Récits de lectrices : Clotilde : La fessée (partie 2/4)
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Récits de lectrices : Clotilde : La fessée (partie 2/4)
Récit proposé par une de mes lectrices dont j’ai la lourde tâche d’écrire et de mettre en page, en respectant scrupuleusement ses aventures sexuelles qu’elle a vécues.
Le lendemain Gérard devait travailler, il avait dit à Clotilde : si elle voulait rester chez lui, il serait heureux de l’héberger autant de jours, de mois ou des années qu’elle le désirait. Néanmoins, elle devait, pour cela, suivre certaines règles, c’était ses conditions :
— Si tu restes, je serai ton amant, tu devras m’obéir. Ici tu ne dois pas porter de culotte, je dois pouvoir te faire l’amour lorsque j’ai envie. Tu feras le ménage et mes repas et je te récompenserai. Tu auras de l’argent et je t’apprendrai à devenir une vraie femme, prête à satisfaire son amant. Es-tu d’accord ?
— ... Oui Gérard !
— Non ! Pas Gérard, c’est beaucoup plus bandant, pour moi, si tu m’appelle Monsieur.
Il était parti depuis une heure lorsque Clotilde prit son petit déjeuner, prit sa douche et s’habilla. Elle préparait le peu d’affaires qu’elle avait et s’apprêtait à quitter la maison, sa décision de rester ici n’était pas évidente à prendre. Elle était devant la porte prête à l’ouvrir pour quitter les lieux. Elle était anxieuse, elle avait connu une nuit d’amour folle et avait envie que cela continu mais d’un autre côté, elle avait peur de rester avec un homme qui semblait très sévère, elle ne le connaissait que trop peu et de surcroit plus vieux que son père. Elle se posa encore la question :
« Où vais-je aller, si je ne reste pas là ? »
Son cœur battait fort. Elle avait la poignée dans la main mais n’ouvrit pas la porte. Elle retourna déposer son sac dans sa chambre et se fit à faire le ménage. La maison n’était pas grande, mais elle était habitée par un célibataire. Il y avait beaucoup de travail. Elle avait fait le tour du propriétaire, pièce par pièce, commença à nettoyer, frotter et laver les sols des toilettes, de la salle de bain, de la cuisine et la chambre de Gérard.
En fin d’après-midi, elle n’avait pas fait la chambre d’ami, ni le salon ni la salle à manger. Pour le reste, tout fut dépoussiéré, lavé et rangé dans les meubles. Elle était crevée mais fière du devoir accompli. Elle pensait que Gérard serait content de son travail. Il était 18 heures, elle s’était installée dans le canapé, elle regardait la télé lorsqu’elle l’entendit ouvrir la porte. Elle se leva et alla au-devant de lui, elle passa ses bras autour de son cou pour lui faire la bise :
— C’est bien, je vois, que tu as pris ta décision !
— Bonjour Monsieur, je vous attendais avec impatience !
Immédiatement, il lui mit une main sur les fesses en disant :
— Veux-tu devenir une vraie femme ? Veux-tu que je te forme à cela ?
— Oui Monsieur, apprenez-moi, je n’ai pas envie de vous quitter, je ferai ce que vous me demanderez.
— Je vois que tu as fait du ménage, c’est très bien. Mais as-tu préparer le repas ?
— Pas encore Monsieur, je vais le faire.
— Pourquoi es-tu devant la télé alors.
Il la mit en garde et lui expliqua plus en détails ce qu’il attendait d’elle, il avait senti qu’elle avait un potentiel pour devenir une vraie petite salope. Mais il avait tout à faire il serait son initiateur, son seigneur. Elle devait tout apprendre sur le maximum de pratiques sexuelles pour devenir sa salope :
— Déshabille-toi ! Lui dit-il fermement
Ces mots et surtout le ton, avaient impressionné Clotilde, elle paniqua un peu, elle ne voulait surtout pas le décevoir. Elle enleva son sweat, elle tremblait encore, puis son débardeur. Elle retira ses baskets et enleva son pantalon de jogging :
— Je t'avais dit pas de culotte chez-moi.
Il se mit assis sur le sofa et lui dit de se pencher sur ses genoux. Il retira sa culotte et la jeta le plus loin possible dans la pièce. En se positionnant à plat ventre sur ses genoux, Clotilde vit la déception dans les yeux de Gérard, elle s’en voulait de ne pas avoir respecté la première règle qui lui avait imposée. Il avait ses fesses devant lui et lui administra une fessée de ses mains qu’elle avait trouvées si douces la veille. Elle fermait la bouche, serrait les dents et gémissait, elle avait mal, les claques étaient fortes et rougissaient la peau de son derrière. Il la releva, elle avait quelques larmes sur les joues. Il lui dit calmement :
— Tu vois Clotilde, quand tu n’obéiras pas, voilà ce qui t’attend. Sache que cela fait partie de ta formation. C’est douloureux voire humiliant mais c’est indispensable pour que l’on puisse bien s’entendre. OK ?
— D’accord ! je …— On dit, oui Monsieur !
— Oui Monsieur Gérard !
— Maintenant assied toi par terre, sur le carrelage.
Gérard commença par lui caresser les seins en lui pinçant les tétons qui pointaient déjà, en disant que la fellation qu’elle avait faite hier soir laissait à désirer et qu’il fallait qu’elle progresse. Il lui montra des cassettes de films X, en sortit une qu’il plaça sur la table en disant :
— Demain je veux que tu apprennes, tu passeras ton contrôle le soir même, lorsque je rentrerai du travail.
— Oui Monsieur !
Il lui expliqua comment faire mais insista pour qu’elle regarde le film. Clotilde fit la moue, elle s’était appliquée pour cette fellation mais à priori, cela n’avait pas suffi à le satisfaire. Elle se promit de bien regarder comment les filles faisaient afin de ne pas le décevoir une nouvelle fois Gérard. Il lui fit remarquer qu’il fallait passer à la pratique :
— Le but du jeu, c’est que l’homme doit jouir le plus vite possible sur ton visage ou dans ta bouche.
— Monsieur, J’appréhende cela, je ne sais pas si je suis capable d’avaler ça.
— Nous verrons cela plus tard, pour le moment tes seins feront l’affaire. Viens maintenant mets en application les quelques conseils que je t’ai donné et entraine-toi.
Elle se mit en position devant lui, les genoux lui faisaient un peu mal sur le carrelage mais ne s’en préoccupait plus. Elle déboutonna, descendit la fermeture éclair et baissa sensuellement son pantalon jusqu’à ses chevilles. Elle lui caressa ses jambes des mollets jusqu’aux cuisses. Elle voulait vraiment lui faire le plus grand bien afin de lui prouver qu’elle méritait son éducation.
Elle plaça son sexe dans sa petite main en le relevant, pour faciliter le massage de ses testicules de son autre main. Elle fit quelques bises de ses lèvres sur le gland décalotté de sa verge et le mouillait de sa salive qu’elle léchait délicieusement au fur et à mesure.
Elle s’aperçut que cela devait lui plaire car sa queue grossissait et durcissait très vite dans sa main. Elle avala son pénis puis tournait sa langue en insistant sur l’extrémité du gland, elle suçait, ressortait sa bite et la léchait puis l’aspirait de nouveau en l’enfonçant de plus en plus profondément jusqu’à la garde, elle ne respirait plus afin qu’elle puisse aller le plus loin possible dans sa gorge.
Elle se retira légèrement pour le masturber en même temps. Il était désormais tendu, raide son érection devenait plus forte, elle avait réussi en quelques minutes à le faire bander comme un cerf, il gémissait doucement. Gérard ne lui avait donné aucun conseil car elle s’appliquait de l’enfoncer le maximum, elle pensait que c’était cela qu’elle n’avait pas réussi la veille. Il sentait qu’il allait se lâcher, il l’arrêta :
— C’est pas mal, tu as fait des progrès, tu prendras le gode à côté des cassettes pour t’entrainer. Attention, ne t’en sert pas pour autre chose, sinon gare à la punition. Tu as bien compris ?
— Bien, Monsieur, je vous le jure.
Il lui demanda de s’allonger sur le carrelage, lorsque son dos entra en contact avec le sol froid du salon, elle ressentit de grands frissons, elle écarta les jambes car il les repoussait de ses mains. Avec les bras en croix, elle lui offrait tout son corps.
Il se dévêtit entièrement son sexe était toujours aussi tendu et pointait vers le haut. Il se baissa et la couvrit de baisers, les tétons de ses seins semblaient explosés tellement ils étaient gros et raides. Sa main descendait et s’arrêta sur les lèvres vaginales qu’il écarta, elle était déjà toute mouillée, la cyprine coulait le long de sa cuisse droite. Il avait pénétré directement deux doigts dans son vagin, les enfonçait puis les ressortait pendant qu’il titillait son clitoris avec son pouce. Elle gémissait de plus en plus fort.
— Clotilde, tu seras une vraie salope, je ne peux pas me tromper. Tu as toutes les qualités pour cela. Vas-y ! Lâche-toi, laisse-toi aller, tu es tellement belle quand tu jouis.
— Ha… Oui..., encore… Venez Monsieur…Humm…
Il s’allongea sur elle et s’engagea dans sa petite chatte mouillée sans précaution, elle était trempée. Il lui mit de vrai coup de pilons, elle voulait qu’il aille plus profond plus fort, Il s’en donnait à cœur joie, ses coups de boutoir la faisait se cambrer presqu’en demi-cercle, elle jouit encore avant lui en lâchant une nouvelle fois un jet de mouille qui arrosait le carrelage dans un long hurlement saccadé par les va et viens incessant de Gérard, son professeur qui prenait possession de son corps.
Il grimaçait, elle comprit qu’il ne pouvait plus se retenir, il perdit le contrôle, elle sentit pour la première fois un homme se vider en elle. Quelle sensation agréable, quelle chaleur ! se dit-elle. Il était resté comme cela sur elle pendant plusieurs minutes, elle avait envie de l’embrasser mais attendait qu’il lui en donne l’ordre, elle ne voulait pas se faire punir après avoir pris un tel plaisir.
Il se releva et l’emmena à la salle de bain. Elle le remercia de son cours si agréable. Il fit un signe avec son doigt posé sur sa joue. Elle passa ses bras autour de son cou et lui fit une grosse bise. Il l’attrapa avec fermeté et l’embrassa, ce baiser fut démentiel, l’eau de la douche coulait sur leur corps pendant que leurs langues dansaient dans leurs bouches. À cet instant, elle comprit qu’il était satisfait, elle savait qu’elle n’était pas prête à le quitter. Demain elle sera encore là :
— Clotilde, demain je pars sur la route de bonne heure, je rentre tard dimanche. Soit prête. Regarde autant de cassettes que tu veux quand tu as fini ton ménage. Surtout ne sors pas et ne te montre pas au voisinage, au moins pas pour le moment.
La suite de l’histoire de Clotilde sera diffusée dans quelques jours.
Le lendemain Gérard devait travailler, il avait dit à Clotilde : si elle voulait rester chez lui, il serait heureux de l’héberger autant de jours, de mois ou des années qu’elle le désirait. Néanmoins, elle devait, pour cela, suivre certaines règles, c’était ses conditions :
— Si tu restes, je serai ton amant, tu devras m’obéir. Ici tu ne dois pas porter de culotte, je dois pouvoir te faire l’amour lorsque j’ai envie. Tu feras le ménage et mes repas et je te récompenserai. Tu auras de l’argent et je t’apprendrai à devenir une vraie femme, prête à satisfaire son amant. Es-tu d’accord ?
— ... Oui Gérard !
— Non ! Pas Gérard, c’est beaucoup plus bandant, pour moi, si tu m’appelle Monsieur.
Il était parti depuis une heure lorsque Clotilde prit son petit déjeuner, prit sa douche et s’habilla. Elle préparait le peu d’affaires qu’elle avait et s’apprêtait à quitter la maison, sa décision de rester ici n’était pas évidente à prendre. Elle était devant la porte prête à l’ouvrir pour quitter les lieux. Elle était anxieuse, elle avait connu une nuit d’amour folle et avait envie que cela continu mais d’un autre côté, elle avait peur de rester avec un homme qui semblait très sévère, elle ne le connaissait que trop peu et de surcroit plus vieux que son père. Elle se posa encore la question :
« Où vais-je aller, si je ne reste pas là ? »
Son cœur battait fort. Elle avait la poignée dans la main mais n’ouvrit pas la porte. Elle retourna déposer son sac dans sa chambre et se fit à faire le ménage. La maison n’était pas grande, mais elle était habitée par un célibataire. Il y avait beaucoup de travail. Elle avait fait le tour du propriétaire, pièce par pièce, commença à nettoyer, frotter et laver les sols des toilettes, de la salle de bain, de la cuisine et la chambre de Gérard.
En fin d’après-midi, elle n’avait pas fait la chambre d’ami, ni le salon ni la salle à manger. Pour le reste, tout fut dépoussiéré, lavé et rangé dans les meubles. Elle était crevée mais fière du devoir accompli. Elle pensait que Gérard serait content de son travail. Il était 18 heures, elle s’était installée dans le canapé, elle regardait la télé lorsqu’elle l’entendit ouvrir la porte. Elle se leva et alla au-devant de lui, elle passa ses bras autour de son cou pour lui faire la bise :
— C’est bien, je vois, que tu as pris ta décision !
— Bonjour Monsieur, je vous attendais avec impatience !
Immédiatement, il lui mit une main sur les fesses en disant :
— Veux-tu devenir une vraie femme ? Veux-tu que je te forme à cela ?
— Oui Monsieur, apprenez-moi, je n’ai pas envie de vous quitter, je ferai ce que vous me demanderez.
— Je vois que tu as fait du ménage, c’est très bien. Mais as-tu préparer le repas ?
— Pas encore Monsieur, je vais le faire.
— Pourquoi es-tu devant la télé alors.
Il la mit en garde et lui expliqua plus en détails ce qu’il attendait d’elle, il avait senti qu’elle avait un potentiel pour devenir une vraie petite salope. Mais il avait tout à faire il serait son initiateur, son seigneur. Elle devait tout apprendre sur le maximum de pratiques sexuelles pour devenir sa salope :
— Déshabille-toi ! Lui dit-il fermement
Ces mots et surtout le ton, avaient impressionné Clotilde, elle paniqua un peu, elle ne voulait surtout pas le décevoir. Elle enleva son sweat, elle tremblait encore, puis son débardeur. Elle retira ses baskets et enleva son pantalon de jogging :
— Je t'avais dit pas de culotte chez-moi.
Il se mit assis sur le sofa et lui dit de se pencher sur ses genoux. Il retira sa culotte et la jeta le plus loin possible dans la pièce. En se positionnant à plat ventre sur ses genoux, Clotilde vit la déception dans les yeux de Gérard, elle s’en voulait de ne pas avoir respecté la première règle qui lui avait imposée. Il avait ses fesses devant lui et lui administra une fessée de ses mains qu’elle avait trouvées si douces la veille. Elle fermait la bouche, serrait les dents et gémissait, elle avait mal, les claques étaient fortes et rougissaient la peau de son derrière. Il la releva, elle avait quelques larmes sur les joues. Il lui dit calmement :
— Tu vois Clotilde, quand tu n’obéiras pas, voilà ce qui t’attend. Sache que cela fait partie de ta formation. C’est douloureux voire humiliant mais c’est indispensable pour que l’on puisse bien s’entendre. OK ?
— D’accord ! je …— On dit, oui Monsieur !
— Oui Monsieur Gérard !
— Maintenant assied toi par terre, sur le carrelage.
Gérard commença par lui caresser les seins en lui pinçant les tétons qui pointaient déjà, en disant que la fellation qu’elle avait faite hier soir laissait à désirer et qu’il fallait qu’elle progresse. Il lui montra des cassettes de films X, en sortit une qu’il plaça sur la table en disant :
— Demain je veux que tu apprennes, tu passeras ton contrôle le soir même, lorsque je rentrerai du travail.
— Oui Monsieur !
Il lui expliqua comment faire mais insista pour qu’elle regarde le film. Clotilde fit la moue, elle s’était appliquée pour cette fellation mais à priori, cela n’avait pas suffi à le satisfaire. Elle se promit de bien regarder comment les filles faisaient afin de ne pas le décevoir une nouvelle fois Gérard. Il lui fit remarquer qu’il fallait passer à la pratique :
— Le but du jeu, c’est que l’homme doit jouir le plus vite possible sur ton visage ou dans ta bouche.
— Monsieur, J’appréhende cela, je ne sais pas si je suis capable d’avaler ça.
— Nous verrons cela plus tard, pour le moment tes seins feront l’affaire. Viens maintenant mets en application les quelques conseils que je t’ai donné et entraine-toi.
Elle se mit en position devant lui, les genoux lui faisaient un peu mal sur le carrelage mais ne s’en préoccupait plus. Elle déboutonna, descendit la fermeture éclair et baissa sensuellement son pantalon jusqu’à ses chevilles. Elle lui caressa ses jambes des mollets jusqu’aux cuisses. Elle voulait vraiment lui faire le plus grand bien afin de lui prouver qu’elle méritait son éducation.
Elle plaça son sexe dans sa petite main en le relevant, pour faciliter le massage de ses testicules de son autre main. Elle fit quelques bises de ses lèvres sur le gland décalotté de sa verge et le mouillait de sa salive qu’elle léchait délicieusement au fur et à mesure.
Elle s’aperçut que cela devait lui plaire car sa queue grossissait et durcissait très vite dans sa main. Elle avala son pénis puis tournait sa langue en insistant sur l’extrémité du gland, elle suçait, ressortait sa bite et la léchait puis l’aspirait de nouveau en l’enfonçant de plus en plus profondément jusqu’à la garde, elle ne respirait plus afin qu’elle puisse aller le plus loin possible dans sa gorge.
Elle se retira légèrement pour le masturber en même temps. Il était désormais tendu, raide son érection devenait plus forte, elle avait réussi en quelques minutes à le faire bander comme un cerf, il gémissait doucement. Gérard ne lui avait donné aucun conseil car elle s’appliquait de l’enfoncer le maximum, elle pensait que c’était cela qu’elle n’avait pas réussi la veille. Il sentait qu’il allait se lâcher, il l’arrêta :
— C’est pas mal, tu as fait des progrès, tu prendras le gode à côté des cassettes pour t’entrainer. Attention, ne t’en sert pas pour autre chose, sinon gare à la punition. Tu as bien compris ?
— Bien, Monsieur, je vous le jure.
Il lui demanda de s’allonger sur le carrelage, lorsque son dos entra en contact avec le sol froid du salon, elle ressentit de grands frissons, elle écarta les jambes car il les repoussait de ses mains. Avec les bras en croix, elle lui offrait tout son corps.
Il se dévêtit entièrement son sexe était toujours aussi tendu et pointait vers le haut. Il se baissa et la couvrit de baisers, les tétons de ses seins semblaient explosés tellement ils étaient gros et raides. Sa main descendait et s’arrêta sur les lèvres vaginales qu’il écarta, elle était déjà toute mouillée, la cyprine coulait le long de sa cuisse droite. Il avait pénétré directement deux doigts dans son vagin, les enfonçait puis les ressortait pendant qu’il titillait son clitoris avec son pouce. Elle gémissait de plus en plus fort.
— Clotilde, tu seras une vraie salope, je ne peux pas me tromper. Tu as toutes les qualités pour cela. Vas-y ! Lâche-toi, laisse-toi aller, tu es tellement belle quand tu jouis.
— Ha… Oui..., encore… Venez Monsieur…Humm…
Il s’allongea sur elle et s’engagea dans sa petite chatte mouillée sans précaution, elle était trempée. Il lui mit de vrai coup de pilons, elle voulait qu’il aille plus profond plus fort, Il s’en donnait à cœur joie, ses coups de boutoir la faisait se cambrer presqu’en demi-cercle, elle jouit encore avant lui en lâchant une nouvelle fois un jet de mouille qui arrosait le carrelage dans un long hurlement saccadé par les va et viens incessant de Gérard, son professeur qui prenait possession de son corps.
Il grimaçait, elle comprit qu’il ne pouvait plus se retenir, il perdit le contrôle, elle sentit pour la première fois un homme se vider en elle. Quelle sensation agréable, quelle chaleur ! se dit-elle. Il était resté comme cela sur elle pendant plusieurs minutes, elle avait envie de l’embrasser mais attendait qu’il lui en donne l’ordre, elle ne voulait pas se faire punir après avoir pris un tel plaisir.
Il se releva et l’emmena à la salle de bain. Elle le remercia de son cours si agréable. Il fit un signe avec son doigt posé sur sa joue. Elle passa ses bras autour de son cou et lui fit une grosse bise. Il l’attrapa avec fermeté et l’embrassa, ce baiser fut démentiel, l’eau de la douche coulait sur leur corps pendant que leurs langues dansaient dans leurs bouches. À cet instant, elle comprit qu’il était satisfait, elle savait qu’elle n’était pas prête à le quitter. Demain elle sera encore là :
— Clotilde, demain je pars sur la route de bonne heure, je rentre tard dimanche. Soit prête. Regarde autant de cassettes que tu veux quand tu as fini ton ménage. Surtout ne sors pas et ne te montre pas au voisinage, au moins pas pour le moment.
La suite de l’histoire de Clotilde sera diffusée dans quelques jours.
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