. Certains avec leurs femmes, d’autres, sans. Pendant que les hommes se font sucer, les femmes s’installent sur l’immense lit et une orgie lesbienne commence. Les corps de plus en plus nombreux de femmes s’entremêlent et mon érection est à son comble. J’aimerais m’immiscer mais je sens que ce n’est pas le moment. J’admire les femmes entre elles en me masturbant légèrement. Hélias m’invite à aller me faire sucer aussi. En me dirigeant vers la file qui s’est formée pour accéder aux trous qui se libèrent, je me demande si j’arriverai à reconnaître celle qui va me sucer.
Il y a cinq à six trous accessibles et ceux de gauche semblent aller plus vite que ceux du centre ou de la droite. Je me dis que c’est peut-être Chiara. Depuis l’éclat de voix de Cécile, on n’entend plus venir de l’autre côté de la paroi que des bruits de succions. Mon imagination part au galop. Il y a déjà eu autour de quinze éjaculations et soit elles ont les bouches pleines, soit elles sont couvertes de sperme. La file avance mais ne grossit plus. Mon tour arrive et je place mon sexe dans un des trous libres. Il est pris en main mais pas encore sucé. La main me caresse les boules et fait des va-et-vient par alternance. L’homme a ma droite se retire, aussitôt remplacé par un autre et la bouche rejoint la main pour me faire jouir. J’ai la certitude qu’il s’agit de Cécile. Je crois que je la reconnaîtrais entre mille. Je n’avais pas réussi à la soirée chez Jade mais cette fois, j’en suis sûr. On sent un peu de fatigue dans la façon de faire mais aussi le désir de gagner. J’essaye de jouir le plus vite possible pour lui permettre de passer à un autre et gagner un point rapidement. Elle carbure de siphon et elle m’astique le sexe rapidement pour me faire jouir. Du coin de l’œil, je mate l’enchevêtrement de femmes duquel s’élèvent des cris de jouissance de plus en plus prononcés. Je concentre mon regard vers un espèce de soixante-neuf en triangle et je ne tarde pas sentir le sperme venir. Quand elle sent les testicules se contracter, elle se recule et j’éjacule dans le vide. Sans doute sur ses seins ou sur ses genoux. Elle m’a reconnu également et m’invite à rentrer.
Je franchis la porte et dans la pénombre de cette petite salle, l’odeur du sperme est prenante et la lumière noire fait ressortir les traces blanches sur les trois filles. Je dirais que c’est Capucine qui en est le moins recouverte. Entre Chiara et Cécile, difficile de voir. Elles enchaînent chacune deux ou trois sexes de plus avant que Chiara annonce fièrement qu’elle est la première à dix. Les deux autres s’arrêtent également et Cécile est arrivée à huit alors que Capucine n’est qu’à six. L’expérience semble être l’élément départageant. Cécile se lève et étire ses genoux. Chiara lui demande de l’aide pour se relever et une fois debout, elle vient se frotter à elle. Elles sont toutes les deux couvertes de sperme et elles rigolent en se l’étalant l’une sur l’autre. Capucine qui avait l’air un peu déçue d’avoir perdu les rejoint vite dans leur jeu et elles se retrouvent toutes les trois badigeonner de sperme. Je les laisse jouer et je rejoins Hélias qui s’est assis sur un fauteuil et entourés d’autres hommes, il profite de l’orgie lesbienne.
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